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Doberman

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Tout ce qui a été posté par Doberman

  1. Qui m'a enlevé une étoile ?

  2. Fréquenter des obèses pourrait conduire à l'obésité WASHINGTON (AFP) - L'inactivité et l'excès de nourriture ne sont pas les seuls responsables de l'obésité, fréquenter des personnes obèses pourrait également conduire à l'obésité, selon une étude publiée mercredi aux Etats-Unis. Une personne ayant un ami obèse a 57% plus de risques de devenir obèse lui-même qu'une personne n'ayant pas d'obèses dans son entourage, selon cette étude publiée par le New England Journal of Medicine (NEJM). Pour arriver à leurs conclusions, James Fowler de l'Université Harvard et Nicholas Christakis de l'Université de Californie à San Diego ont étudié un réseau de 12.067 amis et parents entre 1971 et 2003, vérifiant leur poids durant ces 32 ans. Ils ont découvert que la prise de poids chez une personne entraînait une prise de poids chez un proche. Les chercheurs jugent "plausible" qu'il existe des "zones du cerveau correspondant à l'action de manger qui soient stimulées si cette action est observée chez d'autres". Si un frère ou une soeur devient obèse, le risque pour l'autre frère ou soeur de devenir obèse augmente de 40%. Dans un couple, si l'un des deux partenaires devient obèse, le mari ou la femme a 37% plus de risques de devenir obèse à son tour. Dans les couples homosexuels, le risque est encore plus élevé, ont noté les chercheurs. Mais les chercheurs ont également remarqué qu'une personne qui mange sainement et fait de l'exercice a de la même manière un effet d'entraînement sur son entourage. Le NEJM rappelle que plus d'un tiers de la population américaine est en surpoids et que 60 millions d'Américains adultes sont obèses. Et là me vient une question : fréquenter des cons, rend-il con ?
  3. Wé on en a déjà parlé hier http://www.forumtfc.net/index.php?s=&s...st&p=740537
  4. Candela est un arrière gauche et on a besoin de personne sur ce côté là ...
  5. Pub Carlsberg parodie mentos/Coca
  6. Aujourd'hui je me suis acheté une machine à pain.... on verra ce que ça donne...
  7. À LA SUITE D'UN ACCIDENT EN 1949 IL EST OPÉRÉ. PENDANT QUE LES CHIRURGIENS S'AFFAIRENT, IL VOYAGE AU-DESSUS DE SON PROPRE CORPS «Ce que je vais vous raconter s'est passé il y a 58 ans. Et je me souviens de tout, absolument tout dans les moindres détails. Alors que je ne sais plus ce que j'ai mangé à midi » Jean Morzelle est bien moins étourdi qu'il veut bien le laisser entendre. À 78 ans, cet habitant de Pibrac est rayonnant de bonté et de malice. Son récit est si précis, si minutieux, si étonnant, qu'il réussit à nous faire passer de l'autre côté du miroir, dans un monde qui n'est plus tout à fait le nôtre Un au-delà qui nous ferait presque envie tant Jean ruisselle de la nostalgie de cet instant magique où il a flirté avec quelque chose qui ressemble bien à des anges L'histoire débute le 9 juin 1949, à Pavie. Jean est militaire. Après l'exercice, il repose son fusil, un MAS 36. Mal. Il actionne par mégarde la détente. Une balle à blanc déchire son ventre Jean est trimballé de l'infirmerie de la caserne à l'hôpital d'Auch. Puis de l'hôpital d'Auch à l'hôpital militaire Larrey à Toulouse. « J'ai aperçu le porche, et j'ai le souvenir d'un masque sur le visage. Éther et chloroforme » C'est le trou noir. Et puis, Jean se réveille. « Je flotte dans une pièce. En bas, il y avait une opération. Je n'avais aucune crainte. Je n'étais pas effrayé. Mais je voyais à 360° dans toutes les directions. Pour me déplacer, il me suffisait de le penser » Il traverse le mur. Sent, ou presque, le galet de Garonne et le mica. Aperçoit un garage avec trois vélos dans le jardin. Repasse dans le bloc. Plonge sous le billard. Y aperçoit une plaque rectangulaire portant la mention « Manufacture d'Armes et de Cycles de Saint-Etienne. » Glisse à travers une porte vitrée. Repère un lavabo dans la pièce à côté. Revient au-dessus de l'opéré. PLUS FORT QU'UN ORGASME « Et là, je plonge dans un noir total, absolu, intense. Puis, une lueur se condense. Elle s'approche. Elle est exceptionnellement lumineuse, intense, d'une brillance incroyable mais elle n'éblouit pas. Et cette lumière m'entoure, m'enveloppe, elle me parle Pas des mots, bien sûr » Surtout, Jean est envahi par un bonheur incommensurable : « C'était impensable, plus fort que le plus fort des orgasmes, un bonheur fabuleux, inouï Et en même temps, j'ai eu l'impression de tout connaître, tout comprendre : les mathématiques, la physique, la mécanique des astres, j'avais la connaissance totale » Et puis la lumière a faibli. Elle s'est éloignée, doucement, et au fur et à mesure qu'elle disparaissait, la tristesse et la douleur reprenaient le dessus. « Mais j'ai gardé un peu de cette lumière en moi. » Jean va brusquement revenir dans son corps : « Par la fontanelle. Je me suis retrouvé à l'intérieur de moi-même, des orteils jusqu'à la tête, comme une main retrouve un gant ! » Douleur, convalescence et d'étranges preuves apparaissent. Un soir où il crève se soif, Jean découvre le lavabo à l'endroit précis où il l'avait vu. Il vérifie : le garage aux vélos est bien là où il l'avait situé. Et il stupéfie le chirurgien, en lui annonçant l'existence de la plaque sous le billard que le médecin lui-même n'avait jamais vue. « Il est revenu blême ! » s'amuse Jean, qui est ensuite devenu l'ami de ce médecin aux doigts d'or, qui ne lui a pas permis de rester du côté de la lumière PAS DE JUGEMENT Cette expérience sera comme un tsunami dans la vie de Jean. Il n'en parle à personne. En revanche, il se sent détaché des choses matérielles. Il se tait pendant 40 ans, mais fait le bonheur des employés de sa petite entreprise, au point qu'ils refuseront de faire grève en 1968. Et se décide enfin à parler il y a une quinzaine d'années. Depuis, Jean est devenu une sorte de star, dans le monde de ceux qui s'intéressent aux NDE, les « Near death experiments », les expériences proches de la mort : « Moi, j'ai des preuves matérielles de mon histoire ! Je suis devenu l'homme à la plaque ! ». Il organise des conférences, rencontre des spécialistes, écrit des livres, inspire des scénaristes, est invité régulièrement sur les plateaux de télévision Il n'a plus vraiment de religion, mais vous déclare tout de go : « Il y a quelque chose d'éternel en chacun de nous. Dans la lumière, il n'y a pas de jugement dernier. Il n'y a pas de jugement du tout. Il n'y a que de l'amour ! » Et à le regarder, on sent que cet homme est peut-être revenu dans son enveloppe, mais qu'il est vraiment bien dans sa peau. Et pas du tout à côté de la plaque. Dominique Delpiroux
  8. http://www.youtube.com/watch?v=B_VmqZvsfbY
  9. C'est aujourd'hui que la commission de la ligue se réunit pour éventuellement sanctionner Gignac d'un ou plusieurs matchs de suspension. Mais bon, il y a une jurisprudence Clerc qui avait signé à l'OM avant de se rétracter et d'écoper d'un match de suspension. Wait and see...
  10. Chocolat noir : de nouvelles vertus ? La publication récente dune étude allemande a révélé leffet du chocolat noir sur les risques cardiovasculaires. Les vertus médicales du chocolat sont parues dans un article du Journal of the American Medical Association. Cette étude, réalisée par cinq pharmacologues de luniversité de Cologne, en Allemagne, confirme ses bienfaits dans le contrôle de lhypertension. Cette publication confirme et renforce dautres études menées sur le sujet : une dentre elles mettait ainsi en évidence quune consommation quotidienne de liqueur de chocolat (100 grammes), riche en flavanols (famille des polyphénols, que lon rencontre aussi dans le vin), diminuait la pression artérielle. Mais rien ne prouvait encore « quel effet pourraient avoir de petites quantités de chocolat noir, riche en cacao et faible en sucres et matières grasses », précise le docteur Dirk Taubert, auteur de létude. Cette étude, réalisée entre janvier 2005 et décembre 2006, sest basée sur un lot de 44 adultes (20 hommes et 24 femmes) âgés de 56 à 73 ans et sujets à une préhypertension ou à une hypertension de stade 1. Deux groupes ont été réalisés. Un groupe a mangé quotidiennement deux carrés de chocolat contenant 30 milligrammes de polyphénols. Le second groupe a quant à lui mangé du chocolat blanc, dépourvu de ces polyphénols, substances qualifiés dantioxyants ayant pour propriétés de dilater les artères. Lexpérience était basée sur une période de dix-huit semaines. Le groupe ayant dégusté du chocolat noir quotidiennement a révélé une diminution de leur pression artérielle et ceci sans prise de poids. Cette expérience a ainsi mis en évidence une diminution notable de la prévalence de lhypertension artérielle : 18 % (passage de 86 à 68 %). Le groupe « blanc » na quant à lui vu aucune évolution de la prévalence à lhypertension. Par exemple, une tension artérielle de 14/9 serait ramenée à 13,7/88. Cette étude démontre ainsi que le chocolat noir diminuerait le risque de mourir dune attaque cérébrale (8%) ou cardiaque (5%). Dautres études récentes notamment celle publiée dans la revue US Pharmacist en février 2007et réalisée par des chercheurs californiens avait révélé que le chocolat noir sans sucre agissait sur le tonus musculaire de la paroi de lartère humérale. Une autre datant de Novembre 2006 et présentée au congrès de lAmerican Heart Association par le Dr Diane Becker assurait à la prise quotidienne de quelques grammes de chocolat noir un effet similaire à laspirine pour réduire la coagulation sanguine. Dautre aprt, le docteur Norman Hollenberg a prouvé, suite à lingestion de liqueur de chocolat, un accroissement du débit sanguin cérébral de personnes dune cinquantaine dannées en bonne santé. Les preuves scientifiques saccumulent ainsi en faveur des vertus thérapeutiques du chocolat noir. Selon le le Dr. Malte Kelm, auteur dune étude menée en 2005 sur ses effets chez les fumeurs, « le cacao, riche en flavanols, peut améliorer considérablement un élément important de la santé cardiovasculaire au sein dune population ayant déjà un risque connu de maladie cardiovasculaire » Les bienfaits du cacao ne sont pourtant pas nouveaux : traditionnellement utilisé par les Indiens Kuna du Panama, ces derniers ne présentent aucun signe dhypertension artérielle. Mais le cacao a dautres vertus a son actif : contre le mauvais cholestérol grâce à lacide oléique, lacide stéarique, et les phytostérols, la constipation et le stress.
  11. Vous reconnaissez le nouveau Moreira ?
  12. Ramonville : L'horreur et le drame. Trois jeunes garçons âgés de 16, 22 et 24 ans, tous occupants de la même voiture, sont morts à la suite d'un violent accident, hier, peu après minuit sur la RN113, à Ramonville-Saint-Agne, près de Toulouse. Le véhicule, une Renault Clio, s'est embrasé après le choc avec les trois jeunes à bord. Selon les premières vérifications menées par les gendarmes de l'indentification judiciaire, les victimes seraient toutes originaires de Ramonville. Il s'agirait de Fabien Lassere, 24 ans, de Guillaume Mastellari, 22 ans et de Freddy Ziegler, 16 ans. Trois copains que la mort a fauché brutalement laissant trois familles dans un immense désarroi. Hier peu après minuit, la voiture conduite par Fabien Lassere, une Renault Clio grise RS (modèle sport) roule à vive allure sur la RN113 en direction de Castanet avec à son bord, Guillaume Mastellari et Freddy Ziegler. Pour une raison encore indéterminée, la Clio quitte sa trajectoire après une courbe, percute le trottoir, côté gauche de la voie rapide, un axe limité à 70 Km/h, en raison de travaux, et décolle littéralement de la chaussée. Le véhicule s'envole sur environ 18 mètres avant de s'écraser sur le toit en contre-bas d'un pont, avenue du 8-Mai 1945. Un choc d'une violence inouï suivi d'un départ de feu. Le véhicule s'embrase ne laissant aucune chance aux trois jeunes occupants de la voiture qui n'est plus qu'un amas de tôle rongé par les flammes. Hier matin, des proches des victimes se sont rendus sur les lieux de ce tragique accident. L'oncle de Freddy est effondré. Membre de la communauté des gens du voyage sédentarisée à l'entrée de Ramonville, il a du mal à contenir ses larmes : « Il allait souvent pêcher avec mon fils de 12 ans à Port-Sud. Ils s'entendaient bien tous les deux, tout le monde au camp est anéanti » Que s'est-il passé avant cette perte de contrôle dramatique. Une question au centre des investigations des gendarmes qui n'ont constaté aucune trace de freinage sur les lieux de la sortie de route. Frédéric Abéla Appel à témoins.- Les gendarmes de la brigade de Ramonville recueillent tous témoignages susceptibles d'éclairer leur enquête sur les circonstances de l'accident. Contacter le 05.61.75.00.17. «Fabien était un travailleur assidu» «Il ne comptait pas ses heures. Fabien arrivait toujours à l'heure au travail et vouait une véritable passion pour la mécanique auto. Tout le monde est bouleversé», commente Laurent Domart, agent Renault situé au bord de la RN113, à Ramonville, dans la zone Nord. Hier matin, toute l'équipe travaillant dans la partie atelier était sous le choc. C'est ici que Fabien Lassere a appris l'amour du métier, durant au moins deux ans, dans cet atelier où il laisse le souvenir d'un garçon «extrêmement sympathique et attachant.» «Un garçon assidu qui ne posait aucun problème. Quand il travaillait, personne ne repassait derrière lui», précise, ému, l'agent Renault.
  13. A partir de lundi, les 38 millions de titulaires de permis de conduire français (autos, poids lourds, motos, bus et autocars), pourront consulter leur solde de points à tout instant et en toute confidentialité sur le site du ministère de l'Intérieur. Ce service baptisé «Télépoints» a été présenté mercredi à Paris par le ministre de l'Intérieur, Michèle Alliot-Marie. Et devrait permettre, selon la ministre d'en finir avec les pratiques d'un «certain nombre de personnes» qui continuent à conduire sans point parce qu'elles ignoraient leur solde. Selon le ministère, ce nouveau système «facilitera la vie des conducteurs et sensibilisera ceux qui ont perdu des points» à la possibilité d'en récupérer jusqu'à quatre en s'inscrivant à un stage de sensibilisation à la sécurité routière. Un lien avec le site consacré à la sécurité routière du ministère des Transports permettra par ailleurs aux automobilistes de consulter la liste des contraventions et des délits entraînant un retrait de points. En 2006, huit millions de points ont été retirés et 69.000 permis invalidés à la suite de la perte des douze points, alors que 1.140.000 points ont été rétablis. Besoin de points de permis? Je peux être au volant de votre véhicule à ce moment là... 6 points maxi à 500 l'unité ferme. Contatez-moi
  14. Qui es tu mon ami ?

  15. Bon, on a failli s'inquiéter...
  16. MONTRABÉ. L'ACCIDENT S'EST PRODUIT, HIER, SUR UN CHANTIER. Deux heures sous le pigeonnier effondré « Le dernier blessé qui part dans l'ambulance est un miraculé ! » Pour ce sapeur-pompier qui regagne le camion, mais aussi pour quelques badauds, ainsi que de proches voisins, l'accident qui s'est produit, hier, à Montrabé, chemin des Andalouses, a connu un épilogue inespéré. Des ouvriers travaillant sur un chantier ont bien failli perdre la vie après l'effondrement d'un pigeonnier du XIXe siècle d'une hauteur dépassant 10 mètres. L'accident s'est produit en début d'après midi alors que les hommes consolidaient les alentours de la construction de briques aux côtés de laquelle des logements devaient sortir de terre prochainement. Puis c'est le drame. « J'ai vu le pigeonnier s'effondrer en deux secondes. Il y a eu un grand boum et plus rien. Seulement un énorme nuage de poussière. J'ai pensé qu'il y aurait des morts », confie un riverain choqué. C'est aussitôt l'affolement. Un des ouvriers a le temps de s'écarter, mais il sera blessé. Deux autres sont ensevelis. Le premier, âgé de 22 ans, sera extrait des gravats au bout d'une heure. Le second, un homme de 27 ans, en revanche, est coincé sous un mètre de briques et de terre. Il y restera deux heures. L'inquiétude est à son comble pour les équipes présentent sur le chantier. C'est au final le chien de l'équipe cynophile de la caserne Buchens qui repérera l'endroit exact où se trouve le blessé. L'homme sera alors extrait en vie par les sapeurs pompiers des casernes Vion et Rouffiac qui ont mobilisé une trentaine d'hommes. Comme les deux autres ouvriers le dernier blessé sera transporté au centre hospitalier de Purpan. Hier, en fin de journée, les pelleteuses commençaient le déblaiement. L'enquête gendarmerie devra maintenant déterminer les causes exactes de cet impressionnant accident.
  17. Doberman

    Olivier Sadran

    Voici la deuxième partie de l'entretien que le président de Toulouse Olivier Sadran nous a accordés avant la participation de son club à la Ligue des champions. Avant le tour préliminaire du mois d'août qui a «un côté fantastique», dit-il, Olivier Sadran s'est lancé dans la recherche d'un attaquant, d'un milieu et d'un défenseur central pour étoffer son effectif. En concertation avec Elie Baup, dont l'idée même du départ est «un non-sujet». «Quel bilan dressez-vous de la première saison d'Elie Baup à Toulouse ? Le classement (3e de L1) est extraordinaire mais je ne m'en tiens pas à ça. L'homme nous a surtout amené son esprit de compétiteur, sa maîtrise du haut niveau et du vestiaire. Et comme il le dit lui-même, il a su s'appuyer sur le travail de formation d'Erick Mombaerts. Emana et autres ne se seraient peut-être pas affirmés de la même façon sans le travail de ses prédécesseurs. Toulouse avait sans doute inconsciemment un complexe psychologique dans le domaine du football, peut-être par rapport au rugby. Elie a beaucoup oeuvré, par sa force de caractère, pour que cela change. Et de son côté, il a aussi trouvé ce qu'il cherchait à Toulouse, un climat de franchise dans le travail. Qui décide à Toulouse, en matière de transferts ? On procède de façon collégiale, mais le final cut, c'est toujours la finance. Toulouse est un club qui a sombré, qui sait ce qu'est un dépôt de bilan (NDLR, descente en National en 2001 après une campagne de recrutement de 15 millions d'euros à l'été 2000), et qui prend déjà des risques économiques importants. Pour assurer sa pérennité, il doit acheter. Il n'a jamais beaucoup vendu. La principale vente qu'on a faîte, c'est Moreira (NDLR, dont l'indemnité de départ à Rennes a été évaluée à 4 millions d'euros, il y a un an). On a réalisé 18 millions de transferts et 12 millions d'euros d'investissement dans le stade depuis la reprise du club. Ça, c'est du cash. Je rappelle qu'aucun réseau bancaire ne soutient l'achat d'actifs dans le football. Il faut faire tout cela avec parcimonie et intelligence. Sachez donc que les vieux tabous entraîneurs - présidents - directeurs sportifs n'existent pas chez nous. Toulouse est un club un peu déconnecté de certains us et coutumes footballistiques. On y tient. Le budget du club était de 34 millions d'euros cette saison. La Ligue des champions va-t-elle le doper ? Tout dépend où vous mettez le curseur. On l'avait placé à la douzième place la saison dernière. Cette fois, ce sera la dixième, sans franchir le tour préliminaire de Ligue des champions, et on devrait atteindre les 40 ou 41 millions. Si on passe, ça change tout (NDLR, une participation à la phase de poules représente 15 millions d'euros minimum). Vous êtes toulousain. Vous aviez 17 ans en 1986. Que faisiez vous quand le TFC éliminait le Naples de Maradona en Coupe de l'UEFA ? J'y étais. Je me rappelle le bruit et l'euphorie. Le match, pas du tout. Nous l'avions diffusé sur écran géant pour la venue de Lyon, la saison dernière. Je ne l'avais pas revu depuis. Vous savez, je ne suis pas nostalgique. Je n'aime ni me projeter trop dans le futur, ni dans le passé. Le présent, c'est déjà un sacré job. Sentez-vous que les supporters ou les anciens qui gravitent autour du club ont été touchés par ce retour sur la scène européenne ? (Il cherche ses mots et trouve cette anecdote). Le jour de la défaite contre Nantes (0-4), je me suis levé et je suis allé faire le coup de poing vingt mètres plus haut en tribunes, car j'en avais marre de me faire insulter devant mes deux gamins de cinq et huit ans. C'était cette saison. Après avoir dit ça, je pense que tout le monde a compris. Pour moi, dans cette tâche, il y a d'un côté le plaisir que procure le sport, et de l'autre la gestion de l'entreprise de spectacle. Le reste, ce sont des aléas et beaucoup de recul à prendre. Dernier sujet : vous avez dû renoncer à votre principal sponsor maillot en début de saison sur injonction de la Ligue (888.com, site de pari en ligne, s'oppose au monopole de la Française des Jeux). Où en êtes-vous ? Est-ce vous payez toujours cette histoire ? Le payer, non. Je constate simplement qu'on est toujours en train de pleurer sur le football français et son présumé manque de moyens. Tous les clubs européens ont le droit de jouer avec des marques de bières, les plus gros sponsors en Europe. Pas nous. Tous les clubs européens jouent avec des sites de paris en ligne installés et côtés en bourse. Pas nous. Quand vous voyez Liverpool - Milan en finale de la Ligue des champions, autrement dit Carlsberg contre Bwin, on pense à la France qui a perdu toute compétitivité en se mettant des contraintes dont elle n'avait pas besoin. Je n'ai rien contre la déontologie appliquée aux jeux et à l'addiction, mais on constate que la Française des Jeux, contrairement à ses engagements pris devant Bruxelles, a multiplié le nombre de jeux et de publicités de façon indécente. Je trouvais que c'était se moquer du monde. » Entretien réalisé par Cédric ROUQUETTE
  18. TOULOUSE, 11 juin 2007 (AFP) - 10h43 Toulouse : fuite d'acide chlorhydrique à l'usine chimique Isochem Une fuite d'acide chlorhydrique dans l'usine chimique Isochem (groupe Société nationale des poudres et explosifs, SNPE) de Toulouse a provoqué lundi la formation d'un nuage blanc "irritant mais a priori pas toxique", a-t-on appris auprès de la préfecture et de l'usine. "Un important nuage blanc s'est formé au dessus de l'usine et s'est déplacé progressivement hors du site. La teneur en acide chlorhydrique s'est très rapidement diluée", indique la direction d'Isochem dans un communiqué, précisant que cet incident n'a fait aucun blessé" et qu'"il n'y a eu aucune pollution liquide". Vers 6H45, "une fuite d'acide chlorhydrique à 30% de concentration s'est produite sur la tuyauterie de vidange d'un bac de stockage de 100m3 situé dans la partie consacrée aux synthèses de chimie fine de l'usine Isochem", ajoute le texte. La quantité d'acide dans ce bac était d'environ 50m3. "La fuite est complétement stoppée", a indiqué à l'AFP le directeur de l'usine Loïc Lecomte en milieu de matinée. Selon le directeur de cabinet de la préfecture Francis Soutric, "il y a des odeurs, des risques d'irritation mais pas de danger toxique dans l'immédiat". Le plan d'organisation interne a été déclenché. Les pompiers ont mis des rideaux d'eau pour éviter la dispersion du produit et le personnel a été mis à l'abri. Les accès à cette usine, qui avait été endommagée par l'explosion de l'usine AZF voisine le 21 septembre 2001, ont été temporairement fermés.
  19. Moi je me suis endormi il y a 20 ans... le Tef était Européen, je me réveille... on est toujours Européen. Il ne s'est rien passé ces 20 dernières années ?
  20. Il sort de 19 années de coma et découvre une autre Pologne VARSOVIE (Reuters) - Un Polonais de 65 ans s'est réveillé après avoir passé 19 ans dans le coma, annoncent des médias polonais. Lorsqu'il a sombré dans l'inconscience, à la suite d'un accident, Jan Grzebski était cheminot dans la Pologne communiste du général Jaruzelski. Près de deux décennies plus tard, il s'est réveillé dans un pays où l'économie de marché est la règle et où les longues files d'attente devant les magasins ne sont plus qu'un lointain souvenir. "Quand je suis tombé dans le coma, les magasins ne vendaient que du thé et du vinaigre, la viande était rationnée, et les files d'attentes dans les stations-service étaient interminables", se remémore-t-il. "Aujourd'hui, les gens se baladent dans la rue avec des téléphones portables et l'abondance de choix dans les magasins me fait tourner la tête", fait-il remarquer. Mais les surprises ne sont pas arrêtées là. Héros involontaire de ce remake polonais du film "Good bye, Lenin !", Jan Grzebski a découvert que ses quatre enfants s'étaient mariés et qu'il avait onze petits-enfants.
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