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ClarkGaybeul

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Tout ce qui a été posté par ClarkGaybeul

  1. Il dort ce topic... Pour le plaisir d'entendre Bonzo et son kit de batterie (une seule pédale de grosse caisse 😎 )
  2. On peut aussi considérer que le staff a une petite idée de ce qu'ils doivent faire, indépendamment des déclarations de Comolli... Magri peut tout aussi bien faire une saison énorme comme a su le faire Gignac ou bien décevoir dans les grandes largeurs malgré le statut de titulaire que l'on pourrait lui offrir. Personnellement je n'ai aucune idée de ce qu'il conviendrait de faire; encore plus à ce stade de la saison où tout est possible!
  3. C'est le cas, mais le montant n'est pas équivalent aux avantages tirés de la fiscalité....
  4. Il y a une différence entre « c’est de la comm » et analyser les propos tenus avec pour seule visée se trouver des excuses auprès des supporters en cas de vente. En l’espèce c’est possible aussi que le message ne soit pas à destination des supporters du TFC mais des autres clubs. Il y a plusieurs niveaux de lecture.
  5. Surtout avec la fiscalité qui les aide...
  6. Ou alors il n'est clairement pas vendeur: le joueur est sous contrat jusqu'en 2026, commence à s'imposer dans le 11 et se montre très prometteur. La vision d'un DC qui manipule en permanence les supporters, c'est peut-être la vision de certains mais ce n'est pas la mienne. Parfois retenir un joueur n'est pas possible quand le salaire proposé ne permet pas de s'aligner et que l'indemnité proposée est exceptionnelle. Rageant, mais c'est un point de vue réaliste.
  7. Jusqu'à preuve du contraire Donnum n'a pas encore dribblé sur 15m balle au pied, en plein match et en dehors du terrain.
  8. Il a parlé d'un stade entre 50 et 60 000 places, capable aussi d'accueillir une finale de coupe d'Europe (conférence league), le stade "du grand ouest de la France". Cela ne se restreint pas à l'accueil de demi-finales de Top 14 ou d'un match d'EdF. Mais je ne doute pas que certains prendront l'info qu'ils voudront pour appuyer Comolli ou au contraire le traiter de menteur.
  9. Efface ton post initial, je préfère.
  10. La première MT cela a tapé très fort, l'intensité était folle. Voir des mecs cramés à la 50e, avec des crampes n'est pas banal. Tout au long de la saison le ST a fait fort offensivement (meilleure attaque) tout en concédant aussi pas mal d'essais. Avant le match je me disais qu'il allait falloir concrétiser sur les temps forts parce que la défense finirait par être essorée et céder, surtout avec les rentrées des cadres du Leinster en 3e ligne. Eh bien non, le ST a fait une performance défensive exceptionnelle sur le match qu'il fallait... La victoire a coûté cher sur le plan physique, elle va laisser des traces et je n'en reviens toujours pas de ce qu'il a fallu faire pour battre le Leinster samedi.
  11. Pour le ST y’a peut être une UNE partagée avec le PSG, mais les articles c’est à partir de la page 16….. tout est dit.
  12. Compo prévisible pour le ST. Dommage pour Castro-Ferreira. Par contre le banc Van Der Flier - Conan - Ryan risque de faire mal….
  13. Non, l'objectif était de faire mieux. Je ne pense pas qu'il ait dit qu'il fallait être top 10. Même sur cette conférence de presse, il y a peu d'indications précises. S'il s'agit de "faire mieux à domicile", je pense que cela sera le cas car on a atteint cette année une performance exceptionnellement basse. S'il s'agit de vouloir revenir en Europe, c'est un voeu sans donnée temporelle précise (D'ici 1 an? 2? on en sait rien). Bref, c'est de la communication avec un discours autrement plus ambitieux à tout point que vue que les dernières années Sadran. Il faut mettre cela au crédit de Comolli, d'autant qu'il ne s'en sort pas trop mal depuis qu'il est arrivé au club. Mais cela reste avant tout un exercice de style....
  14. « Vous entrez en jeu lors du premier match, face au Danemark (1-0), en raison de faits de jeu. Pouvez-vous nous les raconter ? J'entre face aux Danois après la blessure d'Yvon Le Roux. Il était dans l'axe avec Max (Bossis), Manu (Amoros) était à gauche, Patrick (Battiston) à droite et Michel Hidalgo me demande d'aller m'échauffer car Yvon sent une gêne à une cuisse. Je suis donc entré au marquage d'Elkjaer-Larsen, l'attaquant de Vérone. Vient ensuite la connerie de Manu (un coup de tête au Danois Jesper Olsen), qui prend un rouge et trois matches de suspension. Je dois donc ma place de titulaire, sur les matches suivants, à une blessure, une suspension, et à la confiance d'Hidalgo, qui m'avait, je pense, sélectionné pour ma polyvalence. Je pouvais jouer dans l'axe et arrière gauche. Avant cela, vous ne comptiez qu'une sélection... J'étais déjà très content d'être dans le groupe France. En préparation, à Font- Romeu, j'étais à 200 %. La vie collective était extrêmement simple. On jouait aux cartes, les différentes personnalités te mettaient à l'aise. J'étais heureux d'être là et n'envisageais pas un tel Euro. Vous êtes donc titulaire en demies, face au Portugal. (Il sourit.) Oui, mais avant ça il y a eu le premier match que j'ai débuté, à Nantes, face à la Belgique (5-0). Le plus abouti. Après on a eu la Yougoslavie (3-2). Puis ce 23 juin, je suis de nouveau titulaire, le jour de mon anniversaire (27 ans), pour une demi-finale contre le Portugal, eh ouais ! Vous ouvrez la marque sur coup franc, exercice favori de Platini. Comment en êtes-vous arrivé à le tirer ? C'est long à raconter, mais ça se passe très vite ! L'arbitre, M. Bergamo, siffle une faute sur Michel, qui se plaint d'un genou. Il prend le ballon et essaie de le poser un peu plus dans l'axe... Bergamo lui dit : "Non, non, Michel. Tu remets le ballon à 1,50 m sur la droite". Gigi (Giresse), Michel (Platini), Patrick (Battiston), Yvon et moi sommes près du ballon. Je le touche car il est plutôt placé pour un gaucher. Et là, Gigi glisse aux autres : "Doudou les tire à Toulouse, et depuis longtemps !" Je retouche le ballon, je reste focus sur celui-ci, je prends mon élan comme si j'allais le frapper. Je dis : "Je le sens" et Michel me dit : "Vas-y !". Il avait vu qu'il y avait une ouverture. Je le prends comme je le faisais souvent en club : du cou-de-pied mais un peu de l'extérieur, pied gauche, en bloquant ma cheville. Bento fait un pas sur sa gauche car il s'attendait, je pense, à ce que Michel s'en charge. J'ai mis une frappe puissante dans sa lucarne droite. L'apothéose ? Magique. Tout le monde me félicite, je me souviens de Jeannot (Tigana), Gigi, Michel, Bernard (Lacombe)... Ce dernier me dit "pense à ton père", c'est tout lui. Quelqu'un de très famille avec qui j'ai vécu plein de choses à Bordeaux. Cette phrase m'a marqué. Ça reste le moment le plus exceptionnel de ma carrière en termes de sensations. Que pensez-vous quand Jordao égalise (74e) puis redonne l'avantage aux Portugais en prolongation ? Déjà, je suis un peu fautif sur son premier but. Je suis bien placé, mais je pense qu'il est derrière moi. Il prend le ballon de la tête et égalise. Sur le second, Chalana me dribble. J'étais sûr qu'il allait centrer du gauche. Je l'amène pour le contrer quand il rentre intérieur, mais il me crochète et centre du droit. Jordao reprend de volée et redonne l'avantage au Portugal avec beaucoup de réussite. « Michel m'a dit : "T'es le seul joueur que j'aie vu tenter un une-deux avec Yvon (Le Roux)" » Plusieurs de vos coéquipiers avaient connu Séville, deux ans plus tôt... On se dit qu'on ne peut pas passer à côté. Jeannot parle, gueule, nous fait réfléchir : "On n'a pas le droit de se louper ici, il faut se bouger !". Je n'ai absolument pas douté, les autres non plus. Hormis Michel, arrivé plus tard à Font-Romeu, nous avions tous suivi une excellente préparation. J'enchaînais les allers-retours et j'avais le volume pour continuer à pousser. Vous avez vu juste... À 5 minutes de la fin de la prolongation, Max (Bossis) me décale. Je m'appuie sur Yvon Le Roux, pour faire un une-deux, mais il tente une frappe. Contrée. Je continue ma course, le ballon va dans l'espace de Michel qui s'effondre, et je suis là, derrière, pour mettre un plat du pied gauche et battre Bento. Après le match, Michel me dit : "Tu es le seul joueur que j'aie vu tenter un une-deux avec Yvon. Il ne va jamais te remettre le ballon mais pivoter et tirer !" Mais sur le moment, on revient à 2-2. Un véritable soulagement ? La sensation est très différente de celle du premier but. Je me dis : "Ça y est, j'égalise, mais ce n'est pas fini". Dans le même temps, Tigana parle : "On a déjà perdu aux tirs au but en Espagne, on ne va pas lancer une série !" Et vous l'avez fait, à une minute de la séance de tirs au but... Luis (Fernandez) récupère un ballon alors que l'arbitre de touche lève son drapeau pour un hors-jeu portugais. M. Bergamo nous laisse l'avantage. Luis percute, s'arrache, donne le ballon à Jean (Tigana) qui réalise un exploit, technique et athlétique. Il centre un peu dans le dos de Michel (Platini) qui, je pense, est le seul joueur capable de faire un contrôle en sachant où il va la mettre alors qu'il y a trois ou quatre Portugais devant lui. Il donne l'impression d'avoir le temps, mais je vous assure que ça va vite dans sa tête, très vite. Ses qualités techniques et instinctives se sont exprimées. Ça fait 3-2 et on est en finale. Quelle place occupait Platini dans le groupe ? Il y avait Michel et les autres, mais il était toujours tourné vers le groupe. À l'époque, on n'avait pas d'analyse vidéo, on regardait juste des cassettes. Avant ou après dîner, on se réunissait dans un salon pour regarder l'adversaire. Aux manettes, c'était Michel (rires). Quand un match était moyen, il le passait en vitesse rapide. On pouvait disséquer une partie en 15-20 minutes maximum. La première fois que j'ai vu ça, j'étais mort de rire. Je me suis dit : "Putain, il fait ce qu'il veut !". Mais c'était un grand leader. Faisait-il vraiment ce qu'il voulait ? On a souvent dit qu'il faisait l'équipe avec Hidalgo. Ce sont les gens et la presse qui ont inventé cela. En revanche, à son arrivée à Font-Romeu, un médecin a voulu lui faire passer un test d'effort que tout le groupe avait déjà fait à fond. Il est monté sur le vélo et a dit : "Non, non, je ne le fais pas". Et il est parti. Le professeur s'est plaint mais ça ne servait à rien (rires). Il vous impressionnait ? Oui, par son regard. Il est charismatique. Quand tu es dans le vestiaire et qu'il te parle, c'est quand même marquant. Tu es content. Tu te dis : "Michel Platini m'a dit ci ou ça, c'est quand même pas n'importe qui !" On jouait tous en France, Six évoluait à Stuttgart, mais Michel était le premier à aller en Italie. « Même quarante ans plus tard, quand on se retrouve et qu'on se regarde, il y a quelque chose qui passe » Michel Platini est-il le meilleur footballeur avec lequel vous ayez joué ? Oui. Michel, Alain Giresse... Dans un autre registre, Jean Tigana. Par leur talent, leur intelligence et leur vision du jeu. Ils feraient certainement les mêmes différences aujourd'hui. Ils savaient tout faire. Qui est la star de ce France-Portugal ? Platini, Tigana, vous ? On n'a jamais été tournés vers le "je". J'ai regretté de ne pas avoir été là en 1986, mais cette génération (1982-84-86) a marqué les esprits car le partage et les valeurs collectives passaient avant tout. Le "nous" était le dénominateur commun. Cette génération a une histoire. Moi je n'en ai qu'une et celle-ci se termine bien. Même quarante ans plus tard, quand on se retrouve et qu'on se regarde, il y a quelque chose qui passe. C'est ça le foot et c'est ce qui est chouette. Vous avez toujours votre maillot de cette demi-finale ? Je l'ai gardé, bien sûr. Michel avait aussi institué une chose : après chaque rencontre, il remettait le fanion échangé avec le capitaine adverse au joueur qu'il considérait "homme du match". J'ai toujours celui de France-Portugal ! Hidalgo avait annoncé qu'il ne s'interdisait pas de vous aligner avec Amoros en finale. Savez-vous pourquoi cela ne s'est pas fait ? Non. Mais il m'avait dit qu'il ne pouvait pas m'enlever du onze après la demie. Manu ne démarre pas et, à un quart d'heure de la fin, Battiss' demande à sortir. Il s'assoit sur le banc et Manuel entre. Hidalgo lui demande s'il est blessé et Patrick lui répond : "Non, non, je voulais que Manu participe". Hidalgo était comme un fou ! Ce n'était pas le moment de faire ce genre de chose, mais c'était un beau clin d'oeil à Manu. Ça représente bien ce groupe. »
  15. L'équipe a fait un parcours plus homogène l'an passé. Cette saison, sur les matchs aller on avait la recette pour être barragiste. Sur la phase retour, on avait celle pour être européen... Pour moi les deux saisons sont très différentes.
  16. Ben moi je trouve que l'on fait mieux que l'an passé. En 2022 on débarque en L1 avec une équipe stable, rodée collectivement et sortant d'une saison exceptionnelle en terme de points et de résultats. Cette saison beaucoup de cadres sont partis, un nouveau coach novice a pris ses fonctions alors même qu'on avait l'EL en plus à jouer. Il a fallu jouer sur plusieurs tableaux tout en créant un nouveau collectif ... L'équipe est montée en puissance progressivement, la 2e partie de saison nous donne un parcours de quasi européen. C'est ce que je retiens: la dynamique qui s'installe.
  17. Oui, tout en ayant une masse salariale x5 par rapport à la notre. Pour l'instant c'est un autre monde sur l'ensemble d'une saison.
  18. Il parle au grand public, pas à des experts. Il doit donc convaincre et « enrober » les choses. Pour moi il n’a aucun intérêt à dévoiler la stratégie utilisée au vu et au su de tout le monde. La L1 est concurrentielle.
  19. I wanna Jaouen with youuuu Et sinon, tu penses que Kévina va se faire sortir de l'émission srx?
  20. Quand je disais qu’il fallait pas venir s’imprégner de notre forum ce soir, quand on est de Rodez. On vous a refilé la fébrilité post 90e
  21. C’est vain, ce soir à 23:00 faudra peut être tout remballer 😊
  22. On serait passés donc de 2 MD à 1 seul? Cadeau pour Brest.
  23. Il a pris le melon? Quels éléments le montrent? J’ai plutôt l’impression qu’il a la tête sur les épaules, le gamin.
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