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Le truc dont tout le monde se branle...


ClarkGaybeul

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Bon ben voilà, je me casse pendant 12 jours, 12 jours avec ma copine non stop, je rentre mercredi 22,bonnes vacances à tous !  <_<

Je pense pas que je repasserai, d'ici là,enfin je sais pas, bisous à tous. :D

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Tu as raison jeune padawan de copié ton maitre jedi! <_<<_<

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oulala les jeunes toulousains vont passer de belles vacences aparament.....  attention au sommier

mais bon ca veut dire que vous devrez acheter qqch pour la saint valentin a votre copine et ca c est plutot la loose de subir une fete aussi conne que ca

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Meme pas ! <_<<_<

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PARIS (AFP) - La planète traverse aujourd'hui la sixième grande crise d'extinction des espèces depuis le début de la vie sur terre il y a 3,8 milliards d'année, selon les spécialistes de la biodiversité.

A la différence des cinq crises précédentes qui se sont étalées sur des milliers, voire des millions d'années, la crise actuelle "se compte en dizaines d'années ou en siècles, mettant la capacité d'adaptation des espèces à rude épreuve", selon Robert Barbault, directeur du département écologie au Muséum d'histoire naturelle.

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La dernière crise a vu disparaître les dinosaures, il y a 65 millions d'années. "La différence, c'est que cette fois nous sommes impliqués et responsables, et que nous avons les moyens d'agir, ce qui n'était pas le cas des dinosaures!" lance Robert Barbault.

C'est le succès formidable de l'espèce humaine, qui a défriché les forêts, cultivé l'espace, industrialisé la planète, qui a causé le déclin de milliers d'autres espèces.

Au total 15.589 espèces sont confrontées à un risque d'extinction, selon la "liste rouge" de l'Union mondiale pour la nature (UICN): un mammifère sur quatre, un oiseau sur huit, un amphibien sur trois.

Premiers menacés: les grands mammifères qui disputent le territoire à l'homme. Chez nous, l'ours, ou le loup, ont vu leur population réduite à quelques individus.

En Asie, en Afrique, l'éléphant et les grands singes ne cessent de régresser. Qui se souvient qu'il y avait des éléphants dans l'immense forêt chinoise il y a 2000 ans? Son sort semble scellé en Asie, où il reste 20.000 éléphants sauvages (sur 50.000).

Le redressement opéré dans un petit nombre de pays d'Afrique australe ne peut masquer le déclin à l'échelle du continent: trois millions d'éléphants au début du 20e siècle, un million à la fin de la seconde guerre mondiale, 400.000 aujourd'hui.

Partout, l'homme grignote la forêt, défriche, repousse les grands mammifères sur des territoires de plus en plus exigus, où ils ne peuvent plus migrer et se croiser. Or, "la seule façon de résister au changement, c'est d'être diversifié", rappelle M. Barbault.

L'éléphant de forêt, particulièrement menacé, recèle une plus grande diversité génétique que son frère des savanes. Pourtant, "vous ne verrez jamais de reportages sur l'éléphant de forêt", déplore le biologiste Régis Debruyne.

"Au rythme actuel d'extinction des populations en Afrique centrale, je m'effraie de voir disparaître l'éléphant de son milieu naturel", estime-t-il.

"On aura de petites populations reliques, que pourront venir admirer les touristes en safari, mais on n'aura plus de populations naturelles capable de migrer et de se croiser entre elles", regrette-t-il.

"On peut dire que c'est triste que l'éléphant disparaisse, avoir un attachement affectif, mais on peut aussi dire que l'éléphant est un animal qui gère un territoire où vit tout un ensemble d'espèces", souligne Robert Barbault.

Gros mangeur de fruits, l'éléphant sème dans ses déjections des graines qui aident la forêt à se régénérer. Il crée des clairières propices aux grands félins, lions, léopards, panthères. Sa disparition "aura des répercussions sur toute la forêt, du plus minuscule insecte aux grands mammifères", met en garde M. Debruyne.

Que peut faire une conférence? "Convaincre un certain nombre de politiques qu'ils ont un intérêt à protéger leur biodiversité, que ce soit un intérêt éco-touristique, ou purement politique à l'égard de pays auprès desquels ils sont endettés par exemple, et qui réclament d'eux une meilleure gestion de leur faune et leur flore", selon M. Debruyne.

Modifié par marco
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