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cebe

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Tout ce qui a été posté par cebe

  1. cebe

    Topic Taf

    La caractérisation, moi je suis trop mauvais en electronique pour en faire Déjà, faut sortir l'oscillo, et ces bêtes là, j'essaie de les éviter ou de sous traiter Moi côté choses variées, j'suis servis : - je bosse en ce moment sur une valise qui simule tout l'environnement moteur, afin de tester des calculateurs d'injection. Donc en plus de me cogner la gestion de projet et l'informatique (Labwindows CVI), je me dois comprend la méca, les diverses cartes electroniques qui ont été concues : carte injecteur, qui simule l'injecteur de la voiture, la carte allumage, qui simule... l'allumage (sur les versions essence), les carte entrées logiques et analogiques que je pilote depuis le soft. Pour faire simple, ce sont tous les capteurs de température (huile, eau), la pédale d'accélerateur, la vitesse du moteur, etc, mais aussi les cartes signaux : c'est le plus chaud. Ca simule par exemple la roue dentée du moteur... faut donc je comprenne cette satanée roue dentée. Ah, pour corser le tout, j'ai choisit de communiquer entre le soft et la valise en USB... - et plein d'autres choses, mais moins interressantes à raconter comme des baies de programmation de calculateurs...
  2. cebe

    Topic Taf

    ah c'est une grosse boite... Bah moi je fais des deux on appelle ca de l'electronique et de l'informatique industrielle. wé, je précise : ils étaient vraiment débutants en développement C, et je suis gentil. Pour des bac +3, ca fait peur... Mon sujet portait sur de la recherche en C, et donner ca à des pires débutants, ca donne à réfléchir. Chargement de DLLs avec un prototype de fonction dynamique pour ceux qui tatent... Au final, en 1 mois, celui que j'ai retenu avait trouvé la solution ouf!
  3. cebe

    Topic Taf

    J'ai vu ton histoire (coup de blues bla bla bla), tu es dans quelle boite ? (MP si tu veux pas le dire ici) Sinon, chez nous, on ne prend plus de stagiaires directement dans notre domaine (et donc le tiens), c'est un peu bizarre, mais c'est comme ça. L'an dernier, j'ai pris un stagiaire en informatique, j'ai halluciné quand j'ai vu leur niveau lors des entretiens... Mais ca s'est bien terminé au final. Les 2 années avant, c'était du dév web (pour l'intranet)
  4. cebe

    Topic Taf

    Cette année ca sera : - Evolutions (V2.2), migration et finalisation de l'intranet d'entreprise : CRAs, facturation et compagnie. L'existant est en java, mais n'a jamais été livré par manque de temps pour arriver à maturité (le site). Nous avons encore l'intranet V1 en PHP. et/ou - Rédaction de fiches qualité. Mise en oeuvre du plan qualité pour le passage au CMMi niveau 2. Pas très folichon Et ce n'est pas ton domaine si mes souvenirs sont bons ?
  5. cebe

    Topic Taf

    Faut je commence à préparer les sujets de stage pour mon ou mes stagiaires de cette année... Sont en grève en ce moment les étudiants de Paul Sab ??
  6. cebe

    Topic Bricolage

    Moi je deviens un pro : - en trous dans le mur : placo, béton banché, platre, etc - raccord de tuyaux EPR - pose d'étagères presque de niveau - construction (oui oui) de douche en plaque de platre + pose du carrelage et des joints, puis pose de carreaux de cailloux au sol et joint -- enfin, pour tout ça j'ai surtout fait maneuvre -- - inscription chez Free dans un appart tout neuf - évacuation en PVC, avec la pente qui va bien pour que l'eau parte, c'est pas évident à faire ça.... - démontage/remontage d'armoire ikéa - électricité, et pour être précis, cablage dans du placo. Mais j'en suis encore à l'auto formation - réparation de tables en bois (pin) de chez ikéa - montage/démontage de radiateurs electriques - et en auto-formation aussi pour reboucher les trous dans les vieux appartements
  7. cebe

    Où jouent nos ex héros?

    Bonjour, je suis surpris de ne pas trouver l'info quelque part ici... Alors voilà : source : Site officiel du HAC
  8. source : www.lemonde.fr
  9. http://www.20minutes.fr/
  10. N'ayant jamais acheté de mp3 sur internet, je ne sais comment cela se passe dans les faits. Mais en théorie, il y a une gestion des "DRM" (Droits d'auteurs en gros), donc il faut que les forces de l'ordre soient capables de les lires ? Mais je sais notamment que ces DRM sont perdus si tu graves le CD au format classique (WAV), et que tu en retires des mp3 classiques... Autre chose, je me suis fait voler une dizaines de CDs dans ma voiture (ca m'apprendra à na pas avoir fait de copies "privées" pour mettre dans la voiture). Dans ce cas, suis je dans mon droit ou pas d'avoir des copies ? Tout ça est bien compliqué. ... Tiens, une autre question ? Si tu as une poste K7 dans ta voiture, avec des K7 enregistrées à la radio ? Est ce légal ou est-on verbalisable ? Normalement c'est légal... pourtant, on n'a pas les originaux. PAr contre, si on enregistre la radio et qu'à partir de cet enregistrement, on fait des mp3 ? Est ce légal ?? => Et là on reparle du nouveau logiciel "StationRipper".
  11. C'est pas que j'aime pas Pascal Negre, il défent son beefsteack.... Mais par contre je n'aime pas que la culture soit un produit comme un autre, j'aime encore moins les méthodes choisies pour défendre les majors, surtout quand l'état est complice ! Et j'aime pas non plus cet immobilisme de ces majors qui refusent de s'adapter ! Et enfin, je suis convaincu que nous ne sommes pas des voleurs de droits d'auteurs quand on télécharge, car sinon il faut DE SUITE stopper la vente de magnétophones à cassettes qui enregistre la radio, les magnétoscopes, etc... Je crois qu'un nouveau modèle économique est à trouver, un peu comme les radios (et donc les pubs, il faut le rappeller) qui paient la sacem pour la musique qu'elles diffusent.... voilà, c'est tout ce que j'avais à dire sur ce sujet.
  12. file de discussion sur ratiatum.com (p'tain, c'est dur à écrire) clic l'article en photo A noter que c'est sur LA DEPECHE DU MIDI ! Ah! ah!, notre bon vieux journal régional à grand tirage ! Edit : article sur ratiatum : http://www.ratiatum.com/p2p.php?article=2090
  13. non. Ci dessous un lien qui en parle, mais je ne trouve pas de source pour le texte que j'ai posté. http://www.juriscom.net/ et la publication de l'ADA (Association Des Audionautes) : http://www.audionautes.net/blog
  14. JUSTICE. MES GLOCK-FOSSAT ET ZAPATA VIENNENT D'OBTENIR LA RELAXE D'UN ÉTUDIANT QUI AVAIT TÉLÉCHARGÉ 488 FILMS SUR INTERNET. « Sur internet, les pirates n'existent plus ! » Relaxé devant le tribunal correctionnel de Rodez. Relaxé encore devant la cour d'appel de Montpellier. L'étudiant Tarn-et-Garonnais qui avait téléchargé sur internet 488 films n'a pas été reconnu coupable aux yeux de la justice française de « contrefaçon d'uvre de l'esprit ». Ses avocats toulousains, Mes Joëlle Glock-Fossat et Eric Zapata savourent ce jugement et expliquent son intérêt. Pourquoi cette décision judiciaire est-elle importante ? Une cinquantaine de dossiers sont en cours devant les juridictions pénales françaises. Les grandes sociétés de production de films ou de musique attaquent de manière systématique les amateurs qui téléchargent films ou disques. Les producteurs font campagne sur un message simple : le téléchargement est interdit ! Est-ce faux ? Bien sûr ! La cour de Montpellier, par sa décision, s'appuie sur le code pénal pour souligner que ce n'est pas le téléchargement qui compte mais sa destination. En clair, la cour d'appel vient de dire que, sur internet, les pirates n'existent plus ! Mais on ne peut quand même pas vendre ces copies Heureusement. Un amateur qui va sur internet télécharger un film et le regarde dans son cercle familial n'est pas en infraction. Vendre un enregistrement, même à un prix dérisoire, reste en revanche un délit. Qu'est-ce qui est autorisé ? Télécharger des films ou des disques sur internet pour, ensuite, en profiter dans un usage privé, limité au cercle familial. Comment se définit le cercle familial ? Ce n'est pas papa, maman et les frères ou surs. La Cour met fin à une hypocrisie puisque notre client avait reconnu avoir montré un film à une amie. La Cour souligne malgré cela qu'il n'est pas démontré d'usage collectif. Elle établit donc un distinguo plus fin entre le cercle privé et l'usage collectif. Un ou deux amis, ça passe aux yeux des juges. Vingt rassemblés pour une soirée cinéma, non. Accepter le téléchargement gratuit, n'est-ce pas dangereux pour les droits d'auteur ? Non puisqu'ils sont respectés. Il ne faut pas oublier que dans tous les achats d'un CD vierge, d'une cassette audio, même d'un appareil enregistreur ou d'un téléphone, l'acheteur paye une redevance justement pour soutenir les auteurs. Une taxe fiscale qui est la contrepartie de la copie privée. Sans oublier que dans les textes sur les droits d'auteur, l'exception sur la copie privée est clairement signifiée. L'internaute que vous défendiez doit être soulagé ? 17 parties civiles lui réclamaient de sommes considérables. Sans grand espoir de les recouvrir mais pour faire peur. Mais sur les 488 films retrouvés chez lui, aucun n'était en double. Une preuve de plus de leur usage privé. Des longs-métrages qui avaient pour la plupart été diffusés plus d'une fois à la télévision. Recueilli par Jean Cohadon -------------------------------------------------------------------------------- La Cour de Cassation saisie Columbia, Warner et autre Gaumont, parties civiles au procès de Montpellier n'ont pas encore baissé les armes. Leur avocat a immédiatement annoncé un pourvoi en cassation. Pas une surprise pour les avocats de l'internaute. « C'est logique. Cette décision va faire jurisprudence. Il faut donc trancher au plus haut niveau même si en droit, cela va être difficile de réformer. Maintenant, est-ce aux magistrats de trancher ce litige ? Si le problème est économique comme l'affirment les producteurs, les politiques doivent le régler. À eux de choisir entre les intérêts des entreprises et des citoyens », estiment Joëlle Glock-Fossat et Eric Zapata.
  15. et encore mieux !! La nouvelle révolution du peer to peer ?! StationRipper Mon veux de recherche d'un nouveau modèle économique permettant à la fois la mise à disposition (facile d'acces) de mp3 en ligne et la rétribution des auteurs/compositeurs/interpretes est il exhaussé ? www.ratiatum.com/
  16. Excellent. Il nous prend vraiment pour des vaches à lait. Et quand "lui" doit payer à la création musicale, c'est niet ??!! pfff!
  17. quand on veux.... source : www.comparatel.fr
  18. pour ajouter de l'eau au moulin :
  19. alors c'est quoi quoi ?
  20. Téléchargement sur le Net : attention, vous êtes pistés Le vieux continent n'est plus un paradis pour les adeptes de réseaux comme Kazaa : les procès qui ont eu lieu aux Etats-Unis contre le piratage ont aussi débarqué dans les pays européens. En avril dernier, un retraité de l'ouest de la France a fait l'amère expérience du changement de la législation en Europe sur les téléchargements en ligne. Le tribunal de Vanves l'a condamné à trois mois de prison avec sursis et 4 000 euros d'amende pour avoir téléchargé des centaines de films sur des réseaux peer to peer (P2P). Il fait partie des premiers internautes condamnés en Europe pour l'échange illicite de contenus audiovisuels. Mais comment l'industrie du disque traque-t-elle les internautes qui fréquentent les réseaux P2P ? Qu'est-ce qui a changé dans la législation des différents pays ? Explications. Sur les traces des téléchargeurs Les professionnels du disque ne lésinent pas sur les moyens pour lutter contre le piratage : les associations regroupant les maisons de disque la RIAA aux Etats-Unis, l'IFPI (Fédération internationale de l'industrie phonographique) en Europe ont créé des département spécifiques pour pister les internautes peu soucieux des droits d'auteur. Ces départements surveillent l'activité des utilisateurs de réseaux d'échange de fichiers (comme Kazaa, eMule, DirectConnect) et se penchent particulièrement sur le cas des "gros téléchargeurs". Ce n'est pas pour autant que des téléchargeurs occasionnels sont à l'abri. Mais la priorité de l'industrie du disque étant la dissuasion par l'exemple, la poursuite des internautes qui téléchargent quelques morceaux représenterait pour elle peu d'intérêt. Une fois les téléchargeurs repérés, les équipes chargées de la surveillance récupèrent leurs adresses IP. Ensuite, selon la législation des différents pays, soit elles mènent leur propre enquête pour trouver l'identité des internautes en question (en recoupant les informations trouvées en ligne sur ceux-ci, par exemple) soit elles transmettent les adresses IP à la justice. C'est ensuite aux juges d'ordonner aux fournisseurs d'accès Internet (FAI) de divulguer l'identité de leur abonné. Dans de nombreux pays européens, les FAI sont depuis peu obligés de fournir les coordonnées des téléchargeurs suite à une demande de la justice. Mais la majorité des fournisseurs refusent de faire la police eux-mêmes : pas question donc de surveiller leurs clients ou de restreindre l'accès aux réseaux d'échange de fichiers, comme l'industrie du disque voudrait le leur imposer. Tous les fichiers échangés sur les réseaux peer to peer n'étant pas illicites (ces réseaux ne servent pas qu'à échanger de la musique) une telle démarche serait excessive. Pourtant en Belgique, la Sabam (association qui regroupe les auteurs, compositeurs et éditeurs de musique) a attaqué en juin dernier le fournisseur d'accès Tiscali pour ne pas avoir coupé l'accès aux plates-formes de téléchargement. L'issue du procès est très attendue à la fois par les internautes et par les fournisseurs d'accès. Pour traquer les internautes, l'industrie de disque utilise parfois des moyens dignes des films d'espionnage. En août 2003, un procès contre une utilisatrice américaine a révélé une de leurs méthodes : l'insertion de clés cachées dans les MP3 en ligne pour pouvoir ensuite prouver que les fichiers proviennent bien des réseaux de téléchargement. L'internaute accusée avait prétendu que tous ses MP3 avaient été copiés de ses propres CD, mais les clés cachées de la RIAA ont démontré le contraire. La diffusion de fichiers leurre (comme dans le cas du film Blueberry où les internautes croyaient télécharger le film en entier alors qu'il s'agissait d'une bande annonce expliquant qu'il valait mieux aller le voir au cinéma) est aussi un moyen de lutte utilisé par les professionnels. Une législation plus dure Plus de 200 poursuites lancés en Europe contre des particuliers depuis mars dernier : l'IFPI semble déterminée à faire des exemples en Europe à l'image des procès spectaculaires qui ont eu lieu aux Etats-Unis. Ce sont 17 internautes au Danemark, 1 en Allemagne et 30 en Italie qui ont été récemment condamnés à de lourdes amendes pour avoir téléchargé des fichiers musicaux. Des actions similaires sont aussi menées en France, en Suède et en Grande-Bretagne. C'est le résultat d'un durcissement de la législation en la matière des peines allant jusqu'à trois ans d'emprisonnement et une amende de 300 000 euros selon les pays, suite à l'application d'une directive européenne mais aussi de l'implication plus active des gouvernements à ce sujet. Désormais, certains FAI doivent aussi résilier le contrat des abonnés qui téléchargent de la musique de manière illégale. Le 29 juillet dernier, les FAI français ont signé une charte anti-piratage qui les oblige à le faire en cas de nécessité. source: symantec.com J'aime bien cette action. Ce permettrait de tansformer le téléchargement dis "illégal" en support de pub
  21. source : http://www.clubic.com/actualite-16575-musi...sir-menace.html J'ai commencé à lire le forum concernant cette nouvelle, et bien il y en a qui ne comprennent vraiment rien à la vie... source : http://www.clubic.com/actualite-16572-musi...-une-vente.html
  22. L'un des pères du MP3 s'élève contre la disparité des formats Thu September 30, 2004 7:06 AM CEST par Bernhard Warner BERLIN (Reuters) - Des technologies concurrentes en matière de téléchargement musical pourraient faire plus de mal aux disquaires en ligne qu'une simple concurrence frontale dans un marché encore naissant, a déclaré l'un des concepteurs du format de compression numérique phare du secteur, le MP3. "Il est évident que cela pénalise le secteur du téléchargement, et de même pour les fabricants d'appareils", a dit mercredi le dr Karlheinz Brandenburg, directeur des technologies des médias électroniques à l'institut Fraunhofer d'Ilemenau, en Allemagne. Le consommateur peut aujourd'hui télécharger et stocker en quelques clic de souris de la vidéo ou des milliers de chansons sur un lecteur numérique. Mais, la palette des technologies de compression et de gestion des droits d'auteur (DRM pour digital right management) détermine sur quel appareil devra être écoutée quelle chanson. Ainsi Apple Computer, Real Networks et Sony ont développé chacun leur technologie de lecture et de DRM, bornant l'écoute des titres achetés sur leur site au lecteur de leur marque, iPod pour Apple, Ditto pour Sony. Brandenburg a dit avoir prévenu par deux fois les fabricants et les maisons de disques des risques de piéger les fans de musique, ce qui aurait pour effet de leur faire préférer les plate-formes d'échanges de fichiers. "Ils n'ont pas écouté. Peut-être ont-ils pensé qu'il était viable commercialement de ne pas choisir une norme. C'est très étrange", a-t-il dit à Reuters en marge du salon annuel de la musique à Berlin, le Popkomm. "Le MP3 générique devait être la seule norme. Elle est soutenue par tout le monde. C'est une bonne chose pour Fraunhofer et je le considère aussi comme un homme riche", a dit Brandenburg, détenteur depuis 1986 d'un brevet, tout comme l'est l'institut, pour avoir développé le MP3. Chaque vente de lecteur MP3, dont l'iPod, déclenche des royalties. source : www.reuters.fr
  23. cebe

    Topic livres

    moi je lis "Les régulateurs" de Richard Bachman (alias Stephen King). Ensuite, je vais attaquer harry potter ...
  24. Peut-être.. mais je ne comprend pas pourquoi on n'est cités dans aucun compte rendu, même pas dans les clubs sans problêmes. Les ausitions des clubs pros sont pourtant terminées. Non, vraiment, je comprend pas.
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