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Lopez

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Tout ce qui a été posté par Lopez

  1. et ils font ça asseque
  2. On dit bien c est ballot
  3. Soucasse a passé l'après midi à beurrer des sandwiches (C)
  4. Peut etre mais c est quand meme un gars qui a marqué le club
  5. Lequipe Stéphane Ruffier, mis à pied. Le gardien international français a été mis à pied par l'AS Saint-Étienne, lundi. Il s'est cependant entraîné mardi, en attendant d'être reçu par ses dirigeants, le 22 juillet. L'avenir de Stéphane Ruffier (33 ans) à l'AS Saint-Étienne s'est encore un peu plus assombri lundi, quand une employée du club lui a remis en mains propres une lettre lui signifiant sa mise à pied à titre conservatoire. Dans celle-ci, il lui serait notamment reproché un retard à l'entraînement de vendredi dernier. Surprenant, quand on sait qu'avec Mathieu Debuchy, Ruffier a l'habitude d'être un des premiers joueurs présents à L'Étrat, le centre d'entraînement de l'ASSE. Comme à l'accoutumée, il serait d'ailleurs encore arrivé une heure avant le début de la séance de vendredi. Mais pas sur le terrain d'entraînement, notamment à cause d'un strap qui a tardé à lui être posé. Ce contretemps l'aurait empêché de prendre part à un 7 contre 7 avec des jeunes du centre de formation. Selon le club, le gardien n'aurait pas voulu s'entraîner. L'ASSE veut économiser son salaire annuel de 2,8 M€ Imperturbable, Ruffier s'est de nouveau présenté à l'Étrat, mardi... Où il a pu s'entraîner normalement, dans l'attente de recevoir une lettre recommandée en bonne et due forme. Celle-ci lui confirmera sa convocation avec sa direction pour le mercredi 22 juillet. Ruffier devrait s'y présenter, accompagné du délégué syndical du club ou de l'UNFP (le syndicat des joueurs). De son côté, l'ASSE indique qu'elle « étudie la suite à donner à ce manquement ». En ne le retenant pas pour les deux premiers matches de préparation de la saison - devant Rumilly (N2) et Nice (4-1, les 4 et 10 juillet) - Claude Puel, l'entraîneur-manager général de l'ASSE, lui a envoyé un message fort. Ruffier en avait déjà reçu un premier quand Puel lui avait téléphoné au sortir du confinement pour l'avertir que Jessy Moulin démarrerait la saison comme titulaire. Puis un deuxième, le 25 juin, en voyant le club se séparer « d'un commun accord » de Fabrice Grange, son entraîneur spécifique depuis huit ans, en lui payant sa dernière année de contrat. 383 Stéphane Ruffier a disputé 383 matches sous le maillot stéphanois, toutes compétitions confondues. Arrivé au club en 2011, l'ancien Monégasque est devenu le gardien le plus capé des Verts en Première Division, fin novembre, en dépassant la légende Ivan Curkovic. Cette escalade pourrait-elle conduire le club à le sanctionner, voire à carrément le licencier pour faute grave, à un an de la fin de son contrat chez les Verts ? Il s'agit d'une possibilité à ne pas écarter. Depuis que l'ancien gardien international (3 sélections de 2010 à 2015) a refusé d'aller souffler sur le banc lors de la réception de Reims (1-1, le 23 février), le divorce avec son entraîneur semble consommé. Patrick Glanz, l'agent historique de Ruffier, n'avait alors pas hésité à égratigner publiquement Puel. À la suite de ces propos, l'ASSE a enclenché une procédure judiciaire visant notamment à ne pas lui verser sa dernière commission de 180 000 €. De gros sous, il est donc forcément question dans cette affaire. Ne pouvant acheter avant de vendre, l'ASSE a besoin d'alléger sa masse salariale. Or, le salaire de Ruffier s'élève à 2,8 M€ brut par an. Une somme conséquente pour un joueur appelé à ne plus jouer sous les ordres de Puel, surtout dans un club comme Saint-Étienne. Il ne sera même pas reçu par Romeyer Licencier Ruffier dès cet été permettrait à Puel d'évacuer un (gros) problème de son vestiaire et au club d'économiser momentanément de l'argent. Au risque de devoir en débourser encore plus à moyen terme, c'est-à-dire à l'issue d'une inévitable procédure prud'homale. C'est cette politique que l'ASSE a, par exemple, adoptée lors de la mise à l'écart de Ghislain Printant, le prédécesseur de Puel. Roland Romeyer, le président du directoire de l'ASSE, serait cependant favorable à un arrangement à l'amiable, au regard du passé du gardien au club. Actuellement en vacances dans le sud de la France, il ne recevra pas Ruffier le 22 juillet. C'est Xavier Thuilot, le directeur général, proche de Puel, qui s'en chargera. Dès lors, ce rendez-vous ne s'annonce pas comme celui d'une tentative de (ré) conciliation. En attendant, Stéphane Ruffier se présentera de nouveau à L'Étrat, mercredi, pour l'entraînement La grande classe Puel et Sainté
  6. Soucasse fait son pot de depart dans la foulée. Source d un proche du club
  7. On vise le top 10 europeen, je ne vois que ca
  8. Le peuple du forum possède à présent ses textes de loi : le Bled et le Bescherelle Pivot et Maitre Capello sont les dieux tout puissants et Viz est leur prophète.
  9. Va falloir qu il refasse rever ce club....
  10. Scandaleux, je demande un ban
  11. Je le pense aussi, en terme de progression ca paraît plus simple
  12. Y a les memes dans le privé
  13. Lopez

    Joel Thiehi

    Paroles d'ex - Joël Tiéhi : Diego Maradona m'a « pris sous son aile » Alors qu'il effectuait un essai à Naples, Joël Tiéhi, ancien attaquant international ivoirien du Havre, de Lens, Martigues et Toulouse, a pu côtoyer de très près Diego Maradona. Jean-Philippe Cointot11 juillet 2020 à 17h30 « Quel est le joueur le plus fort avec lequel vous avez joué ? En Côte d'Ivoire, Abdoulaye Traoré, un vrai phénomène, et en France, Thierry Moreau, du Havre (1987-1994). C'est le premier que j'ai remarqué quand je suis arrivé ici. Il avait tout mais, surtout, tactiquement je n'avais encore jamais vu ça. Il comprenait tout plus vite que les autres. Le plus fort contre lequel vous avez joué ? Jean-Pierre Papin. Au-dessus du lot. Largement. J'étais comme lui, un attaquant, un buteur, mais sa présence devant le but, son placement, ses reprises de volée... Impressionnant. Je me demandais comment il faisait. Cela m'a longtemps interpellé. Jean-Pierre Papin. (A. de Martignac/L'Équipe) Le joueur le plus méchant ? Je ne vais pas dire le plus méchant mais certainement le plus agressif. C'est Franck Silvestre (croisé lorsqu'il évoluait à Auxerre puis Sochaux). Il avait tous les coups dans sa panoplie défensive. Il excellait dans le tirage du maillot et dans le coup de genou dans le bas du dos (rires). C'était un gars très agressif, difficile à passer. Lui, il ne chambrait pas, il te martyrisait. Le joueur le plus drôle ? Roger Boli ! Je l'ai vu un jour se préparer pour un match. Il était très concentré. On sort du vestiaire et je remarque aussitôt qu'il avait oublié de mettre ses chaussettes. Je lui dis : "Roger, tu n'as rien oublié ?" Il me regarde surpris et me répond : "Non, pourquoi ?" Tout le monde a explosé de rire. Roger, c'est la bonne humeur permanente. Toujours en train de rire et de faire rire. Mais bon ! Je ne me moque pas de lui. Moi, un jour à Deschaseaux (l'ancien stade du Havre), j'étais en train de m'échauffer, en deuxième période, quand on m'a appelé pour entrer. J'en avais tellement envie que je me suis présenté au bord du terrain... sans mon short. C'est le médecin du club qui m'a prévenu au dernier moment. Roger Boli protège son ballon devant son frère Basile. (A. Lecoq/L'Équipe) Le joueur perdu de vue que vous aimeriez revoir ? Diego Maradona ! Au début des années 90, je devais signer à Naples. Je m'y étais rendu avec mon agent, Marc Roger. Tout était en place, les documents prêts à être signés. J'avais passé une semaine là-bas à m'entraîner avec lui avant la fin du Championnat italien et le soir, il m'invitait à sortir avec lui et avec d'autres joueurs. C'est fou, mais je dois dire qu'il m'avait en quelque sorte pris sous son aile. Il m'a tout de suite accepté. On a vite sympathisé. Pourquoi ? Je ne sais pas ! Quand je suis revenu après les vacances, pour signer le contrat, tout avait changé. Le président, l'entraîneur n'étaient plus là et mon transfert est tombé à l'eau. Diego, lui aussi, était parti. Diego Maradona, sous le maillot de Naples. (J.-C. Pichon/L'Équipe) Le moment où vous vous êtes senti le plus seul ? Lors de la CAN (Coupe d'Afrique des nations) 96, en Afrique du Sud. Nous n'avions même pas réussi à passer le 1er tour. Notre entraîneur était Pierre Pleimelding, paix à son âme, et je me souviens que personne ne lui parlait. À la mi-temps du match contre la Tunisie, tout le monde donnait son avis, sauf lui. Cela m'a énervé et j'ai dit à mes partenaires, qui n'ont pas compris ma réaction : "C'est d'abord l'entraîneur qui doit parler" et je me suis fâché avec tout le monde. Personne ne le respectait et cela m'a énervé. Lors des réunions techniques avant les matches, il n'était même pas convoqué. Votre plus gros fou rire ? En boîte de nuit à Paris avec Roger Boli, George Weah et Youssouf Fofana (ancien attaquant de Monaco et Bordeaux). Au bout de quelques minutes, j'ai froid aux pieds et je me rends compte que je n'ai pas mis mes chaussettes. Tu sais, les chaussettes et les Africains (rires)... Bien sûr, Roger s'en rend compte rapidement et le dit aux gars. Ils me font même me lever et retrousser mon pantalon pour que tout le monde le voie et c'est parti pendant des heures. Heureusement, Roger est allé chercher les fameuses chaussettes dans sa voiture. Je ne sais pas pourquoi, mais il en avait dans son coffre et me les a données. 56 ans (CIV) Ex-attaquant international (40 sélections, 25 buts). Joueur professionnel : Le Havre (1987 - janvier 1994), Lens (janvier 1994 - novembre 1995), Martigues (novembre 1995 - 1996), Saint-Denis-Saint-Leu (N, 1996-1997), Toulouse (1997-1998), Al-Jazira (EAU, 1998-2001), Al-Aïn (EAU, 2001-2002). L'anecdote que vous n'avez jamais osé raconter ? Je jouais à Toulouse. Alain Giresse en était l'entraîneur et il avait emmené tout le monde faire un stage d'avant-saison en montagne. Un jour, il avait décidé qu'on irait faire du vélo. Moi, je ne disais rien mais j'étais inquiet car je ne sais pas en faire. Mon père a eu 32 enfants et il n'allait pas en acheter un à tout le monde (rires). J'ai essayé mais, à un moment donné, on est passé par un petit chemin très étroit au bord d'un précipice et, là, je n'ai pas pu. Je me suis arrêté net. Tétanisé par le vide. On ne m'avait jamais dit que pour faire du football en France, il fallait faire du vélo (rires). Alors je l'ai mis sur mon épaule et je suis descendu à pied. Tous les joueurs se sont moqués de moi. Quelle est la chose ou l'attitude qui vous a le plus surpris en Ligue 1 ? J'étais au Havre, au début de ma carrière, et on allait jouer à Auxerre. Avant le match, je vois Basile Boli, un Ivoirien, comme moi (il a la double nationalité). Je m'approche de lui pour le saluer. Il me regarde dans les yeux et ne me dit pas un mot. Il refuse même de me serrer la main. Cela m'a surpris. On perd la rencontre et qui je vois arriver dans notre vestiaire ? "Base" ! Il m'embrasse et me dit : "Je ne pouvais pas te parler avant. J'étais concentré, j'étais dans mon match." Ce jour-là, j'ai compris davantage ce qu'était le haut niveau. » Lequipe
  14. OS essaie de mettre Soucasse dans le deal, au moins pour tenir la buvette.
  15. Y en a qu on essayé, ils ont eu des problèmes
  16. Si le itole Desolé, c est l effet Dunkerque
  17. Avec toutes ses recrues low cost à venir
  18. Une touche ouzbade a la rigueur dirait Michael :honte:
  19. ce n'est pas de sa faute si les mercatos d'été et d'hiver tombent pendant les vacances des gosses aussi
  20. Il est trop tot pour affirmer quoique ce soit sur une erreur de Todibo à etre passé au Barca. Vu la position du tef actuellement il doit etre certain dans sa tête d avoir fait le bon choix. Franchement à sa place j en douterais pas, par contre maintenant il faut qu il se stabilise pour exploser.
  21. Ils ont osé demandé à blanc combien il prenait par mois..
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