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Asha31

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Messages posté(e)s par Asha31

  1. S'il vous plaît Président, on sait que l'arrivée de notre beau gitan vous a coûté, mais si vous pouviez encore faire un petit effort pour conserver Oscar un petite saison de plus, les supporters vous remercieront. :grin:

  2. Il y a 15 heures, elkjaer a dit :

    C'est pas la paresse son vrai problème c'est le manque d'ambition personnelle. Et même si ça emmerde le supporteur que j'étais ça me rend le bonhomme sympathique.


    Mouais, je te trouve gentil, moi personellement et peut être parce que c'est probablement le joueur du Tef que j'ai le plus admirer, je suis d'autant plus dur avec lui :grin:

  3. Un passage sur l'aile lui permettrai aussi de retoucher un peu plus la balle dans des situations plus favorables, de pouvoir de nouveau combiner, percuter, tenter des choses, bref retrouver un peu de football. Il est pas mauvais dans la passe, plutôt bon dans les percussions, capable de combiner avec ses coéquipiers...Le refoutre sur un côté avec de vrais attaquants avec qui travailler dans l'axe, ça pourrait lui redonner du plaisir à jouer et de la confiance, parce que pour l'instant , ces deux niveaux, c'est zéro.

  4. il y a 10 minutes, arno31 a dit :

    rien d'étonnant


    Ba vu la promesse qu'il lui avait fait en début de saison et l'obstination de ces dernières semaines à le maintenir dans l'axe, ça me paraissait pas si évident :unsure2:

    il y a 4 minutes, Ekelund a dit :

    ben oui il allait quand même pas mettre Delort sur l'aile pour laisser Martin en pointe :ninja: 

    et les 2 ensembles dans un 442 j'y crois moyen


    Je le voyais plus mettre Delort et MB en pointe et décaler Jean sur l'aile...;)

  5. Pour ceux que ça intéresse, un article de l'équipe de 2013 au moment ou il émergeait avec Troyes en Ligue 1, avec des passages sur son enfance, ses qualités, ses valeurs toussa -_- Trouvé sur un forum de l'ESTAC!

     

    Un destin à part

    À dix-sept ans, il joue en L 1, déjà. Forcément, on parle de lui comme d’un prodige, d’un futur très grand. Et si ses dirigeants tentent de le protéger, ils doivent se rendre à l’évidence : l’attaquant troyen, puissant dans le jeu, mature dans la vie, n’est pas comme les autres.


    "C’ÉTAIT UN MATIN d’hiver, glacial et piquant. Il faisait encore nuit, le réveil a sonné une fois, deux fois, dans le vide. Corentin Jean ne s’est pas levé. « Et là, je me suis dit : oh non, pas lui ! » La veille, Claude Robin, le directeur du centre de formation de Troyes, avait loué devant ses coéquipiers celui qui passe pour le petit prodige du coin, à la mentalité irréprochable : « Je suis très attentif aux garçons qui ne se lèvent pas le matin. Dans ces cas-là, je les emmène le lendemain courir à 6 h 30. Le problème, c’est que c’était la première fois pour Corentin en trois ans. Mais comme je l’avais cité en exemple, je ne pouvais pas faire autrement. Il est venu courir avec moi. » « Je m’en souviens, il faisait – 15 oC, ça réveille, sourit Jean aujourd’hui. Depuis, je n’ai plus eu de panne de réveil. » Le garçon de dix-sept ans, soumis aux regards de ceux qui attendent tout de lui, enregistre vite, apprend vite, percute vite. C’est vrai en cours (il est en terminale STG), mais également sur le terrain. En quelques mois, à Troyes, il est passé des 17 ans à une place dans le groupe professionnel, en face duquel il a chanté On va s’aimer de Gilbert Montagné, assumant parfaitement son goût pour la musique des années 1980. En véritable glouton, il prend tout, cumule les expériences en accéléré. Pour sa première apparition, en quarts de finale de la Coupe de la Ligue contre Rennes (1-2, le 29 novembre), il bouge les défenseurs bretons, marque un joli but. La semaine suivante, toujours contre Rennes mais en Championnat cette fois (2-3, le 2 décembre), il entre en jeu, cavale comme un dératé, prend un jaune puis un rouge direct. De quoi douter ? « Après son expulsion, on se demandait comment il allait réagir, s’est interrogé son père, Denis, dessinateur industriel. Mais à la fin du match, il n’était même pas marqué, il est passé très vite à autre chose. Il est comme ça, Corentin. » Sur la pelouse, il mord les mollets, se moque des CV de ses adversaires et, comme le dit sans détour Jean-Marc Furlan, « il n’a peur de rien, ce &$# ! Les tampons, il aime ça. Il est plus boucher que veau et c’est une qualité pour un attaquant ». Comme sa capacité à retenir les leçons : « Juste avant mon expulsion, j’ai eu droit à une superbe ovation du public pour ma première à la maison, je n’ai pas compris. Je voulais tout faire, tout donner, je courais partout. J’étais trop excité... »

    Ce n’est pas nouveau, son parcours s’accompagne depuis quelques mois d’une solide réputation de petit génie précoce, la rumeur a bruissé et Jean-Marc Furlan a d’abord essayé d’y résister. En vain : « On est dans une société où on consomme tout, très vite. C’est un peu toxique car pour progresser il vaut mieux évoluer caché. Mais lui... Je l’ai pris dans le groupe pro en début de saison et je l’ai mis “au placard” pendant trois mois mais, très vite, j’ai vu qu’il faisait jeu égal avec les pros. Au bout d’un moment, tu ne peux plus te cacher. S’il joue, ce n’est pas parce qu’il est jeune mais parce qu’il est bon. Je ne suis pas Ancelotti, je n’en ai pas eu des dizaines de jeunes joueurs, mais c’est la première fois que j’en vois un comme lui. Athlétiquement, c’est du très, très haut niveau. »

    À Blois, un de ses premiers clubs, on avait aussi repéré le potentiel du phénomène sans pour autant imaginer qu’il exploserait si vite au haut niveau. Pour Laurent Gatay, responsable de la préformation et qui l’a dirigé pendant deux ans, « Corentin était doué mais pas hyper talentueux sur le plan technique. Un peu comme Aly Cissokho (aujourd’hui à Valence) qui, chez nous, évoluait en jeunes dans les équipes 2 et 3, il n’était pas le plus doué mais, dans la tête, il faisait partie des plus costauds. Par exemple, il n’a jamais été pris au pôle Espoirs régional de Blois. Et je ne sais pas pourquoi... » Sa taille, sûrement (il mesure 1,70 m). Même le Stade Rennais, à treize ans, l’a recalé après un essai. Sa taille est le salut de Troyes, seul club prêt à l’accueillir dans son centre de formation. Philippe Vaugeois, le recruteur du club aubois dans la zone Lyon-Centre-Région parisienne, l’avait mentionné à Claude Robin, qui, dans la foulée, l’avait suivi à la Coupe nationale des 15 ans à Clairefontaine : « Aucun club n’était sur lui, il n’avait signé aucun ANS (accord de non-sollicitation) ! Mais quand je l’ai vu, je me suis demandé comment on avait pu passer à côté de ce joueur. Je fais attention de ne pas exagérer mais lui, il a tout. C’est un attaquant besogneux, pas avare de ses efforts. Il a une vivacité gestuelle, il crée des brèches, il n’est jamais à l’arrêt. Dans les appels, il est très intelligent. » Cette litanie de qualités, Mounir Obbadi, un des cadres de l’effectif, l’a découverte cette année : « C’est un garçon posé, sérieux, un peu réservé dans le vestiaire sans être impressionné. Mais sur le terrain, rien ne lui fait peur, il est sûr de sa force. » À dix-sept ans, il pourrait user de la bonne vieille langue de bois, seriner qu’il doit « passer les étapes une à une », mais il plante son regard dans le vôtre et, sans trembler, lâche : « Tout ce qui m’arrive, oui, ça va vite. Trop vite ? Je ne sais pas. Si j’en suis là, c’est grâce à mes parents et c’est que je le mérite, car j’ai travaillé pour. J’ai un bel avenir, j’ai de grosses qualités. » Le tout sans effronterie, sans forfanterie, juste l’assurance de ceux qui ont du talent : « Franchement, je n’ai pas peur, j’avance. Je viens de Rougeou (Loir-et-Cher), un village de 150 habitants, la campagne. J’ai la tête sur les épaules, c’est ce qui me fera aller très loin. » Petit, il a même fini par aller trop loin et trop vite pour son père. « Il est infatigable. Quand j’allais couper du bois, il venait avec moi, il prenait la brouette et il ne savait pas faire ça doucement. Quand on faisait des sorties à vélo, pareil. À sept ans, on faisait dix kilomètres, je le distançais pour voir comment il allait réagir. Et il revenait. Puis on est passés à quinze kilomètres, vingt kilomètres. Jusqu’au jour où je ne pouvais plus le suivre ! (Rires.) » Furlan, qui a lancé le Parisien Blaise Matuidi au même âge, a été confronté à la même évidence : « C’est un athlète, un gars qui participe beaucoup au jeu, peut-être trop. Et c’est un stratège qui sait quand donner la balle. Des joueurs techniques et qui vont vite, il y en a des centaines en CFA mais ceux qui savent faire très bien jouer leurs coéquipiers, capables de passer en L 1, pas beaucoup. »

    Corentin Jean en est. Au point d’être une future pointure internationale ? « Je ne serais pas sérieux si je répondais à cette question, avance Furlan. Qu’est-ce qui peut l’arrêter? Pas son cerveau, déjà ! Je ne veux pas lui porter la guigne, mais je ne lui vois pas de limites. » Il est programmé, il s’est peut-être programmé lui-même d’ailleurs : « Je ne peux pas être comme les jeunes de mon âge, je ne peux pas manger n’importe quoi, sortir en boîte. Je ne veux pas faire n’importe quoi avec mon corps. » Cette confiance, selon son père, Denis, il l’a acquise « à l’internat quand il était en sport-études ». Depuis, « rien ne l’affecte, selon Robin. Il est avenant, il a une faculté à être apprécié parce qu’il est naturel. C’est la clé dans le football : on se laisse avoir par l’esbroufe, par un joueur capable de réaliser un truc. Puis on attend dix matches pour revoir ce truc. Corentin, il ne vous déçoit jamais ». Contre Lyon, la semaine dernière, ce bon élève de terminale était de nouveau titulaire, Furlan n’hésite plus à le faire passer devant les supposés cadors, Marcos, Grax ou Bettiol, persuadé d’avoir dans les mains « un vrai buteur ». On retiendra pourtant un beau loupé face à Vercoutre, samedi dernier. Le natif de Blois, passé par toutes les équipes de France jeunes, ne se cache pas : « La balle rebondit juste devant moi mais je suis attaquant, je dois la mettre au fond. J’ai vite oublié cette action. Ma force, c’est de ne pas douter. Même si je dois jouer en Ligue des champions, je m’en fous, je me donne à fond ! » Il n’en est pas là, n’a même toujours pas signé de contrat professionnel. C’est prévu pour les prochaines semaines et le contrat sera effectif à sa majorité, en juillet prochain. En attendant, son père le protège, des clubs qui rôdent, des agents qui le harcèlent (Thierry Gras le conseille depuis décembre), et planifie, dans l’idéal, une montée en puissance sans précipitation : « Quelques années avec Troyes, qui est un club familial fait pour lui, sans lequel il n’aurait pas percé. Puis un club français de première partie de tableau, un autre parmi les meilleurs français, avant une dernière expérience à l’étranger. Quatre clubs, c’est bien, je pense. » Et si, comme on peut l’imaginer, Troyes descend en Ligue 2 ? Père et fils, en chœur, assurent que « cela ne changera rien ». Corentin Jean le rappelle, il a « la tête sur les épaules », et, heureusement, une naïveté confondante quand il déclare aimer un autre joueur précoce, le Parisien Jérémy Ménez, « en tout cas son jeu. Moins sa personnalité, il est un peu trop bling-bling pour moi ». On avait compris.

    Source : l'équipe du 19/01/2013
     
  6. Malgré l'absence d'option d'achat, je ne suis pas si pessimiste pour le voir évoluer la saison prochaine chez nous. Aprés tout, depuis 2011 et l'arrivée de Robolobodelevef, on ne peut pas dire que la stratégie de l'ASM en terme de gestion d'effectif à toujours été hyper clair, entre mercato "galactiques", puis plus calmes, arrivées de grosses stars suivis de saison ou une grosse confiance est faites à la jeunesse...

     

    Pas sûr que même dans le cas d'une trés bonne demi saison avec nous, Jean ne retrouve pas au moins autant de concurrence en revenant sur le rocher l'été prochain. De là, on serait en pôle pour lui proposer un nouveau prêt d'un an, voire soyons fou en cas de bon classement du Tef en fin de saison, un transfert sec vers chez nous.

  7. Il y a 14 heures, Labinocle81 a dit :

    Je trouve Alban bien en dessous et encore très perfectible.

    Mais je suis frileux depuis la jurisprudence Boucher :ninja:


    Cela dépend a quel niveau tu places ton jugement. Je suis d'accord avec toi sur le fait qu'il est perfectible, mais il l'est comme un gosse de 17 ans -_- Il fait parfois une erreur de placement, parfois une erreur de lecture de trajectoire, parfois une erreur technique...mais tout ça est plus dû a son jeune âge et est trés ponctuel, parce que intrinséquement , je ne lui trouve de vraie faiblesses nulle part, et pour moi les années passant ça va devenir un monstre...

  8. Mouais, ça sent l'info un peu remâché et resservit manière de faire parler. En gros ça nous dit quoi, que pour un gros chèque on le laissera partir? Rien de neuf malheureusement...

    De toutes manières, sur le débat de savoir si il est à sa place comme n°9; on oublie trop souvent qu'avant d'arriver chez nous, il a été formé au Danemark comme milieu offensif, et baladé derrière l'attaquant et sur les ailes jusqu'à l'an dernier. En gros il a commencé à réellement "apprendre" le rôle d'avant centre à 23-24 ans. C'est donc tout sauf un buteur. Il l'est  moins que Toivonen ou même Durmaz en terme de qualité devant le but. Ces stats avant la saison dernière sont d'ailleurs édifiantes (jamais plus de 9 buts par saison, 1 seul en une quinzaine de sélections avec le danemark, et même seulement deux dans les selections espoirs danoises toutes catégories (!)

     

    Mais bon, jouer avec un ailier en avant centre, un arrière gauche et un milieu défensif sur les ailes, c'est ça la Ligue 1 touch :grin:

     

     

  9. Il y a 2 heures, Valentine a dit :

    Un de ses pires matches (le pire ?). Et face à personne.

    Face à l'Om il a aussi été fabuleux a plusieurs reprises...

    En fait, il à un seul dribble (qui passe un coup sur trois), une seul manière de "centrer" , avec son coup du pied qui va au second poteau, et sinon défensivement, ça dépend de sa motivation et de son humeur.

  10. Je remonte son topic pour poser une question : Il n'y a que moi qui rêve la nuit de voir notre viking tatoué échanger sa place avec Braithwaite dans l'axe?

    Pas pour jouer pareil bien sûr, mais quand je regarde sa production face à l'OM à chaque fois qu'il se retrouve à se balader dans l'axe (un face à face remporté avec sang-froid, un belle ouverture foirée par...Braithwaite), je me dis qu'il serait peut être temps d'enfin mettre face aux caisses notre attaquant le plus adroit aprés Toivonen. Sans oublier que ça le rapprocherait de son compatriote, avec lequel la complicité technique semble plus claire que celle qu'on essaye d'instaurer entre MB et Ola.

    J'ai l'impression d'une unanimité autour de l'idée de déplacer Braithwaite sur un côté pour installer Trejo en 10 derrière Toivonen, mais alors déjà que Trejo en 10 enfermé dans la densité j'y crois pas, que dire de Toivonen seul en pointe...:blink2:

    Par contre, Toivonen et Durmaz ensemble devant, avec Martin sur l'aile droite qui s'entend avec Jimmy pour permuter régulièrement pendant la partie, ça me paraît intéressant. Et j'ai l'impression que notre ailier n'attend que ça, tant il déborde d'envie de prendre des initiatives offensives. Dernier argument, un Braithwaite sur une aile, c'est l'assurance d'efforts défensifs enfin fait correctement, parce que Durmaz sur cet aspect là, c'est assez aléatoire.

    Alors?

  11. Il y a 10 heures, Labinocle81 a dit :

    Son meilleur match en pro avec pour une fois un réel apport offensif chose que l'on a très peu vu jusqu’à maintenant. Prometteur.


    Tout à fait d'accord, il est monté en puissance au fil du match, s'est offert deux trois "scalp" de renom au duel, un sauvetage absolument fou en prolongation...et moi qui le trouvait limité techniquement, je pense que ça relevait plus de la timidité, parce qu'il commence à se lâcher et prendre de l'assurance balle au pied =)

  12. Il y a 11 heures, Gollum a dit :

    Je te trouve sévère sur l'activité... Mais j'avais eu exactement ton impression après son match à Nice.

    Quelque chose ne tourne plus rond avec lui. Et je suis même pas certain qu'on en ait terminé avec les rumeurs mercato d'autant que ça fait trois ou quatre fois que le coach l'égratigne publiquement...

    Je continue de croire en lui mais ya des mises au point à faire...

     


    Disons que je confond peut être activité et attitude...il continue a énormément galoper, mais à la limite je pense que ça fait de toutes manière parti intégrante de son jeu (comme Toivonen :ninja:), mais je le sens nettement moins agressif et combatif. Avant, c'était une véritable plaie pour des défenseurs tant il ne s'arrêtait jamais. Là, je le vois tête baissée, visage fermé, voire quand il redescend au milieu de terrain, s'offrir des gestes pas nécéssairement utile.

     

    Il y a 8 heures, Bebs a dit :

    Après il a peut-être marre de galoper tout seul comme un con avec 7 ballons sur 10 merdiques, ce qui se transforme en 10/10 quand Toivonen et Trejo ne sont pas là ... 

    Il accepterai de jouer sur un côté, il toucherait beaucoup plus de ballons. C'est pour être abonné à ce rôle ingrat d'attaquant axial qu'il est resté, et qu'il a obtenu le capitanat et le meilleur salaire du club, donc pour moi ce n'est pas une excuse.

  13. Le 30/12/2016 à 21:26, shamanik a dit :

    Je trouve que le forum se porte bien. Et grâce à la présence d'experts footballistiques tels que Gollum, F82 ou encore Asha31 a encore de beaux jours devant lui -_-


    Derien, inutile de nous remercier, c'est bien là l'apanage des plus grands que d'offrir aux gueux un peu de leur immense savoir -_-

  14. Première fois que notre capitaine me fout en colère...de l'égoisme, des choix prévisibles, des gestes pas indispensables, des faces à faces foirés...et même plus cette belle combativité et cette énorme activité qui nous faisait tout lui pardonner...

  15. Le 18/12/2016 à 09:59, swedishwasher a dit :

    Qu'est ce que c'est bon d'avoir des joueurs comme lui, qui peuvent marquer des buts à tout moment. 

    1 point pour Mr Jullien hier soir, presque 3... Inspirons nous pour les prochains mercato.


    Cf les réactions nancéennes aprés le match, qui confirme qu'on peut être recruter le mec le plus redoutable du championnat dans les airs. Presque deux mètres, avec de la vivacité, qui va haut, et qui lit bien les trajectoires...et sans deux trois exploits de gardiens il serait déjà à sept ou huit buts cette saison...

  16. Quand tout le monde attend Trejo, et pourtant les vrais savent que c'est Blin qui doit à tout prix revenir a son meilleur niveau pour retrouver un milieu de terrain digne de ce nom...

     

    Ma plus grosse attente pour 2017 avec Oscar :grin:

  17. il y a 54 minutes, tad11 a dit :

    Perso arrière droit je préfère Ninkov mais je trouve qu'on s'acharne un peu trop sur ce joueur. Ah, c'est sûr c'est pas Aurier ou Jeremy Mathieu. Il fait beaucoup de fautes, au centre c'est pas la sécu mais sur l'aile il a fait une première partie de championnat correcte non?


    Il fait même une trés bonne première partie de championnat, surtout avec Durmaz devant lui. L'idée étant que derriere notre Suèdois volant qui va énormément au duel et prend des risques balle au pied, il faut un type solide, véloce, et surtout trés fort au duel. La principal qualité de Steeve au demeurant. Parce que si ça frise le National voire le CFA en terme de relance ou de lecture du jeu , en revanche Yago, et je l'ai toujours dit, c'est certainement notre joueur le plus fort sur l'impact, le duel au sol et le face à face.

    Donc dans l'axe, c'est souvent trés limite, mais en revanche pour défendre sur une aile, il a presque les caractéristiques idéales, et ça Dupraz l'a compris. Aprés toujours pareil, c'est intéressant dans une configuration ou on ne va pas trop lui demander d'apporter offensivemment. Cela dit, pour ça, on a des alternatives plus offensives (Michelin, Ninkov...)

  18. Il est "moins bon", "moins impliqué", voire "surcôté" depuis le début de saison...

     

    En attendant , sur nos cinq derniers buts, il est décisif quatre fois (Une passe dé pour Edouard face à Metz, la frappe repoussé sur le but de Sylla contre Montpellier, la frappe repoussé sur Toivonen hier soir, puis une percussion et une passe décisive superbe encore pour Toivonen dans la foulée...)

    Sur 21 buts marqués par notre équipe, il est donc décisif 12 fois cette saison.

    Quand on se souvient des passages à vide que nous faisait Wissam, en comparaison je pense qu'on lui a un peu vite taper dessus à Martin!

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