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Topic natation


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jsuis pas au courant de ses histoires

mais je me rappelle qu'elle était parti en italie, rejoindre son fiancé, que c'était l'amour de sa vie

et là c'est fini??

Voilà, tu as à peu près tout résumé...

Mais c'était couru d'avance que ça ne durerait pas longtemps avec le rital.

y'avait une italienne comme concurrente directe? :rolleyes:

Pas dans sa série, mais dans la finale de cette épreuve (200m NL), oui : le belle Federica Pellegrini, rivale de Manaudou pour le 400m également...

Et puis souvenez-vous...

20070606-1.jpg

:wacko:

Sinon les photos ont déjà commencé à faire le tour des blogs depuis hier...

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http://www.lequipe.fr/Aussi/breves2007/200..._213416Dev.html

Natation - ChE (pb) - L'argent fait aussi le bonheur

Treize, un chiffre porte-bonheur ? C'est le bilan des médailles de l'équipe de France qui récolte deux breloques de plus qu'à Helsinki l'an dernier. Lors de la dernière journée, disputée dimanche à Debrecen, les Bleus ont misé sur l'argent avec Laure Manaudou (200 m nage libre), Esther Baron (200 m dos), Alena Popchanka (100 m papillon), le relais masculin du 4x50 m nage libre et ont complété la moisson avec le bronze de Camille Muffat (400 m quatre nages) et Coralie Balmy (200 m nage libre).

Manaudou « tracassée », Balmy soulagée

Avec Laure Manaudou (avec Coralie Balmy, photo L'Equipe), l'or répond souvent présent. Pour une telle championne, tout paraît si simple qu'on en oublierait presque sa fragilité de femme. Laure Manaudou est humaine. Une lapalissade, bien sûr. Quand Laure Manaudou est « tracassée », la championne est vulnérable et à la merci d'une défaillance. Après l'incident survenu dans la matinée avec Luca Marin dans la chambre d'appel (voir par ailleurs), la recordwoman du monde de la distance en grand bassin a la tête ailleurs. « Les trois médailles d'or n'étaient pas au-dessus de mes capacités, mais j'avais autre chose dans la tête. Je ne dirai pas ce que c'est, mais je suis un peu tracassée. Il y a l'incident qui s'est produit en chambre d'appel et il y a autre chose, avoue avec pudeur Laure Manaudou. Il faut savoir faire abstraction de cela et passer au-dessus. Je ne vais pas dire que c'est à cause de cela que je n'ai pas gagné, mais je ne vous cache pas qu'il y avait un petit truc qui n'allait pas. »

En finale, elle part en trombe sur les bases de son record d'Europe avant de caler au 150 m et de voir la Suédoise Josefin Lillehage la coiffer sur la fin en 1'53''55 pour finir en 1'54''15. « Je suis bien sûr déçue. Comme lors du 400 m, j'ai eu du mal à finir. J'aurais pu faire mieux, mais je vais me contenter de cela. Je me sentais bien à l'échauffement, mais cela ne veut pas forcément dire quelque chose. J'ai eu du mal à finir au dernier 50 m. C'est bien de tenter, ce n'est pas grave. » Et dans son sillage se retrouve Coralie Balmy. La nageuse de Toulouse récolte sa première médaille européenne en réussissant un excellent retour pour terminer troisième en 1'54''43. « Je me dit enfin'. J'estime que sur 400 m, je suis passée à côté, j'aurais dû faire un podium, raconte la médaillée de bronze. Là, je savais que j'avais ma place parmi les trois premières, je suis contente. »

Baron et Popchanka heureuses

Mais certaines médailles d'argent valent des lendemains heureux ou plutôt édulcorent certaines douleurs. Pour Esther Baron, sa deuxième place sur 200 m dos vient de loin. La semaine dernière à Nîmes, elle envisageait de ne pas venir en Hongrie. Ses douleurs récurrentes à la hanche alliées à une fatigue généralisée lui avaient puisé trop d'énergie. « Finalement, j'ai bien fait de venir, se réjouit la nageuse de Philippe Lucas. Cette deuxième place ne vaut pas une victoire parce que j'aurais bien aimé entendre la Marseillaise. Mais je suis quand même contente de moi. » Seule une erreur tactique la prive de l'or. Focalisée sur sa compatriote Alexianne Castel à la ligne d'eau à côté, elle oublie la Slovène Anja Carman. « Dommage. Si la Slovène est une seconde devant, il n'y a pas de regrets à avoir mais là... Au début, elle est trop prudente parce qu'elle se calque sur la fille d'à côté. Dans une finale, il n'y a pas que Castel, déplore Philippe Lucas. C'est bien mais elle pouvait gagner. » Au vu de ses derniers 100 m, elle peut nourrir quelques regrets sur son départ très prudent (5e au premier 100 m), mais elle peut également se réjouir de sa démonstration de puissance pour terminer 2e en 2'05''57. « C'est en faisant des erreurs comme celle-là qu'on apprend, philosophe la recordwoman européenne de la distance. Je retiens que chaque course m'endurcit un peu plus. Mon objectif, c'est Pékin et j'irai jusqu'au bout pour aller là-bas. Cela me remet en selle. »

Ce même sentiment doit habiter Alena Popchanka. Privée dimanche matin de finale du 200 m nage libre dont elle était tenante du titre malgré le 4e chrono des séries en raison du quota de Françaises, elle s'est reconcentrée immédiatement sur le 100 m papillon. A tout malheur, bonheur est bon. « J'étais triste de ne pas pouvoir faire le 200 m nage libre car j'étais la troisième Française, explique la championne. Je me suis donc préparée pour nager très vite le 100 m papillon. Cela m'a aidée car si j'avais dû faire le 200 m nage libre puis le 100 m papillon, je n'aurais pas nagé aussi vite. » Pragmatique, elle utilise donc le positif de la situation et réalise une excellente course avec un record de France à la clé en 57''55 pour finir deuxième derrière l'intouchable Inge Dekker (56''82). « Alena est réaliste. On a reconsidéré ce 100 m papillon en essayant de lui faire ressortir ses points forts pour nager sur sa puissance et non sur la vitesse qu'elle n'a pas en ce moment. Car elle n'a pas trop de fraîcheur, elle est rentrée d'Australie un peu tard et elle est encore sur des bases bio limitées », explique Patricia Quint, entraîneur national responsable de l'équipe de France féminine, qui se félicite également de la médaille de bronze de Camille Muffat, très solide sur la fin de son 400 m quatre nages. Et les hommes ne sont pas en reste avec l'argent du relais 4x50 m nage libre, composé d'Antoine Galavtine, Alain Bernard, David Maitre et Amaury Leveaux.

Sophie DORGAN, à Debrecen

:D

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Voilà, tu as à peu près tout résumé...

Mais c'était couru d'avance que ça ne durerait pas longtemps avec le rital.

Pas dans sa série, mais dans la finale de cette épreuve (200m NL), oui : le belle Federica Pellegrini, rivale de Manaudou pour le 400m également...

Et puis souvenez-vous...

20070606-1.jpg

:ninja:

Sinon les photos ont déjà commencé à faire le tour des blogs depuis hier...

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http://www.lequipe.fr/Aussi/breves2007/200..._213416Dev.html

:ninja:

"avoue avec pudeur Laure Manaudou."...et Dieu sait que la pudeur, ça la connait!! :ninja:

:ninja:

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Pas dans sa série, mais dans la finale de cette épreuve (200m NL), oui : le belle Federica Pellegrini, rivale de Manaudou pour le 400m également...

Ouais donc cette enflure a fait exprès de la deconcentrer pour faire gagner l'autre en plus :ninja:

Natation - C.E. petit bassin - 16/12/2007 - 13:46

Manaudou porte plainte

Nicolas Manaudou, entraîneur de Laure Manaudou, a déposé une plainte contre le nageur italien Luca Marin, ancien petit ami de la championne, après un incident dans la chambre d'appel lors des Championnats d'Europe à Debrecen.

Nicolas Manaudou a confirmé à l'AFP avoir effectué cette démarche auprès de la Ligue européenne de natation (LEN) afin qu'une demande d'avertissement soit adressée pour comportement antisportif. Selon des clichés pris par un photographe et vus par une journaliste de l'AFP, Marin a fait irruption dans la chambre d'appel où Laure Manaudou patientait avant de disputer sa série du 200 m nage libre.

Le nageur est entré, vêtu de son peignoir et la tête recouverte par la capuche, et a échangé des mots avec Manaudou avant que son compatriote Filippo Magnini ne lui demande de sortir en le raccompagnant. Très souriante avant l'incident, selon des témoignages concordants, la championne olympique a ensuite nagé sa série, où elle a signé le deuxième temps.

A sa sortie du bassin, Laure Manaudou a semblé perturbée et a immédiatement appelé son frère auprès d'elle. Au lendemain de son succès sur le 400 m nage libre, Manaudou dispute la finale du 200 m nage libre, dont l'adversaire la plus coriace est l'Italienne Federica Pellegrini.

http://www.eurosport.fr/natation/tp_sto1414673.shtml

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