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Bonne rigolade matinale !!! 🤣 https://www.lequipe.fr/Basket/Actualites/Le-craquage-d-un-joueur-camerounais-qui-dunke-contre-son-camp-dans-un-match-de-la-coupe-du-monde-u19/1574193
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Les célèbres Cahoriciens du plaquo...
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Ce n'était même pas un cri, c'était un pet. Un pet chaud et silencieux. Plein de vide et sentant mauvais. 💨
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Écologie Comment les renouvelables sont devenues les énergies à abattre 24 juin 2025 | Par Mickaël Correia et Jade Lindgaard Les députés pourraient voter mardi 24 juin un moratoire sur les nouveaux projets éoliens et solaires. Cette revendication portée par le Rassemblement national et la droite a gagné au fil des années un écho croissant à coup de fake news et de caricatures. C’est un record historique, et un marqueur d’action climatique : jamais l’électricité produite en France n’a émis aussi peu de CO2 qu’aujourd’hui. En 2024, les électrons étaient décarbonés à 95 %, un des niveaux les plus bas dans le monde. « La croissance de la production renouvelable, additionnée à la production nucléaire, contribue conjointement à la décarbonation de la production d’électricité française », explique RTE, le gestionnaire des réseaux d’électricité. Et pourtant, les député·es pourraient voter mardi 24 juin un moratoire sur les nouveaux projets éoliens et solaires, à la suite de l’adoption d’un amendement aux relents climatosceptiques dans la proposition de loi Gremillet sur le modèle énergétique. « Le nucléaire et les centrales hydroélectriques seuls n’arrivaient pas à ce résultat, c’est grâce au solaire et à l’éolien que nous arrivons à un niveau jamais atteint de décarbonation », analyse Cédric Philibert, chercheur associé à l’Institut français des relations internationales (Ifri) et auteur d’Éoliennes, pourquoi tant de haine ? (2023). Même si elle n’est pas adoptée, cette proposition risque de laisser des traces, en aggravant le discrédit qui frappe les énergies renouvelables en France. « La représentation nationale, qui a tellement réclamé son droit à fixer les orientations de la politique énergétique, s’en saisit dans l’irresponsabilité la plus totale », considère Yves Marignac, porte-parole de négaWatt, association experte en scénarios de transition énergétique. « C’est d’autant plus désolant que la France est sans doute le pays où les scénarios et les analyses sur les priorités d’actions en matière énergétique, et en cohérence avec les enjeux de climat, souveraineté, compétitivité, et justice sociale, sont les plus riches d’enseignements convergents. Par exemple : on peut décarboner avec ou sans nucléaire, mais on ne peut pas atteindre ces objectifs sans les renouvelables. » Demande d’un « moratoire » sur l’éolien formulée par l’ancien député Les Républicains (LR) Julien Aubert dans un « Livret vert » en février 2020 – suivie d’une proposition de loi pour en « raisonner le développement » –, attaques contre les mâts qui « défigurent les territoires » pendant le vote de la loi « climat en 2021 », surenchère de critiques pendant la campagne présidentielle de 2022, rebelote pendant les législatives de 2024 : les renouvelables font l’objet d’attaques de plus en plus virulentes de la droite et de l’extrême droite, mais pas seulement. Une partie du camp des écologistes les a aussi pris pour cibles. Tour d’horizon des fake news les plus reprises et des critiques qui ont fait mouche, alors que dans le reste du monde, les renouvelables sont en plein boom. L’infox de la facture à 300 milliards L’un des arguments massue anti-énergies renouvelables avancé par le RN est que le développement futur des énergies solaire et éolienne représentera une facture totale pour l’État de 300 milliards d’euros. Un montant choc affiché en une du JDD le 21 juin. Ces 300 milliards sont issus d’un curieux calcul de la part du RN, qui se base sur un scénario de soutien public aux énergies renouvelables du Comité de gestion des charges de service public de l’électricité (CGCSPE). L’organisme a calculé que les charges de l’État pour soutenir les énergies dites vertes face à un prix bas des énergies sur les marchés seraient de 100 milliards d’euros sur la période 2024-2060. « À cette somme, le RN a ajouté le prix total du développement du réseau électrique d’ici à 2040 avancé par les deux gestionnaires RTE et Enedis, estimé au total à environ 200 milliards d’euros. Mais ces sommes tiennent entre autres compte aussi du renouvellement de lignes existantes et du renforcement du réseau pour le nouveau programme nucléaire », détaille pour Mediapart Bastien Cuq, responsable énergie au Réseau Action Climat. Économiste et directeur de recherches au CNRS, Philippe Quirion abonde : « Ce qu’il faut prendre en compte, c’est la différence entre le prix d’achat de l’électricité sur les marchés et le prix de l’électricité après soutien public de l’État. En 2020, le prix de l’énergie était très bas, ce qui a conduit à ce que cette année-là, les charges de service public pour soutenir l’éolien se sont élevées à 9 milliards d’euros pour l’État. Mais depuis la guerre en Ukraine, ce prix a explosé. Ainsi, en 2023, le prix d’achat de l’électricité éolienne proposé par l’État était inférieur au prix du marché, ce qui fait qu’il a été gagnant de 4 milliards d’euros. » Le moratoire, une idée de Jancovici ? Fin novembre 2023, Jean-Marc Jancovici, président du Shift Project et auteur de la BD Le Monde sans fin – plus d’un million d’exemplaires vendus –, est reçu dans la grande école d’ingénieur·es CentraleSupélec. Interrogé sur les énergies renouvelables, il déclare : « Le moratoire, c’était un mot que j’ai utilisé dans un commentaire […] et j’ai dit oui, effectivement, je serais favorable à un moratoire. Ça voulait dire dans mon esprit : je serais favorable à ce que l’on prenne un peu de recul […] et si on arrête tous les projets pendant six mois pour se poser la question, je pense que ça vaut le coup. » Il précise que cela ne veut pas dire qu’il est favorable à une suspension illimitée. Suspendre pendant un semestre tous les projets, qu’est-ce donc si ce n’est un moratoire ? La sortie n’a pas échappé au Rassemblement national. Le 22 juin, Jean-Philippe Tanguy, député RN, se sent donc autorisé sur France Inter à citer Jancovici. L’ingénieur le plus médiatique de France a-t-il contribué à accréditer l’idée d’un moratoire sur les renouvelables ? Interrogé par Mediapart, il répond : « Je reconnais volontiers que ce jour-là, ce mot [moratoire – ndlr] a dépassé ma pensée », et ajoute que « ce mot – qui date d’il y a quelques années – n’a plus été utilisé ensuite et [il] n’en [a] jamais fait le sujet principal d’un post ou d’un article » : « Je n’ai pas suggéré l’amendement qui vient d’être voté, et, pour être très clair, je souhaite que cet amendement soit supprimé lors du vote à venir. » Dans sa BD, Jean-Marc Jancovici « n’arrête pas de dire que les renouvelables, c’est revenir deux siècles en arrière, une idée saugrenue, car les éoliennes d’aujourd’hui n’ont rien à voir avec les moulins d’hier, tacle Stéphane His, président de l’association Énergies renouvelables pour tous. Il compare aussi les renouvelables à des “esclaves énergétiques”, ce qui n’est pas une comparaison anodine. Tout cela n’a aucun sens » – tout en rencontrant un écho considérable. « Je ne me sens pas responsable du vote de ce moratoire. Cela n’a jamais été une proposition visible et répétée que j’ai formulée, répond l’ingénieur. Souligner qu’aucune forme d’énergie n’est parfaite n’est pas équivalent à souhaiter un stop brutal à l’activité. J’ai systématiquement refusé les demandes de conférence “antiéolien” ou “antisolaire” qui m’ont été faites par des associations locales souhaitant que je les aide à lutter contre des projets locaux. Enfin je rappelle que la première raison du vote de ce moratoire, c’est l’absence des députés défavorables au moratoire en question... Si ces derniers avaient été présents dans l’hémicycle, votre question n’aurait pas lieu d’être. » L’angoisse des paysages défigurés L’obsession anti-énergies renouvelables du RN et de ténors de la droite, tel Xavier Bertrand dans les Hauts-de-France, s’appuie sur un discours qui pourfend les éoliennes, leurs pales et mâts défigurant nos beaux paysages de France. C’est notamment durant les débats sur la loi « climat » de 2021 que Marine Le Pen a commencé à fustiger l’« écologie punitive sans-frontiériste », assurant que « les mondialistes imposent des éoliennes » aux Français·es. Durant la campagne du second tour de l’élection présidentielle de 2022, cette dernière avait appelé au démantèlement des éoliennes qui causent « des troubles anormaux au paysage ». « Le discours antiéolien du RN s’est beaucoup structuré à partir de 2021 autour de la destruction du paysage, en affirmant que c’est écologiste que de les sauvegarder. Mais c’est oublier que le changement climatique transforme déjà nos paysages sous le coup des sécheresses ou des inondations », analyse Bastien Cuq. Cette critique paradoxale des renouvelables au nom de l’écologie fracture l’espace politique bien au-delà de l’extrême droite. « Beaucoup des critiques contre l’éolien et le solaire se font au nom de l’environnement : paysage sacrifié, oiseaux massacrés, béton, acier… », pointe Cédric Philibert, qui dit être « tombé de haut » en découvrant « la mollesse du soutien des Verts » pendant les débats au Parlement sur la loi d’accélération des renouvelables. Localement, certains projets de parcs éoliens sont critiqués pour leur impact sur des espèces protégées, comme les chauves-souris. Dans le sud de la France, notamment en Languedoc-Roussillon où l’éolien s’est développé à contre-courant de la protection de l’environnement dès les années 2010, le RN a su ces dernières années capitaliser sur le ressentiment contre ces infrastructures. « On voit sur ce territoire une forte capacité d’entrisme des corps intermédiaires par le RN. Pour exemple l’association Vent de colère, proche de l’extrême droite et qui fait du contentieux, fédère désormais beaucoup d’associations de riverains en lutte contre des parcs éoliens qui industrialisent des paysages naturels », remarque Olivier Gourbinot, juriste à France Nature Environnement (FNE). Intermittentes et donc non fiables ? Un bon moyen de repérer sur les réseaux sociaux les anti-renouvelables ? Ces personnes ont tendance à utiliser l’abréviation « EnRi », pour « énergies renouvelables intermittentes ». Dépendantes du vent ou de l’ensoleillement, les éoliennes et les panneaux solaires alternent par définition les séquences de production et de calme plat. C’est leur point faible en comparaison avec les centrales nucléaires, à gaz et à charbon, qui, en théorie, une fois lancées, fonctionnent jusqu’à extinction du combustible. Pour Hélène Gassin, présidente de négaWatt, « les productions solaire et éolienne sont largement anticipables grâce aux prévisions météo et aux évaluations des besoins » : pics de chauffage en cas de vague de froid, départs massifs de TGV pendant les vacances scolaires, etc. Un travail effectué en France par RTE, le gestionnaire de réseaux, en collaboration avec Météo-France. « Sur un réseau d’électricité, ce qui compte, c’est l’équilibre en permanence entre la consommation et la production, poursuit l’experte. On n’est jamais à l’abri d’aléas mais ce n’est ni nouveau ni insurmontable. » Sur CNews, dans les comptes d’ingénieurs sur LinkedIn ou sur X, l’épisode récent de black-out en Espagne a tourné au procès de l’éolien et du solaire, accusés d’avoir fait tomber le réseau électrique. En réalité, les causes en furent multiples, selon un rapport gouvernemental. Les courbes de production du solaire et de l’éolien sont plutôt complémentaires – le vent souffle davantage la nuit et l’hiver alors que le soleil brille pendant la journée et l’été –, expliquent les spécialistes. Une diversité de sources en fonction des territoires et d’importantes capacités de stockage d’énergie sont nécessaires. En 2021, pour la première fois dans le monde, la production combinée du solaire et de l’éolien a dépassé la production nucléaire, signale le World Nuclear Industry Status Report. En 2023, les installations solaires et éoliennes ont produit 50 % de plus que les centrales atomiques. Le recours à des batteries de stockage est de plus en plus fréquent. Ainsi en Californie, le stockage par batteries couvre parfois plus de 20 % de la demande d’électricité en période de pointe, une contribution de l’ordre de 7 gigawatts, soit l’équivalent de sept grands réacteurs nucléaires. Indépendance et abondance : la « pensée magique » du nucléaire C’est le nouvel argument des anti-renouvelables : elles ne seraient pas compatibles avec le nucléaire. Entre les éoliennes et les panneaux solaires d’un côté, et l’atome de l’autre, il faudrait choisir. Cette opposition est née de l’écart aujourd’hui patent entre les projections sur la quantité d’électricité nécessaire pour faire tourner le pays, et la réalité de ce qui est utilisé. En 2022, pendant la campagne présidentielle, Emmanuel Macron avait annoncé la relance du nucléaire et une forte augmentation du photovoltaïque et de l’éolien en mer. C’était du « en même temps » sur l’énergie. « Mais c’était de la pensée magique : on ne fait pas s’envoler la consommation électrique d’un claquement de doigts, analyse Yves Marignac, porte-parole de négaWatt. Il faut investir dans les réseaux, les équipements, cela tire sur la chaîne d’approvisionnement, donc les prix de l’électricité montent, et donc c’est plus difficile d’amener les ménages et les entreprises à l’électrification. » Résultat : la consommation d’électricité n’a pas augmenté en France. « La filière du nucléaire a donc commencé à dire qu’en fait il n’y avait pas besoin de plus de renouvelables. Cela a rouvert les arbitrages et réactivé le mythe que le nucléaire devait rester le pilier de notre mix. Et avec la guerre en Ukraine et la crise énergétique qui s’est ensuivie, on a assisté à une réactivation d’un imaginaire rétrograde, remontant à de Gaulle, dans lequel le nucléaire est synonyme de puissance, de sécurité, et d’abondance. » Le RN incarne parfaitement cette évolution idéologique. Après avoir longtemps maintenu le flou sur son programme énergétique, il dispose aujourd’hui de député·es qui attaquent de plus en plus frontalement les renouvelables au nom de l’atome, tel l’élu de la Meuse Maxime Amblard. « Le RN associe désormais le nucléaire à une rhétorique de puissance, au fantasme de la grandeur passée de la France, explique Bastien Cuq, de Réseau Action Climat. L’atome est aussi un enjeu civilisationnel, car pour avoir un Occident fort, il faut une énergie abondante. Quitte à jouer la surenchère en demandant plus de nouveaux réacteurs que ce que prévoit le programme déjà très pro-nucléaire d’Emmanuel Macron. » L’économiste Philippe Quirion remet pourtant ces arguments dans une perspective temporelle : « Il faut quinze ans pour construire une centrale, c’est-à-dire qu’on ne pourra ni baisser notre prix de l’électricité, ni baisser nos émissions de gaz à effet de serre avant 2040. En attendant, on doit donc déployer des énergies renouvelables et réaliser des économies d’énergie. Quand le RN demande un moratoire sur le renouvelable, c’est soit qu’il se contrefiche du climat, soit qu’il n’a pas travaillé la question. » Voilou, sans les vidéos et les annexes...
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Ou peut-être l'inverse ? 🤘
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Depuis 2019, Côme a été racheté par un industriel miliardaire Indien du tabac... Ils ont des salaires et une ambition sans commune mesure avec les nôtres.
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Le buteur plutôt ! Car ce défenseur chevelu revenu d'un autre temps était un boucher qui n'aurait jamais dû finir le match et donc se retrouver seul face à Restes...
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Déjà, il est clair qu'il est loin d'être le plus "fautif" sur les deux buts encaissés. Cependant, et même si j'apprécie beaucoup Restes, il lui arrive souvent de ne pas esquisser de geste sur certaines frappes lorsqu'il se sent impuissant. Il y a un an, ça finissait assez souvent sur les montants, c'était excellent mais là, je trouve que ça fait comme s'il baissait les bras trop vite. Bien sûr qu'il sent mieux que moi s'il pense pouvoir la sortir et je ne cherche pas à le descendre mais, en direct, j'ai un peu grincé et me suis dit que les haters allaient lui tomber dessus à mon grand désarroi.
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Hier, il fait un somptueux arrêt puis plus tard ne bouge même pas une oreille sur l'égalisation avant de faire un air-arrêt sur le 2nd but encaissé. Du très bon et du bien moins bon.
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Il doit y avoir quelques dissensions à l'Équipe pour qu'ils concèdent à demi-mot ce dont on se doutait depuis le début, ils ont fait, et on ne sait pourquoi, de la pub à un groupe d'escrocs qui n'avait même pas de site internet crédible. Et ils nous ont pondu 3 ou 4 articles sur le prochain rachat du Tef par ces escrocs... beau travail journalistique.
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Âne est fée, mais je dois reconnaître aussi que la temporalité de la presse écrite est différente de celle en ligne et que la Dépêche se doit de refaire des articles rappelant la situation aux lecteurs ne lisant que le format papier. À condition bien sûr que l'article présenté ici soit celui qui sera demain dans la feuille de chou et non juste un article en ligne, car là je ne pourrai même plus faire semblant de les défendre...
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Patrick Despres ou l'art de rédiger un article en ayant rien à dire... ou juste un résumé de l'épisode précèdent où rien ne s'était passé, "Previously on TFC Story..."
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Et tout ça en tirant deux sur les montants et avec plein d'arrêts de Simon...🤯 Pas de défense et un milieu pas en grande forme... que faisaient Lenglet et Hernandez sur le terrain ?
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On dirait le fils de Barthez ... pas trop sur cette photo, mais sur d'autres... Ça avait déjà été évoqué sur le forum.
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https://www.lequipe.fr/Football/Actualites/La-cour-d-appel-reconnait-la-faute-grave-contre-olivier-pickeu-mais-angers-devra-payer-2-1-millions-d-euros/1567922 Vraiment, Pickeu je ne le sens pas.