-
Compteur de contenus
31675 -
Inscription
Tout ce qui a été posté par Flolynyk
-
Ils sont jeunes et ambitieux comme dirait la chanson, et surtout méconnus. Pour composer cette liste, nous n'avons sélectionné que des joueurs nés après le 1er janvier 2000, mais qui ont disputé moins de 100 minutes en Ligue 1. Les joueurs qui bénéficient déjà d'une certaine réputation (Folarin Balogun et Abdallah Sima qui viennent de la Premier League), qui ont disputé des compétitions internationales (Zakaria Aboukhlal) ou qui ont fait l'objet d'un gros transfert (Alexis Beka Beka et Loïs Openda) ont également été exclus. La liste ci-dessous est classée par ordre alphabétique. Mohamed Achi (milieu relayeur Vainqueur du Tournoi Maurice-Revello avec l'équipe de France, il n'est pourtant pas le plus connu des Bleuets. Contrairement à nombre de ses copains de sélection, Mohamed Achi (20 ans) n'a quasiment jamais goûté au monde professionnel, hormis durant neuf minutes contre Saint-Étienne lors du dernier match de la saison (1-1). Milieu de terrain complet doté d'une bonne technique, l'ancien protégé de Wilfrid Mbappé à Bondy devrait avoir sa chance cette saison dans un effectif qui jouera la Ligue Europa. Il a d'ailleurs été convoqué pour le Trophée des champions. D'autant qu'Antoine Kombouaré a déclaré à Ouest France qu'il compterait sur les jeunes : « On a un centre de formation qu'il faut faire jouer parce qu'il est de qualité. On l'a vu avec Quentin (Merlin). Je leur ai dit : c'est l'exemple à suivre. » Lucas Chevalier (gardien Prêté chez le voisin valenciennois au cours du dernier exercice, Lucas Chevalier (20 ans) est revenu à Lille avec le plein de confiance. Au milieu du marasme du VAFC (16e du classement), le portier a été un rempart plus que solide pour éviter la relégation. Il a même été élu meilleur joueur de la saison par les supporters de Valenciennes. Titulaire lors de la seconde partie de saison lilloise, Leo Jardim n'a pas encore été confirmé en tant que numéro 1. Bien qu'il puisse être remplaçant en début de saison, Chevalier aura l'occasion de montrer qu'il est un des plus gros espoirs de l'Hexagone à son poste. Muhammed-Cham Saracevic (milieu offensif Formé à Hanovre, passé par les jeunes de Wolfsburg ainsi que par les deuxièmes divisions autrichiennes et danoises, Muhammed-Cham Saracevic (21 ans) a déjà bien voyagé. Prêté lors de ses deux saisons clermontoises, il pourrait enfin avoir sa chance en Ligue 1 après une super année à l'Austria Lustenau. Chez lui, en Autriche, il a été un des grands artisans de la montée (et du titre) de son équipe en Bundesliga. Positionné en numéro 10, le gaucher autrichien a distribué 9 passes décisives et inscrit 14 buts en 29 rencontres de Championnat, de quoi se faire une place dans l'esprit de Pascal Gastien. Yanis Cimignani (milieu offensif Encore un. Yanis Cimignani (20 ans) a lui aussi fait partie, avec Mohamed Achi (Nantes) et Maghnes Akliouche (Monaco), de la bande à Bernard Diomède qui a glané le Tournoi Maurice-Revello. Si ses deux compères ne connaissent pas encore le temps de jeu dont ils vont bénéficier, l'Ajaccien a, lui, plus de garanties. Il a été titulaire la majeure partie de la saison durant laquelle les Corses ont terminé vice-champions de Ligue 2 derrière Toulouse. Il devrait donc continuer sa progression dans l'échelon supérieur. « Il a beaucoup travaillé même s'il a vécu la saison dernière une première année en pro un peu galère. Cette saison, il s'impose en Ligue 2. Yanis a une marge de progression énorme », confiait, pour le site de la Ligue 2, Jordan Galtier l'adjoint d'Olivier Pantaloni. Thijs Dallinga (buteur Spécialise du recrutement basé sur les datas, le Téfécé a peut-être déniché sa nouvelle trouvaille. Thijs Dallinga (22 ans) est un « attaquant complet, à l'aise un peu partout » dixit le coach toulousain Philippe Montanier. Contre 2,5 millions d'euros, les Violets ont récupéré le meilleur joueur et meilleur buteur (32 buts en 37 matchs de saison régulière) de l'Eerste Divisie, le deuxième échelon néerlandais. Au moment de récupérer ces deux distinctions, Louis Van Gaal avait plaisanté avec lui : « Nous cherchons toujours un attaquant pour l'équipe nationale... » En Haute-Garonne, il pourra prendre exemple sur le meilleur joueur de Ligue 2, Branco van den Boomen, lui aussi recruté en deuxième division hollandaise. Karamoko Dembélé (ailier Après Youcef Belaïli, le Stade Brestois va-t-il réussir un nouveau coup sur le mercato ? En recrutant Karamoko Dembélé (libre depuis son départ du Celtic), les Bretons ont tenté un pari, celui de lancer la carrière d'un jeune qui affole les médias depuis qu'il a 13 ans. Annoncé comme un crack, l'Anglais de 19 ans n'est pas parvenu à s'imposer au Celtic Glasgow et compte retrouver du temps de jeu en France. Blessé à la cheville une bonne partie de la saison, il ne va pas prétendre tout de suite à une place de titulaire, mais il a les qualités pour intégrer le onze finistérien. En trouvant le chemin des filets à deux reprises pour ses premières pas en amical, le petit attaquant (1m67) a marqué des points auprès de Michel Der Zakarian. Rares Ilie (ailier Couvé par Adrian Mutu au Rapid Bucarest, Rares Ilie (19 ans) est arrivé cet été sur la Côte d'Azur sans que son transfert ait fait grand bruit. Pourtant, l'ailier gauche est un des meilleurs espoirs d'Europe à son poste. « Il ose, il est dans le dribble, il met des buts », disait de lui son entraîneur Lucien Favre. Pour faire son trou à Nice, le Roumain peut se targuer d'avoir la confiance du technicien suisse qui le voulait absolument : « Comment je l'ai repéré ? Je vais sur Internet, je regarde des matchs, on m'appelle pour me parler de joueurs. Je regarde beaucoup parce que je dois préparer mon équipe : si j'étais allé à Gladbach, je l'aurais peut-être pris là-bas ! C'est un bon petit, un jeune à fort potentiel. » lire aussi Zoom sur les 10 nouveaux joueurs de Ligue 1 qui gagnent à être connus Johann Lepenant (milieu défensif L'OL cherche toujours un numéro 6. En attendant, Johann Lepenant (19 ans) est le seul habitué du poste et la saison commence vendredi, contre Ajaccio. En plus de retrouver Yanis Cimignani, avec qui il a gagné le tournoi de Maurice-Revello, il pourrait disputer ses premières minutes en Ligue 1. Corentin Tolisso peut évoluer devant la défense mais Peter Bosz préfère l'utiliser plus haut : « Corentin (Tolisso) n'est pas là pour ce poste, il va jouer plus haut. Pour jouer avec un seul 6, on n'a que Johann (Lepenant). » Au cours des matchs amicaux, le Néerlandais n'a pas hésité à donner un large temps de jeu au gamin de Granville (19 ans). Lepenant a donc une opportunité à saisir en ce début de saison. Brayann Pereira (latéral droit Tout juste remonté en Ligue 1, l'AJA a décidé de recruter malin. Pour compenser le départ au Vitesse Arnhem de son arrière droit titulaire Carlens Arcus, Auxerre a décidé de miser sur le Lensois Brayann Pereira (19 ans). Avec deux petites apparitions en Ligue 1 (pour 13 minutes au total), l'international U19 n'est pas connu du grand public. Il s'est révélé cet été avec les Bleuets durant l'Euro malgré l'élimination de la France en demi-finales contre Israël. Son sélectionneur, Landry Chauvin, nous confiait les qualités du latéral juste avant la compétition : « C'est un joueur capable de répéter les efforts à haute intensité. Un bon contre-attaquant. » En concurrence avec Alec Georgen et Paul Joly, Pereira a les qualités pour prendre la relève d'Arcus. Jackson Porozo (défenseur Passé sous le giron du City Group (Manchester City) il y a deux ans, l'ESTAC peut se réjouir de la hausse de son attractivité. Ce changement de dimension leur a permis d'attirer le néo-international équatorien (2 sélections) Jackson Porozo (22 ans) en provenance de Boavista. L'intéressé a lui-même confirmé à l'Est éclair que cela avait joué dans son choix de signer à Troyes : « Oui cela a été un argument car le City Group est un grand groupe qui choisit les meilleurs joueurs. » Défenseur « fort » et « agressif » comme il le dit lui-même, Porozo a impressionné son entraîneur Bruno Irles durant la préparation. « Je tiens à dire que j'ai été agréablement surpris par la capacité d'adaptation de Jakson. Il s'est très bien adapté », a confié le technicien au quotidien nancéen. Isaak Touré (défenseur « Sa taille est un atout rare », disait de lui Landry Chauvin avant le Championnat d'Europe U19. Et pour cause, Isaak Touré (19 ans) mesure 2,04 m. En plus de son gabarit qui lui permet d'être dominant physiquement, la recrue olympienne est un défenseur à l'aise avec le ballon. « C'est un super technicien de 2,04 m, et il a le sens du jeu. Je n'avais encore jamais vu un joueur aussi athlétique avec une telle technique », confessait Paul Le Guen, l'entraîneur qui l'a lancé au Havre il y a deux saisons. Le natif Gonesse bénéficie d'un autre atout pour plaire à Igor Tudor : il est gaucher. Le coach croate n'a pas hésité à l'utiliser dans l'axe gauche de sa défense à trois durant les matchs de préparation, signe de la confiance dont il devrait bénéficier cette saison.
-
Le Figaro sait se protéger malheureusement
-
Championnat TFC 1 - OGC Nice 1 / 1ère journée de L1
Flolynyk a répondu à un Modérateur de Flolynyk dans Espace supporters
Là faudrait une 2e bouteille, ça devient plus compliqué -
Ok merci
-
Je comprends pas ce qui fait dire à certains qu'Ado apporterait plus en L1 que Rhys. Ceux qui pensent ça (Labinocle, Chubee pour ce que j'ai vu sur cette page), vous pouvez expliquer ? Je ne dis pas que c'est impossible, mais pour l'instant je ne vois pas ce qui laisse penser ça.
-
Championnat TFC 1 - OGC Nice 1 / 1ère journée de L1
Flolynyk a répondu à un Modérateur de Flolynyk dans Espace supporters
Aucun des 7 plus bas budgets n'a fini dans les 3 derniers, ça va plutôt dans son sens. -
Quelle idée
-
Joueur Rafael Rogerio da Silva dit Ratão
Flolynyk a répondu à un RobespierreDorsini de Flolynyk dans Anciens du TFC
Le qualificatif dépréciatif est mal choisi, Amanda Paiva fait quand même 1,87m -
Je vois pas vraiment l'intérêt de venir dans un topic pour critiquer un truc qu'on aime pas / plus et qu'on regarde pas / plus D'autant plus que ça t'énerve quand quelqu'un le fait dans le topic F1 par exemple.
-
Championnat TFC 1 - OGC Nice 1 / 1ère journée de L1
Flolynyk a répondu à un Modérateur de Flolynyk dans Espace supporters
On va les démonter -
Bah s'ils se mettent à jouer au foot plutôt que de faire du bling bling c'est justement une bonne chose
-
Dans un entretien à La Dépêche, le DG des Violets regrette un manque de dialogue et de concertation avec la Métropole sur les barrières entourant les terrains annexes du Stadium. Il y a quelques semaines, l'attaquant Rhys Healey avait subi, en raison de celles-ci, une impressionnante blessure au crâne. "Très franchement, il aurait pu se tuer." La saison passée, Rhys Healey s’est ouvert le crâne sur une barrière entourant l’un des terrains d’entraînement du TFC. Un accident qui met une nouvelle fois en lumière l’un des gros points noirs de la vie quotidienne du club, depuis des années. "Les barrières qui ont été posées autour des terrains d’entraînement n’ont pas été sécurisées, regrette Olivier Jaubert, lors d'un entretien accordé à La Dépêche du Midi. C’est du travail qui n’a pas été fait en concertation avec nous. La Métropole a utilisé des clôtures qui ne sont pas adaptées. Cela nous frustre, parce que nous mettons tout en œuvre pour être le plus professionnel possible, pour faire rayonner Toulouse, et nous nous retrouvons face à des situations qui ne sont pas positives pour le club. La Métropole a un rôle extrêmement important à jouer. Ce n’est pas une plaisanterie, c’est du sport de haut niveau." Une faille de sécurité qui s’ajoute à de nouveaux retards de livraison des terrains d’entraînement : "Là encore, nous avons un grave problème d’infrastructure, pose le DG du TFC. La Métropole a refait des terrains d’entraînement à l’intersaison, mais ils ne sont toujours pas livrés, nous ne pouvons pas travailler." Alors que les deux terrains neufs installés pour le groupe pro l’été dernier (sur la plaine de Faucher ; notre photo ci-dessous des travaux en avril 2021) sont à ce jour inutilisables, Olivier Jaubert regrette "un manque de dialogue avec la Métropole de Toulouse. Certes, elle a ses besoins, mais nous en avons aussi. Nous ne sommes pas propriétaires de nos installations. Nous les louons, cher, mais pour l’instant ça ne répond pas à nos besoins. Là-dessus, la Métropole a une responsabilité. Nous essayons de trouver une solution, et monsieur le maire a été très actif." Quand, alors, ce problème sera-t-il réglé ? "Si l’on en croit les services de la Métropole, dans 15 jours, répond Olivier Jaubert. Mais nous aurons déjà perdu 2 mois de préparation. Pour l’instant, nous optimisons ce que l’on a. Mais ce n’est pas normal que l’on ne puisse pas utiliser nos terrains."
-
Grosse cote ça !
-
T'inquiète il est probablement passé sur Bordeaux là
-
Le reste : Vous avez souvent répété que vous souhaitiez garder un stade populaire. Ce sera encore le cas les prochaines saisons ? Bien sûr. Nous devons être un des seuls clubs de France à pratiquer près de 50 % de son stade à 30 euros pour accueillir le PSG (le mercredi 31 août Ndlr). Les deux virages seront à 30 euros, cela représente près de 12 000 places si on enlève les parcages. Sachant que les abonnés payent beaucoup moins. Nous voulons un stade où tout le monde puisse venir, quels que soient ses moyens, c’est très important. Le football n’est pas un sport réservé à une élite plus riche qu’une autre. Tout ça en gardant à l’esprit que quel que soit le prix que l’on paye, tout le monde doit être bien accueilli au Stadium. Comment améliorer cet accueil ? Nous avons énormément travaillé sur la fluidité, sur comment concevoir les buvettes, nous avons fait venir des acteurs locaux : le marché Victor Hugo, Michel Sarran, le restaurant Pierre seront présents au Stadium cette saison. Nous avons travaillé dans tous les domaines pour que les gens se disent : "on a bien fait de venir au Stadium." Il y aura également une animation de la tribune Famille lancée autour de TFC-PSG, les animations de la tribune étudiante, avec le Tolosa Students Club qui va grandir. Convivialité, plaisir, ce sont nos maîtres mots. Nous avons plein d’atouts, servons-nous en. A lire aussi : Ligue 1 : qu'est-ce que CVC, l'organisme qui finance une partie du championnat et grâce auquel le TFC va toucher plusieurs millions d'euros ? Le parvis fait partie de ces atouts ? Il va vivre, et pas que deux fois par an. Mais il y a des contraintes. Le PPRI (Plan de prévention des risques inondation), qui veut dire que tout doit être évacuable en deux heures, nous limite. Mais nous allons faire des choses ! Dès le 7 août. Cet engouement, vous l’avez ressenti sur la vente de maillots ? En fin de saison dernière, le jour de TFC-Nîmes, lancement du nouveau maillot domicile, le chiffre d’affaires boutique était égal au chiffre d’affaires boutique de toute la saison 19-20. Donc oui, il y a de l’engouement ! Mais à nous d’être bons : il faut être prêts pour le succès. Si vous n’êtes pas prêts, les gens viennent, voient que vous ne répondez pas, et ils s’en vont. Nous devons être au service de nos supporters, faire attention à eux. Et nous avons encore des progrès à faire, nous le savons. Sur quoi par exemple ? Les lignes produits, réduire les attentes en caisse les jours de match, ce genre de choses. Tous les points de rencontre avec les supporters doivent être pensés pour que les gens se disent : "on fait attention à moi, on me respecte." A lire aussi : TFC : un nouveau trophée pour van den Boomen, mieux noté que Mbappé, Benzema et De Bruyne La topographie du stade amène également des contraintes ? On a ressenti un certain mécontentement sur les places de parking chez certains supporters. C’est vrai. Il se trouve que toute la zone Nakache va être engazonnée dans le cadre du grand parc Garonne, donc c’est 400 places qui disparaissent. Les normes Vigipirate font qu’on n’a pas le droit de stationner sur les allées Gabriel-Biénès les jours de matchs, donc 150 places en moins. On est passés de 1 500 places de parking à 800. À nous d’être intelligents. Nous nous sommes rapprochés de Tisseo pour augmenter la fréquence des trams, des métros, rendre gratuits les parkings déportés, nous sommes en train d’exploiter plein de pistes. L’Oncopole a un parking gigantesque : peut-on mettre des navettes ? On va mettre des parkings vélos, développer des accords avec une société de covoiturage… Les pistes existent. Peut-on imaginer qu’un jour le TFC soit propriétaire de son stade ? Est-il utile d’être propriétaire de son stade ? Pas forcément. Est-ce que devenir l’exploitant exclusif du stade a un intérêt ? Peut-être. Pour l’instant nous avons une convention d’exploitation du domaine public qui court jusqu’en 2029. Il y a une Coupe du monde de rugby qui arrive en 2023, la Métropole a pris des engagements. Donc si quelque chose bouge, ça ne sera pas avant 2024. Quel modèle imaginez-vous pour le Stadium ? Ce qui est certain, c’est que Toulouse présente d’énormes atouts pour devenir demain un lieu d’événements, de concerts, etc, parce qu’il n’y a rien d’aussi grand que le Stadium à 200 km à la ronde. Un stade ne doit pas vivre que 25 jours par an, c’est une hérésie. Il y a des solutions à trouver, tout en n’oubliant pas que l’activité majeure d’un stade, ce sont les rencontres sportives. A lire aussi : TFC : les supporters divisés sur le nouveau maillot Où en êtes-vous de vos relations avec les supporters ? Nous avons des échanges réguliers, notamment avec notre SLO (référent supporters) en contact quotidien avec les supporters. Ce sont des acteurs importants du club. Mais chacun doit être dans son rôle. Nous ne transigeons pas sur certains points. Par exemple : tout ce qui n’est pas réglementaire n’a pas sa place dans le stade. C’est très clair sur les fumigènes par exemple. Cette saison, il y aura une extrême vigilance sur la tranquillité dans les stades. Et nos groupes de supporters sont très réceptifs à cela. La saison passée, il y a eu une expérimentation sur les fumigènes. Continuez-vous à avancer sur le sujet ? Nous aimerions. Mais il faut que nos groupes de supporters nous rejoignent. Le 7 mai face à Nîmes, nous avions prévu une autre expérience de ce type, mais ils n’ont pas souhaité y participer. Plus la tribune est calme, plus nous pouvons obtenir des avancées. À nous de construire ce chemin ensemble. Je rêverai qu’il y ait une zone de tir encadrée en tribunes, que les supporters puissent venir de manière protégée. A lire aussi : TFC. Olivier Jaubert : "le maillot extérieur s'inscrit dans la modernité, la connexion à notre ville" Où en êtes-vous concernant le naming du Stadium ? Nous travaillons. Finissons d’abord nos fondamentaux : avoir tous les partenaires que l’on doit avoir au niveau du club pour soutenir le TFC et toutes ses équipes. Ensuite, nous irons chercher un partenaire titre pour le Stadium. Nous avons la chance d’avoir un stade qui n’a pas d’autre nom que "Stadium de la Métropole de Toulouse". Nous pouvons assez facilement y associer une marque.
-
Bah non, une recherche forumtfc
-
Pourquoi poster ce tweet alors, s'il n'apporte rien et que tu ne le comprends pas ?
-
Félicitations à @Alfcatqui nous offre la première occurrence de "salmigondi" en plus de 15 ans d'existence de ce forum.
-
Il n'y a bien que ça
-
Dans la terminologie du foot, passer du masculin au féminin n’a pas toujours été simple ni heureux. Moins d’hésitation à prévoir pour le volet scouting : le dictionnaire valide la notion de « recruteuse ». Dite ainsi, la fonction est une nouveauté en soi dans le paysage professionnel français. Un seul nom l’incarne, celui de Julia Arpizou. Depuis septembre, elle officie dans la cellule du Toulouse football club (TFC), promu en Ligue 1. Née il y a trente ans dans la Ville rose, elle y était revenue en 2020 en tant qu’éducatrice auprès des filles du « Téfécé ». Après un parcours de joueuse l’ayant menée à l’Olympique lyonnais (en réserve) et une bifurcation précoce dans le coaching (à Bordeaux, Grenoble), toujours en version féminine et amateur. Pas vraiment une voie tracée vers le recrutement des pros masculins, mission souvent confiée, comme un réflexe, à des ex. Lire aussi - Corinne Diacre, sélectionneuse de l'équipe de France de football : « Les filles progressent très vite » Sauf qu’à Toulouse, depuis le rachat par le fonds RedBird Capital Partners voilà deux ans et la nomination de Damien Comolli à la tête du club, on se plaît à casser les codes. « Quand le président est arrivé, raconte Julia Arpizou, il a souhaité monter des groupes de travail et de parole en vue d’une restructuration. Quand j’ai présenté l’exposé sur la section féminine, il était là. Le lendemain, il m’a appelé. » Surprise totale lorsque la fiche de poste lui est suggérée. Le cumul avec son rôle de coach des U15 aura duré une saison, avant une bascule à plein temps pour le présent mercato. Dans la cellule, la singularité des profils est presque une norme. Brendan MacFarlane, un Écossais de 28 ans, en est le responsable. Surtout, la matière est malaxée autrement, pétrie par la data. Depuis le Texas, huit membres de la société Zelus fournissent au quotidien des données de performances ultra-détaillées. « La première chose que j’ai voulu savoir, pose Julia Arpizou, c’est comment ça fonctionne. Comment les algorithmes calculent, les critères mis en place. Il s’agit d’un séquençage très complexe, bien plus poussé que les données de base sur la possession ou les tirs cadrés. » Et ce sont ces relevés qui poussent les recruteurs du TFC à explorer une piste, en les croisant notamment avec les facteurs humains, que les chiffres bruts ne peuvent laisser transpirer. Lire aussi - Euro de football féminin : Sakina Karchaoui, la bonne élève de l’école de la rue Au sein de son nouveau milieu, elle se dit épargnée par les procès en légitimité, voguant « sans avoir l’impression d’être regardée ou appréciée selon [son] genre. » Le plus surpris de ses interlocuteurs a même été une femme, la seule croisée jusqu’ici, « une agent de joueurs italienne, très contente de discuter » avec elle « sur un mode un peu différent ». Il n’empêche, quand MacFarlane oriente des agents vers Julia, la réplique ressemble parfois à ça : « OK, je vais voir avec Julien. » Pour cet ancien de Brentford, rien de nouveau : le groupe WhatsApp de la cellule du club londonien intégrait une femme. Toujours en Angleterre, Mariela Nisotaki s’est fait une place à Norwich. Déjà pionnière en coaching – elle avait été nommée à Clermont avant de se raviser –, la Portugaise Helena Costa prospecte pour l’Eintracht Francfort. À Toulouse, on dit de Julia Arpizou qu’elle livre les jugements les plus sévères de l’équipe. MacFarlane rationalise : « Elle a à la fois un passé de joueuse de bon niveau, qui a partagé le vestiaire d’une Megan Rapinoe, et un vécu en tant que coach. Son exigence est le produit de cette double expérience. » Le cas échéant, seulement nourrie de ses impressions visuelles, il est arrivé que l’intéressée suggère à son manager de se pencher sur certains éléments. « Or, par la suite, développe celui-ci, ces joueurs ont souvent été vendus à un tarif plus élevé que leur valeur initiale. La preuve que Julia a bien un œil. »
-
A ma connaissance, le seul auteur sur ce forum, c'est @Dide31
-
Si on te compare à lui c'est plutôt un compliment ou une insulte ?
-
Et vous saviez vous que lachubeecle c'était stormy ? 🕵️♂️
-
Non
-
Et le 😱 ?