-
Compteur de contenus
9027 -
Inscription
-
Dernière visite
Tout ce qui a été posté par RobespierreDorsini
-
Rachat du club
RobespierreDorsini a répondu à un chubee de RobespierreDorsini dans Espace supporters
Reprise sympa d'un article de Corse Matin : https://www.lesviolets.com/actu/data-bastia-aimerait-faire-comme-le-tfc-mais-cela-coute-tres-cher-,63046.html On y voit bien que le TFC de Red Bird n'est pas radin. Il ne met peut-être pas l'argent dans des salaires faramineux, mais 8 personnes en charge de la data, plus le coût du logiciel Zelus, ça doit quand même coûter 1 bon million à l'année. Rien de nouveau en soi, mais c'est bien de pouvoir petit à petit quantifier les investissements invisibles qui sont faits. -
Joueur Deiver Machado
RobespierreDorsini a répondu à un Bonilla de RobespierreDorsini dans Anciens du TFC
Bonne nouvelle pour lui, ce ne seront pas ses mauvaises performances en club qui lui feront rater la Coupe du Monde -
Mercato 2022-23
RobespierreDorsini a répondu à un Labinocle81 de RobespierreDorsini dans Mercato d'été 2022
On t'a reconnu Franck Sadran. Juste pour rappel, voilà l'équipe avec laquelle on a ouvert la D1 de 2003. https://www.ligue1.fr/feuille-match?matchid=3329 Je sais pas si t'appelle ça une équipe de L1, moi non -
Actualités politiques
RobespierreDorsini a répondu à un Mister Yellow de RobespierreDorsini dans Le Bistrot
Je ne débats pas de la lucidité ou non de sa position, ni de l'intelligence ou non de cette femme politique. Honnêtement je ne la connais que peu, comme pas mal de gens de gauche autoir de moi. Je constate qu'ici les gens de droite semblent beaucoup la suivre, bien plus que les gens de gauche, soit pour la traiter de débile soir pour être d'accord avec elle quand ça les arrange. C'est quand meme drole qu'à ce moment-la elle devienne "lucide". L'utilisation de ce genre de mots pour objectiver ses propres positions a quelques chose de fascinant. Un jour j'écrirai un livre là-dessus. -
Mercato 2022-23
RobespierreDorsini a répondu à un Labinocle81 de RobespierreDorsini dans Mercato d'été 2022
Bien, soit, un nouveau central et un latéral droit remplaçant, j'envoie la commande à Comolli. Je vous mets des olives ou des cacahuètes pour patienter ? -
Actualités politiques
RobespierreDorsini a répondu à un Mister Yellow de RobespierreDorsini dans Le Bistrot
Tiens, quand elle se place contre la ligne dominante d'LFI, ce n'est plus une idiote sur laquelle il faut tomber à chaque occasion ? -
Mercato 2022-23
RobespierreDorsini a répondu à un Labinocle81 de RobespierreDorsini dans Mercato d'été 2022
Ben si certains partent, on les remplacera... Et si d'autres joueurs arrivent on prêtera ceux en trop. C'est pas le pire des problèmes que l'on puisse rencontrer. Tu as lu la phrase sur les râleurs ? 😅 -
Mercato 2022-23
RobespierreDorsini a répondu à un Labinocle81 de RobespierreDorsini dans Mercato d'été 2022
Si jamais on arrive à recruter Zanden et Bouchouari, le mercato me paraît clôt – hors départ à compenser. GB : Dupé et Haug ARD : Desler et Diakité DC : Rouault, Nicolaisen, Costa, Kebel ARG : Sylla et Zanden MDC : Spierings et Sidibé MC : Genreau, Bouchouarie, Mvoué et Chaibi MO : VdB, Dejaegere et Skytta AIG : Ratao, Begraoui et Flemmings AID : N'Goumou et Aboukhlal AC : Dallinga, Rhys et Ado 27 joueurs pros (j'ai pas compté Himeur, Restes, Petersson, Diarra, Serber, Rapnouil et les prêtés), ça fait peut-être un ou deux en trop mais c'est pas déconnant non plus. Les râleurs vont râler, mais moi je trouve qu'elle a déjà de la gueule cette équipe. -
Actualités politiques
RobespierreDorsini a répondu à un Mister Yellow de RobespierreDorsini dans Le Bistrot
POLITIQUE ÉCONOMIQUE - ENQUÊTE Macron, Amazon et Google : des documents que l’Élysée a voulu garder « secrets » démontrent une grande proximité 13 juillet 2022 | Par Alexandre Léchenet Au nom du secret des affaires, l’Élysée avait refusé de transmettre à Mediapart les échanges entre les lobbyistes d’Amazon, Google et autres géants du numérique avec la présidence de la République. Le tribunal administratif nous a cependant donné raison et nous venons d’avoir accès à ces échanges, qui montrent la construction permanente d’un discours commun. Tout comme chez Uber, un lobbyiste d’Amazon a même œuvré pour la campagne d’Emmanuel Macron en 2017. Le culte du secret ne concerne pas uniquement Uber. Mediapart a enfin eu accès, il y a quelques jours, et après trois ans d’attente, aux échanges entre des conseillers du président et les lobbyistes et dirigeants des Gafam (Google, Apple, Facebook, Amazon, Microsoft) datant du second semestre 2017. Curieux de savoir quelle relation et quelle proximité la présidence entretenait avec ces multinationales, nous avions demandé en 2019 à l’Élysée de nous communiquer ces documents administratifs. Mais l’Élysée s’y était opposé, au nom du secret des affaires. Mais quelles « affaires » ? À entendre Emmanuel Macron à propos d’Uber, il s’agirait juste de développer l’emploi en France. Il a donc pourtant fallu passer par la Commission d’accès aux documents administratifs puis par le tribunal administratif de Paris pour obtenir gain de cause. Le tribunal a estimé que dans les 90 pages communicables, une seule (une note de la DGFIP relative à la situation fiscale d’Amazon) et trois paragraphes sur une autre (un mail sur la stratégie fiscale de Microsoft) pouvaient porter atteinte au secret fiscal et n’avaient donc pas à être communiqués. Emmanuel Macron avec le directeur des opérations françaises d'Amazon, Ronan Bolé (a droite) lors d'une visite à l'usine Amazon de Boves, près d'Amiens, le 3 octobre 2017. © Photo Yoan Valat / Pool / AFP Tous les autres documents ont été finalement transmis à Mediapart et montrent comment Emmanuel Macron et ses conseillers travaillent main dans la main avec Amazon, Google ou Microsoft. On a parfois l’impression de lire l’élaboration d’une forme de coproduction dans la communication qui sera faite de part et d’autre sur le développement de ces géants du numérique en France. Et ce, alors même que ces entreprises étaient sous le coup de redressements fiscaux et que la « taxe Gafa » promise par l’exécutif tout au long du quinquennat ne verra pas le jour, remplacée par un impôt global sur les multinationales. Questionné, l’Élysée n’a pas donné suite à nos sollicitations. Ces documents donnent aussi à voir les coulisses des annonces, et les relations entre lobbyistes et conseillers. Les « Uber Files » ont permis de savoir que le lobbyiste Mark MacGann a travaillé dans l’équipe de campagne d’Emmanuel Macron en 2017. Les documents administratifs que nous avons obtenus montrent que, lors de la préparation de cette même campagne, on trouvait également un lobbyiste d’Amazon, Jean Gonié. Il a « poussé » le thème de la transformation de la France en champion du commerce en ligne et de la logistique « durant la campagne présidentielle, au sein des groupes de travail d’En Marche auxquels il participait », est-il écrit dans une note que Fabrice Aubert, conseiller « institutions, action publique et transition numérique », adresse au président. Alors comment s’étonner de retrouver la trace d’une forte proximité après l’accession d’Emmanuel Macron à l’Élysée ? « Je me réjouis de te revoir demain », s’enthousiasme Jean Gonié, responsable des affaires publiques d’Amazon, en septembre 2017 dans un mail envoyé à Fabrice Aubert. Leur rencontre est prévue pour préparer l’inauguration du centre logistique de Boves, non loin d’Amiens, en présence d’Emmanuel Macron et de plusieurs pontes d’Amazon, le 3 octobre 2017. Une inauguration qui donne lieu à la construction d’un discours commun. Le nombre d’emplois – « 500 CDI » – créés par le centre logistique est martelé partout, du dossier de presse aux propositions de prises de parole du président, en passant par le petit bristol que le président glissera dans le premier colis qu'il enverra lui-même depuis le centre . Seule ombre à l’idylle entre Amazon et l’Élysée : le contentieux fiscal Pour amplifier ce chiffre, Fabrice Aubert réclame même que l’annonce de l’ouverture d’un autre site d’Amazon, à Brétigny-sur-Orge, en Essonne, soit faite lors de l’inauguration du site de Boves : « Nous apprécierions un report de la pose de la première pierre à Brétigny », demande-t-il à Jean Gonié début septembre. Une annonce qui sera même scénarisée dans les moindres détails. Ronan Bolé « fera l’annonce officielle de la création d’un second site de 1 000 emplois en Île-de-France » lors de l’inauguration, écrit Fabrice Aubert au président, ajoutant qu’Emmanuel Macron pourra « saluer cette bonne nouvelle pour l’économie francilienne ». Seule ombre à l’idylle entre Amazon et l’Élysée, le contentieux fiscal. En amont de l’inauguration, Fabrice Aubert récupère « l’annexe fiscale d’usage » auprès de la direction des finances publiques (DGFIP), par l’intermédiaire du conseiller «fiscalité » du président. Amazon est alors en cours de négociation avec le fisc au sujet de son redressement fiscal. « Amazon fera part d’une demande dans le sens d’une plus forte convergence des taux de TVA entre États membres », ajoute Fabrice Aubert. Un ping-pong sur les sujets fiscaux qui sera également au menu lors de l’inauguration de l’usine, mais loin des caméras et du public, dans un échange « en aparté avec une délégation de la direction du groupe Amazon ». Le vice-président d’Amazon « vous encouragera à soutenir la convergence du marché unique européen numérique », prévient Fabrice Aubert dans une note au président, ajoutant qu’il « exprimera un satisfecit concernant la reprise des discussions entre Amazon et la DGFIP concernant l’apurement du contentieux fiscal ». Il suggère une réponse, en anglais : « Même si je ne peux pas interférer avec des procédures particulières, mon souhait est que les débats au sujet des impôts payés par les Gafa de ces dernières années puissent être résolus dans un sens satisfaisant pour la France. » Les discussions entre Amazon et le fisc se solderont en février 2018, par un accord de règlement dont le montant n’a pas été divulgué. Faut-il ouvrir ses portes à des entreprises qui paient pas ou peu d’impôts en France ? Sous le quinquennat de François Hollande, la question semblait plus complexe. En janvier 2017, Thierry Mandon, secrétaire d’État chargé de la recherche et de l’innovation, dit vouloir « faire émerger des champions français de l’IA » et tance les « sociétés internationales qui pillent nos chercheurs, sans payer leurs impôts chez nous ». C’est une autre direction que prend Emmanuel Macron quelques mois plus tard, puisque la présidence de la République va encourager l’installation d’un centre de recherche sur l’intelligence artificielle à Paris. À l’occasion d’une rencontre avec plusieurs employés de Google en novembre 2017, Thierry Coulhon, conseiller « recherche » du président, apprend que Google hésite entre la France et l’Allemagne pour ouvrir un centre de recherche sur l’intelligence artificielle. « Un petit SMS du PR [président de la République – ndlr] à Eric Schmidt pourrait contribuer à faire basculer les choses du bon côté », écrit-il à ses collègues Cédric O et Fabrice Aubert. Les trois brouillonnent alors un projet de SMS que le président pourrait envoyer au patron d’Alphabet, maison mère de Google. « Saurais-tu nous dire si le président a finalement envoyé son SMS à Eric Schmidt ? », relance quelques jours plus tard Fabrice Aubert. Nous ne connaissons pas la réponse, mais trois mois plus tard, le patron de Google, Sundar Pichaï, annonce l’installation du centre de recherche à Paris, promettant une dizaine d’emplois, lors du premier sommet « Choose France », organisé à Versailles le 23 janvier 2018. Une annonce relayée en vidéo, sur le compte de l’Élysée. La France est de retour, et ce n’est pas (seulement) nous qui le disons ! Écoutez @sundarpichai, PDG de Google, #ChooseFrancepic.twitter.com/KLruxNkUIG — Élysée (@Elysee) January 24, 2018 © Élysée Contacté, Google confirme que la genèse de ce centre de recherche sur l’IA est la rencontre entre Emmanuel Macron et Eric Schmidt au salon VivaTech, en juin 2017, et que les rendez-vous se sont poursuivis jusqu’en janvier 2018, et indique qu’il est normal pour une entreprise de leur envergure d’avoir des rapports partenariaux avec les autorités publiques. Là encore, les annonces se font alors que, dans le même temps, Google fait l’objet d’un redressement fiscal de 1,15 milliard d’euros, qu’il contestait devant le tribunal administratif. Ni dans la proposition de SMS, ni quelques mois plus tôt, à l’occasion du salon VivaTech, ce sujet n’est abordé. L’occasion se présente en juillet 2017, sur la proposition de Google. Caroline Atkinson, responsable de la politique internationale de Google et ancienne conseillère de Barack Obama, est de passage en France, pour participer aux Rencontres économiques d’Aix-en-Provence. Image 7, l’agence de communication d’Anne Méaux, propose à Alexis Kohler un rendez-vous avec elle, insistant sur son rôle précédent dans l’administration Obama, et précisant qu’Alexis Kohler l’a « déjà rencontrée en 2016, dans [ses] précédentes fonctions », alors qu’il était directeur de cabinet d’Emmanuel Macron à Bercy . Celle-ci aimerait faire un détour par Paris pour évoquer divers sujets dont « la transformation numérique », « la concurrence » ou encore « la fiscalité ». « Ne serait-ce pas l’occasion d’un échange franc sur les questions fiscales (celui que n’a pas eu le PR avec Schmidt) ? », s’interroge Cédric O, conseiller sur les questions numériques, dans la foulée, qui semble ainsi regretter qu’Emmanuel Macron ne prenne pas plus en considération cette thématique. Dans une note, les conseillers suggèrent au secrétaire général de « réitérer le message de fermeté de la France sur le nécessaire rééquilibrage entre États de la fiscalité des géants du numérique », et de « souligner que d’autres grandes sociétés du numérique, comme Amazon, ont fiscalement un établissement stable en France ». Les conseillers évoquent aussi la récente condamnation de Google pour abus de position dominante. Si le redressement fiscal de Google a été dans un premier temps annulé en juillet 2017 par le tribunal administratif puis par la cour administrative d’appel, Google a finalement, en septembre 2019, accepté une transaction pour un milliard d’euros, pour solder ses contentieux judiciaires et fiscaux. Google nous indique avoir résolu ces désaccords fiscaux dans le cadre d’un accord financier, et avoir en parallèle poussé pour une réforme fiscale, coordonnée de manière internationale. « La fiscalité des affreux Gafam », ainsi qu’ironise Cédric O dans un mail, est également au menu des discussions avec Microsoft. Nullement lorsque Cédric O rencontre Vahé Torossian en juillet 2017, directeur de Microsoft France, à en juger par les notes prises lors de l’entrevue que nous avons obtenues ; mais quelques mois plus tard, à l’initiative du lobbyiste de Microsoft, Jean-Renaud Roy, qui semble vouloir donner des éléments de langage à la présidence de la République lorsqu’il leur propose de leur présenter leurs initiatives pour payer davantage d’impôts en France, notamment dans la perspective du déploiement de son offre « cloud ». Fin août 2017, L’Express avait révélé que le fisc réclamait à l’entreprise 600 millions d’euros. Dans son mail en novembre, Jean-Renaud Roy dit vouloir éviter au gouvernement « un problème de cohérence » ou « d’affichage », expliquant que « les redressements éventuels [...] peuvent être mis en échec », notamment faute d’établissement fiscal stable en France. « Des montants bien plus élevés que ceux des contentieux avec l’administration fiscale connus cette année pour d’autres entreprises pourraient fuiter dans la presse et témoigner de l’impuissance politique/publique », alerte-t-il. C’est pourquoi il propose une rencontre pour faire preuve de pédagogie. « Nous n’interférons pas dans le traitement, par l’administration fiscale, des dossiers particuliers, même importants », tempère le conseiller « fiscalité » du président, mais il se dit « preneur d’un échange sur l’évolution de votre politique et votre appréhension générale de la fiscalité des GAFAM ». -
Actualités politiques
RobespierreDorsini a répondu à un Mister Yellow de RobespierreDorsini dans Le Bistrot
Article commencé hier. J'ai meme repris un abonnement à Mediapart histoire de passer un été plus chaud que la météo 💩 Je vais reprendre dans le train. Insolation de la rétine assurée -
Plus de neurones, pas sûr. Il a couru comme si c'était une course de 8 jours, à attaquer quotidiennement même sur le pavé. C'est faire preuve de panache, d'envie, d'arrogance aussi, mais pas forcemment de jugeotte. C'est la volonté tout jouer de la Jumbo qui a apporté le spectacle. Le vert force WVA à prendre les échappées pour marquer les points, le général à attaquer Pogacar en montagne. Et encore, avec un VdP en forme, ça aurait été encore plus la fête du slip sur les étapes où WVA s'évole. Sans la Jumbo, on avait un tour où non seulement Pogacar dominait en montagne, mais aussi sur les étapes accidentés. Collectivement ils font une année monstrueuse. Faut revoir la victoire de Laporte sur le Paris-Nice pour comprendre à quel point ils sont en mode cyclisme total.
-
Joueur Ali Ahamada
RobespierreDorsini a répondu à un Kazim9 de RobespierreDorsini dans Anciens du TFC
Ici ou topic TAALC, quelle différence ? https://www.footmercato.net/a4968754572724554814-ali-ahmada-signe-en-tanzanie -
2022/2023 Maillots
RobespierreDorsini a répondu à un Faurégol de RobespierreDorsini dans Espace supporters
Vous pourrez le porter ensemble au SunSka Festival -
Le moment où Van Aert est allé chercher Roglic pour le ramener après le Galibier... dingue. D'ailleurs, malgré les 11 minutes prises, Roglic arrive avec le sourire. C'est incroyable de voir une équipe qui pense autant équipe.
-
Les Jumbo ont fait un boulot de malade
-
Ils ont déjà passé Morzine 👨⚕️
-
Pfiou quelle étape Bon par contre demain Pogi il met 5min à tout le monde, mais bon sang que c'est beau !
-
2022/2023 Maillots
RobespierreDorsini a répondu à un Faurégol de RobespierreDorsini dans Espace supporters
Mon dieu quelle horreur, on croirait un third de l'OM -
Actualités politiques
RobespierreDorsini a répondu à un Mister Yellow de RobespierreDorsini dans Le Bistrot
Le rapprochement est plus à faire avec Trump et Johnson, par leur position similaire et leur capacité à exploiter des mensonges. Macron a monté une stratégie politique concomitante à celle de Uber, les deux s'entremêlant même sur de nombreux points comme le prouvent les UberLeaks. Il a utilisé consciemment et volontairement les mensonges payés par Uber. Comme Johnson avec le Brexit, comme Trump et... à peu près tout ce qu'il a fait et dit. J'espère que cela servira à créer une jurisprudence autour de la parjure, principe autour duquel on est très léger en France. C'est un point de justice qui pose problème dans le droit français, surtout en politique. Je ne comprends pas que le mensonge, surtout quand il dessert l'intérêt de l'état, ne soit pas interdit. La faculté à se sentir au-dessus des lois de Macron finira par lui poser problème. Il n'a sans doute pas bossé dans l'ombre que pour Uber, mon intuition me fait penser que nous ne sommes qu'au début d'une séquence politique autour des positions abusives prises par Macron et LREM. -
Joueur Kjetil Haug
RobespierreDorsini a répondu à un Casimir de RobespierreDorsini dans Joueurs et staff
Il a affirmé venir pour être numéro 1 (c'est un mec qui vise, Haug ) et les indiscrétion venues du stadium disaient que Comolli cherchaient un gardien numéro 1. Il devrait démarrer la saison titulaire. J'aimerais bien savoir si avec le budget qui remonte on va de nouveau avoir Barthez pour conseiller les gardiens. Les résultats étaient très bons en sa présence, même si ce n'est peut-être qu'une corrélation. -
Actualités politiques
RobespierreDorsini a répondu à un Mister Yellow de RobespierreDorsini dans Le Bistrot
Ba oui, elle avait qu'à pas mettre de jupe Le vrai problème, c'est que comme c'est une femme de gauche, la majorité des hommes n'écoutent pas le fond pour ne juger que la forme. C'est ça qui peut-être vu comme du sexisme. Après faut pas s'étonner que les gens de droite saute là-dessus. Le débat de fond sur Macron, il les arrange pas trop Faudrait par exemple reconnaître que ses promesses sur les SDF étaient complètement pipeau et qu'il n'a rien fait depuis. C'est d'ailleurs ce que pointait du doigt Rousseau, dans une intervention qui au-delà de l'erreur d'élocution est très pertinente. Dans le fond, notre président n'est pas différent de Johnson ou de Trump. Son attitude dédaigneuse et irresponsable de déni le rapproche d'eux tous les jours un peu plus d'eux. Les faits, c'est que Macron a aidé plus que de raison une entreprise multi-déliquante, déjà condamnée déjà 6 ou 7 fois en France. Il y a un moment où il paiera ce calcul politique malhonnête mâtiné d'arrangements occultes et de fakenews sciemment poussées. Trump, Johnson et Sarkozy aussi se pensaient au-dessus des lois, à utiliser certaines fake-news qui les arrangeaient. Ils ont fini par retomber violemment sur terre, dans un mouvement de chute aussi violent que leur politique. Je peux prédire le même sort à Macron, d'ici une petite dizaine d'année. Il a déjà un nombre de casseroles incroyables dans le conflit d'intérêt alors qu'il est président. J'ose même pas imaginer ce qui va finir par sortir dans le futur. Fun fact, ce sont des choses qui sont arrivés à Chirac et Sarkozy, mais pas à Hollande. C'est marrant que les conflits d'intérêts soient plus important à droite qu'à gauche. On se demande bien pourquoi... -
C'est ce qui nous avait déjà envoyé en L2 en 2000. Le partenariat avec le Quick de la Cepière, son Giant offert sur présentation du ticket du match, avait épuisé les estomacs des joueurs. Eugène Dadi ne s'en remit jamais. Il a depuis le logo Quick barré tatoué sur le pectoral gauche On va repartir en National, c'est foutu
-
Joueur Janis Antiste
RobespierreDorsini a répondu à un Casimir de RobespierreDorsini dans Anciens du TFC
Il était déjà prévu qu'il fasse ce voyage là. À la base, il y avait des rumeurs disant qu'il serait acheté par Sassuolo, avec un prêt de 2 ans à la Spezia. https://www.lequipe.fr/Football/Actualites/Janis-antiste-toulouse-va-etre-transfere-pour-cinq-ans-a-sassuolo-puis-etre-prete-a-la-spezia/1279397 -
Pogacar qui met Kemna à 11 secondes juste pour faire chier les autres leaders de la course
-
Actualités politiques
RobespierreDorsini a répondu à un Mister Yellow de RobespierreDorsini dans Le Bistrot
C'est juste que Sandrine Rousseau est une cible de choix pour pas mal de forumeurs, et pour le coup je suis allé voir quelle était sa "bourde" après ton message et je n'ai rien vu d'autre qu'une vidéo d'elle interpellant sur la situation des SDF en pleine canicule. Je me demande encore ce qu'il y a de choquant là-dedans.