HelloMoto

Un pote m'a fait decouvrir cette mini série qui m'a bien fait marrer Episode 1

Ah! ah! et tu mets Alonso dans la RB et Vettel il existe pas... s'ils étaient si pourris que çà les moteurs renault ils auraient pas autant de clients et de demandes de fourniture. Sinon y'en qui tiennent leur pari...

J'espere que t'as ecouté l'ingé de chez Renault qui disait que Vettel est aussi con qu'Alonso sur RMC...

L'attaquant de Bolton, Johan Elmander (29 ans, 11 matchs et 5 buts en Premier League cette saison), pourrait changer d'air cet hiver. Sous contrat avec les Wanderers jusqu'en juin 2011, l'ancien Toulousain devrait être poussé vers la sortie dès cet hiver, deux ans et demi après son arrivée au club. L'international suédois (51 sélections et 13 buts) serait proche de Fenerbahçe, selon le Daily Mirror. (Par Nicolas Lagavardan) Source

Pourquoi faire de l'ironie, ca commence a se voir que l'entraineur est un des maillons faible du tef actuel... On s'evertue a faire jouer des milieux axiaux sur les cotés, laissant les seuls joueurs un tant soit peu performants a ces postes sur le banc ou a des postes ou ils sont loins d'etre au top alors qu'on a des alternatives crédibles... Certains en font des tonnes sur le soit disant beau jeu pratiqué au début de saison... Mais çà va faire bientot un an qu'on joue comme çà, et sans attaquant non plus, reprennez les commentaires d'apres match de la 2eme partie de saison dernière... Ca a marché en début de saison contre des adversaires en rodage, mais depuis ...

Ce serait bien qu'il ait autant de nez quand il s'agit de la chose sportive...

de meme pour Braaten.

Les coupes budgétaires décidées par le gouvernement britannique entraîneront la suppression de près d'un demi-million emplois d'ici à 2015 dans le secteur public, a annoncé mercredi au Parlement le ministre des Finances George Osborne. Le ministre a expliqué que l'Office pour la responsabilité budgétaire, l'organisme officiel chargé de surveiller les comptes publics, avait évalué à 490. 000 postes la diminution des effectifs du secteur public qui découlera de la réduction des dépenses publiques, ajoutant qu'il s'agissait de "la meilleure estimation". M. Osborne a confirmé l'objectif annoncé en juin pour la réduction des dépenses publiques, alors fixé à quelque 83 milliards de livres (95 milliards d'euros) d'ici 2015. Ces coupes budgétaires drastiques, combinées à 30 milliards de livres de hausses d'impôts, doivent permettre d'éliminer quasi-totalement le déficit public du Royaume-Uni, le ramenant de 10,1% cette année à 1,1% du PIB en 2015. Le ministre a ajouté que la réduction des effectifs de la fonction publique s'effectuerait en majorité via des départs naturels, tout en prévenant que des licenciements seraient "inévitables". Il a répété que le gouvernement n'avait pas le choix s'il voulait "éviter la faillite" du pays et "l'éloigner du précipice". "Si nous ne nous occupons pas de ce déficit record, encore plus d'emplois seront menacés", a-t-il plaidé devant les parlementaires. En moyenne, les ministères verront leurs moyens baisser de 19% d'ici 2015. Parmi les plus affectés, le Foreign Office (Affaires étrangères) et la Culture verront leurs budgets baisser de 24%, celui du Trésor sera réduit de 33%, et l'environnement de 29%. La baisse sera sévère également pour les ministères de la Justice et de l'Intérieur, dont les budgets reculeront de 23% chacun, et celui des Transports qui baissera de 21%. Celui de la Défense diminuera de 8%, comme l'avait déjà annoncé mardi le premier ministre David Cameron. Le gouvernement va également réduire de 18 milliards de livres par an à compter de 2014/2015 les dépenses de "l'Etat providence", et avancer à 2020 le report de 65 à 66 ans de l'âge du départ à la retraite. Source

Par le petit trou...

Bah c'est bien connu que contrairement a ce qu'affirme Brassens dans sa chanson, les gorilles sont pas si bien pourvus que çà...

l'était pas beau notre Lainlain national jeune dans son p'tit short seyant...

Non mais la dessus on est entièrement d'accord y'a pas de soucis, le truc c'est que Braaten meme irrégulier, il doit etre titulaire a droite, c'est le seul joueur convenable qu'on ait eu a droite depuis des lustres, et c'est pas faute d'avoir essayé du monde a droite, depuis qu'il est chez nous: Bonnet,Bergougnoux,Devaux, Sissoko, ce tres cher Kazim... et j'en oublie peut etre. Pour Moussa, EM l'a fait jouer dans l'axe ce soir et comme par hasard il fait un bon match... Il a juste fait expres de mettre sa tete sur la barre pour pas que Grimandi ne remette un rapport trop positif a Wenger C'est quand meme tres dommage ces problèmes de finition.

S'emmerde pas le Jenson

Bah , perso je sais pas si c'est Moussa qui a été sifflé ou le coaching de Casa ... Moussa son probleme c'est que personne ne plante dans notre équipe, un peu comme Braaten d'ailleurs, c'est eux qui doivent avoir le plus d'occases, mais ils en convertissent tres peu, dans une équipe a la recherche d'un buteur çà fait beaucoup de pression, ce qui les faits tergiverser dans les instants décisifs... Et ces occases ratées font oublier tout le positif qu'il peut y avoir par ailleurs. Bon après je fait aussi parti de ceux qui estiment qu'il serait mieux dans l'axe, et qui ne sont guère adeptes des compos de départ de Casa, mais çà c'est un autre débat.

Après minuit alors.

Football365 vous ouvre les portes des vestiaires tous les jeudis pour vous faire découvrir la face cachée des joueurs. Cette semaine, notre invité est le Toulousain Daniel Congré, qui a su mener de front carrière et études. Daniel Congré, Toulouse a perdu le goût de la victoire en septembre mais le classement reste excellent pour le Téfécé. Cela doit vous satisfaire On est content de notre début de saison car au niveau du capital points, nous sommes très bien. Au niveau de la qualité du jeu, nous sommes également satisfaits de ce que nous développons depuis le début de saison. Le plus dur arrive : il va falloir confirmer à chaque match. Il y aura un bon test à Rennes le week-end prochain. Vous semblez récolter les fruits d'une formation qui a peu évolué malgré le départ d'André-Pierre Gignac Oui. Il y a un tel état d'esprit, une telle solidarité entre chaque joueur qu'on arrive toujours à rebondir. Après la saison passée qui était assez délicate, on a en tête de refaire une très bonne saison avec un état d'esprit revanchard. C'est ce que nous sommes en train de réaliser. L'état d'esprit est important mais le jeu semble aussi avoir progressé. Vous n'êtes plus seulement une équipe défensive Les années précédentes, on avait cette réputation-là. Mais si on regardait nos matchs, on voyait bien qu'on ne se contentait pas que de défendre. Aujourd'hui, on ne parle plus de ça parce que la réussite est là et qu'il y a beaucoup plus de mobilité et de mouvements au milieu de terrain. Et les actions sont beaucoup mieux goupillées. Cette réputation défensive, on l'a eue à tort car nous sommes une équipe qui a toujours cherché à jouer. A titre individuel vous réalisez une belle entame de saison, sans blessure C'est l'un des meilleurs débuts de saison que je fais avec Toulouse. Mon passé a été souvent entaché de blessures mais là, je peux vraiment jouer comme je sais le faire. Avec beaucoup de plaisir. Quand on est écarté du terrain sur blessure, ce n'est pas évident. Désormais, j'espère garder cette place de titulaire le plus longtemps possible. Vous êtes extrêmement complet et polyvalent. Est-ce un atout ou parfois un défaut de ne pas être fixé définitivement à un poste ? Quand on commence une carrière professionnelle, la polyvalence est un atout. Quand on est jeune, ça permet à l'entraîneur de tester un joueur un peu partout. Je n'avais aucun souci avec ça et je prenais autant de plaisir comme arrière central que sur un côté. Mais c'est vrai qu'à terme, c'est important de se fixer à un poste pour continuer sa progression. Cette saison, ça part comme ça car je suis plus ou moins fixé dans l'axe, même si j'ai joué à gauche le week-end dernier en raison des absences conjuguées de Cheikh M'Bengue, blessé, et Franck Tabanou, suspendu. Si l'entraîneur a besoin de moi sur un côté, il peut le faire sans problème. « Toulousain pure souche » A 25 ans, vous semblez avoir besoin de franchir un dernier palier pour passer d'un très bon défenseur de Ligue 1 à un candidat à une carrière internationale. Peut-être vous manque-t-il une longue expérience européenne ? L'expérience européenne est très importante pour le très haut niveau. J'ai joué l'Europe deux années à Toulouse et même si les parcours n'ont pas été très satisfaisants, ça me fait déjà une petite expérience. Jouer plus régulièrement des matchs contre des grosses cylindrées européennes, au niveau de l'expérience, ça me servirait énormément. Mais je ne me prends pas la tête par rapport à cela. Il y aussi des matchs dans le championnat de France qui sont très intéressants. Le niveau est très haut cette année. L'expérience européenne reste importante donc autant jouer l'Europe l'an prochain avec Toulouse. Ça peut être notre année. On ne se fixe pas de limites, pas d'objectifs, mais on veut aller le plus loin possible tout en gardant en tête que pour y arriver, il faut pas mal de stabilité et pas mal de travail. Toulouse a fêté les dix ans de la présidence Sadran. Vous êtes un peu le symbole de ce Téfécé puisque vous êtes toulousain et que vous avez toujours joué ici. Qu'est-ce que cela représente pour vous cette position un peu anachronique à une époque où les joueurs changent sans arrêt de clubs ? Je suis toulousain pure souche. Je suis né ici et j'en suis à ma 15eme ou 16eme année au Téfécé. Ce club représente beaucoup de choses pour moi. Avoir signé mon premier contrat pro à Toulouse est une très grande fierté. J'ai envie de construire un palmarès ici avec ce club. En tant que toulousain, pourquoi avoir choisi le foot plutôt que le rugby ? Est-ce la faute de votre papa ? Oui, mon père jouait au foot quand il était jeune. Avec ma mère, on allait le voir jouer et il m'a transmis cette passion. Je me suis mis au foot et ça m'a réussi. Vous êtes en effet devenu pro mais vous avez eu la démarche assez rare dans ce milieu de ne jamais abandonner vos études. Le foot a-t-il réellement toujours été votre priorité ? Pas du tout, ça n'a jamais été une priorité jusqu'à ce que je signe mes premiers contrats en jeunes avec Toulouse. Mon père m'a toujours dit que je devais considérer le sport comme un plus quand j'étais jeune. C'est pour ça que j'ai toujours eu des résultats scolaires cohérents et que j'ai pu continuer mes études. Cet état d'esprit m'a permis de m'aérer la tête quand j'étais au centre de formation où je pouvais penser à autre chose qu'au sport. Ce n'est que quand je suis passé stagiaire professionnel que dans ma tête, ça a vraiment tourné et que je me suis dit que j'allais faire du foot. D'un commun accord avec mes parents, il était décidé que je n'arrête pas les études tant que je ne serais pas professionnel et après, une fois lancé dans des domaines qui me plaisaient, j'ai continué. Tant que ça n'entachait pas mes performances sportives, j'ai continué et ça m'a bien servi. Au-delà d'une carrière professionnelle, il y a une vie à mener et ça sera toujours utile pour l'avenir. Le fait de rester chez vous vous a-t-il facilité le fait de mener parallèlement vos études et le foot au plus haut niveau ? Oui car ma famille a toujours été là pour moi. Les jeunes garçons qui arrivent au centre de formation à Toulouse, alors que leur famille est à Marseille ou Paris, ce n'est pas évident. J'habitais à cinq minutes du CREPS où se réunissaient les joueurs. Pour moi, tout était bien plus facile. Ça a été un plus non négligeable. « J'imite les Inconnus dans le vestiaire » Le fait d'être proche de votre famille et d'avoir fait des études vous a-t-il permis de traverser vos longues périodes de blessure plus aisément ? Dans les moments où nous sommes blessés, l'entourage familial et même amical est très important. Je suis très famille. Mes amis sont les mêmes que quand j'étais petit. Dans ces moments-là, on a besoin d'eux et c'est vrai que cela a été bien plus facile de me sortir de ce cadre-là. Etes-vous gêné quand on dit de vous que vous différez de l'archétype du jeune footballeur moderne ? Vous avez un côté intello et vous vous êtes rendu à l'entraînement pendant des années avec une vieille guimbarde orange Je suis fier de ça parce que je suis ce que je suis. Ce sont les valeurs que mes parents m'ont inculquées. Mais je reviendrais sur le fait qu'il y ait un archétype du footballeur professionnel. Non, c'est assez vague ça. Il y a beaucoup de personnes qui me ressemblent je pense. Le concept d'un footballeur pro type n'existe pas vraiment. C'est un milieu avec des personnes vraiment très différentes dans tous les clubs. Vous paraissez très sérieux mais il parait que vous ne l'êtes pas tant que ça et que vous seriez, avec Mohamed Fofana, un brillant imitateur des Inconnus dans le vestiaire Il faut savoir faire la part des choses. Quand je vais à l'entraînement, j'essaie de faire du mieux possible. Je suis très proche de Mohamed Fofana. On a les mêmes centres d'intérêt. Les Inconnus, on aime beaucoup et il nous arrive de les imiter dans les vestiaires. Les sketchs préférés sont Télémagouilles, les Branleurs Il y en a beaucoup. On aime surtout les parodies. On reste sérieux sans se prendre au sérieux. J'avais découvert les Inconnus ou Coluche et j'ai été quand même plutôt surpris de retrouver ces goûts chez un coéquipier. Mohamed a les mêmes centres d'intérêts que moi sur le plan comique. « J'ai lu et relu Si C'était Vrai'' » Vous êtes antillais et il paraît que vous écoutez pas mal de zouk C'est la musique de mes origines. Je suis d'origine guadeloupéenne et martiniquaise. Forcément, ce sont mes origines. J'adore cette musique mais j'écoute vraiment tous les genres de musiques car je suis quelqu'un qui aime découvrir les choses. Le Brestois Steve Elana, notre invité la semaine passée, disait qu'il fallait faire attention quand on était antillais à ne pas manger trop local C'est une nourriture très nutritive on va dire. Ce n'est pas évident d'y résister mais à Toulouse, on est suivi par un nutritionniste. Donc il faut faire attention. Il faut surveiller. Vous aimez aussi la lecture ? J'aime lire. Ça me permet de penser à autre chose, à m'évader. Un bon bouquin m'apaise vraiment. Les amateurs de lecture se reconnaîtront. Le livre qui m'a fait découvrir la lecture, c'est « Si C'était Vrai » de Marc Lévy. Je l'ai lu et relu. Vous préférez donc la version littéraire à son adaptation cinéma ? Oui, j'ai été - comme toujours - très déçu par l'adaptation car quand on lit, on se crée soi-même son propre film. En voyant ce film, je me suis rendu compte que le metteur en scène n'avait pas du tout la même vision du livre que moi. Source

Ah çà y est vous vous etes enfin rencontrés en live avec Mario

Les guignols c'est a la fin

Je sait que tu n'as aucun sens de la nuance et que mon post te ferais réagir

Pole, meilleur tour, et victoire Nando quoi Le plus beau podium a Monza depuis 93, seul Massa faisait un peu tache. Les prochains circuits devraient mieux convenir aux red-bull quelque peu handicapées par leur moteur sur les derniers GP, esperons que Webber puisse faire la nique pour le titre a son jeune effronté d'équipier.

Ode a l'Aveyron et au Rugby