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Vistule

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Tout ce qui a été posté par Vistule

  1. Tout le message parle de la dynamique sur deux mois et demi en comparaison entre Nantes et Toulouse, avec une nette amélioration dans le contenu depuis désormais 1 mois, tu coupes un bout de phrase et tu me dis que ça ne veut rien dire de juger sur un match et qu'il faut plus de temps pour parler des problèmes de Toulouse... Que veux-tu que j'y fasse ? 😁 Avec 6 matchs contre la première partie du championnat, 7 contre la seconde, 8 matchs à domicile pour 6 à l'extérieur, je trouve qu'on a plutôt un bon calendrier au contraire
  2. Bizarre que tu interprètes ça comme un bilan sur un seul match, puisque je parle explicitement de la période allant du licenciement d'Aristouy (J13) à la dernière journée de L1 (J20). Ça fait 7 journées, sur 2 mois et demi, du 29/11/23 au 07/02/24. Bien sûr qu'on ne peut pas s'enflammer sur un seul match. Mais si on regarde sur le plus long-terme, ces deux mois et demi depuis que Gourvennec a été nommé, on a pris plus de points qu'eux. Et même s'ils nous battaient dimanche, on aurait toujours pris plus de points qu'eux sur la période. Sans compter le jeu, sur lequel nous sommes en progrès, tandis qu'eux sont en pleine décrépitude. Des fois, sur ce forum, j'ai l'impression que les membres passent plus de temps à chercher la petite bête qu'à essayer de mutuellement se comprendre
  3. Content pour Haug ! Bodø/Glimt est une bonne équipe, qui joue encore la C4. D'ailleurs, il va retrouver VdB lors de son prochain match d'Europe !
  4. Le fait que les recrues l'apportent indique peut-être que son choix de la possession fut plus basée sur une adaptation aux profils qu'il avait qu'autre chose. Avant la blessure de Zak, on jouant beaucoup plus les transitions. Je me rappelle du match de la Roma, ou même contre le PSG, on ne jouait pas du tout comme on a joué plus tard dans la saison. Et maintenant qu'on a d'autres profils, comme par hasard, il arrive à proposer autre chose. Évidemment, Novell a peiné par un manque de solution pendant des mois. Il n'a jamais essayé de jouer sans ailiers, de densifier plus encore l'axe, ni vraiment tenté de jouer à 5 derrière. Il a sa sensibilité, comme tout le monde. Mais maintenant que les profils sont moins homogènes, on commence à mieux percevoir ce qu'il veut faire. Et ce n'est pas tant le jeu posé et stérile que l'on a longtemps vu. Ça, il l'a lui-même beaucoup subi, au moins autant qu'il se l'est fait subir
  5. C'est juste une réflexion hein, faut la prendre pour ce que c'est. Ce n'est pas pour prouver quoi que ce soit, juste pour faire réfléchir, pour adopter un nouveau point de vue sur les choses. En tout cas, c'est ainsi que je le prends
  6. Et pourquoi pas Nathalie Portman au board du club ? 😎 https://www.lequipe.fr/Football/Article/Pourquoi-les-stars-du-cinema-et-de-la-musique-investissent-dans-le-soccer-aux-etats-unis/1447276 Pourquoi les stars du cinéma et de la musique investissent dans le soccer aux États-Unis Au pays du « soccer », on a vu passer beaucoup de stars du ballon rond. Lionel Messi, Thierry Henry, Kaka ou encore Zlatan Ibrahimovic, ils ont tous fait un passage, plus ou moins éclair, dans les rangs de la Major League Soccer (MLS). Mais, aujourd'hui, la ligue nord-américaine semble attirer un autre type de célébrités. Loin des plateaux de cinéma et des salles de concerts, les stars du show-business ont trouvé dans la MLS et le soccer un nouveau terrain de jeu. L'une des plus récentes franchises de la ligue, l'Austin FC, fondée en 2019, compte par exemple au sein de son groupe d'investisseurs, l'acteur oscarisé Matthew McConaughey. À 2 000 kilomètres de là, à Los Angeles, Will Ferrell, connu pour ses comédies à succès dans les années 2000, est l'un des copropriétaires du LAFC. Toujours en Californie, mais cette fois-ci dans le football féminin, Natalie Portman est à l'origine de la création du Angel City FC, et co-actionnaire du club avec Jessica Chastain, Uzo Aduba, ou encore Eva Longoria pour ne citer qu'elles. Une constellation de « stars » en tout genre qui maille ainsi la carte du football étasunien. Si cette tendance « n'est pas nouvelle », elle est beaucoup plus importante aujourd'hui. « Dans les années 70, il y avait une ligue de soccer, la NASL, où Elton John était déjà copropriétaire d'une équipe (Les Aztecs de Los Angeles) qui a vu passer Johan Cruyff ou George Best entre autres. Il y avait également un autre club, les Philadelphia Fury, qui appartenait à l'époque à Peter Frampton, Mick Jagger et Paul Simon », rappelle Luc Arrondel, économiste et directeur de recherche au CNRS. Des clubs qui ont vite fini par mettre la clé sous la porte, faute d'un modèle économique viable et victime d'une époque où le soccer n'était pas aussi apprécié. Mais, désormais, les choses ont changé. Le ballon rond gagne chaque année en popularité, et tape dans l'oeil des people. « Plus le football devient populaire aux États-Unis, plus les stars s'y intéressent », observe Antoine Latran, journaliste spécialiste de la MLS. « Il y a un côté aussi très mainstream aujourd'hui autour du football aux États-Unis, ce qui rend l'investissement plus "cool" d'une certaine façon », ajoute-t-il. Denis Bouanga célébrant la victoire du Los Angeles FC face à Vancouver (5-2) en octobre dernier. (J. Durr/Usa Today Sports/Reuters) Ces dix dernières années, les investissements des célébrités dans des clubs de football aux États-Unis ont ainsi presque été multipliés par dix. S'ils étaient, dans les années 70, des cas isolés et le plus souvent « passionnels », ils sont aujourd'hui plus répandus. Une tendance d'abord explicable par le coût d'entrée peu cher pour les investisseurs. « Investir en MLS est beaucoup moins cher que dans les autres ligues telles que la NFL, la MLB, la NHL ou la NBA par exemple », précise Antoine Latran. Un modèle d'investissement moins risqué À l'opposé, en Europe, les investissements des célébrités dans le football se font plus rares. Mis à part Ryan Reynolds et Rob McElhenney à Wrexham, au Pays de Galles, les exemples sont peu nombreux. Si l'investissement des célébrités dans le football est aussi différencié entre l'Amérique et l'Europe, c'est également dû à l'une des spécificités des championnats nord-américains. « L'investissement des "stars" au niveau des ligues sportives américaines, comme la MLS, est beaucoup moins risqué que pour les stars françaises, par exemple, qui pourraient investir dans des clubs européens, tout simplement parce que le système nord-américain de ligue fermée leur garantit une stabilité, et d'une façon générale, une création de valeur » explique Vincent Chaudel, expert en marketing et cofondateur de l'Observatoire du Sport Business. « Si vous investissez chez nous, dans un club qui est en Ligue 1 et que malheureusement, il est relégué en Ligue 2, vous avez quasiment tout perdu » Vincent Chaudel, expert en marketing et cofondateur de l'Observatoire du Sport Business En effet, en MLS, il n'y a, pour rappel, pas de système de relégation, ni de promotion avec les autres divisions inférieures. Un club qui finit dernier du championnat y restera l'année suivante. Cette particularité, la ligue de football américaine l'a voulue dès ses débuts, en 1993, afin de faciliter l'arrivée de nouveaux investisseurs. « La MLS est née dans les années 90, à une époque où il y avait très peu de "soccer" aux États-Unis, et pas de division professionnelle. Donc ça voulait dire demander à des investisseurs de créer des franchises qui coûtaient des millions de dollars pour les lancer dans une ligue qui n'existait pas encore. C'était un risque total. C'est clair que dès le départ, il n'a jamais été question de promotion ou de relégation, simplement d'attirer des investisseurs qui vont être capables de mettre les millions qu'il faut », précise Antoine Latran. Un « cocon » financier qui a permis à la ligue nord-américaine d'être plus attractive, et surtout, d'attirer une multitude d'investisseurs, plus ou moins riches, à l'image des célébrités. Une nouvelle dimension pour le « soccer » aux États-Unis L'investissement de plus en plus important des célébrités dans le soccer est également le reflet de la nouvelle dimension populaire et économique que prend ce sport aux États-Unis. D'abord mis de côté par les Américains, le soccer attire aujourd'hui les foules dans ses stades. En moins de dix ans, la MLS a presque doublé son nombre de spectateurs. Lors de la saison 2022-2023, 10,8 millions de spectateurs se sont donné rendez-vous dans un stade de MLS. À titre de comparaison, il y avait 9 millions de spectateurs en Ligue 1 cette même saison. Les célébrités qui se tournaient vers d'autres sports pour investir, investissent maintenant le soccer, considéré plus comme plus facile d'accès, plus populaire et de plus en plus rentable. Et cette dynamique ne semble pas près de s'arrêter. « Les quatre années à venir vont être des années très importantes pour le football aux États-Unis, avec bien évidemment la Coupe du monde en 2026 mais, déjà, la Coupe du monde des clubs en 2025 et, probablement, la Coupe du monde féminine en 2027, mais aussi les Jeux Olympiques de Los Angeles en 2028. Ça veut dire quatre années importantes où les compétitions majeures auront lieu aux États-Unis », rappelle Vincent Chaudel, cofondateur de l'Observatoire du Sport Business. Un engouement qui laisse entrevoir une plus grande dynamisation de la ligue et de ce sport dans les années à venir. Beaucoup cherchent ainsi à y investir dès aujourd'hui, afin de faire des placements financiers juteux pour le futur. « Si vous investissez 50 millions d'euros ou 1 milliard dans une franchise, vous êtes sûr dix ans après que votre mise a été multipliée par 1,2,3 ou 4 », assure Vincent Chaudel. À Los Angeles, notamment, le LAFC de Will Ferrel, qui a dû investir plusieurs centaines de millions d'euros pour son droit d'expansion et la construction de son stade, a aujourd'hui réussi à devenir le club le mieux valorisé de la ligue, atteignant en 2023 le milliard de dollars, selon les estimations du magazine économique Forbes. Ce qui en fait la première franchise milliardaire de la MLS. De quoi encourager d'autres célébrités à miser sur le soccer dans les prochaines années.
  7. Sa réflexion n'est pas de savoir ce qu'on fait contre les derniers, mais ce qu'on aurait fait, potentiellement, l'an passé, dans une L1 à 18 comme cette année
  8. Il y a des cas où l'entraîneur n'est pas le bon, il y a des cas où le mal est plus profond et où le changement d'entraîneur est un pansement sur une jambe de bois. Je pense que Nantes et Toulouse ont eu des problèmes qui dépassaient juste les choix de l'entraineur (même si Novell ne s'est pas facilité la tâche en faisant parfois de mauvais choix), et que dans ce cas, on peut féliciter la direction de ne pas avoir cédé à la pression populaire et d'avoir cherché les causes réelles et premières du dysfonctionnement de l'équipe. Tout n'a pas été résolu, mais au final on s'est évité de s'enliser plus encore
  9. Peut-être. Rien de sûr. Je pense que la direction a pris le temps de regarder comment se passaient les changements d'entraîneurs pour les équipes dans notre situation. Si le changement d'entraîneur amenait systématiquement une amélioration du classement, elle n'aurait pas eu trop d'égard vis-à-vis de Novell. Mais vu qu'elle a décidé de le garder, c'est sans doute qu'elle a estimé que les changements d'entraîneurs n'étaient pas si payants que ça. Dommage qu'elle n'ait pas envisagée la solution de @bln2bcn
  10. Aucune. J'ai juste du mal à imaginer une défense à 5 avec un seul milieu récupérateur et relayeur, puis 4 offensifs devant. De toute façon, ce sont les joueurs qui font l'animation.
  11. Quand ont voit où en est le FC Nantes, qui a viré Aristouy à la 13ème journée, on ne peut que féliciter le cap fixé par la direction. Passé l'électrochoc du changement d'entraîneur, avec la victoire contre Nice pour le premier match de Gourvennec, ils n'ont pris qu'un point depuis le changement de coach, soit 4 au total. Lle TFC, malgré les critiques qui ont plu sur Novell, a pris 8 points sur la même période.
  12. Autant que Diouf doit sortir la frappe de Babicka... Parfois, les coups sont juste trop bien joués pour que la défense et le gardien puisse faire quelque chose.
  13. 3-3-3-1, ou 3-3-1-3 avec Gboho entre la ligne des latéraux et du 6 et la ligne des ailiers et du 9, j'aime bien, mais je ne vois pas Novell sortir de son double pivot malheureusement. Intéressant aussi. Dommage que Novell ne sorte jamais de sa défense à 4 et de son attaque à une seul pointe, y'a largement de quoi faire avec l'effectif actuel.
  14. Ou absolument tous les buts d'Arjen Robben. C'était sa spéciale.
  15. Ba tu vois, je ne savais pas. D'un côté, ça paraît logique. De l'autre, il me semble avoir déjà vu des hors-sifflés pour un bras devant le défenseurs.
  16. Le problème, c'est que cette tendance n'est pas nouvelle. Dès le premier match en L1 sous Montanier, contre Nice, au tout début de la saison 2022/2023, on marque en première et on cède complètement en 2ème. Cette année, on est recordman du nombre de points perdus après avoir mené. Ça va au-delà de l'entraîneur et de l’effectif actuel. Mon hypothèse : c'est lié au fait de ne vouloir que des joueurs techniques au milieu de terrain, et de ne jamais avoir de marathonien devant la défense prêt à faire l’essuie-glace pendant 90 minutes. Spierings, VdB, Dejaegere, Sierro, Schmidt, ça arrête globalement de courir à la 60ème. Voire avant pour certains
  17. Pour sa partie non-cachée par Mohammed (le 31 nantais), je vois la main de Medina (le 14 lensois) derrière la ligne bleu et la ligne rouge du révélateur... Quant à la limite absolue, justement, là aussi je me questionne. À l'inverse du rugby, le foot est un jeu où l'on considère que le ballon doit avoir entièrement franchi la ligne pour qu'une situation soit jugée : c'est le cas pour les buts, les sorties de but, les corners, les touches. Pareil sur corner, où le ballon doit toucher l'arc-de-cercle, ou sur pénalty, avec l'obligation pour le gardien d'avoir a minima un pied touchant la ligne de but. Je me demande donc bien pourquoi le hors-jeu est jugé totalement différemment du reste des situations, avec une ligne qu'il suffit de légèrement dépasser pour être jugé en situation illicite. Il me semble que le hors-jeu a été complètement dévié de sa fonction première (éviter que des attaquants aient 10 à 20 mètres d'avance sur les défenseur). Le hors-jeu pourrait très bien ne se siffler qu'après dépassement clair et franc de l'avant-dernier joueurs situé entre le ballon et la ligne de but adverse. Cette situation me paraît bien révéler l'absurdité de la règle, ainsi que celle de la VAR et du révéléateur. Un beau 3 en 1
  18. Je viens de voir le HJ sur le but de Kadewere, c'est d'un ridicule cette utilisation-là de la VAR... À 0"56
  19. C'est le même article que dans la version papier Tactique : les choix forts de Martinez Novell ont permis à Toulouse de s'imposer à Reims Carles Martinez Novell ne l'a pas caché à ses joueurs, dans l'intimité du vestiaire : « On peut dire que nous avons raté notre première partie de saison. » Inconcevable, dans ces conditions, pour l'entraîneur espagnol du Toulouse FC, de vivre une seconde moitié de Championnat du même acabit. Afin de parvenir à inverser le cours contrarié de ses débuts au plus haut niveau en tant que numéro 1, Martinez Novell ne s'est dès lors pas contenté de parler à ses joueurs. Il a redistribué les cartes sous leurs yeux. Alors que l'ailier néerlandais Ibrahim Cissoko, régulièrement sollicité depuis novembre et son opération du métatarse du pied droit, a été prié de rester chez lui, son compatriote Stijn Spierings, plaque tournante de la récupération dans le coeur du jeu, a passé son après-midi sur le banc, la tête renfrognée dans un cache-col. Car leur entraîneur avait décidé d'opter pour un schéma de jeu plus offensif, à Reims. Il explique pourquoi : « Avec les deux recrues du mercato d'hiver (les attaquants Shavy Babicka et Yann Gboho) et (Christian) Mawissa (Elebi) très en forme, on pensait qu'on pouvait jouer plus offensivement. » « Je ne sais pas s'il s'agit de notre première période la plus aboutie mais la plus efficace, c'est sûr. » Martinez Novell a joint le geste à la pensée en disposant ses joueurs en 4-2-3-1, avec Babicka positionné à droite, son poste de prédilection (il avait débuté avec le TFC à gauche devant Lens, 0-2, le 28 janvier), et Gboho, en soutien de Thijs Dallinga. « Babicka, c'était pour la répétition des efforts et la recherche des espaces dans le dos, et Gboho, une balance des deux, explique leur entraîneur. Tous deux courent beaucoup, attaquent les espaces et surtout, apportent de la verticalité. » Plus de technique au milieu À condition de les pourvoir en ballons. Pour ce faire, Martinez Novell a, plutôt que d'associer Spierings à Cristian Casseres derrière eux, opté pour un duo de récupérateurs plus technique avec Niklas Schmidt et Vincent Sierro. Ce déséquilibre assumé vers l'avant a tout de suite fonctionné. « Je ne sais pas s'il s'agit de notre première période la plus aboutie mais la plus efficace, c'est sûr. » Toulouse n'avait plus marqué au moins trois buts en déplacement depuis plus d'un an et une victoire à Auxerre (5-0, le 11 janvier 2023). Il s'agit aussi, de son second succès d'affilée à l'extérieur (après la victoire à Metz, 1-0, le 14 janvier). « Et cela nous fait un bien de fou, sourit Mawissa Elebi, auteur de son premier but en pro (12e). Si Reims a pris le dessus en intensité après la mi-temps, on a tenu jusqu'au bout, cette fois, en jouant avec le coeur. » Et avec les nouvelles idées gagnantes de son entraîneur.
  20. Pas vraiment au centre et encore moins à gauche. Comme François Hollande
  21. Sur les 9 prochains matchs, on joue : Le 2ème (CdF) et le 4ème (CdF) à domicile Le 5ème (CdF) à l'extérieur Le 10ème (CdF), le 14ème et le 15ème (CdF) à domicile Le 11ème (CdF) et le 18ème à l'extérieur. C'est plutôt une bonne série, avec beaucoup de matchs à domicile à jouer et pas mal d'adversaires encore en Coupe de France (6/8). Ce qui fait que, si Monaco, Lille et Lyon passent en Coupe, ils auront eu aussi un match en semaine pendant que nous nous seront en C3. Évidemment, il faut qu'ils passe pour ça... Je trouve notre calendrier pas si mal en février/mars. Dense, mais quand même favorable. On peut vraiment prendre de l'air si on pose une grosse série. Bon, on peut aussi plomber la saison, mais je préfère pas y penser
  22. Mawissa est très bon, mais alors Yoro, faut le voir pour le croire. C'est encore au-dessus en terme de maturité
  23. Il a obtenu combien de nos derniers pénalty ? 3 sur 4 ou 4 sur 5 ? Je me rappelle plus.
  24. Non mais y'a rien à espérer de la conversartion, FrenchTouch a décidé de porter Gélabert en héros, pour créer des héros il crée des parias, Sierro est le sien et il verra toujours tout sous ce prisme-là. On a déjà eu la même chose avec Rouault et Nicolaïsen l'an passé. Ces conversations ne mènent à rien, chacun voit ce qu'il veut des matchs et il faut le respecter (même si je ne suis pas d'accord avec cette vision de Sierro, qui me paraît être un bon joueur)
  25. Comme je disais ailleurs sur le forum, j'aimerais le voir 10. Ses courses, ses dribbles et ses passes sont beaucoup plus juste à ce poste. Il a beaucoup moins l'air de tergiverser, il s’emmêle moins les pinceaux.
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