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Aldo

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Tout ce qui a été posté par Aldo

  1. Aldo

    Objectif baise

    Je sens que je vais bientot conclure, encore une fois
  2. Aldo

    Topic Déprime

    Et le piaf, on ne joue pas dans la meme cour
  3. Aldo

    Topic Taf

    Y'a de la pépés au boulot, elles sont toutes folles de moi
  4. Aldo

    Topic Déprime

    et bébé, si tu te sens seule, ça peut s'arranger
  5. La capé c'est pas la classe
  6. Remy a fait une bonne saison aussi
  7. ok tu nous invites et on en parle à l'apéro
  8. Aldo

    Objectif baise

    l'intégrisme sexuel ne m'a jamais attiré, et comme disait la Brigitte, "que celles qui n'ont jamais pratiquer l'onanisme, me jette le premier gode"
  9. Aldo

    Objectif baise

    Monsieur ne pratique uniquement que la missionnaire?
  10. Aldo

    Musique

    tu vuo fa' l'américano - adriano celentano
  11. Aldo

    Objectif baise

    avec une seule , on peut aller tres tres loin
  12. Excellente intervention de Chavez au sommet de Copenhague, c'est long mais c'est bon Intervention dHugo Chavez au sommet de Copenhague sur le climat Monsieur le Président, Mesdames et Messieurs, Excellences, chers amis, Je vous promets de ne pas parler plus longuement que celui qui a parlé le plus ici, cet après-midi. Permettez-moi un premier commentaire, que jaurais voulu aborder avec le point précédent, traité par les délégations du Brésil, de Chine, de lInde et de la Bolivie. Depuis notre place, nous avons demandé la parole, mais il ne nous a pas été possible de la prendre. La représentante de Bolivie a dit jen profite pour saluer le camarade président Evo Morales, ici présent (Applaudissements), président de la République de Bolivie-, elle a dit entre autres choses ce qui suit je lai noté sur ce papier : « Le texte présenté nest pas démocratique, il ne part pas dune politique dinclusion ». A peine suis-je arrivé que nous avons entendu la présidente de la séance précédente, la ministre, dire quil y avait un document, mais personne ne le connaît. Jai réclamé le document, mais il ne nous est pas encore parvenu. Je crois que personne ne sait au juste ce que cest que ce document, il doit être « top secret ». La camarade bolivienne navait donc pas tort de dire : « Il nest pas démocratique, il ne part pas dune politique dinclusion ». Mais, Mesdames et Messieurs, ceci nest-il pas justement à limage de la réalité du monde ? Vivons-nous dans un monde démocratique ? Le système mondial se base-t-il sur linclusion ? Y a-t-il une once de démocratie ou dinclusion à attendre du système mondial actuel ? Cette planète est régie par une dictature impériale, et depuis cette tribune, nous continuons de le dénoncer. A bas la dictature impériale, et vivent les peuples, la démocratie et légalité sur cette planète ! (Applaudissements) Lexclusion que nous constatons ici en est le reflet. Il existe un groupe de pays qui se croient supérieurs à nous, ceux du Sud, à nous, ceux du tiers monde, à nous, les sous-développés, ou, comme le dit le grand ami Eduardo Galeano : nous, les pays écrasés par lhistoire qui nous est passée dessus comme un train. Il ny a donc vraiment pas lieu de sen étonner : il ny a pas de démocratie dans ce monde, et nous sommes confrontés ici, une fois de plus, à une preuve évidente de lexistence de la dictature impériale mondiale. Deux jeunes gens ont fait irruption ici, bien heureusement les forces de lordre se sont comportées correctement, il ny a eu quune petite bousculade, et ils se sont montrés coopératifs, si jai bien compris Mais dehors, vous savez, il y a beaucoup de monde. Bien sûr, ils ne tiennent pas tous dans cette salle. Jai lu dans la presse que quelques personnes ont été arrêtées, quil y a eu des manifestations intenses dans les rues de Copenhague, et je tiens à saluer tous ces gens qui sont dehors, des jeunes pour la plupart (Applaudissements). Ce sont des jeunes qui sinquiètent, et avec raison, beaucoup plus que nous de lavenir du monde. La plupart dentre nous qui sommes dans cette salle ont le soleil dans le dos, alors queux le reçoivent en pleine figure, et ils sen inquiètent sérieusement. On pourrait dire, Monsieur le Président, quun spectre hante Copenhague, pour paraphraser Karl Marx, le grand Karl Marx. Un spectre hante les rues de Copenhague, et je crois quil hante cette salle en silence, il est là, parmi nous, il se glisse dans les couloirs, monte, descend. Ce spectre est un spectre qui épouvante tellement que presque personne nose même le nommer. Ce spectre, cest le capitalisme ! (Applaudissements) Presque personne nose le nommer, mais il sappelle capitalisme, et les peuples grondent dehors, entendez-les ! Je lisais certains des slogans que les jeunes scandaient dans les rues, et je crois en avoir entendu de nouveau quelques-uns quand ces deux jeunes gens ont fait irruption ici. Jen cite un : « Ne changez pas le climat, changez le système. » (Applaudissements). Je le reprends à notre compte : Ne changeons pas le climat, changeons de système, et cest ainsi que nous pourrons commencer à sauver la planète. Le capitalisme, ce modèle de développement destructeur, est en train den finir avec la vie, il menace de détruire définitivement lespèce humaine. Un autre slogan donne à réfléchir, parce quil est tout à fait dactualité, avec cette crise bancaire qui a ébranlé le monde et qui continue de le secouer, et la manière dont le Nord riche a volé au secours des banquiers et des grandes banques. Les Etats-Unis à eux seuls Le montant de la somme quils ont versée pour sauver les banques est astronomique, on sy perd Voilà ce quon dit dans la rue : « Si le climat avait été une banque, il aurait déjà été sauvé. » Et je crois que cest vrai (Applaudissements). Si le climat avait été une banque capitaliste, une des plus grandes, il y a belle lurette que les gouvernements riches lauraient sauvé. Je crois quObama nest pas arrivé. Il a reçu le prix Nobel de la Paix pratiquement le même jour où il envoyait 30 000 soldats de plus tuer des innocents en Afghanistan, et le président des Etats-Unis va se présenter ici auréolé du prix Nobel de la Paix. Les Etats-Unis détiennent la planche à billets, la machine à faire des dollars. Cest ainsi quils ont sauvé, ou du moins croient avoir sauvé, les banques et le système capitaliste. Bien, ceci était un commentaire en marge. Je voulais le faire avant, je levais la main pour pouvoir accompagner le Brésil, lInde, la Bolivie, la Chine, soutenir leur position intéressante et dire que le Venezuela et les pays de lAlliance bolivarienne la partagent totalement, mais la parole ne ma pas été donnée. Je vous demande seulement de ne pas compter ces minutes, M. le Président, ce nétait quune petite mise au point. (Applaudissements) Figurez-vous que jai eu le plaisir de rencontrer ici cet écrivain français, Hervé Kempf. Je vous recommande vivement ce livre, il existe en espagnol -Hervé est par ici-, en français bien sûr et en anglais sûrement : Comment les riches détruisent la planète, dHervé Kempf. Voilà pourquoi le Christ a dit : « Il sera plus facile de faire passer un chameau par le chas dune aiguille que de faire entrer un riche au Royaume des Cieux. » Cest ce qua dit le Christ, Notre Seigneur. (Applaudissements) Les riches détruisent la planète. Ils veulent peut-être aller sinstaller dans une autre quand ils auront fini de détruire celle-ci. Peut-être caressent-ils ce projet. Mais pour le moment, on nen voit pas dautre à lhorizon de la galaxie. Jai feuilleté ce livre dès quil mest parvenu - cest Ignacio Ramonet, lui aussi présent dans cette salle, qui me la offert - et je retiens du prologue ou du préambule cette phrase, significative. Voilà ce quécrit Kempf : « Nous ne pourrons pas réduire la consommation de biens matériels à léchelle mondiale si nous ne faisons pas en sorte que les puissants diminuent la leur de plusieurs crans, et si nous ne combattons pas linégalité. Il est nécessaire dadjoindre au principe écologiste, si utile à lheure de la prise de conscience penser globalement et agir localement, un autre principe quimpose la situation : consommer moins et distribuer mieux. »[1] Cest là un bon conseil que nous donne lécrivain français Hervé Kempf. Monsieur le Président, le changement climatique est sans aucun doute le problème environnemental le plus dévastateur de ce siècle : inondations, sécheresses, tempêtes sévères, ouragans, dégel ; montée du niveau moyen de la mer, acidification des océans, vagues de chaleur Tous ceci aggrave limpact des crises mondiales qui sabattent sur nous. Lactivité humaine actuelle dépasse le seuil du développement durable et met en danger la vie sur la planète. Mais, je tiens à le souligner, nous sommes là aussi profondément inégaux. Les 500 millions de personnes les plus riches, soit 7%, sept pour cent, seven, de la population mondiale, ces 7% sont responsables de 50% des émissions polluantes, alors que la moitié la plus pauvre de la population de la planète la moitié, 50% német que 7% des gaz polluants. Voilà pourquoi je métonne : il me paraît bizarre de solliciter ici la Chine et les Etats-Unis dans les mêmes termes. Les Etats-Unis comptent peut-être 300 millions dhabitants, et la Chine, cinq fois plus. Les Etats-Unis consomment plus de 20 millions de barils de pétrole par jour, et la Chine arrive à peine à 5 ou 6 millions. On ne peut pas demander la même chose aux Etats-Unis et à la Chine. Voilà un sujet qui mérite discussion. Espérons que les chefs dEtat et de gouvernement pourront sasseoir ensemble et discuter ces questions pour de bon, cartes sur table. En outre, Monsieur le Président, 60% des écosystèmes de la planète sont endommagés, et 20% de lécorce terrestre est dégradée. Nous avons été les témoins impassibles de la déforestation, de la conversion de terres, de la désertification, des altérations des systèmes deau douce, de la surexploitation des ressources marines, de la contamination et de la perte de la diversité biologique. La surexploitation de la terre dépasse de 30% sa capacité de régénération. La planète perd sa capacité dautorégulation, elle est en train de la perdre. Nous produisons chaque jour bien plus de déchets que nous ne sommes capables den traiter. La survie de notre espèce est une question qui hante la conscience de lhumanité. Malgré lurgence, deux années de négociations se sont écoulées pour élaborer une seconde série dengagements sous le Protocole de Kyoto, et nous participons à cette réunion sans être parvenus à un accord réel et significatif. Soit dit en passant, sur ce texte surgi du néant - cest ce quont dit certains, dont le représentant chinois - le Venezuela annonce, les pays de lALBA, de lAlliance bolivarienne annoncent que nous naccepterons pas, quon le sache déjà, dautre texte que celui qui provient des groupes de travail, du Protocole de Kyoto et de la Convention. Ce sont des textes légitimes qui ont donné lieu ces dernières années et ces dernières heures à des débats intenses. Je crois que vous navez pas dormi. Vous navez ni déjeuné ni dormi, cest bien cela ? Il ne semble pas logique, dans ces conditions, quun texte surgisse du néant, comme vous le dites. Aujourdhui, en ce moment même et jusquà présent, de toute évidence lobjectif scientifiquement établi de réduire les émissions de gaz polluants et de parvenir à un accord de coopération à long terme semble avoir échoué. Quelle en est la raison ? Il ne fait aucun doute que la raison est lattitude irresponsable et le manque de volonté politique des nations les plus puissantes de la planète. Que personne ne se sente blessée. Je ne fais que reprendre les propos du grand José Gervasio Artigas quand il affirmait : « Avec la vérité, je noffense ni ne crains personne » ; mais il sagit vraiment dune attitude irresponsable, caractérisée par ses tergiversations, son exclusion, sa manipulation élitiste dun problème qui nous incombe à tous et que nous ne pourrons résoudre que tous ensemble. Le conservatisme politique et légoïsme des grands consommateurs, des pays les plus riches, révèlent un manque de sensibilité et de solidarité flagrant envers les plus pauvres, les affamés, les plus vulnérables aux maladies et aux désastres naturels. M. le Président : il est indispensable de parvenir à un nouvel et seul accord applicable à des parties absolument inégales, par lampleur de leurs contributions et de leurs capacités économiques, financières et technologiques, et basé sur le strict respect des principes énoncés dans la Convention. Les pays développés devraient contracter des engagements contraignants, clairs et concrets de réduction de leurs émissions, et assumer des obligations dassistance financière et technologique aux pays pauvres, pour faire face aux dangers destructeurs du changement climatique. A cet égard, la situation particulière des Etats insulaires et des pays les moins développés devrait être pleinement reconnue. M. le Président : le changement climatique nest pas le seul problème qui frappe aujourdhui lhumanité. Dautres fléaux et dautres injustices nous guettent. Le fossé qui sépare les pays riches des pays pauvres na cessé de se creuser en dépit de tous les Objectifs du millénaire, du Sommet de Monterrey sur le financement, de tous ces sommets, comme le faisait remarquer ici le président du Sénégal, qui dénonçait une grande vérité : les promesses, tant de promesses non tenues, alors que le monde continue sa marche destructrice. Le revenu total des 500 individus les plus riches du monde est supérieur au revenu des 416 millions de personnes les plus pauvres. Les 2,8 milliards de personnes qui vivent dans la pauvreté, avec moins de deux dollars par jour et qui représentent 40% de la population mondiale je dis bien 40% de la population de la planète ! se partagent seulement 5% du revenu mondial. Aujourdhui, environ 9,2 millions denfants meurent avant lâge de cinq ans, et 99,9% de ces décès ont lieu dans les pays les plus pauvres. La mortalité infantile est de 47% décès pour 1 000 naissances vivantes ; mais elle est de 5 décès seulement dans les pays riches. Lespérance de vie sur la planète est de 67 ans, mais de 79 ans dans les pays riches et de 40 ans seulement dans certains pays pauvres. En outre, il existe 1,1 milliard dhabitants privés daccès à leau potable ; 2,6 milliards sans services sanitaires et plus de 1,02 milliard de personnes affamées. Tel est le tableau actuel du monde. Mais, et la cause ? Quelle en est la cause ? Parlons-en un peu, ne nous dégageons pas de nos responsabilités, néludons pas la profondeur du problème. La cause, sans lombre dun doute je reviens sur cette question de tout cette situation désastreuse, cest le système métabolique destructeur du capital et son modèle incarné : le capitalisme. Jai ici une citation que jaimerais vous lire, brièvement, de ce grand théologien de la Libération, Leonardo Boff, qui comme chacun sait, est brésilien, cest-à-dire « notre-américain ». Voici ce que dit Leonardo Boff sur cette question : « Quelle est la cause ? Eh bien, la cause cest le rêve de vouloir chercher le bonheur à travers laccumulation matérielle et du progrès sans fin, en recourant à la science et à la technique, avec lesquelles on peut exploiter de manière illimitée toutes les ressources de la Terre ». Et il cite quelque part Charles Darwin et sa théorie de la sélection naturelle, la survie des plus forts ; mais nous savons que les plus forts survivent sur les cendres des plus faibles. Jean-Jacques Rousseau il est bon de sen souvenir signalait quant à lui : « Entre le faible et le fort, cest la liberté qui opprime ». Cest pourquoi lempire parle de liberté : la liberté dopprimer, denvahir, dassassiner, danéantir, dexploiter, voilà sa liberté. Et Rousseau ajoute la phrase libératrice : « Seule la loi libère ». Certains pays samusent à empêcher quun document soit adopté à cette rencontre. Pourquoi ? Parce que, précisément, ils ne veulent pas de loi, ils ne veulent pas de norme, car le fait quil ny ait pas de norme leur permet dexercer leur liberté dexploiter, leur liberté destructrice. Faisons un effort et faisons pression, ici et dans les rues, pour quici, de cette rencontre, naisse un engagement, un document qui engage les pays les plus puissants de la Terre ! (Applaudissements). M. le Président : Leonardo Boff se demande vous avez connu Leonardo Boff ? Jignore si Leonardo a pu faire le voyage. Jai fait sa connaissance au Paraguay ; je lai toujours beaucoup lu : « Une Terre finie peut-elle supporter un projet infini ? ». La thèse du capitalisme du développement infini est un modèle destructeur. Cest un état de fait et nous devons laccepter. Et Boff de nous demander : « Que pouvons-nous attendre de Copenhague ? » A peine ce simple aveu : nous ne pouvons plus continuer ainsi, et un objectif simple : nous allons changer de cap ? Faisons-le, mais sans cynisme, sans mensonges, sans doubles agendas, sans documents issus du néant, et avec la vérité comme valeur ultime. M. le Président, Mesdames et Messieurs, depuis le Venezuela nous demandons jusquà quand allons-nous permettre de telles injustices et de telles inégalités ? Jusquà quand allons-nous tolérer lactuel ordre économique international et les mécanismes de marché en vigueur ? Jusquà quand allons-nous permettre que de grandes épidémies comme le VIH/sida déciment des populations entières ? Jusquà quand allons-nous permettre que les affamés soient privés de la possibilité de se nourrir et de nourrir leurs enfants ? Jusquà quand allons-nous permettre que des millions denfants continuent de mourir de maladies curables ? Jusquà quand allons-nous permettre des conflits armés qui massacrent des millions dêtre innocents à seule fin que les puissants puissent sapproprier les ressources dautres peuples ? Que cessent les agressions et les guerres ! Cest que nous, les peuples du monde, demandons aux empires, à ceux qui prétendent continuer de dominer le monde et à nous exploiter. Nous ne voulons plus de bases militaires impériales ni de coups dEtat ! Construisons un ordre économique et social plus juste et équitable. Eradiquons la pauvreté. Stoppons immédiatement les niveaux élevés démission de gaz, freinons la dégradation environnementale et évitons la grande catastrophe du changement climatique. Adhérons au noble objectif dêtre tous plus libres et solidaires ! M. le Président, il y a près de deux siècles, un Vénézuélien universel, libérateur de nations et précurseur de consciences, légua à la postérité cet apophtegme, chargé de volonté : « Si la nature soppose, nous lutterons contre elle et nous la forcerons à nous obéir ». Cétait Simon Bolivar, le Libertador. Depuis le Venezuela bolivarien où, un jour comme aujourdhui à propos, il y a exactement dix ans que nous avons vécu la plus grande tragédie climatique de notre histoire, la tragédie dite de Vargas ; depuis ce Venezuela dont la révolution tente de conquérir la justice pour tout son peuple, uniquement possible à travers la voie du socialisme Le socialisme, cet autre spectre dont parlait Karl Marx, se promène aussi par là-bas ; mais il sagit plutôt dun « contre-spectre ». Le socialisme est la voie à suivre, cest la seule voie qui permettra de sauver la planète, je nai pas lombre dun doute là-dessus. Et le capitalisme est le chemin de lenfer, le chemin qui mènera à la destruction du monde. Le socialisme, depuis ce même Venezuela qui, pour cette même raison, est en butte aux menaces de lempire nord-américain, depuis les pays qui forment lALBA, lAlliance bolivarienne, nous lançons notre exhortation. Jaimerais, avec tout le respect que je vous dois et du plus profond de mon âme, au nom de beaucoup sur cette planète, exhorter les gouvernements et les peuples de la Terre, en paraphrasant Simon Bolivar, le Libertador : Si la nature destructrice du capitalisme soppose, alors luttons contre elle et forçons-la à nous obéir ; nattendons pas le bras croisés la mort de lhumanité. Lhistoire nous appelle à lunion et à la lutte. Si le capitalisme soppose, nous sommes dans lobligation de livrer la bataille contre le capitalisme et douvrir les voies du salut de lespèce humaine. Cette tâche nous incombe à tous, sous les bannières du Christ, de Mahomet, de légalité, de lamour, de la justice, de lhumanisme, du véritable et plus profond humanisme. Si nous ne le faisons pas, la plus merveilleuse création de lunivers, lêtre humain, disparaîtra, elle disparaîtra ! Cette planète à des milliards dannées, et elle a vécu pendant des milliards dannées sans nous, lespèce humaine. Autrement dit, elle na pas besoin de nous pour exister. Par contre, nous ne pouvons pas vivre sans la Terre, et nous sommes en train de détruire la Pachamama, comme dit Evo, comme disent nos frères aborigènes dAmérique du Sud. Pour conclure, M. le président, écoutons Fidel Castro lorsquil a dit : « Une espèce est en voie dextinction : lHomme ». Ecoutons Rosa Luxembourg lorsquelle a lancé : « Socialisme ou barbarie ». Ecoutons le Christ rédempteur lorsquil dit : « Bienvenus les pauvres, car le royaume des cieux leur appartient ». M. le Président, Mesdames et Messieurs, soyons capables de faire de cette Terre non pas la tombe de lhumanité ; faisons de cette Terre un ciel, un ciel de vie, de paix et de fraternité pour toute lhumanité, pour lespèce humaine. M. le président, Mesdames et Messieurs, merci beaucoup et bon appétit !
  13. Aldo

    Objectif baise

    avec le net, les femmes mariées c'est mieux
  14. Bravo à lui, je suis content qu'il ait marqué en plus, j'espere que cela va etre un déclic
  15. il suffit de porter tous les deux un prénom italien ici pour etre DC ?
  16. non je ne suis pas le DC de Platini, je suis bien un membre à part entière
  17. c'est quoi cette histoire de membre rose?
  18. Sympa le petit hommage à Dupuis, et qui sait peut etre contre Nancy...
  19. Plus beau que moi , tu meurs!

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