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Tout ce qui a été posté par RobespierreDorsini
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Ah nan, je suis tout à fait d'accord sur la présence des petits états dans les tournois qualificatifs internationaux. Sauf que Gibraltar n'est pas un état
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L'Andorre, l’Azerbaïdjan et les Îles Féroé sont des états. Pas Gibraltar.
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Topic Formule 1
RobespierreDorsini a répondu à un Peter Sellers de RobespierreDorsini dans Le Bistrot
Je ne vois pas le rapport. Même s'ils ne s'apprécient pas, et quelque soit le passif d'Ocon, faire ça quand t'es la tête de proue du circuit, c'est vraiment nul à chier. Et la FIA laisse faire. Tant pis pour elle, c'est son propre produit qu'elle dégrade avec cette domination agressive et arrogante. -
Topic Formule 1
RobespierreDorsini a répondu à un Peter Sellers de RobespierreDorsini dans Le Bistrot
Y'a aussi Ocon en Q1, plus Russel en course... Le pire étant que tous s'applatissent face à ses mauvais coups. On dirait le Tour de France sous Armstrong. C'est mauvais pour le spectacle. -
Oui enfin Gibraltar c'est pas le territoire le plus légitime non plus
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TFC/PSG Trophée des champions 2023
RobespierreDorsini a répondu à un Rissili de RobespierreDorsini dans Espace supporters
Exact, c'est le 2 février. C'est vrai que le Six Nations ne commence jamais si tôt. Il n'empêche que le Stade de France n'est de toute façon pas disponible le 3 janvier quoi qu'il arrive du fait du concert le 2. Puis Bordeaux pose les même problèmes que Lyon. Faire circuler 40.000 personnes les 3 et 4 janvier, ça n'a rien d'évident. -
La constellation du mellow ©
RobespierreDorsini a répondu à un è_é de RobespierreDorsini dans Le Bistrot
https://www.economist.com/finance-and-economics/2023/10/30/what-a-third-world-war-would-mean-for-investors Certaines personnes se posent des questions tout de même assez surprenantes -
TFC/PSG Trophée des champions 2023
RobespierreDorsini a répondu à un Rissili de RobespierreDorsini dans Espace supporters
Y'a un concert le 2 janvier au Stade de France. Le match France - Irlande, qui se tient le même jour, est délocalisé au Vélodrome. Le Stade de France ne doit pas être disponible le 3 janvier, du fait du démontage de la scène et du plancher qui protège la pelouse. Je suis plutôt d'accord sur l'option Parc OL évoquée ici, ça aurait eu du sens. Et en même temps, pas sûr qu'il y ait beaucoup d'hébergements disponibles dans les villes françaises un 3 janvier. Ni beaucoup de pouvoir d'achat chez les fans pour se déplacer juste après les fêtes. Ça élimine toute autre ville que Paris et Toulouse. Entre les deux villes, il y a tout de même 10.000 places d'écart en terme de capacité d'accueil. Le Parc des Princes fait 43.000 places, le Stadium 33.000 – sans compte les 2.000 à 3.000 places non vendues car trop près du parcage ou par manque de visibilité. On doit être à 30.000 pour le Stadium, contre 42.000 pour le Parc des Princes. C'est chiant que ce soit à Paris plutôt qu'à Toulouse, mais du point de vue de la Ligue, c'est sans doute le plus logique. -
C'est décousu, mais c'est plaisant à regarder
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Quelle horrible première mi-temps contre Castres. Le retour des internationaux est laborieux.
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Staff Le président Comolli
RobespierreDorsini a répondu à un Wingeeky de RobespierreDorsini dans Anciens du TFC
La plupart des clubs ont des "Head of football", ou "Directeur du football", et je n'ai jamais lu de procès en légitimité pour ce titre pourtant bien nébuleux. Responsable stratégie, c'est un poste de plus en plus courant, dans le football comme ailleurs. C'est aussi un poste qui peut être entouré d'un certains secret. J'ai bossé pour un grande groupe d'édition, numéro 1 en France et numéro 3 mondial. Il y avait un Directeur de la stratégie. Au sein du groupe, quasiment personne ne savait que ce poste existait, ni qui l'occupait. Les rares ayant entendu parler du poste ne connaissaient pas les missions qui lui incombaient. Il ne rendait de compte qu'au Comex de la boîte. C'est aussi un poste prestigieux : ce Directeur de la stratégie était énarque, et a occupé 2 ans durant le poste de PDG par intérim. Quand il a été nommé, le magazine Livre Hebdo a titré « XX, L’énigmatique nouveau DG du groupe XY ». Comme quoi, ce mystère autour du poste de Directeur de stratégie n'est pas spécifique au TFC. La différence, c'est que dans l'édition, c'est assez courant que des époux se partagent les fonctions dirigeantes d'une boîte : L'Iconoclaste et Les Arènes, encore récemment, avant le décès de Sophie de Sivry, ou Actes Sud, dont le fondateur Hubert Nyssen était dès le début assisté de sa femme Christine Le Bœuf. C'est aussi un milieu beaucoup moins sexiste... Peut-être. On peut aussi penser, tout simplement, qu'elle est en charge de la stratégie du club https://www.mondedesgrandesecoles.fr/fiche-metier-le-directeur-de-la-strategie/ -
Le constat : https://www.lequipe.fr/Football/Article/L-effarant-business-des-paris-illegaux/1431986 La cause : https://lesviolets.com/actu/comment-trouver-un-casino-en-ligne-fiable,69493.html Les conséquences : https://lesviolets.com/actu/paris-sportifs-quatre-jeunes-joueurs-du-tfc-sanctionnes,69612.html
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Staff Le président Comolli
RobespierreDorsini a répondu à un Wingeeky de RobespierreDorsini dans Anciens du TFC
Le Directeur sportif gère le recrutement. En l'absence de Directeur sportif, c'est le Président qui assume ce rôle. C'est comme ça depuis le jour 1 de la présence de Redbird ici. Chacun ses méthodes. -
Staff Le président Comolli
RobespierreDorsini a répondu à un Wingeeky de RobespierreDorsini dans Anciens du TFC
Son rôle est très clair pourtant. Il a déjà été clarifié plusieurs fois dans des médias spécialisés ? Qu'est-ce que les supporteurs toulousains ne comprennent pas ? -
Joueur Rasmus Nicolaisen 🇩🇰
RobespierreDorsini a répondu à un Akaion de RobespierreDorsini dans Joueurs et staff
Pour le moment, en sélection, les titulaires sont Joachim Andersen (l'un des meilleurs centraux de PL) et Kjaer (qui vieillit, mais qui reste un joueur important de l'AC Milan. Derrière eux, y'a Christensen (Barça) et Nelsonn (titulaire en C1 avec Galatasaray). Viennent ensuite potentiellement Mads Andersen (qui joue par intermittence en PL, à Luton Town), Vestegaard (qui a été acheté 18m par Leicester y'a pas 2 ans et qui y est toujours titulaire en Championship) et Rasmussen de Bronby (ancien espoir qui s'est un peu perdu). Tant qu'il ne sera pas en PL ou en C1, ça va être compliqué pour lui de passer devant ces noms qui me paraissent plus "médiatisés". Dallinga a eu besoin de deux blessés pour être appelé à son poste, et il y a moins de concurrence en 9 aux Pays-Bas qu'en 4 au Danemark Lui aussi, il a 2 titulaires en C1 devant lui (Benfica, Copenhague), 1 en C3 (Kristensen, Roma, ex-Leeds) et un joueur de Buli (Maehle, ARD de Wofsburg, qui a fait un gros Euro y'a 2 ans, mais qui joue plutôt à gauche en sélection). Au poste d'ARD, l'équipe de France paraît presque plus accessible que la sélection danoise -
Sujet écologie / environnement
RobespierreDorsini a répondu à un ma2t de RobespierreDorsini dans Le Bistrot
Si c'était moi qui écrivais l'article, j'irais plutôt pointer les contradictions des gens d'extrême-droite, qui sous couvert de discours patriotiques et protectionnistes, sont les premiers à acheter des produits en VPC auprès d'un distributeur américain mondialisé Bizarrement, il n'ont pas titré sur ça... Comme quoi la série Parlement a vraiment bien dépeint les coulisses de Bruxelles -
Staff Le président Comolli
RobespierreDorsini a répondu à un Wingeeky de RobespierreDorsini dans Anciens du TFC
À l'époque de Wenger, le manager de l'équipe gérait aussi cette partie-là. Le premier Directeur sportif d'Arsenal n'a été nommé qu'en 2022. Pour Zidane, il avait été nommé Directeur sportif de 2011 à 2012 avant d'être entraîneur. Et, sans être allé vérifier, je dirais que Fergusson avait lui aussi des prérogatives étendues. Tous les organigrammes ne sont pas les mêmes. Ce qui me paraît important là-dedans, c'est de comprendre comment notre club fonctionne. -
Staff Le président Comolli
RobespierreDorsini a répondu à un Wingeeky de RobespierreDorsini dans Anciens du TFC
Il y a d'ailleurs dans l'interview une citation très intéressante (expurgée par LesViolets), qui explique sa vision du rôle du coach. On peut y comprendre pourquoi il a viré Montanier. Pour Comolli, un coach ne doit pas vouloir prendre les prérogatives du Directeur du football. Et s'il le veut, il doit partir. La phrase se trouve en fin de ce paragraphe, mais j'ai tout mis pour la bonne compréhension de l'ensemble. « Après avoir débuté en tant que coach des jeunes à Monaco en 1992 sous Wenger, il a rejoint son compatriote à Arsenal 4 ans plus tard en temps que scout Europe. Il a ensuite passé une saison en tant que Directeur technique dans le football français avec Saint-Etienne, avant que Daniel Levy ne le nomme Directeur du football à Tottenham, après le départ de Franck Arnesen. Il y a passé 3 ans, jusqu'à ce que Harry Redknapp remplacé Juande Ramos. Les prémisses (NDM : de son départ) a été que le manager (NDM : le coach) s'est vu donné un plus grand contrôle. À ce moment-là comme maintenant, ce n'est pas un modèle avec lequel Comolli est d'accord. "Vraiment pas. Le manager est la pire personne du club pour prendre ce genre de décision (NDM : autour du recrutement)" selon lui. "Pour le bien de Tottenham, Daniel [Levy] n'a jamais écouté ce que Harry [Redknapp] disait. Autrement, il aurait détruit le club. Il ne voulait pas de Gareh Bale, il ne voulait pas de Luka Modric, il ne voulait pas de tout ces joueurs. Daniel est trop puissant. Ça a été la clé du succès des Spurs les saisons suivantes" Redknapp reconnaît ne pas vouloir de directeur du football dans son organisation, ce qui a conduit à la démission de Comolli après une discussion avec Levy. » Plus loin, aussi, une partie intéressante, où il explique qu'il aime avoir le contrôle sur l'idéologie générale, qu'il aime déléguer les tâches, et que chacun dans l'organigramme doit comprendre son rôle et ne pas le dépasser (et je pense que Montanier l'a dépassé, pour Comolli, en se plaignant du recrutement ou en voulant interférer avant. Mais là c'est mon jugement personnel à partir de ce que je lis) : « Il admet qu'il était "inutile" quand des personnes le micromanageaient de par le passé, et que cela conduisait à des clash. Cela signifie désormais qu'il essaye de ne pas interférer ou dicter. Il croit à "la responsabilité, la prise de pouvoir et la délégation" — mais à une condition simple. "Ils doivent être alignés avec la vision que j'ai. C'est une différence notable en comparaison de ce que j'ai rencontré auparavant. C'est simple". » -
Staff Le président Comolli
RobespierreDorsini a répondu à un Wingeeky de RobespierreDorsini dans Anciens du TFC
Autant poster l'article de base. Attention, il n'est pas en occitan ! Damien Comolli on Toulouse and his career in England: ‘I really feel now that I’m at peace’ Adam Leventhal 9–12 minutes It’s been a 31-year journey — taking in recruitment and director roles at Arsenal, Tottenham Hotspur and Liverpool — and Damien Comolli, now the president of Toulouse FC, cuts a content figure. “I really feel now that I’m at peace,” he says. Why? “Those years in different jobs and countries are now my toolbox that I peek inside and choose the right tool for the solution.” He’s never felt this way before. “I can control more or less everything that is happening day to day but, even in a crisis, there’s no panic. The key is having good people around me and listening to them. Speaking is easy, listening is more difficult.” Toulouse’s success reflects a well-run and rejuvenated club, rising from the foot of France’s second division just over three years ago to become a top-tier, French Cup-winning, Europa League outfit. “We got promoted (as 2021-22 Ligue 2 champions) and French football noticed; after the cup, European football noticed; after beating Liverpool, the world of football noticed,” says Comolli with a smile. The 51-year-old Frenchman spent two years at Anfield as director of football strategy. The deadline-day signings of strikers Luis Suarez and Andy Carroll in January 2011 were the most eye-catching deals of his tenure. Fast forward almost 13 years and the 3-2 group-stage win over his former side last Thursday, especially after October’s reverse fixture had ended in a 5-1 defeat, was equally surprising. Or was it? “Without sounding arrogant, we planned for it. We knew the game at Anfield was going to be hell, but we thought, ‘We can do something at home’, so we approached it differently. It was not unexpected.” Why such confidence? “We are extremely data-driven on all our football decisions. How we recruit coaches, players; the way we attack, defend; shoot, don’t shoot; cross, press; even optimise our wage bill. Data is part of our culture.” Along with Premier League clubs Brighton & Hove Albion and Brentford, Toulouse are the sport’s data disrupters. “Our competitive advantage is we decided to go with data and we stick with it. Even when things appear counter-intuitive to the so-called football wisdom.” Before facing Liverpool in this season’s Europa League, Comolli met his football strategy department to debate a two-game plan, which meant no worry after that defeat on Merseyside: “We never look at the results, we look at the underlying data. For a club like us to leave Anfield with an xG (expected goals) of 1.4 showed that, even in that game, we could create.” Only one visiting team have registered a better xG than 1.4 at Anfield in the Premier League this season — Brentford, another data-driven side, who achieved 1.68 in Sunday’s 3-0 loss. Carles Martinez Novell — previously in academy roles in Spain, Qatar and Kuwait before being promoted from an assistant this summer after the firing of last season’s cup-winning boss Philippe Montanier — set the tone immediately after Liverpool’s four-goal triumph. “In the changing room, our head coach said, ‘It might sound crazy, but I want you to be as crazy as me in two weeks’ time. With a different mental approach, we can win it’. That’s where it all started.” In-game, data-driven decisions helped the longer-term plan too. “I’m in a WhatsApp group with the analyst and at 4-1 down, I checked when (forward) Thijs Dallinga was coming off. They said he was heading into the ‘red’ (physically fatigued), so it would be two minutes,” he explains. “We want players to perform at their peak and avoid overload, so he came off on 80 minutes. If he’d stayed on, maybe he would get injured.” Dallinga scored to make it 2-0 in the return against Liverpool and a haul of three goals in his four Europa League games has seen the 23-year-old rewarded this month with a first senior call-up by the Netherlands. The comments of manager Jurgen Klopp after Liverpool’s 100 per cent record in Europe this season bit the dust highlighted the change in Toulouse’s mental approach: “They won all the decisive Batlles and challenges. They fought harder. It’s deserved, so congratulations.” Toulouse’s plan worked, and human emotion kicked in for Comolli. “Usually you feel relief, but this was pure enjoyment. The togetherness with the Violets (the club’s nickname) community was incredible.“ The buzz went further afield than the 33,000-capacity Stadium de Toulouse. “I got texts, messages and emails from all over the world — from South Africa, Ghana, Australia, the U.S., South America, everywhere. The repercussions that win had on the global stage for the city of Toulouse is tremendous.” Comolli’s football experiences have been a learning curve. Starting as a youth coach at Monaco in 1992 under Arsene Wenger, he joined his countryman at Arsenal four years later as a European scout. He then spent a season as technical director back in French football with Saint-Etienne (2004-05) before Daniel Levy appointed him director of football at Tottenham after the departure of Frank Arnesen. He spent three years there, until Harry Redknapp replaced Juande Ramos. The premise was that the manager would be given greater control. Then and now, it’s not a model Comolli agrees with. “Definitely not. The manager is the worst person in the club to make that type of decision,” he says. “For the good of Tottenham, Daniel never listened to what Harry was saying. Otherwise, he would have destroyed the club. He didn’t want Gareth Bale, didn’t want (Luka) Modric, he didn’t want all of these players. Daniel is too strong. That was the key to Spurs’ success going forward.” Redknapp admits he didn’t want a director of football in the organisation, and that led to Comolli’s dismissal after a conversation with Levy. He says he was keen to build his team around future Real Madrid great and Ballon d’Or winner Modric, who he regards as one of his favourite players, and always felt Welsh icon Bale, who followed the Croatian to the Bernabeu, was going to be a superstar. Redknapp says his record at Spurs speaks for itself. Levy, left, made Comolli Spurs’ director of football in 2005 (Jamie McDonald/Getty Images) Toulouse are controlled by U.S. investor RedBird Capital, which has an 85 per cent stake in the club. It also owns Italy’s AC Milan, and European football’s governing body UEFA ruled the two sides must not collaborate. (They could meet in the Europa League’s first knockout round in February, if Toulouse advance as group runners-up — they are second behind Liverpool with two games to go — and Milan finish third — their current position after four of the six matches — in their Champions League group.) Nevertheless, Comolli, who was speaking at Web Summit in Lisbon, where he contributed to a panel session on data analytics in football alongside former Tottenham and Chelsea manager Andre Villas-Boas, is at the top of the tree at his club and that is all that matters to him. “I’m now in a position where everyone is aligned with me at the club. I don’t need to be aligned with someone, if you see what I mean, because the buck stops with me at the end. If I, or we, decide something, then everything has got to fall into line at the club and that’s a big difference with everything that I’ve gone through before and that’s maybe why we are a success.” He admits he was “useless” when people micromanaged him in the past and that could lead to clashes. It means now he tries not to interfere or dictate. He believes in “responsibility, empowerment and delegation” — but on one condition. “They have to be aligned with the vision we have. That’s a massive difference-maker compared to everything I’ve encountered before. It’s simple.” It reminds him of his time on the red side of north London. “The only time I witnessed this type of alignment, it was with David Dein (former Arsenal vice-chairman) and Arsene Wenger and all the way through Arsenal, with all the success they had when I was there. It makes a massive difference and it cannot come from a head coach or manager, it has to come from the top.” Comolli is happy to reflect but prefers working out what is coming next. “I’m thinking about how to be better every day. I’m pushing everyone — including myself — at the club to find an edge and a competitive advantage.” Toulouse’s recruitment policy may be data-driven but Comolli believes the numbers will also lead you to the right characters. “We want good people and data helps us assess a lot of personality traits in players and their characters. If they do a lot of stuff off the ball, make runs to open space for another player, he’s a team player. If he constantly wants the ball, he’s got the personality when the going gets tough to say, ‘Just give me the ball’, so his team-mates can rely on him.” Likewise, he says: “The way we play offensively, if a player is selfish, it will destroy our model and our playing style.” Toulouse are openly discriminatory when it comes to players’ ages — they want them to be 25 or below (only five members of the squad are older). When the decision — underpinned by data — is made, softer skills come in. “We spend a lot of time with the player, as much as we’re data-driven we are culture-driven as a club. We want to make sure the player’s culture fits into our culture and vice versa. Data is key but the human side is also very important.” And data, says Comolli, still has blind spots when it comes to recruitment. “We constantly talk about how to measure the performance of a very good young player in a poor team in a non-big five league. That’s a $1billion question and we are trying to solve it.” (Top photo: Patricia De Melo Moreira/AFP via Getty Images) -
Sujet écologie / environnement
RobespierreDorsini a répondu à un ma2t de RobespierreDorsini dans Le Bistrot
Voilà une étude qui pique sur la question environnementale et sociale : https://www.lepoint.fr/societe/ce-que-la-livraison-de-repas-dit-de-nous-15-11-2023-2543225_23.php (Bon, dans la manière de formuler les choses, l'article est détestable, avec des corrélations assez malhonnêtes et une focalisation extrême sur les catégories qu'ils veuillent se payer, mais l'étude qu'ils ont commandé est intéressante – même si elle sent fort le biais idéologique) -
Opération maintien
RobespierreDorsini a répondu à un Tortelini de RobespierreDorsini dans Espace supporters
Oui, c'est plutôt un bon point. Les équipes françaises favorisent, avec succès, les Coupes d'Europe – à part peut-être Lille, qui joue sa phase de poule sur brûler ses réserves, ce qui lui apporte tout de même des résultats. Et en même temps, vu l'argent de CVC qui a été donné à Rennes, Lyon, Marseille, Monaco, Nice et Lille pour qu'ils jouent à fond l'Europe, c'est la moindre des choses. Leurs effectifs se sont considérablement garnis, en quantité comme en qualité. Nous le faisons nous aussi, comme Lens, sans avoir eu cette manne-ci, avec nos propres moyens. C'est encore plus méritant. Je crains quand même que cela soit une jolie parenthèse. Globalement, il y a une lente professionnalisation du football français, avec une vraie professionnalisation des structures de recrutement un peu partout. Plus aucune équipe ne joue avec un 9 aux pieds carrés. Le futur, lui, est incertains. La plus grosse part du budget des clubs, les droits TV, vont baisser, avec la déflation des droits TV annoncée et les 13% de CVC ponctionnées. Ça peut faire de grosses baisses de budgets à l'arrivée. Tous ceux qui ne cherchent pas à faire augmenter leurs autres sources de revenu, que ce soit par des contrats ou par un riche mécène, vont devoir se serrer la ceinture. Ça risque de recréer des écarts de niveau important entre les plus riches et les moins riches, surtout que la L1 ne donne pas aux promus, à l'inverse de la PL, de gros moyens pour exister aussi en championnat. -
Joueur Thijs Dallinga
RobespierreDorsini a répondu à un Akaion de RobespierreDorsini dans Anciens du TFC
Encore un point commun avec Ben Yedder, qui enchaînant les périodes à 1 but par match avec des périodes à pas de but pendant 15 matchs Évidemment qu'ils n'ont pas la même façon de dribbler. J'ai parlé de la manière de prendre l'espace, tout en timing plutôt qu'en vitesse. Deux joueurs peuvent se ressembler sur certains points, et pas du tout sur d'autres... Disons qu'il a un truc d'Inzaghi, de Ben Yedder et de Huntelaar. Et c'est en ça qu'il est unique 😁 -
Joueur Thijs Dallinga
RobespierreDorsini a répondu à un Akaion de RobespierreDorsini dans Anciens du TFC
Il sait très bien prendre de vitesse les défenseurs, mais c'est plus une conséquence de ses déplacements et de son timing que de sa vitesse de course. Comme Ben Yedder qui était capable de mettre 5m à son défenseur sur un appel intelligent. Je pense aussi qu'il a le potentiel pour partir à un prix conséquent, un peu comme son concurrent en sélection, Malen, qui a coûté 30m à Dortmund. Maintenant, dire que c'est sûr qu'il partira pour ce prix, c'est le prédiction. Et tout ce qui touche à la prédiction est le plus souvent illusoire. On verra à combien il part l'été prochain, et encore, à condition qu'il parte effectivement. -
Joueur Thijs Dallinga
RobespierreDorsini a répondu à un Akaion de RobespierreDorsini dans Anciens du TFC
C'est marrant cette comparaison avec Ben Yedder, parce qu'il m'y fait beaucoup penser. Pas très rapide, toujours bien placé, excellent pour prendre l'espace et jouer avec son corps. Si un club s'entiche de son profil, il part pour 30 millions, mais il n'est pas dit qu'il n'y ait pas de preneur, comme Ben Yedder, et qu'on le cède pour un prix décevant. -
Joueur Thijs Dallinga
RobespierreDorsini a répondu à un Akaion de RobespierreDorsini dans Anciens du TFC
Si on m'avait dit que le petit bouc reviendrait à la mode, je n'y aurais pas cru