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Tout ce qui a été posté par Sergio
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Pour moi, Action Discrète est à l'humour, ce que la musique militaire est à la musique.
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Heureusement qu'il n'y avait pas de téléphones portables à la mort de Mussolini.
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C'est vrai qu'il y a une certaine unité si on reste dans l'octogone, quoique la place des Carmes n'ait aucun point commun du point de vue ambiance avec la place du Capitole ou la Place Wilson, sans parler de la place Saint Pierre. Autour de la place de l'Estrapade il y a une ambiance particulière. Et la place Saint Georges dégage des trucs bien à elle. Pour le repos et la plénitude, rien ne vaut la place Saint Etienne. En fait, à Toulouse, ce sont les places qui sont déterminantes. Quoique passer de la rue des Filatiers à la rue Saint Rome, on fait ça en 10s, et on change de village. Pareil pour la rue des Puits Clos. Quand on remonte la rue du Languedoc depuis la place des Salins, on change de monde en arrivant au croisement de la rue de Metz. On laisse sur notre droite les antiquaires de la rue Croix Baragnon et les chocolateries de luxe, pour avoir en point de mire la boutique Celio. En sortant du centre historique, c'est pareil. La rue de la Colombette est bien particulière, et en tournant à droite à Saint Aubin et en se dirigeant vers la place Dupuy, on change progressivement d'ambiance. Ce qui se passe devant la halle aux grains, ne se passe pas autour du Café Populaire. On ne rencontre pas les mêmes personnes. On pourrait aussi parler de la rue Bayard, qui est un village à elle seule. On pourrait continuer des heures : la rue Gambetta avec la proximité de Fermat et ses librairies, la Daurade et sa petite place,etc. Je ne suis pas sûr que Busquets ait saisi tout ça.
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Tout ça, c'est très complexe. Un oeil extérieur à Toulouse est utile pour démêler la situation. Mais c'est vrai qu'il y a plein de micro-villages dans le centre-ville.Ce n'est pas spécifique à Toulouse. Quand je me promène dans Paris, j'ai l'impression qu'on passe parfois d'un village à l'autre en traversant les rues.
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Quoi ? Tu affirmes que des étudiants en lettres sont aussi panurgesques que des étudiants en droit ? Juste en première année alors, parce qu'il faut vraiment être con pour s'entasser dans ce truc informe, sans ambiance, et je dirai même conformiste façon fils de notables, alors qu'il y a tant d'endroits délicieux dans la ville pour s'amuser. Il suffit de faire preuve d'un peu de curiosité et d'imagination, chose dont sont dépourvus par définition, les étudiants en droit. J'ai bien sûr des adresses, mais il serait malvenu de les donner publiquement, la place Saint-Pierre étant l'abcès de fixation idéal pour juguler l'infection.
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N'oublions pas que ça rapporte à l'état, toutes ces beuveries. Si plus personne ne fumait, ni ne buvait, il faudrait considérablement augmenter les impôts directs pour joindre les deux bouts, déjà qu'on ne les joint pas. A Saint Pierre, notre belle jeunesse, tout en vomissant et en nous vomissant, contribue à nos retraites. Je profite du forum pour la remercier. Et puis, ça contribue à l'égalité des chances. Nos étudiants en droit, qui constituent la majorité du troupeau bêlant envahissant le vert pâturage de la place, laissent certainement beaucoup d'énergie en remplissant ces obligations nocturnes. Délaissant leurs idéaux, à supposer qu'ils en eussent, ils en seront réduits à mener une carrière d'avocats de mafieux. Les modestes étudiants boursiers fauchés, cloîtrés dans leur chambre de bonne pendant les libations, n'ayant d'autres choix que s'abîmer sur leurs manuels, compensent ainsi les cours particuliers spécial cancres-fils-de-riches, que leurs parents infortunés n'ont pas pu leur payer.
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La place Saint Pierre engrange depuis longtemps une odeur de pastis et de vomi après certaines heures. Longtemps ce ne fut que le pastis, puisque ce lieu était dévolu en priorité à la pétanque. Mais ça fait bien 35 ans que c'est un lieu de sortie nocturne. Enfin, pour moi qui adorait les ambiances intimistes (et oui) et déconneuses. Perso, je trouve que le problème, c'est qu'il y a trop de monde. Moi je n'aurais jamais supporté, trouvant que la grande foule n'est paradoxalement pas propice aux rencontres agréables et aux bonnes soirées. Et puis, quand on est 50, un mec qui a l'alcool mauvais, ça se gère. Mais quand on est 20 fois plus, je vous laisse faire le calcul, ça fout la merde, et parfois c'est la connerie de base qui triomphe.
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Bah, c'était juste pour se venger, alors.
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http://www.ladepeche...rud-hommes.html Le seul lien qu'il y a avec ce que vous dites, il est en tête de mon post, ou bien ?
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http://www.lemonde.fr/idees/article/2011/10/17/licencies-en-baisse-joueurs-surpayes-le-football-francais-a-l-heure-du-declin_1589024_3232.html
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On ne se comprendra pas, là. Je parlais du lien que j'ai mis.
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Sur téléphone mobile, Android comme iOs sont basés sur Unix ?
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http://www.lemonde.fr/technologies/article/2011/10/17/mort-de-dennis-ritchie-l-inventeur-d-unix-et-du-langage-c_1589267_651865.html
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C'est clair que c'est difficilement gérable, du moins au niveau des amendes. En revanche, pour moi c'est un critère de vote. J'ai tendance à avoir de la sympathie pour les candidats qui font en sorte de limiter au maximum l'affichage sauvage. C'est encore plus vrai pour des élections locales où les candidats défendent des programmes incluant la propreté de la ville. C'est le cas à Toulouse, ou des panneaux d'affichage libre ont vu le jour. La distribution de prospectus sur la voie publique rentre dans ce cadre... à partir du 30 octobre. On verra ce qui se passera pour les pare-brise submergés de prospectus pour des salles de gym.
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J'y ai pensé, figure toi. D'autant que les affiches que j'ai vues n'étaient pas loin des bureaux de vote. De quoi faire changer d'avis les hésitants, dans un sens différent. C'est là qu'on voit qu'il ne faut pas prêter les affiches (qui m'avaient l'air officielles) aux concurrents.
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Elle est passéé ric-rac, la Martine, quinze jours plus tard et elle aurait chargé.
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Il ne faudrait pas non plus que tes obsessions à propos de Miniboer fassent obstacle aux discussions. Je citais le livre de chevet du monsieur qui ne mange pas de viande : "La dictature verte". Bon, j'ai dit qu'elle était bienveillante par goût de la litote.
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Je croyais que tu penchais davantage pour une "dictature bienveillante" que pour la démocratie. Me voilà rassuré. Mais il ne faudrait quand même pas que tu défendes la démocratie uniquement quand ça t'arrange. Pour ce que j'ai dit plus haut, je ne change rien. C'est une escroquerie d'écrire dans un tract "et les indignés" quand on fait une manif anti-nucléaire. Cette récupération ou cette tentative de récupération n'est pas digne. Le mot "indignés" a pris un sens qui n'a pas à voir avec vos préoccupations, et les indignés ont des revendications spécifiques qui méritent mieux que d'être récupérées. Ont-ils occupé des places parce qu'ils sont-ils anti-nucléaires, végétariens, ou partisans de la décroissance ?
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C'est une escroquerie d'embarquer les "indignés" dans une manif anti-nucléaire.
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Ah, mais nous sommes d'accord.
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Ce ne sont pas ses raccourcis à lui, ce sont les raccourcis de M Tarrier, grand écrivain.
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Le truc dont tout le monde se branle...
Sergio a répondu à un ClarkGaybeul de Sergio dans Le Bistrot
Nougaro jouait à quel poste ? -
C'est peut-être une coutume ancestrale, il faut être indulgent. Pareil pour les corridas. Et c'est quand même mieux que les sacrifices humains pratiqués par les bons sauvages chers aux rousseauistes.
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Pas la peine de chercher si loin. Ces procédés existent déjà pour les produits commerciaux (restaurants, sites de vente de ligne, France Loisirs). Il devient de plus en plus difficile de se faire une vraie opinion sur le net, du coup. Trop de trolls, et de pros de la chose. Il y a même des entreprises qui font ça sur commande.
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Soyons indulgents. Il est tout à fait possible que le toit de la demeure de son compagnon hobereau soit à refaire. Ca coûte cher ces restaurations, vous ne pouvez pas savoir. Quelques ménages à droite et à gauche mettront sans doute du beurre dans les épinards, et sa maison de fin de semaine (ne dites pas week-end s'il vous plaît, on démondialise) si loin de Paris, en deviendra plus confortable. Ennuyeuse, certes, mais que ne ferait-on pas pour la patrie.