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Tout ce qui a été posté par Nens
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C’est pas ce que dit le thread twitter 😛
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Il suffit de lire entre les lignes pour comprendre leurs notes malheureusement 😕 Ils ne jugent pas le recrutement mais uniquement le fait que les joueurs n’aient pas été prolongés, ce qui n’a pourtant aucun rapport vu que les joueurs en question vont bien jouer pour le Tef cette saison. On comprend très bien que leurs sources ne sont pas satisfaites de la gestion de leurs poulains, comme d’hab quoi. Agréablement surpris par les commentaires pour une fois par contre.
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Merci pour le thread ! C’est obligé qu’il y ait un filtre « non imprononçable » activé dans leur logiciel data 😁
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Championnat TFC 0 - Paris SG 3 / 5è journée de L1
Nens a répondu à un Modérateur de Nens dans Espace supporters
Paris n’a pas du tout arrêté de jouer, ils ne font plus ça depuis Galtier. C’est la sortie de Verratti qui leur a « fait mal ». -
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On savait que les notes de L’Equipe c’était à chier mais ce soir j’ai même pas de mots… je vous laisse juger : -
Cette interview après le match, quelle émotion ❤️ On t’aime Max !
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Bravo à tout le peuple violet ce soir ! Bravo à nos joueurs. Quel plaisir de supporter cette équipe ❤️ -
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Ah la nouvelle chaine Canal Foot a planté 😂 -
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Ce tacle de Diarra ❤️ -
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Même Ado fait une bonne entrée je trouve ! -
Monumental
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C’est vraiment son meilleur poste axial gauche dans une défense à 3. -
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Les ralentis n’ont aucun rapport avec la VAR. Le HJ est vérifié sur tous les buts. -
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Blessé par Mbappé sûrement… -
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A la télé aussi c’est top je te rassure ! -
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Fier de nos toulousains et de notre public ce soir ! On montre une magnifique image à la France du foot. Mention spéciale à Dupé et nos 3 axiaux, même si tous les joueurs sont au niveau. -
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Pareil, j’ai beau m’attendre à une lourde défaite je sens que ça va m’énerver de les voir se gargariser du grand PSG sur Canal 😅 -
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Oui heureusement qu’il y a Jallet. Je comprends vraiment pas pourquoi ils sont allés chercher Nasri. En dehors de ses anecdotes de joueurs il est vraiment mauvais. -
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Nens a répondu à un Modérateur de Nens dans Espace supporters
Sur le plateau de Canal ça parle Data et encore une fois ils ont rien compris. La palme du niveau zéro de l’analyse est attribuée à… Nasri ! « Moi j’ai pas besoin de statistiques pour savoir qu’un joueur est bon, il suffit de le voir. J’ai pas besoin de savoir qu’il court 13,5 km sur un ordinateur » 🤦♂️ Et la consultante (me souviens pas son nom) qui dit « mais la personnalité c’est important aussi », comme si on ne recrutait que sur les chiffres... Ils ont même pas fait l’effort de chercher à savoir le process de recrutement. -
Villes de foot, Roumanie exclusivité abonnés Bucarest, la ville de foot aux quatre clubs rivaux et aux ultras bouillants Les supporters du Dinamo Bucarest lors du derby contre le FCSB, la nouvelle version fantoche du Steaua Bucarest. (Christophe Berlet/L'Équipe) « Ville de la joie », la capitale roumaine brille par sa truculence et son désordre général. Le football, avec ses ultras, ses temples secrets et ses rivalités ancestrales, en est le parfait reflet. Théo Troude, à Bucarestmis à jour le 26 août 2022 à 10h09 ma liste commenter partager France Football retrouvez tous les articles issus de France Football J'ai refusé de partager un rail de cocaïne avec les ultras du Dinamo Bucarest, je n'aurais pas dû. La générosité roumaine n'a aucune limite, la rejeter, c'est pécher. Quand deux gaillards entièrement vêtus de noir m'ont enfermé à double tour avec eux dans les toilettes crasseuses du bar qui leur sert de QG, royaume impénétrable des faubourgs nord, j'ai cru à un drôle de coup. « Quoi, t'es un flic, en fait ? », me lance en anglais l'un d'eux, membre de l'un des groupes les plus craints de la ville. Je m'étais battu pour gagner la confiance de ces supporters discrets, tout au long de ce dimanche glacial mais ensoleillé de janvier. C'est jour de Marele derby, « derby éternel » face au FCSB, la nouvelle version du Steaua Bucarest (on y reviendra). Avant d'atterrir, j'avais trouvé un indic' sur Instagram. Adrian*, 16 ans, fils de l'ancien boss du collectif, avait accepté de m'ouvrir les portes de la famille ultra, réunie pour préparer ce grand soir à domicile. À 14 heures, je rencontre cet ado à la peau rougie. Son aplomb et sa taille nous permettent de nous infiltrer dans les entrailles de cet univers. Les festivités débutent par la découverte d'un endroit secret, caché au coeur de la pittoresque place Obor (« vieux marché » en roumain). Les parrains reclus dans un souk Rendez-vous à l'extrémité nord-est du « Petit Paris » - l'autre surnom donné à Bucarest pour son héritage architectural français, gâché depuis par des tags. Plantée de l'autre côté du périph, cette immense halle est entourée d'un souk. En ce jour de marché, l'odeur de barbecue se mêle à celle de poissons frais et de fromages affinés. La musique roumaine, dansante et mélancolique, donne envie de tout dévorer. Au sol comme dans les airs, d'énormes colonies de pigeons guettent les maladresses des clients. « C'est ici », indique Adrian en pointant du doigt une sorte de cabane aux murs de métal tagués en rouge. Au coeur du quartier des halles de Bucarest, Terasa Obor est le snack incontournable avant un match, et dissimule notamment derrière ses murs les « anciens » du Dinamo Bucarest. (Christophe Berlet/L'Équipe) Sur le toit de ce snack, baptisé Terasa Obor, la parabole indique capter la 6G, et le tout, aux apparences de roulotte abandonnée, arbore un message principal : « Veni, vidi, mici », du nom de la principale spécialité culinaire. Ces saucisses de boeuf grillées réchaufferaient le corps pour 4 lei seulement (80 centimes d'euro). Mais où sont les supporters? « Derrière la porte, à gauche du bar », répond Adrian. En ferraille rouillée, sous des bâches vertes, elle grince quand je la pousse. Dans cette arrière-boutique improvisée, invisible de l'extérieur car dissimulée sous d'énormes parasols Skol - la bière locale qui « refroidit l'homme » -, huit ultras, tout en noir, m'attendent. Un grand sourire aux lèvres, ils me saluent chaleureusement, l'un après l'autre. Ce sont les anciens : tous ont plus de 40 ans et le crâne dégarni. Ils me guident vers des tables, au fond de leur repaire. À y regarder de plus près, il s'agit d'un assemblage de caisses de bières, recouvert d'un morceau de plastique. Sur la droite d'une table improvisée, accompagnés d'une moutarde relevée, les mici sont la spécialité locale pour ne plus avoir faim de la journée. (Christophe Berlet/L'Équipe) Dessus, trois mici et une grande bouteille de Skol. Je suis réchauffé et refroidi, comme promis. C'est gras mais, surtout, ça fond en bouche. On en oublie le monde extérieur. On se lèche les doigts comme si le Covid n'existait pas. En plus, « c'est offert ». La sensation de convivialité est telle que Tudor, 45 ans dont vingt-cinq comme ultra, se laisse emporter par ses souvenirs. « Regarde, c'est la vidéo de notre bagarre à Paris contre les gars du Steaua, juste après le match contre la France à l'Euro 2016. Ils s'étaient carrément cachés dans un restaurant ! » C'est une spécialité, ici. Les matches de la sélection roumaine sont le contexte parfait pour les combats puisque, pour une fois, tous les ennemis se trouvent dans la même tribune. Un bar à la gloire d'une équipe anglaise Une heure de discussion plus tard, après nous avoir fait goûter (gracieusement) tous les fromages et toutes les viandes des halles, mon indic' m'emmène à la rencontre de la jeune garde, bien plus difficile à aborder. On passe devant le stade du soir, le légendaire Stefan cel Mare, tellement vétuste qu'il devrait être démoli en fin d'année. Le match est à 20 heures, il n'est que 16 heures, mais les CRS locaux quadrillent déjà le quartier. Quelques centaines de mètres plus loin, on remarque une compagnie en train de contrôler un groupe d'une cinquantaine d'ultras. « Ce sont eux », assure Adrian. Pour pouvoir les suivre au-delà des fouilles, on doit se glisser dans la masse. Ça marche. Les forces de l'ordre nous repoussent tous ensemble dans une ruelle étroite. Là, les choses se compliquent. On débouche sur une rue quasi déserte. Certains réparent leur voiture, capot ouvert, en buvant une boisson énergisante. On mange quoi ? 1. Mici ou Mititei : « choses petites » en roumain, ce sont des saucisses de boeuf, sans peau, grillées, souvent accompagnées de frites et de moutarde. Plat populaire et peu cher. 2. Ciorba de vacuta : cette "soupe au boeuf" contient des morceaux de viande de boeuf et beaucoup de légumes, haricots, oignons, pommes de terre, petits pois, carottes, poivrons, céleri... Il s'agit du plat paysan. 3. Tigaie picanta : cette "poêlée de poulet épicé" est préparée à base de poivrons, de champignons, d'épices diverses et de tomates. 4. Mamaliguta : une polenta roumaine concoctée à base de fromage frais typique, de semoule, d'ail et de curry. 5. Pastrama de berbecut : une "pastrami de mouton", accompagnée de thym, d'ail et de poivre noir. D'autres fument un joint. Aucune chance d'imaginer que le bâtiment juste devant eux est leur bar. Le groupe entre, nous compris, dans un nuage de fumée, odeur cigarette mouillée de bière. Toujours impossible de comprendre que cette grande pièce en bois sombre et aux vitres de plastique est leur QG : les murs sont placardés d'affiches à la gloire d'une grande équipe anglaise. Le serveur porte aussi le maillot, et il est de la même couleur que celui du Dinamo, rouge. Les ultras restent près de l'entrée, pour voir qui arrive. Je m'installe à l'opposé, pour me faire petit. Entre nous, un couloir mène aux toilettes. Au bout, ça rigole de plus en plus fort. Il est 17 heures, on s'alimente déjà - en Roumanie, on ne mange pas à horaires fixes, mais un plat bien lourd quand on a très faim, un vestige du rationnement communiste, un régime disparu en 1989. Je finis par me lever pour mener l'enquête. Devant deux portes, un jeune fait le guet. Il me pose des questions en roumain. Je finis par comprendre qu'il me demande mon sous-groupe d'appartenance. Dans la confusion, je donne le mauvais nom. Il rit, puis s'inquiète. Je gagne quelques secondes car l'une des portes s'ouvre. Une image saisissante. Un, deux, trois... six géants musclés sortent en file indienne de cet espace de 2m2, hilares. Le garde m'incite à prendre leur place, j'y vais. Sans que je ne m'en rende compte, deux autres ultras se précipitent dans mon dos. Barres de fer et humiliation Le bruit sourd du loquet décuple le niveau de tension. Je suis seul, je perds mon anglais. « Keep calm » sont les seuls mots qui me viennent. Leur regard est plus inquiet qu'agressif. Ils veulent une preuve que je ne suis pas un flic. Je sors mon téléphone et montre mon compte Instagram. Pour s'assurer que je ne mens pas, le plus gradé des deux saisit mon portable et « follow » son propre compte pour qu'il reçoive une notification. C'est bon, la température redescend et je suis autorisé à faire mes besoins. Ils ne partent pas. Je me retourne, et les entends s'activer sur le rebord de la fenêtre. Je termine, et vois mon interlocuteur sniffer de la cocaïne avec un billet vert, celui de 1 leu. Il me propose le dernier tiers du rail, c'est là que je refuse. Les doutes reviennent. Heureusement, nous avons sympathisé entre-temps. La porte s'ouvre et je respire, au milieu des chants qui redoublent d'intensité. On visite quoi ? 1. Le palais du Parlement : vestige de la folie des grandeurs du dictateur Nicolae Ceausescu, le deuxième plus grand bâtiment administratif au monde après le Pentagone est inévitable, étendu sur 350 000 m2 en centre-ville et divisé en 1 100 pièces. Dans un style néoclassique stalinien, c'est une piqûre de rappel historique. 2. La cathédrale du Salut de la nation roumaine : jouxtant le Parlement, ce chantier orthodoxe de 120 mètres de haut est en cours depuis 2011, suscitant la polémique pour ses coûts de construction faramineux (entre 80 et 120 millions d'euros). Ouvert en 2018, ce lieu impressionnant peut accueillir 5 000 fidèles. 3. L'Athénée roumain : une excellente raison de continuer à surnommer Bucarest "le Petit Paris". OEuvre de l'architecte français Albert Galleron, inaugurée en 1889, cette salle de concert néoclassique est située en plein coeur de la ville. 4. Le musée du village roumain : le lieu parfait pour comprendre la Roumanie, avec plus de 300 structures importées de toute la campagne du pays. Sur les rives du lac Herastrau, fermes, églises et moulins constituent un musée gigantesque de la ruralité. 5. Les parcs publics : ils sont nombreux, et permettent d'échapper aux avenues rectilignes. Perdez-vous dans le jardin Cismigiu, épatant de verdure et doté d'une grande patinoire. Puis embarquez sur une barque dans les 200 hectares du parc Herastrau, pour conclure une balade. Il valait mieux que cette aventure se déroule avant le derby : le Dinamo s'inclinera 3-0 face au FCSB, malgré un superbe tifo et des violences dans les tribunes, entre barres de fer, bombes agricoles et même un incendie. Le match ne sera pas arrêté. C'est une nouvelle humiliation après le 6-0 encaissé à l'aller, un pas de plus vers la relégation (le club joue désormais en D2), dans un derby qui n'est plus éternel et contre un club qui n'est donc même pas le vrai Steaua, « l'Étoile » vainqueur de la C1 en 1986. Pour résumer, il existe depuis 2017 deux formes de Steaua, qui symbolisent le bazar du foot roumain. Créé par le ministère de la Défense en 1947, symbole de l'armée, le Steaua a subi une règle édictée en 1997 par la LPF, la Ligue roumaine. Une entité politique n'a plus le droit de diriger un club pro. Le capital a donc été ouvert aux investisseurs privés, puis contrôlé à partir de 2003 par un personnage exubérant, Gigi Becali. Ce président, accusé de dégrader et d'user illégalement de l'image de l'institution, sera traîné devant les tribunaux par l'armée. La Cour suprême donne tort au millionnaire, contraint de céder le nom, l'emblème et les infrastructures. Il crée le FCSB, pour faire croire à « FC Steaua Bucarest » pendant que l'armée refonde son historique section foot dans les divisions inférieures. « On est prêts à mourir pour notre club » Vali, ultra du Rapid Bucarest et chauffeur de taxi. Cette scission, encore confuse parmi les habitants, contribue au regain de popularité d'un géant endormi. Le Rapid Bucarest, créé en 1923, tombé dans les abysses de la Quatrième Division, a été promu dans l'élite l'été dernier sous l'impulsion du président Daniel Niculae (ancien attaquant d'Auxerre, Monaco et Nancy). Il m'a suffi de visiter la ville en taxi pour réaliser à quel point le football dicte la socialisation des habitants. Un chauffeur pour le Steaua, un autre pour le Dinamo, un troisième pour le Rapid. « Quand j'étais adolescent, j'ai été obligé de choisir l'un des trois, synthétise ce dernier.Si tu ne le fais pas, tu n'appartiens à aucun groupe, donc tu n'as aucun ami, tu n'es personne. » C'est en me rendant à l'Arena Nationale, plus grand stade de Roumanie et théâtre de France-Suisse en huitièmes de finale du dernier Euro (3-3 a.p., 4 t.a.b à 5), que j'ai rencontré Vali. On ne parle pas la même langue, mais sa bonhomie facilite le dialogue gestuel. Une main sur le volant de sa Dacia Logan, l'autre sur son téléphone pour attribuer des places à ses amis pour le match du samedi soir: Rapid-UTA Arad (1-1). Ce n'est pas un ennemi attitré, mais les rumeurs indiquent que des ultras du Steaua rejoindront le parcage visiteurs. Ça ne manquera pas. En dépit de la distance - un kop derrière chaque but -, les ultras tromperont les CRS pour se battre à la pause. Je retrouve Vali et ses amis à ce moment-là, dans la cohue, tout sauf étonnés. « Ici, la famille passe après le foot. On est prêts à mourir pour notre club. » Les rares supporters du FC Voluntari encouragent leur équipe, avec une écharpe du Portugal autour du cou. (Christophe Berlet/L'Équipe) Encore une fois, la police n'a pas agi avec violence. Elle a seulement reconduit les fauteurs de trouble à leur place. Car les ultras ont du pouvoir et sont l'âme des clubs. Sans eux, le foot roumain se résumerait à ce que j'ai découvert avec circonspection au nord de la ville, à Voluntari. Dans cette banlieue cossue, où de majestueuses demeures bordent un lac, une équipe financée par le conseil local fait vibrer une trentaine de riches préretraités déguisés en commandants de bord ou en pirates. Créé en 2010, ce FC Voluntari (« FC Bénévoles ») a terminé quatrième de Liga 1. De quoi prétendre à l'Europe. C'est dire si le niveau du football roumain a chuté, miné par sa corruption. Septième à l'indice UEFA en 2007, la Roumanie est désormais 25e, coincée entre la Bulgarie et l'Azerbaïdjan. Une honte au pays du roi Gheorghe Hagi. Les supporters ne quitteront pas pour autant les bars, ni les tribunes. Leur passion rythme la vie agitée d'une cité qui ne dort jamais. « Peu importe que l'on soit en Première ou en Sixième Division, on criera ce que nous sommes », résument Alex et Johnnie, ultras du Steaua depuis l'adolescence. Juste avant mon départ, ils m'ont donné rendez-vous à Ghencea, à la fois siège, centre d'entraînement du club et berceau de l'histoire glorieuse du foot national. On y croise la légende Stefan Iovan, le capitaine de la campagne victorieuse de 1986, désormais coordinateur du centre de formation. Bucarest a sombré mais possède ce qu'il faut pour retrouver les sommets. Atlas et aspects pratiques Population : 1,83 million d'habitants. Température moyenne l'hiver : - 2 °C. Température moyenne l'été : 22 °C. Soleil : 5,8 heures par jour. Précipitations : 74 jours par an. Décalage horaire : +1 heure. Distance Paris-Bucarest : 1 872 km pour 3 heures de vol. Prix du billet d'avion : de 75 à 315 euros l'aller-retour. Une nuit d'hôtel : 71 euros en moyenne. Trajet aéroport- centre-ville : entre 8 et 12 euros en taxi, 80 centimes en bus. Ticket de transports en commun : 61 centimes (3 lei). Monnaie : leu, lei au pluriel (1 euro = 4,95 lei).
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Tu pourras me dire où tu as lu que j'ai dit que c'était plus important que le reste ? Tous ces sujets sont importants et corrélés , et en traiter un ne veut pas dire qu'il ne faut pas regarder les autres. Le "barbecue" n'est qu'un reflet de tout ça, et taper sur Rousseau pour ça c'est franchement gerbant, surtout quand toute l’extrême droite s'y met. Pour rappel, Schwarzenegger avait dit plus ou moins la même chose et bizarrement ça avait fait moins parler : https://www.tf1info.fr/culture/virilite-viande-barbecue-sandrine-rousseau-quand-arnold-schwarzenegger-tenait-le-meme-discours-que-la-deputee-2230769.html
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Le pire étant qu'en plus Rousseau a totalement raison. C'est un sujet que je trouve important, ça fait partie de cette culture du virilisme totalement lié à la société patriarcale. Étant moi-même végétarien, les seuls gros lourds qui me bassinent en permanence avec "hum mais c'est trop bon la viande" ou autres "il te fait pas envie ce steak saignant ?" ce sont des mecs. Jamais une seule femme ne m'a saoulé avec ça. Et c'est pas pour rien que le végétarisme et l'écologie sont constamment associés aux femmes. A côté de ça les lobbys automobile et de la viande poussent très volontairement cette image de l'homme bien vivant avec son entrecôte sur le barbeuc et le gros 4x4 garé derrière (oui je caricature volontairement).
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On peut critiquer beaucoup de choses sur sa production offensive, mais alors critiquer son apport défensif contre Nantes c'est de la pure mauvaise foi.
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Personnellement je n’ai jamais pensé de façon binaire. Je constate seulement que contrairement à ceux que certains disent, il y a en permanence des comportements sexistes sur le forum, très souvent de manière inconsciente, et qu’il est donc important de mettre l’accent là-dessus. Si ça va dans le bon sens tant mieux mais pour caricaturer, je me fous éperdument de distribuer les bons points en disant « c’est bien tu es moins misogyne qu’avant ! ». Et encore une fois, il ne faut pas se sentir agressé. Ces comportements sont factuels et chacun peut y mettre du sien pour que l’environnement soit plus accueillant pour la gent féminine.
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Je ne pense pas que ça soit une bonne idée de troller et provoquer quelqu’un qui est visiblement déjà mis à bout par la discussion. Comme le dit souvent @LutherBlissett (je crois) essayez de penser aux autres avant de poster ce genre de choses 🙏 Cf ma réponse a FF. Une tendance à un intérêt oui, mais n’excuse pas que ça perdure malgré tout.