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connemara

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et voilà que maintenant ils nous sortent que les débris retrouvés ne seraient pas ceux de l'airbus..

t'en veux du journalisme à 2 balles ? :huh:

Et que la nappe de kérozène était l'huile d'un bateau. :ninaj:

la bonne nouvelle quand même dans tout ça, c'est qu'on a enfin retrouvé Manureva -_-

:confus:

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Il fallait enchaîner avec "Elle est amoureuse...!" :ninja:

J'ai pensé exactement la même chose.

En même temps Morano c'est vraiment une conne opportuniste. :crylol: (comme beaucoup de femmes dans la politique, de mecs aussi mais on est plus habitué)

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Dans son livre "Le Grand Bazar", publié en 1975 chez Belfond, Daniel Cohn-Bendit évoque son activité d'éducateur dans un jardin d'enfants "alternatif" à Francfort :

"Il métait arrivé plusieurs fois que certains gosses ouvrent ma braguette et commencent à me chatouiller. Je réagissais de manière différente selon les circonstances, mais leur désir me posait un problème. Je leur demandais : 'Pourquoi ne jouez-vous pas ensemble, pourquoi mavez-vous choisi, moi, et pas d'autres gosses ?' Mais sils insistaient, je les caressais quand même". "Javais besoin dêtre inconditionnellement accepté par eux. Je voulais que les gosses aient envie de moi, et je faisais tout pour quils dépendent de moi ".

Daniel Cohn-Bendit, ancien éducateur dans un jardin d'enfants autogéré de Francfort avait ensuite démenti tout acte pédophile et soutenu que ses écrits reflétaient l'esprit de l'époque de "provocation contre le bourgeois".

"Ce qui est écrit dans "Le grand bazar" n'est "pas une réalité", mais "un condensé de faits observés", avait déclaré Daniel Cohn-Bendit. "J'ai raconté ça par pure provocation, pour épater le bourgeois" (...) et "sachant ce que je sais aujourd'hui des abus sexuels, j'ai des remords d'avoir écrit tout cela".

La polémique du moment

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Tout le monde tombe sur Bayrou, n'empêche que faut être sacrément con pour écrire ça par "provocation". :ninja:

tu as raison,

mais apres comment était la société de 1975?, pouvions nous ecrire n'importe quoi sachant que tout était plus ou moins permis et que rien ne pretait à conséquence...a voir

C'est sur qu'en 2009, les écrits de daniel le rouge choquent.

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Les réactions aux propos de Bayrou (source NouvelObs):

A GAUCHE

Harlem Désir, tête de liste PS aux européennes en Ile-de-France: "L'élection européenne n'est pas une élection de second ordre, elle ne doit pas être victime du défoulement des égos".

"Je demande le retour d'un débat digne. Maintenant ça suffit, les Français ont droit à une confrontation claire des projets pour l'Europe".

"Jusqu'au dernier moment de la campagne, mon seul combat sera de porter le projet des socialistes européens", assure le candidat qui "appelle les autres candidats à préférer la confrontation des projets plutôt qu'à s'abîmer dans les querelles de personnes". (Communiqué, vendredi 5 juin)

Benoît Hamon, porte-parole du PS : PARIS, 5 juin 2009 (AFP) - "C'était vraiment moche et je ne me sens pas appartenir à ce type ou cette race d'hommes politiques qui sont prêts à tout pour essayer de gratter une petite place sur l'échiquier". Selon lui, François Bayrou "a été très, très loin".

Cela "confirme que moins on parle d'Europe, plus on est dans le règlement de comptes, plus on pense à une autre échéance, plus ça conduit à ce type de dérapages et je les trouve regrettables".

"Savoir combien de fois Cohn-Bendit a vu Nicolas Sarkozy, honnêtement tout le monde s'en moque". Nicolas Sarkozy "sourit chaque fois qu'il voit ce type d'épisodes, parce qu'il sait qu'au bout du compte, il pourra revendiquer un passeport pour continuer comme avant". (Déclaration, vendredi 5 juin)

Martine Aubry, première secrétaire du PS : "J'appelle chacun à un débat digne", le débat européen "le mérite". S'agissant de la campagne européenne,"il nous reste quelques heures et l'enjeu de l'Europe est tellement important que nous devons avoir une campagne digne jusqu'au bout. Nous, nous n'avons qu'un seul adversaire, c'est l'UMP".

"Nous voulons envoyer au Parlement européen des hommes et des femmes qui ne crient pas contre telle ou telle personne, qui défende des valeurs, car notre combat est plus important que ces querelles qui ne sont pas à la hauteur des enjeux", a-t-elle également souligné.

Elle réaffirmé que François Bayrou n'avait "jamais parlé que de lui en 2012" dans cette campagne, et assuré qu'elle ne "comprenait pas" Daniel Cohn-Bendit.

"On l'aime bien à gauche parce que c'est un homme assez sympathique mais aujourd'hui, je ne sais plus très bien où il est. Il est avec José Bové, qui est un anti-libéral à tout crin. Pourquoi a-t-il voté la libéralisation des chemins de fer?", s'interroge-t-elle. (Déclaration, vendredi 5 juin)

Cécile Duflot, porte-parole d'Europe-Ecologie : "Depuis trois jours, les autres listes se sont mises à faire campagne à base de mensonges, de contre-vérités et d'attaques en dessous de la ceinture". "Non seulement ce n'était pas digne de ne pas faire campagne sur les sujets européens, mais devenir maintenant des véritables raclures de fond de bidet, je trouve ça invraisemblable", a-t-elle ajouté, espérant que les "électeurs ne seront pas dupes". "Nous, on va continuer à parler d'Europe" (Déclaration à l'AFP, jeudi 4 juin)

Jean-Luc Mélenchon, tête de liste du Front de Gauche dans le Sud-Ouest : Il a accusé la journaliste Arlette Chabot d'avoir organisé le débat télévisé jeudi soir sur France 2 de telle manière qu'il a tourné à "la foire d'empoigne" entre les huit ténors invités. "Le service public" de l'audiovisuel "se comporte d'une manière indigne depuis le début de la campagne". Ses responsables "ont rendu tout le monde enragé". On a, selon Jean-Luc Mélenchon, donné la part belle aux grandes formations: "nous, on nous a mis derrière le rideau parce que, nous, on est les pauvres, on vient pour le café, parce que les têtes d'uf du coin ont décidé que nous on était les petits". Il a accusé la journaliste Arlette Chabot, qui était "comme une boule dans un flipper", d'avoir organisé le débat de telle manière qu'il a tourné à "la foire d'empoigne". Lors de l'émission, le sénateur de l'Essonne, qui se plaignait de ne pouvoir assez s'exprimer avait lâché : "Allez au diable!", à l'adresse de la journaliste lorsqu'elle lui avait donné la parole. Jean-Luc Mélenchon a jugé que l'attaque de François Bayrou accusant Daniel Cohn-Bendit de complaisance avec la pédophilie était "très froidement calculée". "C'est un vrai guerrier quoi, et Cohn-Bendit, il a surréagi et donc, en principe, en télé, c'est mortel, celui qui surréagit perd le match".

"Le peu que les gens vont retenir" de ce débat "c'est une histoire entre Bayrou et Cohn-Bendit, c'est décevant, on a tellement de choses passionnantes à raconter, à discuter, à s'opposer". "Rien de tout cela, il ne reste que des chienneries, des batailles, moi je le regrette c'est pas l'idée que je me fais du débat politique".

(Déclaration sur RMC, vendredi 5 juin)

AU CENTRE

François Bayrou, président du Modem : Daniel Cohn-Bendit "a utilisé le mot 'ignominieux' : je ne connais pas de pire mot dans la langue française". "Pour ma part, je n'ai prononcé aucune injure", a-t-il dit : "j'ai rappelé un livre dans lequel il raconte des pratiques qui sont pour moi insupportables".

Il doit "assumer sa propre histoire et ses propres écrits" car en découvrant récemment le texte, il a été "blessé". "L'enfance mérite d'être défendue contre des théories de cet ordre", a-t-il poursuivi: "il y a des choses auxquelles je ne dirai jamais oui, pas plus aujourd'hui qu'il y a vingt ans". (Déclaration jeudi 4 juin)

- "Moi, je pense aux enfants et je considère que faire une théorie politique autour de ces pratiques, c'est dangereux pour les enfants. Si Daniel Cohn-Bendit regrette ce qu'il a écrit, qu'il le dise, qu'il le retire. Moi, en tous cas, je ne veux pas accepter d'insultes de la part de ceux qui ont choisi cette voie, au moins à cette époque de leur vie". (Déclaration sur RMC et BFM-TV, vendredi 5 juin)

A DROITE

Dominique de Villepin, ex-Premier ministre : "C'est très regrettable et tout ce qui nous éloigne (...) du débat européen me paraît dommageable pour les intérêts de l'enjeu de ce scrutin de dimanche".

"Ca veut dire que la campagne n'aura pas eu lieu, que le débat sur les grands enjeux de l'Europe n'a pas été posé", a-t-il ajouté appelant à "laisser les polémiques au vestiaire" et à "débattre de l'essentiel".

"Bayrou, qui a un engagement européen, est bien placé pour donner de la voix sur ces thèmes centraux, c'est sur l'Europe qu'il faut s'exprimer. Profitons des quelques heures de campagne qu'il nous reste pour parler de l'essentiel". (Déclaration, vendredi 5 juin)

Roger Karoutchi, secrétaire d'Etat aux Relations avec le Parlement : "Quand dans un débat entre Cohn-Bendit et Bayrou, on s'envoie des insultes, l'insulte a remplacé l'argument". "On est en train de faire sombrer le débat européen alors que chacune de ces listes affirme avoir une idée, une prétention, une ambition européennes". "Ce ne sont pas les petites guerres picrocholines d'ambitions mesquines qui doivent détourner [les électeurs] de l'enjeu européen, elles donnent une image d'une extrême médiocrité", a-t-il renchéri. (Déclaration à l'AFP, jeudi 4 juin)

Xavier Bertrand, secrétaire général de l'UMP : "Les propos et la façon de faire de la politique de François Bayrou m'écoeurent. Il a dépassé les bornes. J'ai ressenti comme d'autres participants (au débat télévisé) du dégoût en entendant ses propos". "Pour moi en politique on ne peut pas tout se permettre. Visiblement pour lui on peut tout se permettre. Ca en dit long sur le personnage".

"Ce n'est pas la conception que je me fais de la politique", et "c'est inquiétant, je vous laisse juges" (Déclaration, jeudi 4 juin)

Hervé Morin, président du Nouveau Centre : "La démarche de François Bayrou est celle d'un homme qui a perdu tous ses repères politiques. Il est en voie de chevènementisation complète, cette démarche totalement vaine le mène progressivement dans une impasse", a ajouté le ministre de la Défense. "Devant cette panique là, François Bayrou est prêt à utiliser des arguments et des méthodes que l'on connaissait chez Jean-Marie Le Pen, et pas chez quelqu'un qui est issu de la démocratie chrétienne", (Déclaration, jeudi 4 juin)

Michel Barnier, tête de liste UMP en Ile-de-France aux élections européennes : "Je suis du côté du débat européen, j'ai trouvé ça assez misérable que Bayrou attaque Cohn-Bendit de cette manière-là, misérable". Pendant sa campagne, François Bayrou "n'a pas vraiment parlé des européennes, il s'est trompé d'élection", a analysé Michel Barnier. "Il a voulu faire, trois avant, l'élection présidentielle, c'est son obsession", mais il faut respecter les gens et les électeurs". Daniel Cohn-Bendit, "c'est un opposant" mais "à gauche c'est le seul vrai européen, c'est le seul qui a parlé d'Europe. Il a des convictions crédibles et en parle intelligemment". (Déclaration sur LCI, vendredi 5 juin)

Alain Lamassoure, candidat UMP aux européennes sur la liste Sud-Ouest : "Je regrette que mon ami François Bayrou, avec qui je faisais campagne pour l'Europe il y a dix ans et qui avait lancé le premier l'idée selon laquelle que l'Europe avait besoin d'une Constitution, aujourd'hui ne parle plus que de François Bayrou" (Déclaration sur Canal+, vendredi 5 juin)

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tu as raison,

mais apres comment était la société de 1975?, pouvions nous ecrire n'importe quoi sachant que tout était plus ou moins permis et que rien ne pretait à conséquence...a voir

C'est sur qu'en 2009, les écrits de daniel le rouge choquent.

Pour situer les choses dans leur contexte, il faudrait relire les Libé des années 75. C'était LE journal dont il était interdit de dire du mal sous peine de passer pour un vieux con. Vous seriez plus qu'étonné en découvrant la teneur des articles. Il y avait ça, et plein d'autres choses du même acabit.

Bayrou et Cohn Bendit ont partagé une liste commune il me semble à l'occasion de je ne sais plus quelles élections. Ils s'accomodaient très bien l'un de l'autre, même s'ils savaient que l'un était un ex-soixante-huitard avec tout ce que ça entraîne, et l'autre, une grenouille de bênitier.

A propos du débat, je l'ai regardé assez attentivement. Sur le fond, c'était désolant. En fait, je l'ai trouvé plutôt intéressant sur la forme car il m'a permis d'en savoir un peu plus sur les personnalités des têtes de liste. Ce n'est jamais inutile. Je peux dire que c'est ceux qui ne sont jamais sortis de leurs gonds, qui sont sortis gagnants à mes yeux. Car comment pourrait-je confier des responsabilités à des gens qui perdent le contrôle ? Il y en a eu plusieurs dans ce débat, hélas. Encore un effort et tout ça se transformera en mascarade.

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La France, qui interdit le port du foulard islamique dans les écoles publiques, ne se sent pas concernée par les propos jeudi du président américain Barack Obama en faveur du port du voile pour les musulmanes en Occident, a précisé vendredi le ministère des Affaires étrangères.

«On ne se sent pas particulièrement concerné par cet élément particulier du discours (car) nous respectons tout à fait la liberté de culte, la liberté vestimentaire», a affirmé le quai d'Orsay. «Il y a un espace, lié à notre histoire, à la Constitution française et au fonctionnement de la France, pour lequel nous considérons que la neutralité doit s'appliquer».

La France joue l'innocente

Le président américain Barack Obama a défendu dans son discours du Caire le port du voile pour les musulmanes en Occident, prenant le contre-pied de la France et d'autres pays européens.

«Il est important pour les pays occidentaux d'éviter de gêner les citoyens musulmans de pratiquer leur religion comme ils le souhaitent, et par exemple en dictant les vêtements qu'une femme doit porter», a notamment lancé le président américain, qui est revenu par toris fois sur le sujet au cours de son intervention.

:ninja:

c'est cela un président progressiste?...

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