Flolynyk

Je t'ai justement donné un exemple plus haut montrant que c'est pas le cas

Le problème des outrages c'est que c'est souvent la parole des flics contre la parole des accusés. Je réitère ma question, est-ce que c'est inscrit au casier judiciaire ? Parce que partir de l'obligation d'un casier judiciaire vierge serait déjà pas mal, et ça évite l'impossibilité de se présenter après des infractions bénignes.

Est-ce que l'outrage par exemple, c'est inscrit au casier judiciaire ? Pour Chikh par exemple, c'est une amende avec sursis et sans inscription au casier judiciaire, est-ce qu'on peut considérer ça comme une condamnation justifiant une non-possibilité de se présenter ? Je sens qu'on tient un truc, quelques heures de discussion et on devrait trouver la bonne solution

Qu'il n'ait pas été condamné pour l'instant, je sais bien, la question c'est sur la stratégie de comm autour de ça. Bon, je comprends que du coup comme eux, pour certains électeurs ça change rien, ça répond à ma question, merci. Concernant ce que tu cites, à ma connaissance il n'y en a aucun qui a été investi après des histoires d'agressions sexuelles / de viols chez NUPES. A part Bouhafs donc mais comme tu l'as vu, son investiture a été retirée, à juste titre selon moi. Tu compares vraiment une condamnation à une amende avec sursis pour s'être énervée en manif (une soignante, pendant le covid, on le rappelle), ou une condamnation pour avoir traité des journalistes de menteurs, à des agressions sexuelles / viols ?

Au sujet d'Abad, on a appris hier que notre nouvelle Première Ministre (qui a promis de ne pas nous mentir et a déjà raté ), malgré ce qu'elle avait annoncé, était au courant des accusations contre Abad. Bon, qu'ils s'en branlent, je crois qu'on l'a à peu près tous compris, mais stratégiquement, juste avant des législatives, quel intérêt de le nommer quand même alors qu'ils devaient se douter du shitstorm qui allait suivre ? Et les électeurs de Macron, sans aucun jugement (promis ) est-ce que ce genre de choses vous fait repenser votre vote aux législatives (si vous aviez prévu de voter pour leur candidat évidemment) ? @kike @Ekelund @chubee et les autres ?

S'agirait d'arrêter de lire le forum en diagonale et tout prendre pour argent comptant.

Donc là il est venu, il balance une saloperie et ne répond plus ensuite. Encore une preuve que t'es vraiment une connasse

CQFD (Pardon )

Mais personne n'a insulté personne

Je m'explique probablement mal @Asha31, mais j'ai l'impression que tu prends très personnellement des remarques qui ne sont en aucun cas personnelles, et tu penses qu'on interprète tes propos alors que pas du tout, c'est le mécanisme qu'on trouve dérangeant et on essaye en aucun cas de te faire dire ce que tu n'as pas dit.

Non mais personne n'a dit ça je crois

Ok donc de nulle part

Mais parler de culture du viol ça n'a rien de personnel non plus. Le fait de parler de ce qui se passe autour en minimisant, indirectement, les actes (indirectement, et involontairement dans ton cas), ça fait partie de la culture du viol au même titre que tous les 'ouais mais elle était habillée comme ça', 'ouais mais elle l'a dragué', 'pourquoi elle a pas porté plainte' et donc 'pourquoi ils en parlent que maintenant', ça invisibilise les paroles des victimes, et ça participe à ce qu'on appelle la culture du viol. Ca ne veut pas dire que tu es un violeur, ni que tu les défends.

C'est justement pour ça que j'ai précisé un truc entre parenthèses. Tu te défends d'un truc pour lequel personne ne t'accuse. Et oui c'est peut-être évident, mais putain ce qu'il en ressort c'est quand même "c'est moche ce qu'il a fait mais hein, franchement, Mediapart ), et c'est pas propre à toi ni à cette situation, c'est quelque chose qu'on retrouve partout, tout le temps, et c'est justement pour ça qu'on pointe le problème. Comme l'a dit @è_é tout à l'heure, il y a peut-être des victimes qui vous lisent, faites gaffe à vos propos, c'est tout. Et encore une fois, on n'a JAMAIS dit que tu le défendais ni que ça ne te paraissait pas grave, on dit juste de faire gaffe à ce que tes / vos / mes / nos propos peuvent impliquer. Tu as toi-même admis que c'était ambigu. Elle dit exactement la même chose que moi et que d'autres, personne ne veut se 'payer' personne. Pour le reste, le début de mon message y répond.

Ca sort d'où ça ?

Oui. Le problème c'est quand il n'y a que la critique du traitement médiatique qui en ressort. Personne ne dit que vous défendez les violeurs, c'est pas du tout le propos. Mais que le premier truc auquel on pense (ou du moins qu'on écrive / dise) en voyant sortir une affaire c'est "oh tiens Mediapart ça les arrange bien", bof. Demandons sa condamnation, sa démission, la fin de sa carrière politique même, puis on discutera du reste, non ?

Le problème (enfin un des problèmes mais bref) @Asha31 c'est que même si tu ne remets pas en cause la paroles des victimes, là tu viens parler de ces histoires horribles, mais le seul commentaire que tu fais c'est sur le timing, sans parler à un seul moment du contenu, comme si c'était ça le plus important dans l'histoire. Et oui, c'est probablement involontaire, mais ça minimise vachement les paroles rapportées dans l'article et les actes d'Abad.

En tant que membre officiel "Passion Tie Break", je ne peux laisser passer de tels propos.

Il n'y a plus rien à espérer de leur déplacement à Brest (samedi, 21 heures). Les Girondins seront officiellement en L2 samedi soir, et l'enjeu consiste désormais à faire en sorte qu'ils ne tombent pas plus bas pour des raisons financières... Sur ce plan aussi, la situation du club est alarmante. Un trou de 40 M€ - et non 30 M€, le chiffre annoncé début avril en conseil d'administration - doit être comblé d'ici au 30 juin. Même en tenant compte du plan de restructuration des coûts, de l'arrivée du fonds d'investissement CVC (qui permettra au club de toucher 8,5 M€ en juillet, puis la même somme en juin 2023) et de l'aide de 7 M€ prévue par la LFP concernant les droits télé, il en reste actuellement 20 à trouver. Les cinq chiffres accablants pour les Girondins de Bordeaux Comme indiqué par Sud Ouest, le propriétaire du club, Gérard Lopez, devra obligatoirement trouver lui-même les fonds nécessaires pour assurer la survie du club et passer sans encombre l'obstacle de la DNCG. « Et ça ne pourra pas être avec de la dette, souligne une source proche du dossier. Ça affaiblirait encore les capitaux propres du club, et la DNCG ne laisserait pas passer. » Le montant d'éventuels transferts ne servira pas non plus à faire baisser l'ardoise. Sauf changement de calendrier, l'audition des dirigeants bordelais par le gendarme financier du football français interviendra mi-juin. D'ici là, le besoin de liquidité des Girondins peut être en partie réduit : les discussions sont toujours en cours pour signer un nouveau sponsor après la rupture du contrat avec Winamax début janvier. Compte tenu des délais, il est, en revanche, très peu probable que de nouveaux acteurs économiques entrent dans le capital du club. Cette hypothèse avait été envisagée par Lopez ces derniers mois. « La règle établie par la DNCG est simple, on se pointe avec ce qu'on a, souffle un membre du club. Aujourd'hui, la situation, on la connaît. On sait ce qu'on n'a pas. » Parmi les options sur la table, la pire pour l'avenir du club serait que Aether Financial Services, l'agent de sûreté chargé de sécuriser les dettes des deux principaux créanciers du club Fortress et King Street, décide de mettre le club en faillite pour stopper les dégâts. Ce n'est pas la tendance mais Lopez n'aurait pas son mot à dire. Indépendamment des 20 M€ d'euros à trouver pour satisfaire la DNCG, il a déjà été acté lors de leurs différents échanges que l'intéressement de 20 % à la revente sur les transferts de Jules Koundé (Séville FC) et Aurélien Tchouaméni (Monaco) leur reviendrait pour réduire la dette du président. Elle s'élève actuellement à 50M€ avec un remboursement initialement prévu en 2025 : 38M€ pour Fortress, 12M€ pour King Street. Malgré cette incertitude, plusieurs réflexions sont en cours pour préparer la saison prochaine : la nomination d'un entraîneur capable de faire remonter immédiatement le club dans l'élite en fait partie. « Il faudra trouver un juste milieu entre un entraîneur aguerri à la L2 et qui s'appuie sur des joueurs d'expérience et notre projet dans lequel on a besoin de faire venir des jeunes », souffle un membre du club. Pour le poste de président délégué, Klaus Allofs fait partie - avec Stéphane Martin - des noms cités. Passé par Bordeaux lorsqu'il était joueur (1989-1990), l'Allemand est actuellement le directeur sportif du Fortuna Düsseldorf.

@Bebs d'avance, merci

Il n'a pas parlé d'alcool mais de bières et de spritz, rien à voir

Et un ou 😱, d'avance merci.

"C’est un honnête homme, je ne crois pas qu’il soit capable de violences sur les femmes"* *Sauf une fois au chalet

Bon annviersaire @Lux !

On est quand même un paquet de gros cons ici, donc oui, c'est autorisé, d'autant plus quand c'est fait en maitrisant le sujet comme c'est le cas d'Elk.