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Vistule

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Tout ce qui a été posté par Vistule

  1. Je prends à peine le match. Même scénario que contre Lille. Y'a plus qu'à faire les 3 changements à la pause
  2. Au coup d'envoi contre Lille, l'équipe ne jouait pas du tout comme contre Monaco ou comme contre le Benfica. Pas de 9, pas d'ailiers créateurs venant en 10. Sur un tableau noir, les deux compositions paraissent proches, mais dans l'animation offensives, une fois la ligne médiane passée, les deux équipes n'avaient pas tant à voir. Je suis d'accord sur le fait que les joueurs disponibles ont modifié les plans de jeu. Les sous-performances, dont celles de Sierro, aussi. On peut aussi dire, en parallèle, que Novell n'a pas su s'adapter aux joueurs qu'il avait. Il a mis du temps à installer Cásseres plus bas, il a mis du temps à essayer de passer à 3 derrière, il a mis du temps à chercher comme pourvoir en ballon Dallinga. Parmi toutes les qualités que j'appréciais chez Montanier, il y avait sa créativité lorsqu'il était face à des blessures. Novell n'a pas été de ceux-là en première partie de saison. Tant qu'il n'a pas eu les joueurs, il n'a pas su quoi faire.
  3. J'ai l'impression qu'une majorité de supporteur lui en veut pour les 3 mois de bouillie en 4-4-2/4-3-3, sans renier son apport sur les derniers matchs. Le 3-4-3 actuel avait déjà été de rigueur contre Paris, avec succès, alors que le 4-4-2/4-3-3 avait donné des matchs hideux contre Nantes, Strasbourg ou encore l'aller contre la Saint-Gilloise. Et malgré tout, c'est le schéma qui a été favorisé sur le temps long, quand Novell a arrêté de changer de système à tous les matchs et s'est fixé sur un seul schéma tactique. On peut un peu se demander ce qui a demandé tant de temps à voir ressurgir ce système.
  4. Fucking scandal L'article d'origine : https://www.abola.pt/futebol/noticias/escandalo-do-c-gritou-tres-vezes-o-presidente-do-toulouse-na-luz-2024021622222502895 « Escândalo do c... », le président de Toulouse a crié trois fois dans la Luz Damien Comolli est devenu incontrôlable et s'est adressé à l'observateur des arbitres de la tribune présidentielle; l'intervention était nécessaire pour intervenir qui était sur la scène; l'entraîneur de l'équipe française a donné des coups de pied à la structure du tunnel pendant son retour à la station. Le président de Toulouse, Damien Comolli, a mal réagi à la défaite avec Benfica (1-2), à Luz, jeudi, lors de la première étape des play-offs du tour de la Ligue Europa et a dû être retiré de l'observateur des arbitres de l'UEFA à la tribune présidentielle, par des personnes qui étaient sur place. BOLA sait que le comportement du président toulousain Toulousea été consigné dans un rapport des délégués de l'UEFA. Après le deuxième but de Benfica, marqué par Di Maria, d'un penôlti, pour punir le manque de Marc Leonardo à 90 minutes, Damien Comolli s'est approché de l'observateur des arbitres, par derrière, et à côté de son épaule droite, et a crié directement et agressivement: «La paillage du c... [fucking scandalif). Il prononça cette expression trois fois. Toulouse accuse Di Maria de simuler la peine : « Rafale de vent qui est prévue pour Lisbonne » Cette action agressive, selon l'un des rapports des observateurs de l'UEFA, n'a fait qu'être intervenue chez ceux qui se trouvaient dans le même domaine. Le représentant de la tutelle européenne du football souligne que l'épisode peut être confirmé par l'observation des enregistrements vidéo. Conformément à ce comportement, les délégués de l'UEFA signalent également dans un rapport que l'entraîneur toulousain Carles Martinez a donné le coup d'envoi de la structure du tunnel à l'entrée des vestiaires après la fin du match.
  5. Le meilleur DL du championnat avec De Cuyper de Bruges, selon un suiveur du championnat à qui j'ai posé la même question
  6. La victoire de Martinez sur le Trofeo Lagueglia 😮 Bon rouleur pour son gabarit
  7. Sur la phase aller, y'a quand même pas mal de match où il ramène un point à lui tout seul : Reims, Lille, Lorient... C'est pas comme si on en avait gagné 30 en plus. Et en Coupe d'Europe, son jeu et sa connexion avec Suazo nous fait sortir des poules. Sans compter que ses buts, c'est pas 2 triplé tous les 4 mois, mais un but par match, quand il le faut. Cette régularité est incroyable. Tout ça à 23 ans, sans vrai meneur de jeu fixe derrière lui pendant 6 mois. J'entends que certains soient frustrés par le manque d'efforts défensifs fournis. Mais le propre d'un 9, c'est d'être encore assez lucide devant le but. Je trouve qu'il est pile dans la bonne mesure, surnageant même dans une équipe en difficulté, même si certains manquements nous ont coûté (comme à Brest).
  8. C'est bien la seule certitude qu'on peut avoir sur notre prochain 9
  9. Il a raison, je me suis planté de match. Et je n'arrive plus à retrouver lequel est le bon 😬
  10. C'est plus ou moins ce que dit le dernier article de L'Équipe sur le sujet. Très utilisé et critiqué, le VAR est en surchauffe en Ligue 1 En attendant de savoir s'ils vont conserver - ou pas - leur boss (Stéphane Lannoy), sur la sellette depuis plusieurs semaines, les arbitres professionnels poursuivent leur saison. Toujours accompagnés de nombreuses polémiques, notamment à propos du VAR, dégainé avec frénésie sur tous les terrains de Ligue 1 ce week-end, mais sans grande ligne directrice. Samedi, les embrouilles ont démarré lors de Strasbourg-Brest (0-3), avec une incompréhension entre l'arbitre, Jérôme Brisard, et ses assistants vidéo. Il a sifflé un penalty pour les Brestois à la 56e minute, mais il a été impossible de déterminer si le ballon était sorti avant le centre de Pierre Lees-Melou qui a touché le bras du Strasbourgeois Lucas Perrin. Au Parc des Princes, dimanche après-midi, à l'occasion de PSG-Rennes (1-1), le VAR a aussi fait parler de lui. Une première fois en bien, puisque Bastien Dechepy, l'arbitre de la rencontre, avait sifflé un penalty inexistant sur Gonçalo Ramos. Appelé par le VAR, il est logiquement revenu sur sa décision. « Il faut que ce soit de l'assistance vidéo à l'arbitrage et pas de l'arbitrage vidéo. » Éric Borghini, président de la commission fédérale des arbitres Mais dans le temps additionnel, l'avant-centre portugais du PSG s'écroule à nouveau dans la surface. Cette fois-ci, Dechepy ne bronche pas. Mais sollicité à nouveau, il donne finalement penalty, alors qu'aucune image probante n'accrédite la faute et qu'il n'a donc pas commis d'erreur manifeste. « C'est des "penalties grande équipe" ça, ou dans certains stades, pas partout », s'est agacé Julien Stéphan, l'entraîneur rennais. Sanctionné d'une faute et d'un carton jaune sur l'action, Steve Mandanda n'en démordait pas : Gonçalo Ramos s'est jeté dans ses jambes : « Prendre ce penalty comme ça, à la fin... En plus, une décision... Après, il a bien joué le coup. Il a poussé. Quand on regarde le ralenti, il commence à tomber avant même le contact avec moi. » Cette action, comme bien d'autres avant elle, illustre une dérive qu'il convient de corriger, selon Éric Borghini, le président de la commission fédérale des arbitres (CFA). « Il est clair qu'il y a actuellement un problème dans l'application du protocole VAR avec des polémiques à répétition, lance-t-il. Très probablement, la CFA et la Direction de l'arbitrage vont être amenées à repréciser les missions de la VAR pour revenir à ce qui était la philosophie initiale, c'est-à-dire corriger, dans les cas prévus dans le protocole, une décision clairement erronée de l'arbitre (le texte parle d'« erreur manifeste »). S'il faut un nombre incalculable de ralentis et des examens des images sous tous les angles pour s'apercevoir que, finalement, il y a peut-être un doute, on ne devrait pas avoir à intervenir. La décision de terrain devrait prévaloir. L'arbitre VAR, c'est le juge de l'évidence. Il faut clarifier les choses car personne ne comprend plus rien, ni les joueurs, ni les entraîneurs, ni les clubs. Les arbitres sont probablement perdus. Il va falloir décider rapidement. Il faut que ce soit de l'assistance vidéo à l'arbitrage et pas de l'arbitrage vidéo. »
  11. C'était une question d'animation. Gélabert était faux 9, haut sur le pressing pour éviter que Lille progresse dans l'axe mais redescendant d'un cran lors de phase de possession, à la création. Magri et Babicka étaient là pour le pressing latéral après déclenchement de la première passe adverse, et pour des appels dans les demi-espaces lorsque nous avions le ballon. Théoriquement, c'est intéressant. Mais ça fait partie des idées de Novell qui résistent mal à un passage pratique. Il s'en est rendu compte et est revenu sur une animation différente, avec un pur 9 restant plus haut sur les phase offensive et des ailiers participant plus à la création. Comme le dit Luther, Novell a mis Gélabert là car il y avait une idée derrière. Sur les dix premières minutes, l'idée a marché. Sur l'action où Babicka prend l'espace, à la 28ème, on voit aussi ce que Novell voulait faire. Lille a compris qu'ils devaient monter pour casser notre pressing et nous n'avions pas de contre-argument à proposer, notamment parce que Schmidt et Gélabert n'ont pas su remplir le rôle. Mais on ne peut simplement dire que c'était une idée à la con. C'est juste une idée qui n'a pas marché. Autrement, je suis d'accord avec toi et ventremou, dans l'idée ce serait intéressant de le voir en 9 avec les ailiers créateurs que sont Gboho et Dønnum.
  12. Il me paraît être remplaçant pour respecter une certaine hiérarchie. Il a été titulaire est a marqué lors d'une indisponibilité de Dønnum, qui est titulaire à droite. Dans le 3/4/3 de Novell, sans vrai 10, avoir des ailiers créateurs permet de mieux fournir le 9. À l'inverse, quand Novell a mis un faux 9 plus créateur, Gélabert, il s'est permis de mettre deux ailiers pour prendre l'espace.
  13. Il subit le syndrome Sylla/Diarra. Les supporteurs ne voient que ce qu'il fait de mal, parce qu'ils s'attendent à ce qu'il soit nul, donc ils ne voient que ça.
  14. Après, je pense qu'il pourrait beaucoup apporter plus bas sur le terrain. Contre Paris, à son entrée dans le double pivot sur une partie que l'on jouait déjà en 3-4-3/5-2-3, je l'ai trouvé combatif sur les récupération et très bon pour remonter la balle au pied et distribuer le jeu bas. Avec un Schmidt hors-de-forme, il pourrait intégrer la rotation sur le poste de Sierro, avec Casséres et Spierings qui se dispute le poste de récupérateur.
  15. Ce qui est génial sur ce pénalty, c'est que le Strasbourgeois semble lever la main pour réclamer la sortie de but, qui n'est pas donnée. Par contre, ça fait péno
  16. Sa volonté de tout prendre avec le pied, même des ballons à 1m50 du sol, lui cause des problèmes. Je ne sais pas si un autre joueur de L1 a fait plus de fautes pour "pied haut" que lui. Son physique est frêle, et son style de jeu peu adapté à la L1, mais j'ai confiance en lui pour les années à venir.
  17. Pour un joueur à la fois costaud et rapide, les terrains détrempés du mois de février doivent être un calvaire. J'ai plutôt confiance sur le fait qu'il arrive vite au niveau, d'ici le printemps, même si bien sûr il n'y a pas de certitude🤞
  18. C'est toi le rédacteur des blagues d'Arthur Stroebele en fait ?
  19. Tu m'as dit que j'étais caricatural et que je tournais en ridicule ton propos quand je faisais remarquer, sans nommer personne car je n'avais personne en tête, qu'il s'était peut-être un peu trop vite fait traiter de "nul" 😄 On a eu tellement de mauvais latéraux droit au TFC, j'ai du mal à comprendre qu'on puisse ne pas s'enorgueillir d'avoir un numéro 2 au poste qui accepte sans souci son statut de remplaçant. Le tout en ayant le niveau de certains numéro 1 de la période Sadran – dont certains appréciés ici, comme Ninkov.
  20. J'ai le même sentiment. Je crois que je l'avais noté sur d'autres topics d'ailleurs. Après trois premiers mois à changer son fusil d'épaule à chaque match, puis six mois à être complètement bloqué dans un 4-3-3 stérile, il paraît enfin avoir trouvé un équilibre entre l'envie d'essayer et le besoin de stabiliser l'équipe. Jusque dans ses ses attitudes, il paraît soudainement serein.
  21. Le problème de l'arbitrage, ça l'extrême hétérogénéité des décisions. Rien que cette aprèm, entre la première et la seconde mi-temps, c'est le jour et la nuit côté arbitrage. Ça plus des instances qui ne protègent pas les arbitres, ça fait que tout le monde du football se sent légitime à râler tout le temps.
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