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pascalbergerac

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Tout ce qui a été posté par pascalbergerac

  1. J'ai quand même l'impression que beaucoup d'immigrés ne sont français qu'en second dans leur tête et ne font pas les efforts nécessaires pour s'intégrer, il y a eu plein de vagues d'immigration auparavant, les ritals, les polaks et j'en passe, ça a toujours créé des problèmes mais en une ou deux générations ils étaient intégrés car ils faisaient tout pour se fondre dans le moule. Or ce n'est plus le cas beaucoup d'entre eux mettent d'abord en avant leurs particularités, et ça pose quand même des problèmes il faut le reconnaître. quelqu'un a dit cela?
  2. Personne n'a parlé de peine de mort que je sache, mais enfin c'est bien joli vos discours éffarouchés, mais si on ne veut pas deux types de français, il faudrait d'abord que les lois de la république puissent s'appliquer partout, or il y a vraiment certaines zones de non droit ou même la police ne peut plus s'aventurer. Or cette petite frange de population immigrée nuit énormément à une majorité d'immigrés qui veulent s'intégrer au sain de la société française et qui ne posent aucun problème. Et à mon avis cette "frange" se sent forte car il y a toujours énormément de monde pour couvrir d'une certaine façon leurs exactions en leur trouvant de multitudes d'excuses.
  3. c'est vrai que les plans ralentis notamment sont rarement appropriés
  4. de toute façon si tu fais pas de connerie, tu perds pas ta nationalité, donc il suffit de se tenir convenablement, ça doit pas être si compliqué non?
  5. Diniz a cassé l'équipe de France de foot au passage Ah! ah!
  6. une autre version de rené la taupe rené la taupe de l'équipe de france ps: vous faites comment pour intégrer les vidéos? j'y arrive pas
  7. Le plus chiant en ce moment, c'est quand même René la taupe non? My link
  8. Oui et puis je le trouve un peu palichon quand même
  9. 20 ans seulement, il promet le bougre!! belle victoire!
  10. de toute façon vous pouvez aller voir tous les groupes que vous voulez, rien ne vaut un bon vieux maiden de la belle époque
  11. Non mais je disais ça c'était juste histoire de casser un peu l'ambiance. Non plus sérieusement en fait moi aussi j'aime bien le rock, j'écoute des groupes qu'on voit pas trop à la télé style Gojira, mais là vous sortez tout un tas de nom c'est assez pointu quand même, vous êtes vraiment au taquet! PS: le prenez pas mal, ct pas une critique
  12. ça vous arrive d'aller voir des groupes connus les gars?
  13. il mériterait de débuter face à Brest vu la bonne préparation qu'il a faite, il est lus en jambe que Gignac je pense
  14. Oui oui, ça ne semble pas être un autre ratinho, cette fois c'est une bonne pioche car son match était excellent hier, et déjà visiblement contre Bayonne.
  15. Bon ben moi je suis revenu de Corse et finalement sont sympas les Corses, j'ai trouvé qu'ils avaient beaucoup d'humour en tous les cas. Le coin est vraiment superbe, montagne le matin, mer dans l'après-midi, eau à 25° environ, superbes plages, et pas trop de monde début juillet, bref un régal!! Le seul hic c'est que c'est cher là-bas pour faire les courses.
  16. Euh....Bon j'ai fait du vélo moi aussi, je suis un peu de la partie Enfin de la pédale...Oh et puis merde j'ai trouvé comme ça quoi, m'emmerdez pas! Disons plus sérieusement que ça m'a surpris. Et puisqu'on parle de dopage voilà un article qui date un peu sur un ancien coureur cycliste peu connu mais qui avait d'énormes qualités, Fabien devooght, que j'ai eu l'occasion de voir sur pas mal de courses, (notamment au critérieum de Puy l'éveque dans le Lot qui il y a quelques années était à mon sens le meilleur critérium amateur du sud ouest) et avec qui j'avais discuté une fois, là on voit vraiment les ravages du dopage dans ce milieu, histoire malheureuse. Fabien Devooght, 37 ans, dopé, drogué, mortIl était un espoir du cyclisme français des années 80. Débute alors une longue descente en enfer, achevée l'an dernier. THOMAS Gérard Lorsqu'il pousse la porte du petit appartement occupé par son fils à Villeneuve-Loubet, près de Nice, Jean Devooght est taraudé par l'angoisse. Toute la journée, ce 25 décembre 1997, la famille a attendu Fabien pour le repas de Noël. L'ancien champion cycliste a fait faux bond. Comme souvent. Mais cette fois, il n'a donné aucun signe de vie depuis plusieurs jours et ses parents sont inquiets. Dans le salon, Fabien est étendu à terre, foudroyé près du téléphone et d'un tabouret renversé. Il est mort la nuit précédente, de retour d'une soirée ratée chez sa compagne. Le coeur du coureur cycliste n'a pas supporté le terrible cocktail barbituriques-alcool qu'il s'est infligé. Accident ou suicide? Le rapport du légiste conclura à une forte absorption de produits pharmaceutiques. «Cette nuit-là, Fabien m'a téléphoné vers 23 h 30», affirme un de ses très rares amis qui réveillonnait du coté de Perpignan, à 400 kilomètres de distance. «Il m'a dit: "J'en peux plus, c'est fini, j'en ai marre. Et puis il a raccroché.» A 37 ans, le champion semble avoir préféré quitter une vie ratée, rythmée par les seules prises de drogue, d'alcool et de tranquillisants. Les prédispositions. Il avait pourtant bien des atouts, ce bel athlète des années 80. Né à Lille d'un père ouvrier du bâtiment contraint de descendre vers le sud pour trouver du travail, et d'une mère au foyer, Fabien montre, dès sa petite adolescence, de sérieuses prédispositions pour le vélo. Son père l'encourage, sa mère laisse faire. Si un champion pouvait pousser dans la famille, ce serait aubaine, car l'argent ne coule pas à flots chez les Devooght. Fabien est taillé pour réussir. Très tôt, ce gars du Nord, entêté et dur au mal, impressionne son entourage. «Il était capable de rouler par tous les temps, qu'il pleuve ou qu'il gèle, qu'il vente ou qu'il neige. Sans jamais rechigner, sans jamais s'épancher», se souviennent avec une pointe d'admiration ses camarades de peloton. Une graine de champion comme il en germe parfois dans les bas quartiers; un gosse dont on fait les meilleurs boxeurs ou les meilleurs cyclistes, deux sports qui nécessitent un entraînement obstiné, à la limite du supportable. L'ascension. Dès l'âge de 15 ans, Fabien tâte de la compétition dans des épreuves locales du côté de Cagnes-sur-Mer, où ses parents se sont installés, et les entraîneurs le remarquent. Plus le temps d'étudier, il faut rouler, rouler, rouler. D'ailleurs, Fabien n'a jamais aimé l'école. Il abandonne le lycée en fin de première et se lance à corps perdu dans le vélo. Durant son service militaire, accompli au bataillon de Joinville, il est licencié au club d'Antony, en banlieue parisienne, et s'entraîne comme un damné. Les résultats pleuvent: en tout, 80 courses gagnées dont un championnat de France contre-la-montre et un tour de Franche-Comté en 1981 pour sa deuxième saison en amateur. L'année suivante, à 22 ans, il passe professionnel chez Volber. Il y reste deux ans. Sous la houlette de l'ancien coureur Marcel Bohardy, il engrange les résultats. 62e de la Vuelta, vainqueur du grand prix de Plumelec, 8e du Tour de l'Avenir, bien classé au tour d'Espagne et au tour d'Italie" Devooght commence à faire parler de lui dans le milieu. On lui reproche juste un peu son renfermement et sa tendance à s'entraîner seul, loin de la collectivité des coureurs. Il n'a pas d'amis. Ce qui lui paraît normal, car sa mère lui a souvent répété: «Tu as cinq doigts dans la main, c'est cinq de trop pour compter tes amis.» Alors, Fabien ne compte que sur lui. La chance lui sourit. En 1984, l'ex-homme d'affaires Bernard Tapie et le coureur Bernard Hinault montent l'équipe cycliste de la Vie claire-Terraillon. Tapie veut absolument gagner le Tour de France. Ils embauchent Fabien Devooght, alors âgé de 25 ans. Le Cht'i obstiné se retrouve chez les meilleurs, avec Hinault comme leader et aux côtés de Bruno Cornillet, Bernard Vallet, Charly Bérard ou Dominique Arnaud. Sans diplôme, sans grande formation scolaire et à la seule force de ses mollets, Fabien démarre à 15 000 F par mois plus les primes, qui doublent son salaire. Désormais, tous les espoirs sont permis pour ce cycliste de 1,84 m et de 80 kilos, véritable force de la nature, qui avale les kilomètres sans broncher. De quoi rêver. La blessure. Pas longtemps. Quelques mois plus tard, il fait une mauvaise chute à l'entraînement et se retrouve immobilisé par une fracture de la malléole (saillie osseuse de la cheville). Dans la foulée, Hinault ne fait «que» deuxième dans la Grande Boucle. Tapie gronde, dégraisse les effectifs, embauche Greg LeMond et jette les coureurs qui n'ont pas obtenu de bons résultats. Le contrat de Devooght n'est pas reconduit. Il n'a pas pu donner la mesure de ses capacités: «Fabien marchait toujours bien en fin de saison, explique Charly Bérard, qui s'est entraîné plus de cinq ans à ses côtés. Or, sa blessure l'a empêché de courir. De toute façon, il avait des problèmes de communication avec le groupe. Si le mental avait suivi, il aurait pu faire une grande carrière, mais"» Après son exclusion de la Vie claire, le monde s'écroule pour Fabien. «C'est vraiment des salauds, confie-t-il à un proche. Ils m'ont viré alors que, pour rester au niveau, j'ai pris chez eux des choses que je n'avais jamais prises ailleurs. Comme tout le monde, d'ailleurs.» Pure vengeance ou dénonciation d'une pratique courante au sein de l'équipe? Pour la première fois en tout cas, Devooght parle de dopage. Dès lors, il va tout essayer pour revenir au niveau: anabolisants, corticoïdes, stimulants cardiaques, amphétamines" «On savait bien qu'il fallait passer par là pour être un grand champion», reconnaît aujourd'hui sa mère. Rien n'y fait. La belle mécanique est brisée, plus personne n'en veut. Devooght affirmera plus tard avoir été en contact avec l'équipe espagnole Once, puis avec la Redoute, mais il est contraint de redevenir amateur. En 1985, seul un poste d'animateur offert par la mairie de Cannes l'aide à survivre. 5 000 F par mois et une licence cycliste à l'Etoile sportive de Cannes. Mais Fabien s'énerve. Il plante son travail et part écumer les clubs du sud de la France: Marignane, Toulon, Cagnes, Narbonne" «Il a fini par décourager tout le monde avec son attitude renfermée, son refus des autres et son instabilité pathologique, estiment ses anciens compagnons. Il voulait toujours être considéré comme l'espoir du cyclisme qu'il n'était plus. D'ailleurs, dans sa lente dégringolade, il n'a jamais tiré la sonnette d'un proche.» La même année, il va courir au Sénégal, au Burkina Faso, en Guinée, trois pays sans règles sportives où les médecins-dopeurs ont pignon sur rue et sont appelés les «faiseurs d'anges». En 1986, pressé par le besoin de gagner sa vie, Fabien Devooght met le doigt dans un terrible engrenage. La triche organisée. En compagnie de plusieurs autres coureurs locaux de bon niveau, tous membres de clubs différents, il crée ce qu'on appelle une mafia dans le Sud-Est. Le but est simple: les équipes «concurrentes» sont toutes engagées dans les critériums départementaux ou régionaux dotés de prix en espèces. D'un commun et secret accord, leurs leaders laissent gagner le mieux placé d'entre eux, sans jouer le jeu de la compétition. L'argent ainsi remporté est partagé à l'arrivée ­ «derrière l'église ou la mairie» ­ entre les pactiseurs. L'estocade arrive en 1989. Fabien Devooght subit un contrôle antidopage lors du grand prix de Roanne. Il est déclaré positif. «Ils savent pourtant bien qu'on ne fait pas du vélo en suçant des glaçons», tempête-t-il à l'adresse de Philippe Bomer, un personnage incontournable dans le milieu du cyclisme sur la Côte d'Azur. L'homme est un mythomane qui se présente volontiers comme ancien médecin sportif, entraîneur cycliste ou responsable d'un club local. Il est en fait inconnu à l'ordre des médecins et ne posséderait pas de licence cycliste, selon le comité de Côte d'Azur. Il se prend néanmoins d'une affection sincère pour le champion déchu et tente de l'aider. Car tout comme Devooght, Bomer est un sinistré de la vie. Victime d'un très grave accident de la circulation qui lui vaut une opération au cerveau et la perte d'un oeil à 25 ans, il vit dans les souvenirs de ses études de médecine avortées. Mais «sans le vélo, Fabien était paumé, lance-t-il en essuyant une larme. Il ne pouvait malheureusement pas remonter la mauvaise pente». Selon Bomer, Devooght s'adonne alors aux drogues dures. La déchéance. La mairie de Nice lui propose un emploi de vigile dans la société d'HLM municipale. Fabien accepte mais déprime, se soûle tous les jours, dépérit. Durant l'été 1992, il effectue une première cure de désintoxication dans le service de psychiatrie de l'hôpital Pasteur, à Nice. Il sort, reprend l'alcool, est licencié de son poste de surveillant en 1995 et finit par être de nouveau hospitalisé. Début 1997, nouvel internement d'un mois en psychiatrie. Son état est critique. Perclus de crampes musculaires, il perd la mémoire et présente des troubles de la vision. A l'âge de 37 ans, il est atteint d'un début de Parkinson. Quelques mois avant sa mort, Fabien Devooght était venu à Libération raconter comment il avait «cassé sa vie». Décharné, l'oeil dans le vague, il a tendu son palmarès comme une preuve de ses compétences. A Cagnes-sur-Mer, ses parents se sont débarrassés de ses vélos, de ses trophées, de leurs souvenirs. «On le voyait s'autodétruire sans rien pouvoir faire, déplore sa mère. Nous n'avions plus le contact avec lui. Le monde du vélo l'a tué.». On notera au passage comment monsieur Tapis adulé par certains et qui fait semblant de vouloir aider les gens à travers son site web avec son fils, voit les rapports humains.
  17. vous saviez que l'ancien coureur cycliste robert Millar est devenu une femme, il (elle) s'appelle désormais Philipa York, le dopage fait plus de ravages que je ne le pensais!!! photos de lui avant et maintenant
  18. il y a des chances en effet que vidal soit le prochain contrat pro, ça ne m'étonnerait pas
  19. moi ce week-end j'étais pas dans un formule 1 mais dans un étap hotel
  20. en même temps t'aurais du t'en douter
  21. euh à priori je serai du côté de Sarténe, mais bon je vais bouger mais je vais surtout faire la partie sud/sud-ouest. finalement ici c'est bien pire qu'en Corse!!
  22. Bon ben après avoir lu tous vos messages, ça me laisse penser qu'ils sont pas si commodes que ça quand même. Bon je verrai bien, je vous dirai à mon retour ce que j'en ai pensé.
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