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Messages posté(e)s par Vistule

  1. il y a 25 minutes, Louvin a dit :

    Ouais mais ça on peut pas. Rien ne nous dit que les 19 et 20 de l'an dernier soient moins bons que les 17 et 18 de cette année.

    C'est juste une réflexion hein, faut la prendre pour ce que c'est. Ce n'est pas pour prouver quoi que ce soit, juste pour faire réfléchir, pour adopter un nouveau point de vue sur les choses. En tout cas, c'est ainsi que je le prends

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  2. Et pourquoi pas Nathalie Portman au board du club ? 😎

    https://www.lequipe.fr/Football/Article/Pourquoi-les-stars-du-cinema-et-de-la-musique-investissent-dans-le-soccer-aux-etats-unis/1447276

    Pourquoi les stars du cinéma et de la musique investissent dans le soccer aux États-Unis

    Au pays du « soccer », on a vu passer beaucoup de stars du ballon rond. Lionel Messi, Thierry Henry, Kaka ou encore Zlatan Ibrahimovic, ils ont tous fait un passage, plus ou moins éclair, dans les rangs de la Major League Soccer (MLS). Mais, aujourd'hui, la ligue nord-américaine semble attirer un autre type de célébrités. Loin des plateaux de cinéma et des salles de concerts, les stars du show-business ont trouvé dans la MLS et le soccer un nouveau terrain de jeu.

    L'une des plus récentes franchises de la ligue, l'Austin FC, fondée en 2019, compte par exemple au sein de son groupe d'investisseurs, l'acteur oscarisé Matthew McConaughey. À 2 000 kilomètres de là, à Los Angeles, Will Ferrell, connu pour ses comédies à succès dans les années 2000, est l'un des copropriétaires du LAFC. Toujours en Californie, mais cette fois-ci dans le football féminin, Natalie Portman est à l'origine de la création du Angel City FC, et co-actionnaire du club avec Jessica Chastain, Uzo Aduba, ou encore Eva Longoria pour ne citer qu'elles. Une constellation de « stars » en tout genre qui maille ainsi la carte du football étasunien.

    Si cette tendance « n'est pas nouvelle », elle est beaucoup plus importante aujourd'hui. « Dans les années 70, il y avait une ligue de soccer, la NASL, où Elton John était déjà copropriétaire d'une équipe (Les Aztecs de Los Angeles) qui a vu passer Johan Cruyff ou George Best entre autres. Il y avait également un autre club, les Philadelphia Fury, qui appartenait à l'époque à Peter Frampton, Mick Jagger et Paul Simon », rappelle Luc Arrondel, économiste et directeur de recherche au CNRS.

    Des clubs qui ont vite fini par mettre la clé sous la porte, faute d'un modèle économique viable et victime d'une époque où le soccer n'était pas aussi apprécié. Mais, désormais, les choses ont changé. Le ballon rond gagne chaque année en popularité, et tape dans l'oeil des people. « Plus le football devient populaire aux États-Unis, plus les stars s'y intéressent », observe Antoine Latran, journaliste spécialiste de la MLS. « Il y a un côté aussi très mainstream aujourd'hui autour du football aux États-Unis, ce qui rend l'investissement plus "cool" d'une certaine façon », ajoute-t-il.

    Denis Bouanga célébrant la victoire du Los Angeles FC face à Vancouver (5-2) en octobre dernier. (J. Durr/Usa Today Sports/Reuters)

    Denis Bouanga célébrant la victoire du Los Angeles FC face à Vancouver (5-2) en octobre dernier. (J. Durr/Usa Today Sports/Reuters)

    Ces dix dernières années, les investissements des célébrités dans des clubs de football aux États-Unis ont ainsi presque été multipliés par dix. S'ils étaient, dans les années 70, des cas isolés et le plus souvent « passionnels », ils sont aujourd'hui plus répandus. Une tendance d'abord explicable par le coût d'entrée peu cher pour les investisseurs. « Investir en MLS est beaucoup moins cher que dans les autres ligues telles que la NFL, la MLB, la NHL ou la NBA par exemple », précise Antoine Latran.

    Un modèle d'investissement moins risqué

    À l'opposé, en Europe, les investissements des célébrités dans le football se font plus rares. Mis à part Ryan Reynolds et Rob McElhenney à Wrexham, au Pays de Galles, les exemples sont peu nombreux.

    Si l'investissement des célébrités dans le football est aussi différencié entre l'Amérique et l'Europe, c'est également dû à l'une des spécificités des championnats nord-américains. « L'investissement des "stars" au niveau des ligues sportives américaines, comme la MLS, est beaucoup moins risqué que pour les stars françaises, par exemple, qui pourraient investir dans des clubs européens, tout simplement parce que le système nord-américain de ligue fermée leur garantit une stabilité, et d'une façon générale, une création de valeur » explique Vincent Chaudel, expert en marketing et cofondateur de l'Observatoire du Sport Business.

    « Si vous investissez chez nous, dans un club qui est en Ligue 1 et que malheureusement, il est relégué en Ligue 2, vous avez quasiment tout perdu »

    Vincent Chaudel, expert en marketing et cofondateur de l'Observatoire du Sport Business

    En effet, en MLS, il n'y a, pour rappel, pas de système de relégation, ni de promotion avec les autres divisions inférieures. Un club qui finit dernier du championnat y restera l'année suivante. Cette particularité, la ligue de football américaine l'a voulue dès ses débuts, en 1993, afin de faciliter l'arrivée de nouveaux investisseurs.

    « La MLS est née dans les années 90, à une époque où il y avait très peu de "soccer" aux États-Unis, et pas de division professionnelle. Donc ça voulait dire demander à des investisseurs de créer des franchises qui coûtaient des millions de dollars pour les lancer dans une ligue qui n'existait pas encore. C'était un risque total. C'est clair que dès le départ, il n'a jamais été question de promotion ou de relégation, simplement d'attirer des investisseurs qui vont être capables de mettre les millions qu'il faut », précise Antoine Latran. Un « cocon » financier qui a permis à la ligue nord-américaine d'être plus attractive, et surtout, d'attirer une multitude d'investisseurs, plus ou moins riches, à l'image des célébrités.

    Une nouvelle dimension pour le « soccer » aux États-Unis

    L'investissement de plus en plus important des célébrités dans le soccer est également le reflet de la nouvelle dimension populaire et économique que prend ce sport aux États-Unis. D'abord mis de côté par les Américains, le soccer attire aujourd'hui les foules dans ses stades.

    En moins de dix ans, la MLS a presque doublé son nombre de spectateurs. Lors de la saison 2022-2023, 10,8 millions de spectateurs se sont donné rendez-vous dans un stade de MLS. À titre de comparaison, il y avait 9 millions de spectateurs en Ligue 1 cette même saison. Les célébrités qui se tournaient vers d'autres sports pour investir, investissent maintenant le soccer, considéré plus comme plus facile d'accès, plus populaire et de plus en plus rentable.

    Et cette dynamique ne semble pas près de s'arrêter. « Les quatre années à venir vont être des années très importantes pour le football aux États-Unis, avec bien évidemment la Coupe du monde en 2026 mais, déjà, la Coupe du monde des clubs en 2025 et, probablement, la Coupe du monde féminine en 2027, mais aussi les Jeux Olympiques de Los Angeles en 2028. Ça veut dire quatre années importantes où les compétitions majeures auront lieu aux États-Unis », rappelle Vincent Chaudel, cofondateur de l'Observatoire du Sport Business.

    Un engouement qui laisse entrevoir une plus grande dynamisation de la ligue et de ce sport dans les années à venir. Beaucoup cherchent ainsi à y investir dès aujourd'hui, afin de faire des placements financiers juteux pour le futur.

    « Si vous investissez 50 millions d'euros ou 1 milliard dans une franchise, vous êtes sûr dix ans après que votre mise a été multipliée par 1,2,3 ou 4 », assure Vincent Chaudel. À Los Angeles, notamment, le LAFC de Will Ferrel, qui a dû investir plusieurs centaines de millions d'euros pour son droit d'expansion et la construction de son stade, a aujourd'hui réussi à devenir le club le mieux valorisé de la ligue, atteignant en 2023 le milliard de dollars, selon les estimations du magazine économique Forbes. Ce qui en fait la première franchise milliardaire de la MLS. De quoi encourager d'autres célébrités à miser sur le soccer dans les prochaines années.

  3. Il y a 17 heures, Louvin a dit :

    L'an passé on a gagné contre les derniers et c'est aussi pour ça qu'ils sont derniers. Cette année aussi on gagne contre un futur dernier (Metz) et déjà deux fois; Et heureusement parce que sinon on serait à 14 points et charrette. Et Metz serait calé en milieu de tableau juste derrière le Havre

    Sa réflexion n'est pas de savoir ce qu'on fait contre les derniers, mais ce qu'on aurait fait, potentiellement, l'an passé, dans une L1 à 18 comme cette année :)

  4. il y a une heure, jerome69 a dit :

    on voit tout est son inverse dans ce domaine

    rien que l année dernière , ou Brest vire Derzakarian pour prendre Roy avec la réussite que l on connait pour Brest, ce même Derzakarrian va à Montepellier en mauvaise posture, et cela réussi aussi à Montepeliier. Apres comme l'année de notre descente tu aurais pu mettre Gordiola chez nous, on serait descendu tellement nos joueurs étaient trop mauvais pour une majorité

    Il y a des cas où l'entraîneur n'est pas le bon, il y a des cas où le mal est plus profond et où le changement d'entraîneur est un pansement sur une jambe de bois.

    Je pense que Nantes et Toulouse ont eu des problèmes qui dépassaient juste les choix de l'entraineur (même si Novell ne s'est pas facilité la tâche en faisant parfois de mauvais choix), et que dans ce cas, on peut féliciter la direction de ne pas avoir cédé à la pression populaire et d'avoir cherché les causes réelles et premières du dysfonctionnement de l'équipe.

    Tout n'a pas été résolu, mais au final on s'est évité de s'enliser plus encore :)

  5. il y a 15 minutes, jpaul1171 a dit :

    Peut-être que si on avait viré Novell on en aurait pris 9.

    Peut-être. Rien de sûr.

    Je pense que la direction a pris le temps de regarder comment se passaient les changements d'entraîneurs pour les équipes dans notre situation. Si le changement d'entraîneur amenait systématiquement une amélioration du classement, elle n'aurait pas eu trop d'égard vis-à-vis de Novell. Mais vu qu'elle a décidé de le garder, c'est sans doute qu'elle a estimé que les changements d'entraîneurs n'étaient pas si payants que ça.

    Dommage qu'elle n'ait pas envisagée la solution de @bln2bcn :ninaj:

  6. il y a 46 minutes, GG a dit :

    Y a pas de honte à jouer à 5 en défense.

    Aucune. J'ai juste du mal à imaginer une défense à 5 avec un seul milieu récupérateur et relayeur, puis 4 offensifs devant.

    De toute façon, ce sont les joueurs qui font l'animation.

  7. Quand ont voit où en est le FC Nantes, qui a viré Aristouy à la 13ème journée, on ne peut que féliciter le cap fixé par la direction.

    Passé l'électrochoc du changement d'entraîneur, avec la victoire contre Nice pour le premier match de Gourvennec, ils n'ont pris qu'un point depuis le changement de coach, soit 4 au total. Lle TFC, malgré les critiques qui ont plu sur Novell, a pris 8 points sur la même période.

    • Top ! 1
  8. Il y a 16 heures, Toulouzain a dit :

    Après revisionnage ,le 1er but de Reims,  l enroulé,  il doit la sortir .

     

    Autant que Diouf doit sortir la frappe de Babicka...

    Parfois, les coups sont juste trop bien joués pour que la défense et le gardien puisse faire quelque chose.

  9. Il y a 10 heures, Labinocle81 a dit :

    Est ce que ce joueur ne poserai pas les bases d'une défense a 3. Ca permettrai de jouer avec nos latéraux en piston.

    Sur le papier c'est la meilleure défense possible pour moi mais dur d'animer le reste sans laisser de côté une partie de notre effectif.
    Version offensive mais pas déconnante avec des stoppeurs (Costa - Mawissa) assez haut et qui peuvent porter le ballon plus haut.

    Restes

    Costa - Nicolaisen - Mawissa

    Desler -------------------------Suazo

    Casseres

    Babicka --Gboho--Donnum

    Dallinga

     

     

    3-3-3-1, ou 3-3-1-3 avec Gboho entre la ligne des latéraux et du 6 et la ligne des ailiers et du 9, j'aime bien, mais je ne vois pas Novell sortir de son double pivot malheureusement.

    Il y a 3 heures, Zorglub a dit :

    Quitte à imaginer une défense à 3, en plus solide défensivement, j'aurais imaginé :

    Restes

    Costa - Nicolaisen - Mawissa

    Desler -------------------------Suazo

    Sierreo - Casseres -

    -Gboho-

    Dallinga - Magri (ou Babicka)

    Intéressant aussi. Dommage que Novell ne sorte jamais de sa défense à 4 et de son attaque à une seul pointe, y'a largement de quoi faire avec l'effectif actuel.

  10. il y a 26 minutes, 3noze3 a dit :

    C'est sans doute pas ça qui va te réconcilier avec la non-absurdité de la règle, mais pour le HJ les mains (et les bras) ne comptent pas.

    On ne prend en compte que les parties du corps autorisées dans le jeu.

    Ba tu vois, je ne savais pas. D'un côté, ça paraît logique. De l'autre, il me semble avoir déjà vu des hors-sifflés pour un bras devant le défenseurs.

  11. il y a 24 minutes, Theyass a dit :

    Je pense qu'il ne faut pas focaliser sur la remontée de Reims en deuxième. C'est naturel de reculer quand on mène 3 à 0 contre une équipe plus forte et plus en confiance et qui se doit de montrer un autre visage à domicile. On a pas tant concédé d'occasions que cela, ce n'était pas la panique à bord même si on a manqué de maîtrise. Les entrants ont peu apporté et on manque un peu de chance sur le 2 ème but ce qui nous fait forcément une fin de match angoissante avec un stade qui pousse derrière son équipe et un arbitre qui a perdu son sifflet. Bref, le contexte joue pour beaucoup et il faut savoir apprécier les 3 points, on a tenu c'est tout ce qui compte. Des remontées on en a vu (remontada du Barça, la finale de champions League entre milan et Liverpool bref ça fait partie aussi du foot mais on a tenu). 

    Le problème, c'est que cette tendance n'est pas nouvelle. Dès le premier match en L1 sous Montanier, contre Nice, au tout début de la saison 2022/2023, on marque en première et on cède complètement en 2ème. Cette année, on est recordman du nombre de points perdus après avoir mené. Ça va au-delà de l'entraîneur et de l’effectif actuel.

    Mon hypothèse : c'est lié au fait de ne vouloir que des joueurs techniques au milieu de terrain, et de ne jamais avoir de marathonien devant la défense prêt à faire l’essuie-glace pendant 90 minutes. Spierings, VdB, Dejaegere, Sierro, Schmidt, ça arrête globalement de courir à la 60ème. Voire avant pour certains :ninaj:

  12. il y a 27 minutes, PatMan a dit :

    Bah c'est le principe du HJ. Soit il est hors-jeu, soit il ne l'est pas. Il faut bien poser une limite, et elle est absolue

    Pour sa partie non-cachée par Mohammed (le 31 nantais), je vois la main de Medina (le 14 lensois) derrière la ligne bleu et la ligne rouge du révélateur...

    Quant à la limite absolue, justement, là aussi je me questionne. À l'inverse du rugby, le foot est un jeu où l'on considère que le ballon doit avoir entièrement franchi la ligne pour qu'une situation soit jugée : c'est le cas pour les buts, les sorties de but, les corners, les touches. Pareil sur corner, où le ballon doit toucher l'arc-de-cercle, ou sur pénalty, avec l'obligation pour le gardien d'avoir a minima un pied touchant la ligne de but.

    Je me demande donc bien pourquoi le hors-jeu est jugé totalement différemment du reste des situations, avec une ligne qu'il suffit de légèrement dépasser pour être jugé en situation illicite. Il me semble que le hors-jeu a été complètement dévié de sa fonction première (éviter que des attaquants aient 10 à 20 mètres d'avance sur les défenseur). Le hors-jeu pourrait très bien ne se siffler qu'après dépassement clair et franc de l'avant-dernier joueurs situé entre le ballon et la ligne de but adverse.

    Cette situation me paraît bien révéler l'absurdité de la règle, ainsi que celle de la VAR et du révéléateur. Un beau 3 en 1 :ninja:

  13. il y a 8 minutes, VioletSmurf a dit :

    C'est le même article que dans la version papier

    Tactique : les choix forts de Martinez Novell ont permis à Toulouse de s'imposer à Reims

    Carles Martinez Novell ne l'a pas caché à ses joueurs, dans l'intimité du vestiaire : « On peut dire que nous avons raté notre première partie de saison. » Inconcevable, dans ces conditions, pour l'entraîneur espagnol du Toulouse FC, de vivre une seconde moitié de Championnat du même acabit.

    Afin de parvenir à inverser le cours contrarié de ses débuts au plus haut niveau en tant que numéro 1, Martinez Novell ne s'est dès lors pas contenté de parler à ses joueurs. Il a redistribué les cartes sous leurs yeux. Alors que l'ailier néerlandais Ibrahim Cissoko, régulièrement sollicité depuis novembre et son opération du métatarse du pied droit, a été prié de rester chez lui, son compatriote Stijn Spierings, plaque tournante de la récupération dans le coeur du jeu, a passé son après-midi sur le banc, la tête renfrognée dans un cache-col.

    Car leur entraîneur avait décidé d'opter pour un schéma de jeu plus offensif, à Reims. Il explique pourquoi : « Avec les deux recrues du mercato d'hiver (les attaquants Shavy Babicka et Yann Gboho) et (Christian) Mawissa (Elebi) très en forme, on pensait qu'on pouvait jouer plus offensivement. »

    « Je ne sais pas s'il s'agit de notre première période la plus aboutie mais la plus efficace, c'est sûr. »

    Martinez Novell a joint le geste à la pensée en disposant ses joueurs en 4-2-3-1, avec Babicka positionné à droite, son poste de prédilection (il avait débuté avec le TFC à gauche devant Lens, 0-2, le 28 janvier), et Gboho, en soutien de Thijs Dallinga. « Babicka, c'était pour la répétition des efforts et la recherche des espaces dans le dos, et Gboho, une balance des deux, explique leur entraîneur. Tous deux courent beaucoup, attaquent les espaces et surtout, apportent de la verticalité. »

    Plus de technique au milieu

    À condition de les pourvoir en ballons. Pour ce faire, Martinez Novell a, plutôt que d'associer Spierings à Cristian Casseres derrière eux, opté pour un duo de récupérateurs plus technique avec Niklas Schmidt et Vincent Sierro. Ce déséquilibre assumé vers l'avant a tout de suite fonctionné. « Je ne sais pas s'il s'agit de notre première période la plus aboutie mais la plus efficace, c'est sûr. »

    Toulouse n'avait plus marqué au moins trois buts en déplacement depuis plus d'un an et une victoire à Auxerre (5-0, le 11 janvier 2023). Il s'agit aussi, de son second succès d'affilée à l'extérieur (après la victoire à Metz, 1-0, le 14 janvier). « Et cela nous fait un bien de fou, sourit Mawissa Elebi, auteur de son premier but en pro (12e). Si Reims a pris le dessus en intensité après la mi-temps, on a tenu jusqu'au bout, cette fois, en jouant avec le coeur. » Et avec les nouvelles idées gagnantes de son entraîneur.

     
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  14. il y a 11 minutes, jpaul1171 a dit :

    Faux milieu gauche, ça veut dire qu'il n'est pas complètement au milieu ou pas tout à fait à gauche ? 

    Pas vraiment au centre et encore moins à gauche. Comme François Hollande :ninja:

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  15. il y a 56 minutes, jerome69 a dit :

    sans vouloir jouer l'oiseau de mauvaise augure , on est encore très loin d'être tranquille avec 4 pts d'avance sur le reléguable et sur les 3 matchs à venir 2 grosses équipes. IL est temps que Diarra rentre car Suazo et cuit de chez cuit et nous coute un but hier. Metz et Clermont ont une bonne tête de perdant mais on n'a pas vraiment une tête de vainqueur non plus, même si la première mi temps d'hier donne  l'occasion de verser un peu plus dans l optimisme . Nos recrues semblent des bonnes pioches, y a plus qu'a confirmer sur les prochains matchs.

    Sur les 9 prochains matchs, on joue :

    Le 2ème (CdF) et le 4ème (CdF) à domicile
    Le 5ème (CdF) à l'extérieur

    Le 10ème (CdF), le 14ème et le 15ème (CdF) à domicile
    Le 11ème (CdF) et le 18ème à l'extérieur.

    C'est plutôt une bonne série, avec beaucoup de matchs à domicile à jouer et pas mal d'adversaires encore en Coupe de France (6/8). Ce qui fait que, si Monaco, Lille et Lyon passent en Coupe, ils auront eu aussi un match en semaine pendant que nous nous seront en C3. Évidemment, il faut qu'ils passe pour ça...

    Je trouve notre calendrier pas si mal en février/mars. Dense, mais quand même favorable. On peut vraiment prendre de l'air si on pose une grosse série. Bon, on peut aussi plomber la saison, mais je préfère pas y penser :ninja:

    • Top ! 2
  16. il y a 32 minutes, sebztfc10 a dit :

    A t'il vraiment quelque chose à envier à Yoro qui semble affoler tout le monde ?

    Mawissa est très bon, mais alors Yoro, faut le voir pour le croire. C'est encore au-dessus en terme de maturité

  17. Non mais y'a rien à espérer de la conversartion, FrenchTouch a décidé de porter Gélabert en héros, pour créer des héros il crée des parias, Sierro est le sien et il verra toujours tout sous ce prisme-là. On a déjà eu la même chose avec Rouault et Nicolaïsen l'an passé. Ces conversations ne mènent à rien, chacun voit ce qu'il veut des matchs et il faut le respecter (même si je ne suis pas d'accord avec cette vision de Sierro, qui me paraît être un bon joueur)

    • Top ! 1
  18. Comme je disais ailleurs sur le forum, j'aimerais le voir 10. Ses courses, ses dribbles et ses passes sont beaucoup plus juste à ce poste. Il a beaucoup moins l'air de tergiverser, il s’emmêle moins les pinceaux.

  19.  

    Il y a 12 heures, Louvin a dit :

    Comme Donnum sur l’action du peno- il peut mieux la jouer mais je l’ ai rarement vu aussi vertical et quand on rentre avec cette détermination et ce souci de progresser vers le but dans la surface, on a des occases.

    Il est vertical car il est beaucoup plus dans l'axe. C'est Dallinga qui est parti prendre l'aile. Quand il est sur le côté, il ne fait jamais ce genre de courses. D'ailleurs, ses meilleurs dribbles, c'est souvent en repiquant un peu dans l'axe. Pareil pour sa passe en louche vers la 15ème. Pour moi, il doit jouer 10. Il est meilleur au centre du terrain, surtout que Gboho est également plus percutant que lui sur l'aile.

    C'est le seul changement que je souhaite pour le prochain match

  20. Il y a 11 heures, jpaul1171 a dit :

    Oui mais il a fini sa carrière à 32 ans...

    Comme Hazard !

    Moi je trouve ça bien, ça fait des joueurs plus funky et ça laisse plus vite de la place pour d'autres joueurs.

    Marre des cyborgs qui bouffe toute l'attention médiatique pendant 20 piges alors qu'il n'ont quasiment rien à dire.

    Pour revenir à Cissoko, son problème, c'est qu'il semble ne montrer ni à l'entraînement, ni en match.

  21. Il y a 2 heures, Zorglub a dit :

    Il avait qui pour jouer à gauche durant la première partie du championnat ?

    Bangré n'a pas fait une saison de fou, c'est sûr, mais encore une fois le titulariser aurait permis de garder les autres joueurs à leur poste, de ne pas cramer Suazo qui tenait seul l'aile. Voire de le faire progresser, ou au moins ne pas le faire régresser jusqu'au niveau où il est actuellement. Même avec le Burkina, il est passé de titulaire incontestable à remplaçant qui ne rentre plus sur ces six derniers mois.

    On voit quand même que ce sont surtout les joueurs qui ont vadrouillé qui ont peiné à trouver leur niveau. Kamanzi, par exemple. Depuis qu'il est installé à droite, il retrouve petit à petit son niveau, qui est bon. Dallinga est resté au centre, et malgré des matchs de mauvais niveau, avec la confiance et le talent qui est le sien, il réussit à faire de très bonnes choses en 9 même dans des matchs où il paraît à côté.

    Je suis plutôt d'accord avec JR31, il faut qu'il continue à faire jouer les joueurs à leurs vrais postes.

  22. il y a 5 minutes, Le_saint a dit :

     

    A la grande époque de l'OM Bernard Pardo avait la réputation de pas mal trainer en boite, y compris les vieilles de match, où il n'était pas rare de le rencontrer la clope au bec. Mais le dimanche sur le terrain, le mec qui courrait partout avec ses trois poumons et qui parcourait le plus de kilomètres dans le match c'était lui. Je n'ai jamais entendu un supporter se plaindre de son attitude, alors même que l'anecdote était connue de tous et que certains l'avait même constaté de leurs yeux. :lol2:

    Faut lire l'interview d'Eden Hazard dans L'Équipe, il est pas mal lui aussi sur la description de son hygiène de vie :ninaj:

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