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Flolynyk

Tortues ninaj
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Tout ce qui a été posté par Flolynyk

  1. Je pense que contrairement à ce que tu veux nous faire croire, tu disposes en effet d'infos d'insider, la preuve :
  2. Je sais pas si c'est raciste mais c'est un cliché pourri en tout cas Mais eux au moins font un rapport avec un truc suédois pour parler d'un suédois, et non d'un truc chinois pour parler d'un vietnamien
  3. Je ne souhaiterais pas ça à mon pire ennemi
  4. Le pauvre
  5. Ah zut on n'aura plus "blessé (officiellement)" pour expliquer son absence sur notre site d'informations préféré
  6. https://www.ladepeche.fr/2022/07/17/interview-le-capitaine-du-tfc-brecht-dejaegere-lannonce-en-ligue-1-on-naura-pas-toujours-le-ballon-10440868.php C'était facile
  7. Ah c'était ça le goût
  8. On joue le top 5 du coup je pense
  9. Pas cap
  10. Choqué
  11. Bah le sympa ou chiant ça peut aller avec les valeurs, puisque ça influe sur les sujets de discussions, et les types d'interactions en général que tu as avec la personne.
  12. Pour moi l'orientation politique n'est pas un critère de sympathie ou d'antipathie en soi. Mais finalement, je suis entouré quasiment uniquement de gens de gauche, et les rares personnes qui ne le sont pas dans mon entourage parlent très peu de politique, ce qui fait qu'on peut vite passer outre. J'imagine que l'explication se situe plus dans les valeurs défendues par les gens de gauche (je généralise mais il y a évidemment des sombres merdes à gauche hein), qui correspondent plus aux miennes. Ca ne veut pas dire que tous les gens de droite sont des connards non plus, certains ne savent juste pas qu'ils sont de gauche
  13. Tu n'as pas encore cette influence je pense
  14. Encore une fois, ton exemple est foireux puisque le riz cantonais n'a rien à voir avec le Vietnam
  15. Maison «squattée» en Essonne : le père de la famille qui occupait les lieux s’exprime pour la première fois EXCLUSIF. Saber B. revient pour la première fois, avec son avocate, sur son expulsion mouvementée d’une maison d’Ollainville (Essonne), le 9 juin. Ce père de cinq enfants a déposé plainte pour escroquerie et violences aggravées. De l’achat du bien à un intermédiaire véreux jusqu’à l’agression de la famille, récit d’un conflit devenu une affaire nationale. Saber B. (ici en novembre 2021) dit avoir emménagé à la rentrée 2021 dans cette maison d'Ollainville (Essonne) après avoir signé une fausse promesse de vente. DR 10 Le 11 juillet 2022 à 12h56, modifié le 12 juillet 2022 à 10h18 Il veut faire entendre sa vérité. Saber B., père de famille tunisien, ne s’était jamais exprimé publiquement. Il a choisi le Parisien pour s’expliquer sur l’affaire de la « maison squattée » d’Ollainville (Essonne), dont les ramifications complexes démontent chaque jour un peu plus la thèse du simple « squat ». Ce lundi, cela fait un mois que cet ouvrier de 41 ans, sa femme et ses cinq enfants âgés de 4 à 16 ans, sont logés d’hôtel en hôtel par la préfecture de l’Essonne, via le 115. Le 9 juin, un arrêté d’expulsion lui ordonne de quitter la maison qu’il occupait avec sa famille. Pourtant, Saber B. a toujours cru être dans son bon droit. « Mon client est rentré chez lui avec des clés, par la grande porte : ce n’est pas un squatteur et ça ne l’a jamais été », affirme son avocate, maître Samia Maktouf. En réalité, Saber B. s’est fait arnaquer par Issam A., désormais en fuite en Tunisie. Selon nos informations, le père de famille a déposé plainte pour escroquerie auprès des gendarmes de Palaiseau le 20 mai dernier. En août 2021, Saber B. dit signer « un contrat de gré à gré » La maison d’Ollainville appartenait par le passé à une retraitée. Lorsqu’elle décède, sa nièce en hérite. Elle lutte régulièrement pour faire expulser des squatteurs. Un arrêté préfectoral fait état de l’expulsion de deux d’entre eux en avril 2021. Pendant ce temps-là, Saber B. rencontre Issam A., une connaissance qui se présente comme le propriétaire de la maison. Il lui fait signer un faux compromis de vente le 29 août 2021. « Il a signé un contrat de gré à gré, comme cela peut se faire en Tunisie », poursuit Me Maktouf. « Au pays, ça se passe comme ça », justifie Saber B., qui maîtrise mal le français. Sur les 120 000 euros demandés par Issam A., Saber B. aurait ainsi fait un virement de 43 000 euros et lui aurait donné le reste en liquide, selon son avocate. « C’est ma grande erreur », reconnaît-il. Une transaction illégale en France où le plafond maximal autorisé de liquide pour une transaction immobilière s’élève à 3 000 euros. Cet argent, Saber B. dit l’avoir obtenu par la vente d’une parcelle en Tunisie et ses nombreux chantiers non déclarés. Sur les 120000 euros demandés par Issam A. pour cette maison, Saber B. aurait fait un virement de 43000 euros et donné le reste en liquide, selon son avocate DR Pour Saber B., l’offre d’Issam A. tombe à point nommé. Arrivé en France en 2017 via l’Italie par bateau, il a fait venir sa famille avec qui il vit en colocation avec une autre famille à Stains (Seine-Saint-Denis). Lorsqu’il visite la maison d’Ollainville, il tombe sur deux squatteurs. En échange de petits travaux de jardinage, Saber B. accepte qu’ils restent dormir le temps de son emménagement. Puis il s’y installe « en septembre 2021 », en entrant avec des clés. « Quelles clés ? C’est une énigme », s’étonne le maire de la commune, Jean-Michel Giraudeau. La maison est rénovée, les enfants scolarisés dans la commune Saber B. fait une petite fête, nettoie sa maison, lui passe un coup de peinture et scolarise tous ses enfants à Ollainville le 12 novembre, selon le maire. Mais Issam A., qui s’est volatilisé, n’était pas le seul à avoir des vues sur le logement. Une agence immobilière est sollicitée par la réelle propriétaire du bien. Elle constate que la maison n’est pas occupée légalement et la propose donc à bas prix à Laurent et Élodie, le couple du Val-de-Marne que nous avions rencontré en juin. Ils signent une promesse de vente le 2 mars chez le notaire. Contactée, l’agence n’a pas répondu à nos sollicitations, tandis que la notaire a invoqué le « secret professionnel ». Sur le « squat », contrairement à ce qui a pu être évoqué, le couple a toujours maintenu la même version : ils savaient que la maison était occupée – comme l’indique la mention « occupation sans droit ni titre » sur leur acte notarié –, mais pas par une famille de cinq enfants. Leur visite a eu lieu en septembre 2021, comme le montrent des photos que nous avons pu consulter. Ont-ils loupé, à quelques jours près, l’emménagement de la famille ? « L’information (selon laquelle il y avait une famille) était connue », souffle une source immobilière. De son côté, Saber B. affirme avoir reçu au moins trois visites du couple entre mars et mai 2022. « Ils sont venus me proposer 2 000 euros pour partir, puis 5000, puis 10 000 », indique-t-il. Contacté, Laurent le contredit : « C’est faux, je ne lui aurais jamais donné un centime. C’est lui qui exigeait 10 000 euros, puis 5 000, puis 2 000 le soir où je suis passé à la télé (dans l’émission Touche pas à mon poste). C’est du racket caché. » « Je dormais dans mon camion devant ma maison car j’avais peur d’une agression » Le ton monte en mai, à mesure que la situation se fige. En témoignent plusieurs interventions des gendarmes pour apaiser la tension. « Je dormais dans mon camion devant ma maison car j’avais peur d’une agression, poursuit Saber B. Les enfants ne dormaient plus, tout le monde était stressé ». Ollainville, le 19 mai 2022. Les gendarmes sont intervenus pour apaiser la tension alors que Laurent, Élodie et leurs amis souhaitaient entrer dans la maison. DR Jusqu’au 19 mai, où Élodie et Laurent viennent fêter leur emménagement avec un « barbecue ». Selon une vidéo que nous avons pu consulter, le couple a escaladé le portail, puis a été rejoint par une dizaine d’amis costauds, parfois casqués ou masqués. Le couple tente de discuter avec la famille tandis que les « gros bras » les entourent. « Ce ne sont pas vraiment des tenues pour faire un barbecue, plutôt un casse », observe Me Maktouf. « On était venus fêter l’emménagement, maintient Laurent. Certains de mes amis sont casqués parce qu’ils sont venus à scooter. » Ce jour-là, Laurent appelle les gendarmes, qui lui demandent de sortir de la maison. Ollainville, le 19 mai. Élodie, Laurent et leurs amis sont venus casqués et masqués pour tenter d'entrer dans la maison. DR Le lendemain, Saber B. dépose une main courante à la gendarmerie d’Égly, où il explique l’escroquerie et exprime sa « peur ». Dans une impasse, Élodie et Laurent contactent le Parisien. À la suite de l’intervention du ministre de l’Intérieur, Gérald Darmanin, le préfet expulse la famille le 9 juin. « On a voulu faire de cette affaire un symbole de la lutte contre les squats et s’en servir pour appuyer une politique sécuritaire, dénonce Me Maktouf. Sauf qu’en se basant sur des préjugés, on s’est attaqués à d’honnêtes gens. » Comme nous l’avions révélé, la famille sera victime d’une violente agression le soir de leur départ. Vers 23h20, alors que le père charge son camion avec un ami, une dizaine de personnes masquées et vêtues de noir se jettent sur lui, l’aspergent de gaz lacrymogène et le frappent. À coups de bâtons, les agresseurs dégradent son camion, puis se rendent dans la maison et gazent le garage. Une plainte a été déposée pour violences aggravées, violation de domicile et dégradation en réunion. Saber B. et sa femme écoperont de deux jours d’interruption totale de travail (ITT) chacun. Aucune interpellation n’a eu lieu pour l’heure. Ollainville, 10 juin. Lors de leur départ de la maison, le camion de la famille a été fortement dégradé par une dizaine d'agresseurs, en présence d'un des enfants dans l'habitacle. DR L’affaire de la maison « squattée » n’en est pas à son épilogue, puisque Me Maktouf compte déposer une requête en revendication de propriété afin que Saber B. récupère le logement. « Cela a peu de chances d’aboutir, vu que la famille n’a aucun document légal de propriété », doute un spécialiste. « Je suis là pour travailler, pas pour me bagarrer » « Cette affaire illustre la complexité des dossiers de squat, que doit parfois trancher un préfet en 48 heures, analyse Me Romain Rossi-Landi, avocat spécialiste en droit immobilier à Paris. Le ministre s’est un peu précipité. Si l’une des parties se plaint d’escroquerie, un juge aurait pu être nommé et éclaircir cette situation avant que ne soit ordonnée une expulsion. » Saber B. et sa famille cherchent désormais activement à se reloger. L’ouvrier a récemment obtenu un récépissé qui l’autorise à travailler le temps que son dossier soit étudié, confirme la préfecture de l’Essonne. « J’aimerais savoir pourquoi on m’a frappé avec mes enfants, se demande-t-il. Je suis là pour travailler, pas pour me bagarrer, je ne veux plus de problèmes. » Laurent, lui, reste déterminé à rester dans sa maison. « On peut m’amener le GIGN, les hélicoptères, je ne sortirai pas ! assure-t-il. C’est ma maison, je suis prêt à aller en prison ou à mourir pour la garder. »
  16. On a fini en Champions League en étant partenaires de Quick. Je pense que les protéines apportées nous aident à tout défoncer au contraire.
  17. Si, parce que c'était drôle. Là, faut m'expliquer où est l'humour.
  18. Non, ce serait comme dire d'un toulousain qu'il vaut un bortsch, ça n'a aucun sens et c'est pas drôle. Là en plus ça met tous les asiatiques dans une case. Ce qu'il dit c'est "t'es asiatique donc t'es chinois donc tu vaux rien" et oui, c'est raciste.
  19. Bah justement, là tu parles d'un vietnamien et d'un plat qui comme son nom l'indique est chinois.
  20. Tu peux arrêter avec ce genre de vannes ? C'est absolument pas drôle, irrespectueux, raciste et en plus ça n'a aucun sens, c'est comme si tu disais d'un espagnol que comme il est espagnol, il vaut "une assiette de choucroute".
  21. "Il est important de vérifier, revérifier avant de publier"
  22. +1
  23. Tulututu tutu tu tu
  24. Endroit parfait pour passer dans le département voisin bien plus intéressant et accueillant.
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