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Les Gérard du Cinéma et les premiers Gérard Music Awards

Après les premiers Gérard du Cinéma et les premiers Gérard de la Télévision, L'Académie des Gérard présente la deuxième cérémonie des Gérard du Cinéma et les premiers Gérard Music Awards (parfois appelés les Défaites de la Musique).

La Cérémonie aura lieu jeudi 22 février 2007 à 20h au Réservoir. Voici les nominés:

Plus mauvais film avec Clovis Cornillac

Les Brigades du Tigre

PolterGay

Le Serpent

Nos Voisins les hommes (doublage)

Happy feet (doublage)

Plus mauvais film dont personne na entendu parler

Le Concile de Pierre (mais oui, de Guillaume Nicloux, avec Monica Bellucci !)

Les Aiguilles Rouges (mais oui, de Jean-Francois Davy, avec Jules Sitruk !)

On va saimer (mais oui, de Ivan Calbérac, avec Alexandra Lamy !)

La Jungle (mais oui, de Mathieu Delaporte, avec Patrick Mille !)

Plus mauvais membre de la famille Depardieu

Gérard Depardieu dans Quand jétais chanteur

Guillaume Depardieu dans Célibataires

Julie Depardieu dans Poltergay

Elisabeth Depardieu dans Rien cette année

Carole Bouquet dans Un Ami parfait

Plus mauvaise réplique

"Ah ben ça alors !" : Audrey Tautou apprenant quelle est la descendante de Jésus dans The Da Vinci code

"Jai fait un rêve avec toi cette nuit : on a fait lamour et tu mas dit merci." : Frank Dubosc dans Camping

"Mais cest pas possible, il faut que ça sarrête les catastrophes, hein !" : Thierry Lhermitte dans Les Bronzés 3 amis pour la vie

"Cest bien, lamour." : Richard Borhinger dans CEst beau une ville la nuit

Pire compromission alimentaire

Thierry Lhermitte dans Incontrôlable

Claude Brasseur dans Camping

Gérard Lanvin dans Camping

Alexandre Astier dans Comme ty es belle

Jean-Pierre Marielle dans The Da Vinci code

Plus mauvais gamin horripilant

Jules Sitruk dans Les Aiguilles rouges

Jean-Baptiste Maunier dans Le Grand Meaulnes

Cindy Colpaert dans Nos Jours heureux

Jules-Angelo Bigarnet dans Essaye-moi

Eliott Parillaud dans Camping

Plus mauvais acteur ou réalisateur de 2005 qui du coup na pas pu tourner en 2006

Elie Semoun

Titoff

Patrick Braoudé

Jean-Pierre Castaldi

Lou Doillon

Jacques Villeret

Plus mauvais scénario philatélique (qui tient sur un timbre-poste)

Célibataires par Jean-Michel Verner

Cabaret Paradis par Corinne Benizio

Incontrôlable par Raffy Shart

Les Aristos par Charlotte de Turckheim et Jean-Marie Duprez

La Jungle par Alexandre de la Patellière, Mathieu Delaporte et Julien Rappeneau

Pire massacre dune oeuvre originale

Le Grand Meaulnes

Piccolo et Saxo

Les Brigades du Tigre

Asterix et les Vikings

Ô Jérusalem

Arthur et les Minimoys (que chacun sait que Besson na pas écrit, mais bien massacré)

Plus mauvais film à sortir en 2007 dont on suppose ou souhaite quil ne "rencontrera pas son public"

Taxi 4

Gomez et Tavares, la suite

Fracassés

Nos Amis les Terriens (de Bernard Werber !)

Trivial (de Sophie Marceau ! avec Christophe Lambert !)

Plus mauvais acteur

Christian Clavier dans LEntente cordiale

Michaël Youn dans Incontrôlable

Richard Bohringer dans CEst beau une ville la nuit

Tomer Sisley dans Toi et moi

Jean-Paul Rouve dans Bunker paradise

Antoine de Caunes dans Un Ami parfait

Plus mauvaise actrice nayant pas encore couché, euh, tourné avec Luc Besson

Aure Atika dans Comme ty es Belle

Olivia Bonamy dans Célibataires

Cécile de France dans Mauvaise foi

Monica Bellucci dans Napoléon et moi

Audrey Tautou dans Hors de prix

Romane Bohringer dans CEst beau une ville la nuit

Plus mauvais film

Camping de Fabien Ontoniente

Les Bronzés 3 amis pour la vie de Patrice Lecomte

Madame Irma de Didier Bourdon et Yves Fajnberg

Incontrôlable de Raffy Shart

LEntente cordiale de Vincent de Brus

Les Aristos de Charlotte de Turckheim

Plus mauvaise actrice qui bénéficie le mieux des réseaux de son mari

Arielle Dombasle dans Nouvelle chance

Plus mauvais acteur qui veut absolument devenir chanteur

Sandrine Kiberlain, Manquait plus quça

Agnès Jaoui, Canta

Jane Birkin, Fictions

Victoria Abril, Pucheros do Brazil

Gérard Darmon, Dancing

Jeanne Balibar, Slalom dame

Mimi Mathy, La vie ma raconté

Pire groupe de fils a papa rebelles avec des mèches et du gel

Brats

Naast

Plastiscines

Second Sex

Violett

Plus mauvais gangsta céfran Ah&#33; ah&#33; <_<

Sefyu

K-Maro

Matt Pokora

Plus mauvais clip avec des meufs en maillot dans une piscine, sur une plage ou en train de laver une voiture :ninja:

Façon Sex, Tribal King

Trait pour trait, Sniper

Oh la la la, M Pokora

Enmène-moi avec toi, Perle Lama

Je Pense à toi, Saya

Plus mauvaise chanson au titre prêtant a jeu de mot facile

Cali, Je men vais (Ouf, enfin ! Mais où ?)

113, Partir loin (Ah, très bonne idée !)

M. Pokora, De retour (Oh non, déjà ?)

M. Pokora, Oh la la la (Cest ce quon allait dire)

Magalie Vaé, Qui a mérité ça ? (Pas nous, en tout cas)

Plus mauvais ringard tentant de se rebranchiser

Michel Delpech, &

Henri Salvador, Révérence

Françoise Hardy, Parenthèses

Adamo, La Part de lange

Pire costume ou coiffure

Tribal King

Florent Pagny

Philippe Katerine

Pascal Obispo

Kamel Ouali, pour lensemble de ses mises en scène

Plus mauvaise chanteuse qui fait comme ça avec la main quand elle chante

Lara Fabian

Chimène Badi

Isabelle Boulay

Amel Bent

Plus mauvais album

Welcome, Tribal King

Si on chantait plus fort, Patrick Fiori

Les Fleurs du bien, Pascal Obispo

Abracadabra, Florent Pagny

Hors format, Michel Sardou

Magalie Vaé, Magalie Vaé

Plus mauvais chanteur

M Pokora, Player

K-Maro, La Good life

Michel Sardou, Hors format

Pascal Obispo, Les Fleurs du bien

Plus mauvaise chanteuse

Lââm, Pour être libre

Chimène Badi, Dis-moi que tu maimes

Nâdiya, Nâdiya

Emma Daumas, Effets secondaires

Magalie Vaé, Magalie Vaé

Plus mauvaise chanteuse bénéficiant des réseaux de son mari

Arielle Dombasle, Cest si bon

:angry::ninja:

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"L'impôt, c'est avant tout la solidarité"

Par François WENZ-DUMAS

QUOTIDIEN : mardi 6 février 2007

Directeur du département des études de l'OFCE (Observatoire français de conjoncture économique), Jacques Le Cacheux est coauteur, avec Christian Saint-Etienne, d'un rapport sur «la croissance équitable et la concurrence fiscale».

Quelles sont les fonctions de l'impôt ?

La première est très simple : procurer des ressources à l'Etat. L'impôt a d'abord été inventé pour prélever sur le secteur privé de quoi financer des consommations collectives. Dans un premier temps, ce furent les fonctions régaliennes : armée, police, justice. Puis se sont ajoutées, avec les développements des sociétés modernes, d'autres missions d'intérêt public, comme l'éducation ou la santé. Est alors apparu ce que l'on pourrait appeler un problème de passagers clandestins : des gens qui bénéficiaient des services collectifs sans en supporter le financement. D'où l'idée que c'est l'Etat qui dispose de l'impôt, et qu'il tient sa légitimité du peuple pour le faire.

L'impôt ne sert-il pas aussi à redistribuer les richesses ?

C'est effectivement une fonction essentielle de l'impôt : il permet de prélever davantage sur les revenus ou les patrimoines les plus élevés pour redistribuer aux plus faibles. Il introduit une notion d'équité, relative selon le temps ou l'espace. L'effet de redistribution est important dans les pays scandinaves et plus faible dans les pays anglo-saxons. Mais il varie aussi tout au long de la vie. Un couple avec des enfants paie peu d'impôts. Il en paiera davantage quand ils seront élevés, et beaucoup moins si ses revenus diminuent avec la retraite. Quelqu'un peut à la fois contribuer à la solidarité et en bénéficier à d'autres moments.

L'effet redistributif est lié à l'impôt sur le revenu. N'est-ce pas un miroir déformant ?

Globalement, la fonction redistributive est très faible. La CSG rapporte plus que l'impôt sur le revenu, et la TVA encore bien davantage. Pour autant, il est normal que l'impôt sur le revenu focalise cette image. D'autant que sa progressivité est rapide.

L'impôt, c'est aussi la CSG pour la protection sociale. Une fonction assurantielle ?

Bien sûr, et c'est une fonction essentielle, puisqu'elle finance la solidarité. Mais c'est aussi un choix de société qui peut se discuter. Si on garantit aux gens qu'ils seront pris en charge par les prélèvements publics, on ne les pousse pas à s'assurer eux-mêmes contre les aléas de la vie. En poussant la réflexion plus loin, on peut dégager une philosophie citoyenne de l'impôt. On veut convaincre les gens que, s'ils gagnent de l'argent, ils ne le doivent qu'à leur travail et leur talent. Est-ce totalement vrai ? Bill Gates ou Luciano Pavarotti auraient-ils réussi dans un autre contexte, à une autre époque ? Selon la réponse que l'on donne à cette question, on justifie leur niveau de participation à la solidarité collective.

Un impôt sur les successions quasiment confiscatoire pourrait remettre tout le monde sur un pied d'égalité...

Certains, y compris parmi les plus libéraux, défendent cette idée comme un moyen de rebattre les cartes. Seul inconvénient : la perspective de transmettre à ses enfants un patrimoine est aussi un moteur important de l'activité humaine.

L'impôt ne peut-il pas enfin servir à favoriser un développement durable ?

L'impôt est aussi, et de plus en plus, utilisé comme régulateur des comportements. Ce sont les écotaxes, les taxes antitabac, tout ce qui part du principe pollueur-payeur. Tant que l'on n'est pas soi-même pollueur, ce type d'impôt est bien accepté. Mais cela ne fait pas une politique fiscale.

«Libération» s'associe à la pétition pour la défense de l'impôt initiée par le mensuel «Alternatives économiques».

Par Eric AESCHIMANN

Le créneau n'est pas forcément le plus porteur, le sujet est rempli de chausse-trappes et le message n'a pas l'attrait des causes humanitaires qui rassemblent les signatures des stars. Sous le titre «Pourquoi nous consentons à l'impôt», le magazine Alternatives économiques lance une pétition qui se veut une réponse à la véritable opération de moins-disant fiscal lancée par Nicolas Sarkozy. «Nous récusons des baisses de la fiscalité dont la contre-partie serait l'insuffisance des moyens donnés à la protection sociale des plus pauvres, à l'éducation, à la recherche, à la santé, au logement ou encore à l'environnement», écrivent les premiers signataires, parmi lesquels se trouvent Jacques Delors, Fadela Amara, l'avocat Patrick Klugman, vice-président de SOS Racisme, ou l'éditeur Jean-Claude Guillebaud.

Continuité. Aux origines de cette pétition, l'emballement, mi-janvier, du débat politique autour de la question fiscale. Après avoir donné son absolution à l'exil fiscal de Johnny Hallyday, Nicolas Sarkozy dévoile les mesures phares de son programme économique : l'établissement d'un «bouclier fiscal» limitant à 50 % des revenus le montant total des impôts directs dus par un contribuable ­ ce qui revient à supprimer de facto l'impôt de solidarité sur la fortune (ISF) ­ ; l'allégement massif de la taxe sur les successions, alors même que les deux tiers de ces dernières sont déjà exemptées d'impôt. Au passage, le candidat de la rupture montre qu'il est en réalité le candidat de la continuité, puisqu'en 2002, Jacques Chirac avait promis de réduire d'un tiers en cinq ans l'impôt sur le revenu. Dans les faits, la baisse a atteint 20 %, plaçant la France très en deçà des autres pays industriels ; à commencer par Etats-Unis, où le poids de l'impôt sur le revenu dans le PIB est largement supérieur à la France.

Au même moment, la question a semé le trouble au PS, avec le rejet par Ségolène Royal de la proposition de François Hollande d'annuler les réductions accordées par la droite aux revenus supérieurs à 4 000 euros par mois. Comme si, sans aller jusqu'à promettre des allégements, la candidate avait intériorisé le discours dominant hostile à l'impôt. Souvenir du candidat démocrate Walter Mondale, qui, en 1984, avait eu le courage d'annoncer des hausses d'impôt avant de se faire écraser par le président sortant Ronald Reagan ? Là aussi, un petit rappel historique se révèle instructif. A partir de 1999, sous l'influence de Laurent Fabius, qui avait théorisé que «les impôts et les charges» pourraient faire «perdre» la gauche, Lionel Jospin s'était rallié à la baisse des impôts. En 2002, il avait promis de diviser par deux la taxe d'habitation ­ avec le succès que l'on sait.

«Les dirigeants du PS ont toujours eu peur des réactions des catégories supérieures, dont ils surestiment le poids électoral», déplore Philippe Frémeaux, le directeur de la rédaction d' Alternatives économiques. Et pourtant, 68 % des électeurs déclarés de Ségolène Royal approuveraient la proposition de François Hollande (1).

Obsession pour la droite, tabou pour la gauche : c'est pour sortir de cette impasse que le mensuel a eu l'idée de lancer une pétition auprès des économistes, des associatifs et, nouveauté, des dirigeants de groupes privés. Non sans difficulté. «Pour la plupart, les managers et les financiers que nous avons contactés ont approuvé notre pétition, mais nous ont expliqué qu'ils ne voulaient pas, en signant, prendre le risque de mettre leurs entreprises en danger», explique Philippe Frémeaux.

Socle. Parfois, le refus est plus profond : «Dans les milieux très aisés, les gens pensent qu'ils ne doivent rien à leur société qui les a fait grandir», complète Thierry Pech, secrétaire général du groupe de réflexion la République des idées, qui s'est associé à la recherche de signatures. Pour l'heure, seule une poignée de cadres dirigeants ont franchi le pas, dont Jacques Maire, du groupe Axa. C'est parce qu'il est convaincu que l'impôt est le socle du vivre-ensemble que Libération a décidé d'apporter son soutien à cet appel.

lu sur Libération.fr

Modifié par guillaume
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Article : [imghttp://www.sport24.com/ressources/logo.gif] La justice donne raison à Aragones

Le sélectionneur de lEspagne, Luis Aragones, a obtenu gain de cause dans le procès en appel concernant ses propos jugés racistes à lencontre de Thierry Henry.

Condamné en octobre 2004 à verser une amende de plusieurs milliers deuros sur jugement de la justice espagnole pour avoir proféré des propos racistes à l'encontre de Thierry Henry lors d'un entraînement de la sélection ibérique, Luis Aragones a obtenu gain de cause en appel. Le technicien a été blanchi et laffaire définitivement classée, aucun recours nétant plus possible.

:ninja:

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UN AUTOMOBILISTE A QUITTÉ LA ROCADE POUR ATTERRIR AVENUE DE GRANDE-BRETAGNE HIER MATIN.

Soixante mètrès en vol plané au-dessus du périph

Un automobiliste âgé de 42 ans a été hospitalisé à Purpan dans un état jugé très sérieux, hier matin, après un spectaculaire accident de circulation. Vers 4 heures, le conducteur au volant de sa Renault Clio circule sur le périphérique intérieur, entre les échangeurs de la Cépière et des Ponts-Jumeaux.

Juste après la bretelle direction Auch, le conducteur, roulant vraisemblablement à vive allure, a perdu le contrôle de son véhicule qui a littéralement décollé dans les airs.

En s'arrachant du bitume sur soixante mètrès de vol plané, la voiture a décapité plusieurs cimes d'arbres avant de s'écraser plus bas, avenue de Grande-Bretagne. Après cette première chute d'une rare violence, la voiture a rebondi enchaînant une trentaine de mètrès dans les airs pour finalement finir sa course folle sur un talus, de l'autre côté de l'avenue.

Un accident rarissime et très impressionnant selon des témoins. L'un d'eux qui a échappé à la trajectoire de la voiture déjà lourdement endommagée raconte avoir vu « des éclairs et des flashs ». Arrivés très vite sur les lieux, les secours ont prodigué les premiers soins à la victime sérieusement touchée. L'automobiliste qui souffrait d'importants traumatismes à la face a été évacué aux urgences de l'hôpital Purpan.

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J'avais zappé la mort de Bézu -_-

André Bézu est mort samedi 3 mais son corps a été retrouvé mercredi soir parce qu'il avait plus trop d'amis. Fin de vie sombre et alcoolisée pour le bouffon de "La Classe" des années 80.

C'est Guy Lux qui avait écrit A la queuleuleu chanson qui le propulsa au sommet du top 50, (Vincent Lagaff avait réitéré l'exploit avec le Lavabo) avec son noeud papillon, son béret et sa baguette qui en faisaient la coqueluche française par excellence.

Ce que peu savent c'est qu'avant cette carrière de trublion, il fut également l'attaché de presse de Louis de Funès et des Charlots. C'est aussi lui qui, en 1974, s'est occupé de la promo du film Les Valseuses de Bertrand Blier avec Depardieu et Dewaere, La moutarde me monte au nez de Claude Zidi avec Pierre Richard et Bons Baisers de Hong Kong en 75 d'Yvan Chiffre avec les Charlots.

Quelques petits rôles aussi à son actif dans La course à l'échalote en 75 de Claude Zidi avec Pierre Richard, l'Emir préfère les blondes en 1983 et un petit clin d'oeil de Gaspard Noé dans son Irréversible de 2002 (il n'a rien à voir avec la scène du viol, faut quand même pas déconner)... Il a travaillé également dans l'équipe du président Giscard pour l'amélioration de son image durant la campagne électorale en lui conseillant de jouer de l'accordéon pour le rendre populaire (sic!) <_<

Bézu est maintenant avec Pompon autre "alcolite" de la classe au comptoir d'un troquet quelque part vers la rue Paradis à taper le carton avec Jacques Villeret, Jean Carmet, Paul Prébois et Louis de Funès autour d'un pastis ou d'un ballon de rouge...

:ninja:

bezu.jpg

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Le comédien Michel Roux est mort

PARIS (AFP) - Le comédien Michel Roux, la voix de Tony Curtis dans la série "Amicalement Vôtre", est mort vendredi d'une maladie cardiaque, à Paris, à l'âge de 77 ans, apprend-on auprès de son agent, Pierre Cordier, confirmant une information d'Europe 1.

L'acteur et metteur en scène était une figure du théâtre populaire français et notamment de l'émission "Au théâtre ce soir".

"Le théâtre populaire est celui qui touche le plus grand nombre", disait-il en 2002, à l'occasion d'un de ses derniers rôles, dans "Le charlatan" au théâtre Saint-Georges. "Pour les intellectuels de service, c'est souvent synonyme de vulgarité. Mais ils oublient que Molière, à la cour, comme Jean Vilar, au TNP, ont fait du théâtre populaire et de qualité", affirmait-il.

Cet autodidacte était sur les planches depuis 1943. Il a interprété de très nombreux succès du théâtre populaire, comme La cage aux folles (1978-79), Le canard à l'orange (1985, 1993) ou Le dîner de cons (1995-1996).

Grande figure du monde du doublage, Michel Roux participa à la synchronisation d'un grand nombre de films américains, mais aussi italiens. Il est notamment la voix française de Jack Lemmon, Peter Sellers ou encore Alec Guinness.

En prêtant sa voix à Tony Curtis dans la série télé "Amicalement vôtre...", il contribuera fortement à son immense succès en France, alors qu'il ne connaîtra qu'une timide carrière internationale.

Michel Roux était Chevalier des Arts et des Lettres.

la voix de Tony Curtis et un grand comédien au theatrecomedienqp3.jpg

Modifié par mario33
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