Sergio

S'il ne signe qu'un an, c'est qu'il me manque encore un diplôme pour terminer mon cursus. Je vous préviens, ça va chier.

Ce qui est sûr, c'est que depuis la création du TFC en 1937, Casanova est le seul entraîneur qui a amené deux fois le TFC en demi-finale. Alors, trouvez autre chose si vous voulez être crédibles, bon sang !

Pour en finir une fois pour toutes avec les coupes : - Une finale gagnée en 1957 (entr. Jules bigot) - Une demi-finale perdue en 1965 ( entr. Firoud) - Une demi-finale perdue en 1985 (entr. Jeandupeux) - Une demi-finale perdue en 2009 (entr. Casanova) -Une demi-finale de la Coupe de la ligue perdue en 2010 (entr; Casanova) Sauf erreur de ma part, je n'ai pas passé une heure dessus, c'est tout pour l'histoire de foot toulousain en coupe depuis sa création. Si ce que je dis est avéré, on ne saurait trop conseiller à ceux qui critiquent Casanova pour des histoires de coupe, de trouver autre chose. C'est si difficile que ça de trouver des arguments convaincants ?

En tous cas, les François depuis quelque temps, ça y va.

Non, mais un vrai supporter ne s'assied pas, c'est bien connu. Les gens assis ne méritent que du mépris, même dans les transports en commun. A moins bien sûr de mettre les pieds sur les banquettes pour se la jouer rebelle. On perd des places pour améliorer un peu l'angle de vue, et l'espacement en tout sens entre les sièges.

En plus, il y a une partie du public qui aime être près de l'action. S'il y avait de vrais sièges en partie basse, ça ferait comme à EW où les sièges vacants se trouvent dans la partie excentrée, et non en tribune basse. Ce stadium tel qu'il est actuellement, avec vue sur bancs vides lors des retransmissions, ne fait pas une bonne pub au foot toulousain. Du temps des praticables en bois, beaucoup plus confortables que cette saloperie qu'on nous a fourguée en 1985, 10000 spectateurs en paraissaient 15000 d'aujourd'hui. On peut me rétorquer que c'est un détail, mais moi je trouve que c'est en additionnant les détails qu'on se confectionne une image durable. Bref, ce détail qui tue, ça me fait chier. Et que ceux qui prétendent se branler des détails osent se pointer en pantalons patte d'eph et socquettes blanches devant moi, que je rigole.

http://www.ladepeche.fr/article/2013/03/04/1574456-le-triomphe-romain-de-blel-kadri.html

C'est vrai qu'il y a plein d'équipes qui partent lentement. Et qu'en prenant exemple sur elles, ni le public, ni les joueurs ne surestimeraient le ou leur potentiel. Je ne suis pas opposé à ce que le coup soit tenté. Rien que pour voir, parole de rebelle.

Il faut s'attendre au pire, car Sébastien ne fait pas le poids comparé aux divines jambes d'Alessandra Sublet.

L'angle de vue pour les tribunes basses sera légèrement amélioré.

Cette préparation physique débouchant sur de bons résultats en début de saison, possède au moins un intérêt : celui de donner de la confiance. On pourrait c'est vrai tout aussi bien faire l'inverse, c'est à dire se retrouver avec 2 points au bout de 10 journées. Je ne suis pas sûr que les grincheux trouveraient cette solution avantageuse. Ils gueuleraient sans doute encore plus fort et demanderaient des têtes plus rapidement.

On ne pense pas suffisamment à eux, mais la déforestation est un drame pour les morpions. Paix à leur âme.

Ah je croyais que tu mettais Casa et Sadran dans le même bâteau. C'est bien toi qui a écrit ça ? : Il faudrait quand même que tu accordes ton violon de temps en temps, là tu te fous de notre gueule. Bon, qui tu mets à la place de Sadran ? Tu as quelqu'un en vue ? Un copain à toi ? Ou bien vous êtes plusieurs à avoir constitué un capital ? Quels sont vos objectifs ? Des abonnements gratuits ? Le maintien ? Le titre ? Des Coupes d'Europe ? Du spectacle et tant pis pour les points, au diable la pérennisation ? Des places pas chères pour remplir le stadium ? Entre parenthèses il sera facile de dépasser le taux de remplissage de Nice pendant deux ans grâce aux travaux. Il ne faudra pas voir trop large au niveau du spectacle. Ca m'intéresse vachement de savoir, allez dit nous tout, montre que tu t'intéresse vraiment.

Toulouse n'a jamais fait partie de la grande histoire du foot français. Il faut que tu te réveilles, car ce n'est pas d'aujourd'hui. Et ce n'est pas en sautant sur ta chaise comme un cabri que ça ira mieux. Ici, il faut avoir une âme de pionnier. Quand on ne l'a pas, c'est difficile, oui. On est toujours vivants, et si tu ne comprends pas que c'est au moins aussi valeureux qu'un titre de champion pour le PSG, on ne peut rien pour toi. Tu crois que des milliards vont débarquer du jour au lendemain pour qu'on soit champions ? Ou bien qu'une bonne fée va se pencher par enchantement sur notre berceau ? Qu'un génie méconnu fera des miracles ? Le foot régional a besoin de gens faisant preuve de persévérance, et non d'incantations, de mépris, et de gémissements. Quant à ceux qui penseraient qu'il vaut mieux être morts que vivants, qu'il aillent se faire voir.

Demande à Jean, plutôt. Et pour ceux qui critiquent toujours, je vous met Le meunier, son fils et l'âne en entier. Le Meunier, son Fils, et l'Ane L'invention des Arts étant un droit d'aînesse, Nous devons l'Apologue à l'ancienne Grèce. Mais ce champ ne se peut tellement moissonner Que les derniers venus n'y trouvent à glaner. La feinte est un pays plein de terres désertes. Tous les jours nos Auteurs y font des découvertes. Je t'en veux dire un trait assez bien inventé ; Autrefois à Racan Malherbe l'a conté. Ces deux rivaux d'Horace, héritiers de sa Lyre, Disciples d'Apollon, nos Maîtres, pour mieux dire, Se rencontrant un jour tout seuls et sans témoins (Comme ils se confiaient leurs pensers et leurs soins), Racan commence ainsi : Dites-moi, je vous prie, Vous qui devez savoir les choses de la vie, Qui par tous ses degrés avez déjà passé, Et que rien ne doit fuir en cet âge avancé, A quoi me résoudrai-je ? Il est temps que j'y pense. Vous connaissez mon bien, mon talent, ma naissance. Dois-je dans la Province établir mon séjour, Prendre emploi dans l'Armée, ou bien charge à la Cour ? Tout au monde est mêlé d'amertume et de charmes. La guerre a ses douceurs, l'Hymen a ses alarmes. Si je suivais mon goût, je saurais où buter ; Mais j'ai les miens, la cour, le peuple à contenter. Malherbe là-dessus : Contenter tout le monde ! Ecoutez ce récit avant que je réponde. J'ai lu dans quelque endroit qu'un Meunier et son fils, L'un vieillard, l'autre enfant, non pas des plus petits, Mais garçon de quinze ans, si j'ai bonne mémoire, Allaient vendre leur Ane, un certain jour de foire. Afin qu'il fût plus frais et de meilleur débit, On lui lia les pieds, on vous le suspendit ; Puis cet homme et son fils le portent comme un lustre. Pauvres gens, idiots, couple ignorant et rustre. Le premier qui les vit de rire s'éclata. Quelle farce, dit-il, vont jouer ces gens-là ? Le plus âne des trois n'est pas celui qu'on pense. Le Meunier à ces mots connaît son ignorance ; Il met sur pieds sa bête, et la fait détaler. L'Ane, qui goûtait fort l'autre façon d'aller, Se plaint en son patois. Le Meunier n'en a cure. Il fait monter son fils, il suit, et d'aventure Passent trois bons Marchands. Cet objet leur déplut. Le plus vieux au garçon s'écria tant qu'il put : Oh là ! oh ! descendez, que l'on ne vous le dise, Jeune homme, qui menez Laquais à barbe grise. C'était à vous de suivre, au vieillard de monter. - Messieurs, dit le Meunier, il vous faut contenter. L'enfant met pied à terre, et puis le vieillard monte, Quand trois filles passant, l'une dit : C'est grand'honte Qu'il faille voir ainsi clocher ce jeune fils, Tandis que ce nigaud, comme un Evêque assis, Fait le veau sur son Ane, et pense être bien sage. - Il n'est, dit le Meunier, plus de Veaux à mon âge : Passez votre chemin, la fille, et m'en croyez. Après maints quolibets coup sur coup renvoyés, L'homme crut avoir tort, et mit son fils en croupe. Au bout de trente pas, une troisième troupe Trouve encore à gloser. L'un dit : Ces gens sont fous, Le Baudet n'en peut plus ; il mourra sous leurs coups. Hé quoi ! charger ainsi cette pauvre bourrique ! N'ont-ils point de pitié de leur vieux domestique ? Sans doute qu'à la Foire ils vont vendre sa peau. - Parbleu, dit le Meunier, est bien fou du cerveau Qui prétend contenter tout le monde et son père. Essayons toutefois, si par quelque manière Nous en viendrons à bout. Ils descendent tous deux. L'Ane, se prélassant, marche seul devant eux. Un quidam les rencontre, et dit : Est-ce la mode Que Baudet aille à l'aise, et Meunier s'incommode ? Qui de l'âne ou du maître est fait pour se lasser ? Je conseille à ces gens de le faire enchâsser. Ils usent leurs souliers, et conservent leur Ane. Nicolas au rebours, car, quand il va voir Jeanne, Il monte sur sa bête ; et la chanson le dit. Beau trio de Baudets ! Le Meunier repartit : Je suis Ane, il est vrai, j'en conviens, je l'avoue ; Mais que dorénavant on me blâme, on me loue ; Qu'on dise quelque chose ou qu'on ne dise rien ; J'en veux faire à ma tête. Il le fit, et fit bien. Quant à vous, suivez Mars, ou l'Amour, ou le Prince ; Allez, venez, courez ; demeurez en Province ; Prenez femme, Abbaye, Emploi, Gouvernement : Les gens en parleront, n'en doutez nullement. Ne me remerciez pas.

http://www.01net.com/editorial/587519/identifier-les-plantes-en-les-photographiant-avec-son-smartphone/ En voilà une idée qu'elle est bonne.

Ca vous dit, des citations et des proverbes ? Non ? Et bien tant pis. Pour ceux qui n'en peuvent plus, et qui voudraient qu'on soit champion de France : Il n'est pas nécessaire d'espérer pour entreprendre, ni de réussir pour persévérer. Guillaume d'Orange. Pour ceux qui préfèrent qu'on soit en L2 qu'en L1, parce que ça sert à rien d'être en L1 : Más vale pájaro en mano que cien volando. Ou il vaut mieux tenir qu'espérer. Ou un tien vaut mieux que deux tu l'auras. Je sors.

Chaque année les grincheux nous donnent en exemple un club différent. On a eu droit à Auxerre, puis à Nancy, Le Mans même, mais nous, nous sommes toujours vivants. Cette année, c'est Nice et son stade rempli à ras bord. Bientôt on nous dira qu'il fallait faire comme le PSG.

C'est parce que c'est une ville de vieux, on te dit.

Et puis c'est vendredi. Les niçois ne sont pas encore rentrés de la plage.

Il parait qu'il a plu cet après midi, certains sièges sont encore humides. Ca doit venir de là. Même les nombreux inconditionnels de ce club à la pointe ont été découragés.

C'est moi ou le tout petit stade du Ray sonne bien vide. Pourtant l'OGCN pratique un jeu ambitieux, avec un président qui en veut, un entraîneur exceptionnel, un stade en pleine ville dans un quartier fréquentable, des tribunes près de la pelouse, une méteo clémente, et une agglomération de 950000 habitants. Et en plus, il ne pleut pas. Nous exigeons des explications.

Et K et B ses petites fesses.

On s'en fout, il paraît qu'il y a un tas de repreneurs du TFC en magasin pour nous transporter.

Ah enfin ! on aura mis du temps pour te faire cracher le morceau. Maintenant la discussion peut repartir sur de nouvelles bases.