Aller au contenu

Toulousain31

Membres
  • Compteur de contenus

    3363
  • Inscription

  • Dernière visite

Tout ce qui a été posté par Toulousain31

  1. Déjà il nous bloque les ailes avec 2 mecs en permanence du coup on attaque jamais plein axe pas un tir convenable pour les mettre en défaut. Je trouve le niveau physique de l'équipe pas bon du tout
  2. Exactement c est ce que tu ressents quand tu vois le match
  3. Cette mi temps pour moi c est montanier qui l'a chie. On est bouffe tactiquement et Diarra vraiment n'a pas le niveau pour ce genre de match malheureusement
  4. Paris est présent dans la concentration tactique et dans l engagement. Ils sont hyper solidaires. Nous on est trop stressé par l enjeu et le public faut se débloquer mentalement
  5. vue de l'intérieur la compo avec bien Diakité et Diarra et flemmings sur le banc
  6. Tout le public est chaud bouillant pour ce match. Après j'ai vraiment peur qu'on fasse une soTFC. Je serai rassuré que si on plante plusieurs buts. J'ai souvenir contre Auxerre qu'a 2-0 et a 11 contre 10 on s'est fait caca-culotte toute la 2 ème mi temps. Bref j'espère que les joueurs ne vont pas jouer le match trop vite dans les têtes pendant la prépa d'avant match. C'est le jour de montrer à des milliers de téléspectateurs que Toulouse maintenant c'est du sérieux (public en folie et jeu agréable)
  7. Pour moi au milieu leur type qui était en pleine bourre c'est guilavogui et je vois qu'il est blessé. C'est le moment d'enfoncer le clou une bonne fois pour toute
  8. Pour ceux qui veulent l'article sur Revault avec les 2 présidents. HOMMAGE. "Sans Christophe Revault, le TFC n'aurait pas la même histoire." Olivier Sadran et Damien Comolli racontent leur souvenir de l'ancien gardien Propriétaire du Toulouse Football-Club entre 2001 et 2020, Olivier Sadran (à d.) s’est prêté au jeu de l’interview croisée avec son successeur Damien Comolli (à g.) au sujet de Christophe Revault, capitaine des Pitchouns passés en deux ans du 3e niveau à l’élite.Propriétaire du Toulouse Football-Club entre 2001 et 2020, Olivier Sadran (à d.) s’est prêté au jeu de l’interview croisée avec son successeur Damien Comolli (à g.) au sujet de Christophe Revault, capitaine des Pitchouns passés en deux ans du 3e niveau à l’élite. Toulouse Football Club, Toulouse, Haute-Garonne Publié le 27/03/2022 à 22:37 , mis à jour le 28/03/2022 à 05:31 De l’intensité et de l’émotion. À l’occasion du choc de L2, samedi 2 avril, le virage Ouest va officiellement s’appeler "Christophe-Revault". L’ancien président du club, Olivier Sadran, et l’actuel, Damien Comolli, nous parlent du joueur et de l’homme à travers un long entretien. Passionnant, passionné, passionnel : "Totof mérite tellement cet hommage." Olivier, pouvez-vous nous raconter votre première rencontre avec Christophe Revault ? Olivier Sadran : C’était le 30 ou 29 juillet 2001. Lors d’une réunion avec l’équipe à Castelmaurou, laquelle fut assez bizarre et agressive de la part des joueurs qui ne comprenaient pas trop ce qu’était le dépôt de bilan, un repreneur [Sadran rachète le club, victime d’une double rétrogradation, sportive et administrative, de L1 en National]. J’ai le souvenir d’un Christophe très à l’écoute, suspicieux mais attentif. Et pour l’anecdote dans l’anecdote, quelques heures après la fin de la réunion, ces joueurs dits professionnels ont littéralement pillé le Centre, emportant ballons, chasubles, cônes, tout ce qui pouvait être utile, quoi. Ne sont restés que Stéphane (Lièvre), William (Prunier) et Christophe, donc. Voilà le début de l’aventure. Et c’est Christophe qui, en premier, vous a assuré qu’il restait. OS : Oui. C’est lui qui a fait le pas en premier. Il souhaitait continuer ici. Parce qu’il était traumatisé par ce qu’il venait de se passer. Il était également en colère sur un certain nombre de comportements. Mais il était bien dans la ville. Il se sentait investi d’une mission. Je ne crois pas qu’il avait l’envie de tout reconstruire. L’épopée qui s’annonçait lui plaisait bien, finalement. Il était motivé par le challenge, c’est ça ! Le soir de sa disparition, vous nous aviez déclaré que "sans lui rien n’aurait été possible". C’est-à-dire que Toulouse ne serait pas remonté et aurait peut-être même disparu… OS : On ne peut jamais prédire l’avenir… Cependant, ce qui est clair, c’est que c’est quelqu’un qui a eu immédiatement beaucoup de forces pour les jeunes. On est repartis avec les joueurs de la formation et Christophe était plus abordable pour eux que William ou Stéphane, lesquels avaient une posture naturelle, je dirais, moins facile. Christophe était plus avenant, davantage dans la compréhension. Ensuite, sur le terrain, il a réalisé quelques années avec des prouesses absolument démentielles sur sa ligne. Je n’avais pas les stats à l’époque… or il a sorti un nombre de penalties sur les saisons de National et de Ligue 2 ! Il avait beaucoup de présence et de conviction. De la rage aussi par rapport au dépôt : il avait mal vécu les derniers mois précédent l’inévitable, j’insiste. Damien, vous, vous l’aviez déjà rencontré ? Damien Comolli : Non. Je connaissais le joueur et son parcours, bien sûr. Après, jusqu’à sa disparition, je ne m’étais pas rendu compte à quel point il avait impacté le club, marqué son histoire de par son aura, l’influence sur le groupe. Un bon pro et une belle personne : Damien, est-ce qu’il vous fait penser à Maxime Dupé, par exemple, qui occupe le même poste ? DC : Ça m’est difficile de les comparer puisque je vous l’ai dit, je n’avais pas croisé Christophe. Maintenant, lorsqu’on va chercher Max’, on sait ses qualités humaines ; et son leadership s’est clairement développé depuis son arrivée. Il est passé en trois-quatre mois, si j’ose, de passager à pilote de l’avion. Il a énormément de prise sur ses partenaires. Dans cette mentalité-là, oui, je pense qu’il rejoint l’œuvre de Christophe. Barthez, Revault, Dupé : on se rend compte que les grands gardiens de but au Téfécé sont tous chauves… DC : Fabien, quand il était au Tef, n’était pas encore dégarni. Lorsqu’il arrive à Marseille, ses cheveux sont même coiffés en arrière… Il n’y a pas d’études data là-dessus, on ne va pas jusque-là (sourire). La génération Pitchouns : grand frère, père ou papi, Christophe cochait toutes les cases. OS : Il était à classer dans la catégorie de ceux qui ont une très grosse sensibilité, à l’émotion excessive. Naturel, bon fond, il était sans filtre. Et à la fois il était une personne anxieuse, très, qui prenait tout à bras-le-corps. Chaque match, chaque geste, chaque attitude envers chaque coéquipier comptait beaucoup pour lui. Naturellement, il a endossé le rôle de grand frère. Je déborde un peu du cadre mais William et Stéphane l’ont aussi pris, cette place, différemment : le premier parce qu’il incarnait quelque part la force, la peur générée chez l’autre ; il impressionnait l’adversaire. Le second était un peu-beaucoup l’équilibre entre les deux. DC : Olivier pointe aussi les fragilités, les cicatrices de l’homme. Et ce qu’il y a justement de marquant, lorsqu’on observe de l’extérieur les grands leaders, c’est qu’ils paraissent à première vue indestructibles. En fait, ce sont leurs faiblesses qu’ils savent transformer en forces. C’est en montrant leur vulnérabilité qu’ils sont respectés. Écoutés. Tous les cadres que j’ai côtoyés dans ma carrière ne sont pas des rocs. Ils ont des histoires, un passé, une nervosité, des traumatismes. Et ils parviennent à dépasser tout cela en s’ouvrant aux autres. En se rendant attachants car humains. OS : Les gens ne comprennent pas, parfois, pourquoi un champion vit un moment émotionnel intense après un succès;il éprouve une nécessité – monstrueuse – d’évacuer, de se vider. La vie de tout grand sportif ne se résume pas à sa rémunération ou sa notoriété ; aussi à plein d’éléments de son quotidien lourds à porter. À commencer par la charge d’entraînement et ce qu’elle induit en souffrance, psychologique notamment. Christophe vivait tout ça peut-être plus que personne. Il avait besoin d’encadrer, il avait également besoin qu’on l’aime. Olivier, comment qualifieriez-vous votre relation ? OS : De très sympa. On n’a jamais coupé les ponts, d’ailleurs ; on a toujours continué à avoir des échanges téléphoniques – même si on ne s’appelait pas tous les jours, forcément. On se tutoyait, entendu. Je suis arrivé au club, j’avais 31 ans… on avait quasiment le même âge, on a ainsi créé un vrai rapport, petit à petit, de confiance. Ce qui n’était pas aisé, car Christophe était quand même assez sceptique, souvent en retrait. Cela dépassait le cadre professionnel, on imagine ? OS : Oui et non. Parce que tu dois toujours garder une limite qui est celle qui empêcherait ton entraîneur de pouvoir travailler. Christophe mangeait chez moi, certes, mais Érick Mombaerts (l’entraîneur des Pitchouns) venait en même temps, vous voyez… C’était l’époque où on faisait des dîners à la maison ; il pouvait y avoir Christophe, Stéphane et William, Érick était toujours là aussi. Ces deux saisons-là sont des années de naïveté où on revenait de nulle part. Une époque idyllique, en résumé ! OS : On a eu également certains épisodes douloureux… Juste avant de remonter de National en Ligue 2, comme dans tout vestiaire il y avait eu une altercation ; j’étais intervenu, j’avais demandé à ce qu’un joueur ne puisse plus être aligné car je trouvais qu’il avait été vindicatif et violent dans cet incident. Et puis une délégation était revenue me voir au titre de laquelle Christophe : "On doit absolument monter, c’est la pression du terrain." Et moi, je l’avais accepté. Une autre anecdote ? OS : Absolument. Pour l’accession cette fois de L2 en L1, on a fait une fête incroyable qui devait finir à 7 heures du mat’ à Victor-Hugo et qui finalement aura terminé chez moi à 18 heures le lendemain soir. Et pour ça aussi, Christophe était un vrai leader, il ne savait plus s’arrêter ! C’était un autre football, ni à encenser ni à regretter. On était pros, mais ça sentait bon le football amateur, j’ai presque envie de dire le foot corpo… Les gamins bouffaient à pleines dents dedans, les trois "vieux" étaient bons, les pénos tu les sortais, les poteaux étaient pour l’adversaire ; c’était fluide. Le vrai foot que je ne revivrais jamais et que Christophe adorait. Tout le monde était là, réuni, quels que soient les religions, les origines, l’âge. L’an dernier, vous avez eu l’impression de perdre un membre de votre famille… OS : Quand tu perds quelqu’un qui a 80-85 ans, c’est le sens de la vie j’ai presque envie de dire. Là, quand c’est une personne de ton âge avec qui tu as construit quelque chose, et qu’en plus tu ne comprends pas bien pourquoi elle disparaît : le choc est rude. Ce n’est pas prévu, cette immédiateté du drame. J’ai vraiment été affecté, sur le coup j’étais littéralement effondré. Damien, très vite le club et vous prenaient la décision de lui "donner" un morceau du Stadium, une partie du Toulouse FC en somme… DC : En fait, dès que son décès a été annoncé, on a compris combien toute la communauté TéFéCé était touchée. C’est notre directeur marketing, Sébastien Duhamel, toulousain qui est abonné au Tef avant de naître et le serait toujours s’il n’était pas au club, qui m’a suggéré de rebaptiser une tribune au nom de Christophe. J’ai trouvé l’idée formidable qui a été actée en quelques minutes seulement : il y aura le virage Christophe-Revault qui fera face à la Tribune Brice-Taton. Ça me paraissait si évident… Olivier, quel fut le meilleur match de Totof ? OS : Franchement je n’en ai pas un en particulier en tête, je me souviens plus de l’attitude, quand c’était vraiment chaud… On est montés à coup de 1-0 ou 2-1 miraculeux pendant deux ans, je rappelle. Notre cage était assiégée dans les dernières minutes et pourtant on gagnait. Même pas peur ! Dans ces moments-là – il mime –, "Tof", genoux fléchis et mains aux aguets, faisait des arrêts-réflexes impensables. Et après, il hurlait tout seul, ça durait 10 secondes, tu voyais que le mec vivait le truc à fond. Il dégageait une force incroyable… Et enfin du Sadran qui revient sur la vente du club TFC : "Les cinq dernières années, je n'ai pas fait du bon travail" confesse l'ancien président Olivier Sadran Toulouse Football Club, Toulouse, Haute-Garonne Publié le 27/03/2022 à 23:03 En marge d'une longue interview consacrée à Christophe Revault, dont le virage Ouest du Stadium portera le nom à partir du samedi 2 avril prochain à l'occasion de la réception par le leader Toulouse de son dauphin Paris FC, l'ex-patron du club toulousain a battu sa coulpe. Séduit, par ailleurs, par le nouveau Téfécé. À la question "Regrettez-vous avoir cédé votre bébé à RedBird Capital Partners au cours de l'été 2020 ?", la réponse du chef d'entreprise – qui détient toujours 15% des parts du TFC – est cinglante. Quand bien même l'ancien homme fort des Violets avait déjà nourri des regrets à l'époque de la vente, cependant à demi-mot. "Non, absolument pas. Car je considère que je n’ai pas fait du bon travail dans les quatre ou cinq dernières années. Que ma conviction profonde et ma force n’étaient pas tournées vers le Tef, au contraire ailleurs. Donc, quand on fait les choses mal, il ne faut pas les poursuivre. Un point c'est tout. Je n’oublie pas pour autant tout le bonheur des dix-neuf ans de présidence... Et toutes les émotions qui en auront fait partie – j'ai la larme facile, vous le savez... Mais franchement, poursuit Olivier Sadran, les cinq dernières saisons, ce n’était ni fait ni à faire ; c’est de ma responsabilité. À un moment donné, on doit savoir prendre les décisions quand elles s’imposent. Lorsque la vie t’amène à faire autre chose et à faire ''ça'' moins bien. Voilà. Ma seule crainte aurait été de me tromper d’actionnaire ; et que ledit actionnaire, majoritaire, se trompe de manager. À l’heure où on se parle, ce n’est pas le cas ; et j’en suis ravi." Du Sadran dans le texte, droit au but, qui conclut : "Du travail, président, tu en as tout le temps et ''faire" un club ce n'est vraiment pas aisé..."
  9. A noter qu'ils ont parlé de Toulouse 1min 30 sur les 34 mins d émission du podcast et c'est vers la fin. Bribois ce tocard dit au début que comolli joue a football manager pour la data ce qui a été démenti par l expert qui pour le coup dit que nous faisons un bon travail en résumé. Ça pose surtout la question de ces journalistes qui ne connaissent même pas le premier de ligue 2 qui bat tous les records de buts, de stats... Bref a part le PSG le reste c'est le désert journalistique
  10. https://www.ladepeche.fr/2022/03/24/tfc-spierings-ratera-bien-le-sommet-face-au-paris-fc-10191910.php Ça a été rectifié
  11. TFC : vers une affluence record pour la réception du Paris Fc Toulouse Football Club, Toulouse, Haute-Garonne Publié le 22/03/2022 à 19:40 À 10 jours du choc entre le leader et son dauphin, le 2 avril, l’engouement est déjà grand. Le Stadium pourrait largement battre son record d’affluence de la saison. Depuis quelques jours, ils ne parlent que de ça. Dans les rues de Toulouse, dans les cafés, sur les réseaux sociaux, les supporters du TFC sont obnubilés par une date qui brûle les lèvres : le samedi 2 avril. L’occasion sera belle. En battant le Paris FC, les Violets assommeraient leur actuel dauphin, le renvoyant presque définitivement dans les cordes, à 10 points. Ce 2 avril pourrait alors avoir un avant-goût de sacre et personne ne s’y trompe, l’engouement autour du match atteignant des niveaux jamais vus cette saison. Plus de 1 000 places vendues par jour Le TFC de Damien Comolli est peut-être en train de gagner son pari : redonner la fièvre à son public. Si l’enceinte de l’île du Ramier a déjà connu de belles affluences cette saison, le nombre de spectateurs face au PFC pourrait effacer des tablettes le record d’affluence enregistré pour la réception de Sochaux, à laquelle 15 069 spectateurs avaient assisté le 21 novembre dernier. Bénéficiant du contexte sportif, mais aussi d’une campagne de communication massive, avec des affiches distribuées dans plus de 1 600 commerces de proximité par le Tolosa Students Club (8 écoles de Toulouse partenaires du TFC), la ferveur est un mot à quatre chiffres : plus de 1 000 places sont vendues quotidiennement ces derniers jours. En tribune Est, la tribune Brice-Taton des Indians Tolosa, toujours la plus remplie, il ne reste que 1 500 places disponibles, alors qu’elle sera en pleine capacité pour la première fois de la saison – le club a annoncé le retrait des bâches pour la fin du championnat. Les bâches resteront en revanche dans la tribune Ouest, qui sera officiellement rebaptisée « tribune Revault » ce 2 avril et sera en partie animée par 1 000 à 1 500 enfants de clubs de la région invités par le TFC.Quant à la tribune Nord, elle sera ouverte pour la première fois de la saison. Le club toulousain, qui a annoncé hier la mise en vente d’un pack « money-time » à 25 euros pour les trois derniers matchs de la saison à domicile (Quevilly-Rouen, Niort et Nîmes) reste pour l’instant prudent quant à l’estimation de l’affluence pour la réception de Paris, la tendance voulant que 80 % des ventes s’effectuent sur les derniers jours avant les matchs, avec un pic à la veille de celui-ci. Mais la tendance dit aussi autre chose. À date identique, le taux de remplissage est déjà plus de quatre fois plus important que pour le match face à Sochaux. Le record d'affluence du Stadium cette saison bientôt battu?
  12. Dupé déjà le jeu au pied est catastrophique les relances qu'il fait finissent toujours en touches ou trop loin des joueurs visés. Il est assez bon sur sa ligne mais trop de lenteur dans la détente je trouve. Il ferait une très bonne doublure en ligue 1 mais est ce qu'il acceptera déjà ce rôle ?
  13. Déjà le top 1 le mec de Guingamp dont je ne pourrais pas écrire le nom sans faire de fautes 😁 Je rajoute un but d Ajaccio lors de la première journée
  14. Ca va se taper entre Paris Ajaccio et Auxerre. Suis sur que si on tape Paris Ajaccio va passer devant. Quand tu vois les stats ils ont surtout pas de réussite d'en mettre plus non plus.
  15. Ils me font penser à Toulouse de l'an passé. On s'était effondré a ce stade et Clermont nous était remonté devant. Il me semble que c'est ce senario de mémoire
  16. Et Pau qui ouvre le score a paris bonne opération pourvu que ça dure
  17. A lui de chercher le titre de pichichi, de capocannoniere ça sera l'objectif de fin de saison pour l'équipe une fois la montée acquise
×
×
  • Créer...

Information importante

Nous avons placé des cookies sur votre appareil pour aider à améliorer ce site. Vous pouvez choisir d’ajuster vos paramètres de cookie, sinon nous supposerons que vous êtes d’accord pour continuer.