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Asha31

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Tout ce qui a été posté par Asha31

  1. Genreau encore blessé...
  2. En tous les cas, il va pouvoir faire montre de son talent demain si il veut finir de nous convaincre : elle va avoir une drôle de gueule cette équipe toulousaine à Lille. Pas de Magri, donc ta seule option pour faire souffler Dallinga, c'est Begraoui... Pas de Suazo, on pense du coup à Diarra, mais lui aussi s'est tapé un match complet jeudi. Diarra forcément en ARG , donc impossible de le placer dans l'axe pour faire souffler notre charnière, t'aura au moins Nico ou Costa dans l'axe, là encore avec de la fatigue. Sur le côté droit, il va falloir préserver un peu Desler, retour de Kamanzi ? Au milieu, Sierro s'est défoncé, Casseres aussi, Schmidt est sorti complètement ruiné physiquement, il y aura bien sûr Spierings, il faudrait dans l'idéal que Genreau soit dispo, mais il est blessé depuis 10 jours...on devrait vraisemblablement voir jouer Gelabert. Devant, l'occasion d'une première titularisation pour Cissokho je pense, mais après ? Mamady?
  3. https://www.rmcbfmplay.com/info-programme/rmc-story/uefa-europa-league?contentId=Product::NEUF_NUM23_N23P4340228&universe=PROVIDER Tu te créé un compte et tu kiffes avec les commentaires de Jeannot Rességuier Sur l'action, les commentateurs le précisent oui , c'est l'arbitre assistant qui lui fait des grands signes en indiquant une main, c'est pour cela qu'il vient vérifier. Vu comme cela se passe, il ne devait rien entendre je pense
  4. L'action du deuxième but, c'est deux minutes de Masterclass de Sierro : interception dans l'entrejeu au départ , petit pont sur Matip, l'action se poursuit, il est retrouvé aux quarante mètres, une feinte et il rentre intérieur pour une ouverture somptueuse dans le dos du latéral de Liverpool pour lancer Donnum, il est encore au pressing le long de la ligne pour la récupération , puis à la superbe passe dé... Et puis bien sûr le reste de son match... Je pense que c'est un type très intelligent, même plus que la moyenne de ce milieu, et le problème des types intelligents, c'est que souvent, ils cogitent beaucoup . Depuis le début de saison, il a toujours eu ce quart de seconde d'hésitation balle au pied, cette peur de mal faire , hier soir, rien, tout était spontané, naturel, dans le sens du jeu. Ces qualités ne sont pas apparues par magie hier, un déclic s'est produit dans sa tête, la question c'est de savoir si ce déclic va se prolonger. Mais honnêtement, à ce niveau là, c'est un super joueur.
  5. Un peu déçu de ne pas avoir passé la barre des 100 réactions sur mon CR, mais que voulez vous, les forumeurs sont ingrats, on s'y fait
  6. On s'est tous dis ça en tribune, il y a pas un mec sur le terrain qui devait avoir la réf Et ils devaient tous chercher ce grand footballeur chauve à moustache que l'on fêtait tant
  7. Magri a raison de sourire derrière. Que Nunez rage, le buteur et vainqueur ce soir, c'est pas lui
  8. On fait notre meilleur match en Ligue 1 cette saison à Brest, 3 jours après déjà une victoire forte en efforts et en émotions face à LASK...
  9. L'excellent groupe FB "le café-crème" qui relaient le tifo des Indians, les commentaires en dessous sont dithyrambiques ... Quelqu'un aurait un lien pour le match avec les commentaires de Jeannot Rességuier?
  10. Diffusion en clair, contre un club reconnu unanimement comme un géant d'Europe, match spectaculaire à 8 buts dont trois refusés, la dramaturgie de la VAR à la fin, le génie du tifo des Indians... Tout, absolument tout pour rendre cette équipe toulousaine sympathique aux yeux des non supporters du TFC. L'amateur de foot moyen qui s'en carre du TFC, il a vu quoi des Violets en 2023? La démonstration en finale de coupe de France, Les matchs courageux contre le PSG ou l'OM, le match d'hier... 100% d'images positives, avec en plus des joueurs inconnus du grand public et qui ne traînent pas de vieilles rancoeur... Il y a 6 ans , dans mes classes, les petits supporters du TFC se comptaient sur les doigts d'une main , et on voyait jamais un maillot. Ce matin, tous les gamins en parlaient, du violet partout dans la cour de récré...
  11. Oui mais 6-0 au Groupama contre Lyon va équilibrer Oui je compte au budget moi
  12. Mais je n'ai jamais dis que ça se reproduirait tout le temps, des purges on va en revoir, et peut-être des Dimanche Par contre, ce que j'ai vu hier , notamment en terme d'organisation défensive et de niveau de pénibilité pour l'adversaire, c'est pas un truc ponctuel qu'on a jamais vu et dû juste à une ambiance, il y a un groupe depuis le début de saison qui sait manoeuvrer les gros et les faire déjouer , et ça veut dire que derrière, il y a du taff de fait. L'idée que les joueurs courent partout et se défonce et ça suffit pour en passer 5 à Liverpool, bof. Hier, les Reds, leurs tirs cadrés , ils se comptent sur les doigts d'une main . L'énorme point de progrès, il est au moment de prendre le jeu réellement à son compte, mais j'ai la faiblesse de penser que c'est de loin le plus dur à mettre en place, et donc ça demande temps et patience. Mais je prends le pari maintenant que les points perdus contre les plus petits cette saison, on va aller les gratter contre les plus gros ... Mais là encore on sera d'accord, je n'ai jamais demandé à ce que l'on interdise la moindre critique envers Novell Je dis simplement que la marque du TFC version RedBird, c'est l'innovation, constante , partout, une forme de prise de risques aussi, qui s'est avéré payante au delà de toutes espérances ces dernières années. Novell en coach principal incarne cette prise de risques, notre renouvellement d'effectif aussi. Et là, ça rame un peu, mais à un moment, des périodes comme cela sont inévitables et si on a le droit d'exprimer de légitimes doutes quand ça va moins bien, on peut aussi être raisonnablement patients et croire un peu en ce qui est fait sans réclamer au bout de 15 matchs de tout jeter avec l'eau du bain (je ne parle pas spécialement de toi). Donc depuis le début je temporise , relativise, mais ne t'en fais pas, si les même maux persistent encore et encore, que cette équipe ne progresse pas du tout, ba on actera l'échec Novell. Par contre si il perd du crédit après le Havre et Montpellier, il a le droit d'en regagner un peu après hier soir
  13. Je répondais plutôt à GG qui évacue hier comme une "parenthèse" , ce que je trouve injuste pour Novell Pour le reste complètement d'accord sur le fait qu'on ne sait pas tout du groupe et on se fie à des "signes" bien limités, disons que c'est mon impression Bref, comme tu le dis, vivement la suite, à défaut d'être parfait, ce sera sûrement intéressant
  14. Ah, donc quand ça marche pas on peut faire de longues analyses pour expliquer que c'est la faute de Novell, quand ça marche de manière éclatante par contre ça doit être relativisé et mis de côté. Bon. Il a aucune chance le pauvre. Si on perd contre Lille dans deux jours du coup ce sera de nouveau sa faute?
  15. C'est un poil plus excusable contre Liverpool que contre Le Havre non ?
  16. On va faire simple et court : un jeune coach qui apprend, il y a des tendances lourdes et qui ne bougent pas ( une équipe en place tactiquement, une volonté de pressing haut..), puis il y a des points sur lesquels, nécessairement, Novell apprend et ajuste. Tu résume la méthode dont je parle à ce qui se passe sur le terrain, mais ça pour le coup, ça peut faire des débats infinis (et c'est le cas) , mais il y a le reste, notamment la gestion de son groupe, le fait de faire adhérer ses joueurs, et ça pour le coup j'ai vraiment la sensation que son groupe est avec lui et croit en ce qu'il propose, même quand ça tâtonne et que ça dysfonctionne. C'est en ça que je parle d'une méthode qui est validée : tout n'est pas devenu parfait après un exploit et une série de rêve, bien sûr que ça prend du temps,mais si l'on veut absolument voir des échecs dans des défaites cruelles à la 97e, il faut aussi prendre en compte les messages qu'envoient des victoires comme celle d'hier. Parce que le TFC de Novell qui casse les couilles et piège un gros , c'est pas la première fois cette saison, et c'est précisément ce dont on était incapable il y a encore peu de temps.
  17. Pire, des abrutis devant en tribune Taton qui gueulaient et faisaient des doigts à l'annonce de son nom... Je me suis régalé de les engueuler au début, puis de leur glisser un mot à la fin... Le match d'hier valide énormément de la méthode Novell. Au delà du courage et de la solidarité défensive attendue , c'est l'audace offensive et le pressing fou -mais structuré- que l'on retiendra pour des décennies. Il a créer hier un moment unique pour son groupe, un match qui fera référence et lui servira d'exemple jusqu'à la fin de saison. Et les à cotés sont importants : ses adjoints très proche de lui , ses joueurs également, Schmidt qui va le chercher pour lui tomber dans les bras.. son groupe croit en lui et le suit, quoi que nous on en pense, et ça c'est presque le plus important.
  18. Pour ceux qui n'y était pas, il est revenu après que tous les joueurs et le staff soient rentrés , il a couru avec son maillot à la main parce qu'il cherchait partout en tribune un gosse qui le lui demandait avec une pancarte Quand Alex Roux le repère, il fait chanter son nom par les Indians. Donnum, qui repartait au vestiaire, se retourne , applaudit, puis hilare claque un salto arrière qui enflamme la tribune 😅 Il a un grain qui va le rendre terriblement attachant. Côté terrain, on voit hier soir pourquoi il a fini capitaine du Standard. Quel putain de chien de la casse, quel tempérament. Physiquement quand il se donne à fond, c'est un des rares joueurs de l'effectif qui a l'intensité du haut niveau dans les cuisses. Comme en plus il est pas maladroit techniquement et qu'il ne doute pas, il y a du déchet, mais c'est un enfer pour l'adversaire. Et il a l'air de marcher à l'affect à 100%, après le match d'hier, il crévera sur le terrain pour nous
  19. Avec cette victoire, on oblige Liverpool a jouer sérieusement les matchs restants. Et en plus on leur a mis 5 buts (les deux refusés sont valables pour moi ) et ils en ont mis qu'un ( le but de Casseres ça compte pas) donc on s'est vengé du match aller en fait
  20. Ce sera un futur grand, le mec plante aller-retour contre Liverpool quand même, après un doublé au stade de France en finale de Coupe. Quand je pense qu'il y a des ânes ici pour douter du mec. Il a 22 berges, il est arrivé il y a un an, et il est décisif dans juste deux des quatre matchs les plus importants de l'histoire du club. Rien que ça . Quelle classe folle quand il est en confiance.
  21. Peut-être le match du déclic pour lui...
  22. Bon ben ça y est, vous allez l'avoir votre conférence de presse
  23. Pour l'histoire, pour l'éternité, pour toujours. Notre Naples. Notre légende. Ou plutôt une page de plus de la folle légende qu'écrit ce TFC depuis 3 ans. Quel rêve éveillé. Mon dieu, qu'il est beau, qu'il est grand notre TFC ce soir. Par où commencer ? A 17h , je quitte ma classe, déjà la tête au stadium et au train à ne pas rater pour voir un match historique. Trois de mes petits 5e s'approchent timidement, maillots violets sur les épaules. "Vous allez au match, monsieur?". Ils ont compris, depuis le début de saison. Un clin d'oeil, un sourire et je cours chercher mon train. Le temps de passer une sécurité presque débordé, je parviens péniblement en Taton au moment du Se Canto, et un mur de supporter m'attends. Je l'ai vu plein ce virage, mais jamais il ne m'a paru si dense, si fort, si vibrant. Devant moi, un gamin de 8 ans, derrière, un ancien de 70, autour, ma garde rapprochée avec laquelle je suis monté au Stade de France , un soir fou d'avril, qui nous a donné le droit d'être là ce soir. Cette tribune a quelque chose d'inexprimable, la passion, le mélange des générations, entre les anciens qui apprennent à rêver à nouveau, les jeunes qui découvrent leurs premières émotions en violet, les gars comme moi qui vivent leur meilleur vie de supporters depuis 3 ans. Trois rangées plus loin, je reconnais un élève, son visage s'éclaire, il m'envoie un timide signe de la main. Que c'est beau d'être là. Soudain, on lève les yeux, un tifo se déploie. Le temps que l'on comprenne, les visages s'illuminent. Un tifo aussi inattendu qu'historique recouvre le virage, une idée folle et hilarante, qui résume à elle seule tout ce qui fait des Indians les ultras les plus attachants du championnat. "Sur un malentendu...", fou message d'humilité, de second degré, mais aussi d'espoir. Le match peut commencer, celui des tribunes est déjà largement gagné. Et sur le terrain, on voit ce que l'on attendait: des toulousains en place, parfaitement préparés tactiquement à 100% sur chaque ballon, face à un Liverpool remanié mais qui domine tranquillement et logiquement son sujet sur la première demi-heure, sans pour autant trouver la moindre clé, sinon sur un premier CPA et une erreur de Restes. Un supporter proche de moi souffle : "C'est du très haut niveau , quand même". On convient ensemble que si l'on doit marquer, il faudra une erreur en face. Et puis, après une demi-heure, après une première situation de Suazo, un sentiment diffus sur le terrain: les anglais s'agacent, comprennent visiblement qu'en face, ce sera plus costaud qu'au match aller. Les Toulousains , petit à petit, les secouent dans l'entrejeu, les coups pleuvent, l'engagement est fou et total sur chaque ballon, bien aidé par un arbitrage très...britannique. Et puis, elle arrive. L'erreur dont on parlé. Le malentendu annoncé par les Indians. Donnum vient arracher un ballon sur son aile, et file punir des Reds bien trop sûrs d'eux . Une frappe légèrement contrée, comme déjà un signe des Dieux du foot. Le Stadium explose, en tribune Brice, on tombe les uns sur les autres, on hurle, on s'embrasse. Un parfum de finale de coupe de France flotte dans l'air. On se dit alors que ça y est, le fauve en face va sortir de sa torpeur et se réveiller, mais non. Le TFC monte encore d'un cran dans les duels, Endo n'est pas loin de sortir du match, le grand, l'immense Liverpool doute et perd les pédales au Stadium. Mi-temps. Le TFC mène face à Liverpool. Déjà, l'histoire est là. Retour des vestiaires, Klopp sort l'artillerie lourde et ses stars entrent sur le terrain. On grimace. La fête est sans doute finie. Comment imaginer que le 11 qui reprend ne roule pas sur le petit TFC, déjà heureux de mener? On s'y attend, on va se recroqueviller, tenir le plus possible, certainement se faire remonter. C'est comme ça, c'est le foot. On l'a eu, notre mi-temps enchantée, le supporter toulousain, il a pas le droit de voir Liverpool tomber au stadium. Oui mais voilà. Desler, Dallinga, Sierro, Schmidt, Donnum, Suazo, et tous les autres, eux, ils en ont rien à foutre du So TFC, rien à foutre de notre histoire avant eux. Parce que eux, ils ont rejoint un projet fou, celui de faire du TFC un club qui compte. Et ils vont nous offrir, ni plus, ni moins, que le plus extraordinaire quart d'heure de l'histoire moderne de notre club. 15 minutes phénoménales , une agressivité, une insolence, un panache absolue. 46e, transition incroyable, Desler passe un petit pont dans la surface de Liverpool puis ne cadre pas. 48e, Suazo rate le but au terme d'une action somptueuse, qui met hors de position toute la défense anglaise. 50e , Dallinga au bout d'une autre action phénoménale, envoi Josep Matip au tapis, et conclut superbement. Refusé par un arbitre qui jusque là regarder passer sans moufter les tacles aux genoux. Mais pas grave, le plus beau est à venir. 58e. Le TFC mène chez lui, mais ses joueurs pressent comme des tarés les joueurs du grand Liverpool dans leur propre moitié de terrain. Et là, un moment de grâce. Au bout du combat, Sierro, le pestiféré Sierro, Sierro l'arnaque , l'erreur de casting, Sierro immense jusque là et depuis la première minute, envoie une merveille, une passe Vandenboomesque, à Dallinga. Un contrôle fabuleux, une frappe en pivot de l'immense avant-centre qu'il sera un jour. Toulouse mène 2-0 face à Liverpool. Folie. Extase. Les Reds sont sonnés, mais se mettent enfin en colère. On est parti, pour une demi-heure, une demi-heure pour écrire une légende. En tribune, le terrible et doux poison de l'espoir est dans toutes les veines, on chante , on hurle comme jamais pour pousser des violets qui se battent et se recroquevillent. Au bout d'une nouvelle transition folle, un 3e but, encore refusé. Schmidt, perclus de crampes, sort pour .. Magri. Incrédulité. Un attaquant ? Novell rentre un attaquant à 2-0 contre Liverpool ? C'est soit une folie, soit un coup de génie d'un coach qui décidément, mourra avec ses idées. Et puis, il arrive le moment terrible, Casseres malheureux vient réduire le score contre son camp. Et de nouveau, la petite musique dans les têtes. Il reste trop de temps. C'était trop beau. Mais là encore, les violets disent non. Non à l'histoire, non au destin. Donnum met le feu, renverse sur Suazo qui , en un centre puissant au sol cafouillé par le gardien, fait pardonner le raté d'Anfield. Au second poteau, surgit... Magri. Comme si l'univers hurlait à Novell que ce soir, c'était aussi son soir, sa carte blanche pour le reste de la saison. Son TFC mène 3 buts à 1, et vient littéralement de répondre du tac au tac au Liverpool de Klopp. L'ambiance en tribune est indescriptible. Nos violets en ont passé 5 à Liverpool, en 75 minutes. C'est fou. Et puis, et puis... Jota. Un copié-collé du match aller, pour une fin de match irrespirable. 7 minutes de temps additionnelle, une éternité. Les toulousains ne font plus grand chose sinon repousser, encore et encore, jusqu'à craquer, au bout du match, comme un cruel remake du Havre, comme une ultime gifle du destin. C'était trop beau... Mais ? Les toulousains sont autour de l'arbitre , sûrs d'eux, Nicolaisen met la pression. Les hommes en noirs hésitent, se ravisent, et l'arbitre fait le signe attendu. Un frisson dingue traverse les tribunes . But annulé. Jusqu'au bout, le scénario incroyable. L'arbitre nous libère, libère un stadium ivre de bonheur , d'extase. On le tient, l'exploit fou, celui d'une génération, celui qui construira des petits Indians pour les années à venir. On chante, on saute, on célèbre nos héros qui ont gagné notre amour jusqu'à la fin de saison , quelque soit les obstacles. Restes vient faire sauter la tribune, les joueurs se prennent en photo quand le "Se Canto" retentit une dernière fois. C'est beaucoup trop beau. Le TFC ce soir a écrit une page de son histoire. Le TFC a battu Liverpool, chez lui, avec fierté, avec audace, avec insolence, avec panache. Quand je quitte le stadium , ça klaxonne, ça chante dans toutes les rues, j'attrape le dernier train pour rentrer dans ma cambrousse, encore sonné. Sur le banc prés de moi à la Gare de Saint-Agne, un supporter français de Liverpool fait la moue, j'engage la discussion, la voie enrouée. "Vous le méritez les gars, ça fait longtemps que j'ai pas vu Liverpool se faire bouger comme ça. Et l'ambiance, c'est dingue. C'est toujours comme ça ?". Ca l'a été, ça le sera encore, et pour longtemps. Car ce soir, les gars qui portaient notre maillots ont posé une trace indélébile dans l'histoire du club. Merci les joueurs, merci coach. Qu'il est beau, qu'il est grand notre TFC. Forza Viola les gars, avant, ce soir, et pour toujours...
  24. J'attends mon train , dés que je fous les mains sur un ordinateur je tartine le pavé de ma vie, vous êtes pas prêt les gars.
  25. Folie absolue. À la mi-temps d'un match, le tef mène contre Liverpool. Le reste n'est que Littérature.
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