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Vistule

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Tout ce qui a été posté par Vistule

  1. Le rôle qui lui est confié dans ce 5/2/3 ou 3/4/3 est assez ingrat. Il doit occuper tout le terrain entre Sierro/Cásseres et le but adverse. Certes, les ailiers viennent un peu l'aider, mais c'est quand même une surface énorme à couvrir, surtout qu'il est souvent cherché en remise sur les relances et qu'il n'a plus de vrai 10 derrière lui pour distribuer les caviars. Vu son âge, son rôle dans l'équipe et son rendement, j'ai du mal à trop lui en vouloir.
  2. Dans l'équipe-type de L'Équipe ☺️
  3. Il n'avait pas son topic. Je l'ai trouvé plus présent en bord de touche que d'habitude, souvent debout à filer des consignes. Avec pour effet d'avoir un Novell plus assis, plus tranquille.
  4. Haha non pas forcément ! Trop compliqué à décider et à faire respecter 😅
  5. Il a instauré ce système très tôt dans la saison. L'équipe jouait déjà comme ça contre Paris, en août. 10 joueurs sur 11 étaient communément présents au coup d'envoi entre la réception de Paris et la victoire d'hier à Monaco : https://www.lequipe.fr/Football/match-direct/ligue-1/2023-2024/toulouse-psg-live/594755 Les problèmes d'effectif, de niveau de certains joueurs, et plus globalement de temps d'adaptation des joueurs à la tactique l'ont fait revenir à quelque chose de plus connu par les joueurs, un 4-3-3 proche sans l'être de ce que faisait Montanier (le même que lors de la victoire à Monaco en mai, avec un double pivot). Il a favorisé ce système contre les blocs bas, souvent les équipes de bas de tableau, en pensant que l'on réussirait à les avoir par le jeu. Vu le faible nombre de points pris, c'était sans doute une erreur. Il doit encore trouver la solution pour ces cas précis. N'empêche, je ne vois pas pourquoi on ne saluerait pas ce qui marche chez Novell.
  6. Beaucoup d'équipes jouent à 5 derrière, oui, beaucoup d'équipes jouent bas et essayent de bloquer la relance en pressant devant, oui, maintenant est-ce que beaucoup d'équipes ont cette articulation exacte des latéraux avec une montée en asymétrie pour former une ligne de 3 décalée au milieu, composée du double pivot qui ne bouge pas et du latéral qui vient jouer les milieux excentrés entre l'axe droit ou gauche qui vient jouer les latéraux et l'ailier, avec glissement de la ligne de défense pour une ligne à plat de 4 classique, je ne sais pas. On ne fait pas que passer du 3-4-3 au 5-2-3, on glisse également en 4-3-3 avec une ligne de milieu déséquilibrée vers le côté où se situe le ballon. D'où les changements d'aile moins fréquents que l'an passé. L'équipe ne va plus chercher le nombre côté opposé comme sous Montanier. Tout ça, il ne me semble pas l'avoir vu ailleurs en Europe cette saison. Le mode est plutôt au latéral qui vient intérieur à côté d'un milieu en pointe basse, comme chez Arteta, Klopp ou Guardiola (que l'on a testé sans succès plusieurs fois cette saison, comme contre Nantes récemment).
  7. Je suis d'accord avec toi, les systèmes qui bougent son devenus plus courants. Et en même temps, cette manière-ci de faire coulisser une défense à 5, je n'ai pas souvenir de l'avoir vu chez d'autres équipes. On n'est pas simplement sur un dépassement de fonction du latéral avec un milieu qui compense, le système est pensé pour que le latéral coulisse et que ce soit la ligne de défense elle-même qui coulisse pour compenser en repassant sur une ligne de 4 à plat. Le double pivot n'a pas à bouger, il reste devant sa défense. C'est l'originalité de ce système. Je n'avais jamais trop vu ça chez d'autres équipes. Après je ne regarde pas 50 matchs de PL + Liga + Serie A + Bundesliga par semaine, si quelqu'un a des exemples d'équipes jouant avec un système, je suis preneur
  8. J'ai écrit 5-2-3 uniquement pour pas me faire reprendre par GG. Du coup maintenant c'est toi que j'ai sur le dos Je vois surtout un système très hybride, avec des lignes qui bougent. Sur certaines phases de transitions, l'un des deux latéraux reste au niveau des milieux et la ligne arrière est à 4. Quand les deux latéraux sont au niveau de la ligne de 3 derrière, c'est un 5-2-3 voire 5-4-1 si les ailiers reculent, tandis qu'avec le ballon, il arrive que les deux latéraux mont et que cela donne un 3-4-3. Ce que j'aime le plus, c'est le principe de relance, avec une passe des défenseurs qui va chercher un appui haut, qui remet à un milieu, tandis que les autres joueurs remontent. Ça permet d'avoir de vraies bonnes transitions intéressantes, avec de la présence en contre.
  9. Sympa la dédicace de Costa sur son but. On va avoir des problèmes de riche avec Gboho, Babicka, Magri, Dønnum, Cissoko et Aboukhlal pour 2 places.
  10. Content qu'il ait trouvé un système qui semble marcher. Ses préceptes de jeu marchent bien avec ce 5-2-3. La profondeur accrue du banc ne lui fait pas mal.
  11. De la verticalité, deux buts sur coups de pied arrêtés : ce n'est absolument plus la même équipe qu'il y a un mois.
  12. Un cran en dessous des punchlines de Diarra quand même
  13. On a enfin un système qui permet d'espérer des résultats
  14. Zakaria a déjà un jaune. Mais ça m'étonnerait que Bastien lui donne le second.
  15. Dommage Magri On se crée quelques occasions quand même
  16. https://www.lequipe.fr/Football/Article/Yann-gboho-toulouse-avant-j-etais-sanguin/1449357 Yann Gboho (Toulouse) : « Avant, j'étais sanguin » Grand espoir du football français, l'ancien Rennais avait un peu disparu des radars, depuis deux ans et demi. Jusqu'à ce que Toulouse décide de le rapatrier en France, pour 2,5 M€, le 8 janvier. Fort de l'expérience emmagasinée lors de son exil à l'étranger, Yann Gboho (23 ans) s'est déjà imposé dans le onze du TFC. « Signer à Toulouse, est-ce une manière de renouer le fil avec le football français ? Un peu. Toulouse me correspond aussi. Avant de venir, j'ai vu quelques-uns de ses matches de Ligue 1 et, surtout, en Ligue Europa. C'est une équipe qui joue au ballon. C'est pour cette raison que je ne comprenais pas pourquoi le TFC se trouvait classé si bas (14e avant cette journée). Avez-vous compris depuis ? Cette équipe manque de confiance et n'est pas assez tueuse. Il faut progresser sur ces points car, je le répète, Toulouse est une équipe qui joue au football. C'est ce qui me manquait à l'étranger. « J'avais un jeu d'enfant » Yann Gboho, attaquant de Toulouse Que retenez-vous de vos expériences hors de France ? À Rennes, j'étais dans un cocon. Et je suis parti jeune, seul. J'aurais pu me perdre. D'autant plus qu'au début je n'étais pas content d'aller aux Pays-Bas (Vitesse Arnhem, 2021-2022), puis en Belgique (Cercle Bruges, 2022-2024). Mais je ne nourris aucun regret. J'ai pris ce que je devais prendre et, même si j'ai vécu des moments difficiles, ces deux ans et demi m'ont fait du bien. Ils m'ont permis de grandir. Avant, j'avais un jeu d'enfant. J'étais un joueur dans les pieds, à qui il manquait de la profondeur et du physique. Quand je suis arrivé au Vitesse Arnhem, mes dirigeants m'ont d'ailleurs prévenu que, si je ne défendais pas et que je ne travaillais pas mon jeu sans ballon, je ne jouerais pas. Que ce soit aux Pays-Bas ou en Belgique, ce n'étaient que des longs ballons et du pressing à haute intensité. Un autre monde, par rapport à ce que je connaissais, à Rennes. Qu'est-ce qui n'a plus fonctionné en Bretagne ? Quand j'ai commencé à jouer avec les pros, l'équipe gagnait. Quand cela n'a plus été le cas, automatiquement, c'est le jeune qui sort. Après avoir remplacé Julien Stéphan au poste d'entraîneur (le 4 mars 2021), Bruno Genesio ne m'a jamais donné ma chance. Comme j'étais assez impulsif et très énervé, j'en ai souffert. Avant, j'étais sanguin. Aujourd'hui, je me suis calmé. Je gère mes matches. Je connais mieux mon corps. Je sais quand il faut accélérer et je suis plus lucide dans mes choix. « Franchement, si (la Belgique) m'a permis d'évoluer dans mon jeu sans ballon, je ne me suis pas régalé » Yann Gboho, attaquant de Toulouse Comment expliquez-vous vos statistiques moyennes ? C'est un peu dû à mon manque de concentration devant le but. Je me précipite trop. Je dois aussi me montrer plus froid dans mes dribbles. Cet axe de progression passe-t-il par un travail mental ? Oui. Depuis la Belgique, je visualise mes actions avant le match. J'ai également essayé de travailler avec un préparateur mental la première année. Mais j'ai arrêté. Je n'en ai pas trouvé l'utilité. En Belgique, j'effectuais beaucoup de pressing. On courait, on courait et on donnait le ballon. Je m'époumonais et donc je n'avais plus de lucidité. Si c'était déjà un peu pareil aux Pays-Bas, c'était puissance mille en Belgique. Franchement, si cela m'a permis d'évoluer dans mon jeu sans ballon, je ne me suis pas régalé. C'était plus de pressing que de jeu. À quel poste préférez-vous évoluer ? J'ai été formé comme numéro 10 à Rennes et j'ai joué sur le côté gauche. Cela m'importe peu. Mes datas au niveau de la dernière passe et de la percussion avec le ballon ont plu aux dirigeants de Toulouse. Maintenant, mon objectif, c'est d'être plus décisif. »
  17. Ce système est quand même beaucoup plus intéressant que le 4-3-3/4-2-3-1
  18. Tagliafico qui fait à peu près 3 fautes sur la même occasion
  19. Le pire, c'est que l'Allemagne est elle aussi en train de céder aux même sirènes que la France, alors que les supporteurs sont absolument contre... Je suis à peu près sûr que l'on verra de belles affaires de corruptions d'ici quelques années autour de ces sociétés commerciales. Un peu comme après le choix du Qatar pour la CdM 2022.
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