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Gollum

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  1. Pas tout à fait d'accord. Sévère à la rigueur car l'impact est assez faible. Mais ce que fait Hernandez est impardonnable de stupidité. Il fait partie des rares Parisiens à ne pas être au mieux...
  2. Gollum

    CDM clubs 2025

    Je m'aperçois que cette compétition n'a pas son topic... Or, comdab, si les premiers tours pouvaient laisser indifférent, plus on monte dans les étages, plus ça devient sympa. Et comme Las Vegas prévoit de lancer les jeux du dopage l'année prochaine, le problème des cadences infernales sera bientôt résolu . Parce que quand on voit les Parisiens s'arracher dans ces proportions pour éliminer le Bayern en quarts, on se demande à quoi ils tournent. La prestation des Parisiens est à la fois admirable et effrayante. Le trio portugais, en particulier - Mendes, Neves, Vitinha- continue d'évoluer à un niveau invraisemblable. Fin de match tendue et exaltante : Doué ouvre tardivement le score. Dans la foulée, Pacho puis Hernandez se font expulser pour des fautes grossières. Mais à 9 contre 11, Dembele parvient à doubler la mise, sur un service d'Hakimi éliminant trois bavarois sur l'action... Puis péno pour le Bayern... finalement annulé par la VAR. Le genre de match qui donne une signature à une nouvelle compétition en mal de reconnaissance...
  3. Mais les hauts, si . Car ces baby blues ont été héroïques. Vraiment de la belle ouvrage avec quelques individualités qui confirment leur statut premium (Guillard, Attisogbe mais pas seulement).
  4. Oui. Disons que certains sont plus collectifs et donc plus victorieux que d'autres .
  5. Oui, Lebel est peut-être le meilleur trois quart toulousain même si Chocobares sort une énorme première MT défensive. C'est vraiment un match qui confirme les stéréotypes: on a souvent mésestimé le pack bordelais mais hier soir, il est vraiment en-dessous, même si je ne vois pas qui peut être au-dessus de ce que j'ai vu hier soir chez les Stadistes, à la fois en termes d'engagement et de maîtrise (passé le début de match, le pack toulousain faute peu au regard de sa férocité). Et derrière, c'est l'inverse. Les trois quarts bordelais accélèrent à partir de rien et les brèches de Lucu au pied sont redoutables. En face, je ne vais pas m'acharner sur la charnière toulousaine mais bon... Pour les trois-quarts, compliqué de s'exprimer avec des sorties aussi lentes et autant de mauvais choix. Cependant, non seulement le rugby commence devant mais il s'y termine plus souvent qu'on ne le croit...
  6. Saison éprouvante. Pas mal d'événements contraires et même si, ne l'oublions pas, Toulouse a de la marge sur presque tout le monde, l'émergence de la concurrence bordelaise s'est payée cher. Mais c'est aussi ce qui a permis au Stade de se transcender, évidemment. Disons qu'il y a un contraste saisissant entre le festival de la saison dernière et la souffrance de ce soir parce qu'en termes de karma, voir Bordeaux revenir au score après ce qui s'est passé cette saison, tu peux effectivement te mettre à gamberger. Mais Jelonch, lui, apparemment, il gamberge pas...
  7. Moralement surtout (oui, je sais, facile une heure après le match ). Blague à part, quel soulagement... 2023, c'est la sidération de l'accélération de Ntamack à l'ultime seconde. 2024, une sorte d'admiration incrédule. 2025, c'est le triomphe dû aux gladiateurs. Car en effet, c'est inhumain de s'y refiler dans ces proportions après le coup de massue pris dans les dernières minutes du temps réglementaire et ce alors que tu domines le match pendant bien plus d'une heure. Je n'y croyais plus non plus . Et j'étais même un peu furax car ce pack toulousain méritait objectivement une autre ligne de trois quarts. Mais ce sont les avants qui ont fini par l'emporter. Ce n'est que justice. Et c'est beau. Ça durera ce que ça durera mais quel pied de supporter cette écurie stadiste, quand même... Je parlais bien de jeu, pas de coups de pied (Ramos sort un match franchement moyen mais au but, no comment...). Lucu maintient son équipe à flot derrière un pack sérieusement dominé tandis que Graou ne parvient pas à bonifier la domination de ses avants. C'est de toute façon incongru de comparer le remplaçant de Dupont en EDF - surtout avec la forme que tient Lucu ces temps-ci - et celui de Dupont au Stade - clairement un maillon faible - mais si le Stade avait perdu, au-delà de la très nette différence de qualité entre les deux lignes de trois quart, il aurait quand même fallu questionner le choix de ne pas prendre un joker à ce poste (Saito ne rentrant même pas, ce que tout le monde aura compris).
  8. Exactement : si Toulouse perd, ça se joue là. La manière dont la charnière - Ramos inclus - joue ces 10 mn est terrible... De manière plus générale, y'a l'opposition stéréotypée entre les deux équipes : une classe d'écart pour le pack toulousain, une classe d'écart pour la ligne bordelaise. Et que Kinghorn soit encore sur le terrain est incompréhensible, soit dit en passant (il est cramé).
  9. Il prend une dimension à la Dupont. C'est peu dire que ce pauvre Graou souffre de la comparaison.
  10. mais c'est quoi ce coup de pied misérable de Graou. Lui, j'ai du mal quand même...
  11. Ils jouent bien le coup en étant dominés, notamment en jouant au pied dans la rush défense toulousaine. Mais les Toulousains font une première période en mode finale. J'ai été agacé par cette faute stupide de Mallia en tout début de match (placage en l'air sur Jalibert) puis cette touche perdue d'emblée mais ensuite, les Stadistes n'ont plus fait la moindre faute de goût ou pas loin. Côté bordelais, les HJ défensifs de Jalibert rapportent gros - mais il ne peut décemment pas défendre sans prendre un mètre d'avance... - et si les absences toulousaines sont évidemment lourdes, à Bordeaux, l'absence de Coleman vaut cher aussi, je pense. Ah. Ntamack out... quelle saison pourrie...
  12. Allez, on va dire 18-17 pour le Stade. Ça n'est possible que si les Toulousains sont intraitables en défense, retrouvés dans la bataille du sol et un peu moins gauches qu'en demi-finale en touche. Car les Bordelais gagneront la bataille du pied.
  13. Complètement d'accord . Après, je pense que les Toulonnais auraient fini par lâcher physiquement mais le match aurait duré plus longtemps.
  14. Oui, il faut y croire, d'autant plus qu'être challenger est toujours plus confortable. Normalement, les Bordelais doivent l'emporter parce que la dynamique leur est favorable, parce qu'ils ont battu le Stade trois fois sur trois cette saison et last but not least parce que l'esprit de revanche est plutôt de leur côté après la branlée qu'ils ont ramassée l'an dernier. Autant dire qu'une victoire stadiste serait une surprise et on est tellement peu habitués à cette position qu'il ne faudra pas bouder notre plaisir si ladite surprise se concrétise. Je vois deux raisons d'y croire : (1) ces phases finales respectent le classement de la saison et je n'oublie pas que le premier de la phase régulière, ça reste Toulouse. (2) je trouve l'analyse des deux demies un peu en trompe l'oeil. En gros, Bordeaux a "étrillé" Toulon et Toulouse a galéré contre Bayonne. OK mais on peut voir les choses un peu différemment : hormis en toute fin de match, la défense toulousaine n'a pas laissé à Bayonne la moindre possibilité d'entrevoir une qualification, Bayonne ne survivant que grâce aux pénalités ALC concédées par les Toulousains. Au contraire, avec deux neurones aérés en plus, les Toulonnais auraient pu (voire dû) faire très mal aux Bordelais durant les 45 premières minutes du match. Jaminet a globalement fait n'importe quoi (il a de vraies qualités athlétiques mais niveau neurones, je suis pas franchement convaincu). Et que dire de cette relance débile des Toulonnais en début de seconde période, ponctuée par un en-avant grotesque de Sinzelle, donnant une mêlée aux Bordelais, à la suite de laquelle le match sera scellé ? Je pense que les Toulonnais peuvent se les bouffer alors que Bayonne n'a jamais rien eu à espérer. Reste que les Bordelais récitent un meilleur rugby, c'est indéniable. Il faudra donc que le Stade performe en touche, oui, s'y file méchamment dans les rucks et surtout, surtout, améliore son jeu au pied dans des proportions dont je doute qu'elles soient possibles. En gros, je dirais que sans un Ntamack et un Ramos retrouvés, le Stade n'aura que ses yeux pour pleurer. Avec ces deux là en meilleure forme, qui sait ? Envoyer des comètes offensives sur l'astre Jalibert, ça pourrait faciliter l'alignement en question .
  15. Oui. Les Toulonnais ont un peu la trajectoire du Stade - dernières semaines compliquées - et puis, on voit aussi combien le match de barrage pèse dans les pattes...
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