Aller au contenu

RobespierreDorsini

Membres
  • Compteur de contenus

    9027
  • Inscription

  • Dernière visite

Tout ce qui a été posté par RobespierreDorsini

  1. Oui, très bonne première mi-temps. Puis la catastrophe : rouge non-donné x2, corner non-donné juste avant leur second but, fautes ahurissantes oubliées (comme celle sur Birmancevic en fin de match, comment tu peux siffler contre lui ?), plus le temps additionnel qu'elle clotûre à la 90+5 pile alors que Marseille a additionné les fautes et les pertes de temps. J'imagine que le problème avec les équipes contre Marseille, c'est que t'as peur de faire une connerie contre eux tellement après tu te fais POU-RRIR. Alors qu'une erreur contre Toulouse, bon, t'as pas 1/3 des id**ts de France contre toi...
  2. Quel match. Il est capable de contrôles ahurissants de précision.
  3. Les mêmes travers aujourd'hui qu'en début de saison (Nice, Lorient, Nantes, etc... ) : un match bien préparé mais plombé par une incapacité à faire du coaching en masse avant la 70ème. Tout ça nous coûte énormément de buts en début de deuxième mi-temps. Face à ça, Tudor fait rentrer Malinovski qui est à la passe sur le premier but marseillais. Dommage.
  4. Sa première mi-temps est sa meilleure mi-temps ici. Dommage qu'il ai tant pioché physiquement sur la seconde.
  5. Très très gros match. L'un de ses meilleurs cette année. Son centre pour Rouault mériter de devenir une passé dé, ne serait-ce que pour toute ses remontées de balle en première mi-temps.
  6. Savanier a pris un rouge de compensation suite à un rouge très généreux pour Montpellier. Difficile de comparer. Le plus choquant côté arbitrage, c'est le corner qui est transformé en 6 mètre juste avant le corner Marseillais. C'est un erreur flagrante. Mais globalement, on a perdu des points comme on perdait des poits en début d'année (Nice, Lorient ou Nantes) : coaching précoce de l'adversaire, coup de mou dès la 50ème/60ème et coaching tardif chez nous. C'est pas un hasard d'en prendre 3 entre le premier changement (Malinovski à la 45ème), puis de remettre le pied sur le ballon après la grosse série de changement. Aboukhlal, Desler et VdB ont pioché physiquement dès le début de la deuxième. Normal après tout ce qu'ils ont donné en première, plus le retour de blessure de VdB. Dommage que Montanier galère tant à sortir ses cadres quand ils sont à la peine physiquement, autrement il avait bien préparé le match.
  7. Ça et le corner qui m'a semblé être pour nous juste avant le second but. Après, j'ai pas revu les images.
  8. Magnifique. Y'a plus de tactique, y'a plus de formation, y'a plus d’équilibre d'équipe, mais bordel y'a la place pour aller le chercher ce point.
  9. On joue comme en début de saison, enchaînant gros coup de mou physique tôt en seconde mi-temps et coaching trop tardif. Dommage. Après, on ne peut pas tout gagner. J'ai quand même les boules que notre équipe n’assomme pas tous les mastres qui remplissent le Stadium tous les ans contre l'OM.
  10. Y'a la place pour aller les chercher Par contre les deux équipes semblent cramées
  11. Ils ont aussi inversé Kamanzi (qui est dans le groupe) et Diarra (qui n'est pas dans le groupe). Masterclass.
  12. L'article du jour de L'Équipe dit qu'il se sentait esseulé avant l'arrivée d'Hamulic (certains l'avaient senti à travers les photos et vidéos du club). Bientôt le déclic pour lui ?
  13. Un article sur les 19 nationalités du tèf, mais leur player est de plus en plus compliqué à contourner. Y est notamment confirmé ce que certains présentaient par rapport à Birmancevic : son adaptation était difficile et l'arrivée d'Hamulic lui a fait du bien. Melting-pot dans la Ville rose HUGUES SIONIS Les Néerlandophones Thijs Dallinga (à g.), Branco van den Boomen (au centre) et Brecht Dejaegere. - Romain Perrocheau/ L’Équipe Le promu est le club de L1 qui possède le plus grand nombre de nationalités dans son effectif cette saison. Ce qui suppose une certaine organisation en termes de communication. Même si les départs hivernaux du Guinéen Issiaga Sylla (à Montpellier) et du Finlandais Naatan Skÿtta, prêté à Odense (D1 danoise), ont fait baisser les statistiques chères au président Damien Comolli, Toulouse reste de loin le club de Ligue 1 le plus international cette saison. Avec 19 nationalités issues des cinq continents dans l’effectif, le promu assume pleinement son recrutement, qui s’appuie sur la data. Mais ce large éventail de profils n’est pas sans répercussion. Il nécessite une organisation précise au quotidien pour que tout ce petit monde se comprenne bien. « Notre staff technique parle français, anglais et espagnol toute la journée. Le coach se traduit lui-même. Ça fait réviser », s’amuse Comolli, habitué à jongler avec les langues. C’est aussi le cas de l’entraîneur Philippe Montanier, qui a dirigé la Real Sociedad ou encore Nottingham Forest avant de se poser dans la Ville rose, et de son nouvel adjoint espagnol Carles Martinez Novell, également grand voyageur. Leurs expériences respectives participent à la réussite actuelle du Téfécé. Autant que la communication bien huilée mise en place autour des nouveaux joueurs venus de l’étranger. Leur intégration rapide est favorisée par deux salariés polyglottes exclusivement dédiés, le team manager Seji Rose et l’officière de liaison Léonie Caubet. Grâce à eux, le Néerlandais Saïd Hamulic, dernier arrivé au club, a par exemple vite trouvé un appartement en ville et déjà commencé à apprendre le français. « C’est obligatoire pour les recrues, confirme le capitaine Brecht Dejaegere, élément central de la cohésion du groupe par ses facilités linguistiques (anglais, espagnol, flamand et français) qui lui valent le surnom de “traducteur”. C’est une bonne chose, quand on joue dans un autre pays, d’avoir la volonté de s’adapter en parlant vite la langue. » La présence dans le vestiaire de plusieurs groupes de compatriotes ou de joueurs aux origines similaires contribue aussi à la bonne harmonie de l’équipe. Conscient de cette chance, l’entraîneur n’hésite pas à se reposer sur celles qu’il appelle affectueusement des « mafias ». La plus importante, « la hollandaise », compte cinq membres (Aboukhlal, Dallinga, Hamulic, Spierings et Van den Boomen), auxquels s’ajoutent le Belge Brech Dejaegere et le Franco-Australien Denis Genreau, marié à une Néerlandaise et qui comprend aussi le flamand. « C’est une vraie aide. Le coach nous donne des consignes et on en parle entre nous en match », confie Dejaegere, citant l’exemple du coup franc marqué par Branco van den Boomen face au PSG (1-2, le 4 février), après une rapide discussion avec son partenaire. Aboukhlal et Chaïbi complices en « franglais » Les cinq Scandinaves (Desler, Haug, Kamanzi, Nicolaisen et Zanden) et les deux Sud-Américains (Ratao et Suazo) se sont aussi naturellement rapprochés mais aucun circuit de communication n’est figé. Un peu isolé au départ dans cette galaxie cosmopolite, le Serbe Veljko Birmancevic a été heureux d’accueillir cet hiver Saïd Hamulic, Bosnien d’origine, et se montre plus ouvert depuis qu’il peut mieux s’exprimer. L’international marocain Zakaria Aboukhlal et Farès Chaïbi, déjà appelé avec les Espoirs algériens, ont aussi noué une belle complicité malgré la barrière de la langue. Le deuxième ne parlant pas arabe, c’est dans un mélange de « franglais » qu’ils échangent le plus souvent. « En Belgique, on dit “parler avec des cheveux”, c’est trop drôle », se marre leur capitaine. Dans ce melting-pot, les Français ne sont pas en reste. À l’image des jeunes Kévin Keben et Christian Mawissa, qui n’hésitent pas à demander conseil aux nombreux anglophones pour certains mots, ou d’Anthony Rouault qui prend des cours d’anglais, les joueurs – formés au club pour la plupart – ont compris les efforts à effectuer pour fluidifier la communication, même si celle-ci l’est déjà, selon Comolli. Ce qui n’empêche pas « une petite jalousie » ressentie à l’égard des étrangers, d’après un proche de joueur francophone. Rien d’handicapant au vu des bons résultats. Montanier préfère d’ailleurs souligner la « très bonne ambiance », assurant qu’aujourd’hui, «le foot est international ». Mikkel Desler (à gauche) et Rasmus Nicolaisen (à droite), ici à la poursuite d’Adrien Thomasson, sont les deux Danois du Téfécé. - Alexandre Dimou/FEP/Icon Sport Le Serbe Veljko Birmancevic, ici face au Monégasque Caio Henrique, était un peu isolé avant l’arrivée du Bosnien d’origine Saïd Hamulic. - Nicolas Luttiau/ L’Équipe
  14. Hmmm je peux comprendre qu'il préfère recruter pour Pep Guardiola que pour Pep Montanier. Sans parler des jolies lignes que ça va ajouter sur son CV. Merci à lui de nous avoir rejoint et bonne continuation !
  15. Mon pauvre J'ai dû les croiser cela dit, j'ai été abonné deux ans au stade Bowser 🐢
  16. Genre t'en connais
  17. J'ai kiffé m'y entraîner du temps où j'étais le plus mauvais joueur de l'équipe de foot de la Sorbonne. Autrement, c'est vrai que les tribunes sont flinguées. J'en ai parlé juste pour poster cette magnifique pelouse 😅. Les bobobanlieusards du 93 comme moi, ça va à Baueur.
  18. Pas de ma faute si je ne vais au Parc qu'en parcage ou sur que sur invit'. C'est combien déjà une baguette de pain ? Sinon, y'a Charletty. Mais faut aimer le football champêtre : https://www.leparisien.fr/sports/football/national-le-derby-paris-13-atletico-red-star-reporte-a-cause-de-la-pelouse-deplorable-de-charlety-15-02-2023-6KGMCCSGDBEPHJRQNK6RKKHC7A.php
  19. L'OM de Tapie a tout autant construit ses résultats sur la thune que le PSG. Chris Waddle est venu pour une fortune à l'époque. Ça vaut aussi pour Lyon après, ou Sainté dans les années 70. Toutes les grosses dominations sont avant tout économiques. La seule différence, c'est que l'OM n'achetait pas que ses joueurs. Il achetait aussi les adversaires
  20. J'ai appelé mais ça me demande mon numéro de CB. C'est toi Djebel ? Je fais quoi ?
  21. 10euros en parcage, voir même gratuit sur invit. C'est ridiculement pas cher ici à Paris ! Les médias vous mentent !
  22. Moi qui fait souvent mes pronostiques à l'avance parce que j'ai tendance à oublier le jour J (un peu comme les anniversaires), ça me ne me dérange pas que mes 0 points hebdomadaires soient multipliés par trois
  23. Et l'axe du mal de la piquette, Buzet - Fronton - Minervois - Corbières.
  24. TFC 2 - OM 1 : Dallinga, Chaibi.
×
×
  • Créer...

Information importante

Nous avons placé des cookies sur votre appareil pour aider à améliorer ce site. Vous pouvez choisir d’ajuster vos paramètres de cookie, sinon nous supposerons que vous êtes d’accord pour continuer.