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Vistule

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Tout ce qui a été posté par Vistule

  1. Moi je pense que c'est plutôt Spierings qui a du souci à se faire si Casséres s'impose. Comme quoi, les jeux sont ouverts 😄 Et puis, abondance de biens ne nuit pas...
  2. Oui, puis bon, ils sont proches de la pelouse, faut les comprendre, trop de tentations. Quand je vois que Montpellier non plus n'a pas été sanctionné fortement... Ça me donne envie de dire des trucs réac 😩
  3. Ba vu qu'Ugarte et Zaïre-Emery jouent chacun pour 2, ça fait un 4-4-4 à l'arrivée
  4. Je suis le seul à trouver choquant que l'on parle de guerre Israël - Hamas dans tous les médias français ? https://www.lemonde.fr/international/live/2023/10/25/en-direct-guerre-israel-hamas-benyamin-netanyahou-dit-qu-il-devra-lui-aussi-rendre-des-comptes_6195339_3210.html
  5. Ah mais le fameux Marc n'a même pas été exclus des UB87 😐
  6. Je préfèrerais. J'ai déjà proposé plusieurs fois ma place, gratuitement. elle n'a pas trouvé prenneur. Je vais quand même pas payer un sosie façon Bachar Al-Assad pour qu'il s'assied à ma place
  7. Je peux proposer à mes voisins et à mes collègues d'atelier, mais je ne crois pas qu'ils fassent les 685 bornes de route jusqu'au Stadium. En fait, j'en suis même sûr. Et comme ça fait 16 ans que j'ai quitté Toulouse, je connais moins de monde sur place. Ceux qui sont restés ou qui sont revenus ont des enfants en bas-âge et ne vont plus au stadium, ou alors ils ont leur abonnement.
  8. J'ai bien aimé les premières épreuves de l'édition 2023, content qu'ils refassent la même avec cette première étape très vallonnée. Pas mal de belles étapes, avec les "sentiers blanc" vu chez les femmes en 2022 (je crois), la 8ème étape vers Colombey-Les-Deux-Églises et les deux étapes de montagne insensées, dont une qui empruntera la plus haute route de France métropolitaine. Vu le parcours, avec deux contre-la-montre et l'absence de répétition d'étapes de montagne, on devrait voir Evenepoel lutter contre Pogacar et Vingegaard 😁
  9. L'Équipe confirme dans cet article que le groupe est plutôt au soutien de son entraîneur https://www.lequipe.fr/Football/Article/Trouver-la-taupe-a-l-ol-la-quete-impossible-de-fabio-grosso/1427415
  10. J'en fais partie, je suis abonné tout en habitant loin. Je file mes places lorsque je ne peux pas venir, mais les petits matchs trouvent moins preneur que les gros. Le TFC devrait pouvoir remettre en vente les places que les abonnés ne souhaitent pas utiliser. Ce serait plus juste, et le virage serait plus souvent plein. On récupèrerait disons 10e par place revendue, eux 20, tout le monde serait gagnant. Mais peut-être que ce n'est pas très intéressant pour eux, qui peuvent vendre des places plus chères quand le virage est complet ?
  11. Zanden est passé par la réserve depuis que j'ai écrit ça 😅 Le problème de la réserve, en N2/N3, c'est que l'intensité se fait plus au niveau des coups reçus que des courses
  12. Oui, jusque là je fais volontairement n'importe quoi dans le jeu des pronos pour cacher mes dons de voyance, aussi pour ne pas me faite traiter de tricheur par le vil Blisset, mais voilà, je suis démasqué. 😮‍💨 Pas dur. Même Ahamada fait mieux que moi
  13. Oui ba je suis mal réveillé et j'ai fait un copier coller du titre du topic de Reims. Vous voulez pas lire l'article plutôt ?
  14. Cissoko n'est pas un joueur majeur, ok, car on ne connaît pas son potentiel, mais c'est quand même un titulaire désigné dont l'absence déséquilibre l'effectif. D'ailleurs peut dire la même chose de Nakamura à Reims, qui n'a pourtant été titulaire qu'à 5 reprises depuis le début de saison. L'absence de ces deux ailiers gauche a conduit à des adaptations (chez eux, le 9 glisse à l'aile, chez nous c'est le 10) qui ont perturbé la disposition tactique des deux équipes.
  15. Ba le topic du prochain match à domicile. Tu ne sais pas que Montpellier est en Ligue 1 ?
  16. Ba wait&See, moi je suis d'accord, c'est pas moi qui le traite de joueur de cirque hein
  17. Après le déclenchement de la guerre Israël-Hamas, « Vladimir Poutine se frotte les mains » Le président russe compte tirer parti de la crise au Proche-Orient, qui détourne l’attention de la guerre en Ukraine et nourrit le ressentiment contre « l’Occident collectif ». Un danger dont les Européens s’alarment, observe, dans sa chronique, Sylvie Kauffmann, éditorialiste au « Monde ». Publié aujourd’hui à 04h00, modifié à 08h36 Temps de Lecture 4 min. Article réservé aux abonnés Un conflit peut en cacher un autre. La guerre qui vient d’éclater entre Israël et le Hamas, et les risques d’embrasement de la région qu’elle fait redouter, a chassé une autre guerre des radars des médias, celle que mène la Russie en Ukraine depuis vingt mois. Pourtant, les deux crises se rejoignent, par les acteurs qui peuvent en tirer profit. Au premier rang d’entre eux : Vladimir Poutine. La raison la plus évidente pour laquelle cette nouvelle explosion au Proche-Orient vient à point nommé pour le président russe est que, pendant que les alliés de l’Ukraine se tournent avec effroi vers le sud, la Russie relance son offensive dans le Donbass. Ces jours-ci, les forces russes pilonnent sans relâche la zone d’Avdiïvka, ville de 30 000 habitants qui en compte maintenant moins de 2 000 tant elle a souffert, pour tenter d’en déloger les défenseurs ukrainiens. Depuis 2022, tout le monde en Europe connaît les noms de Marioupol et de Bakhmout. Mais qui, aujourd’hui, a entendu parler d’Avdiïvka ? La bataille y fait rage. « L’ennemi subit des pertes significatives, rapportait, lundi 23 octobre, le général ukrainien Oleksandr Syrsky, mais il reconstitue ses forces constamment à l’aide de troupes de réserve, notamment amenées de Russie. » Pas un mot sur les pertes ukrainiennes ; on les imagine sans peine. Samedi 21 octobre, un missile russe a tué six civils dans un centre de tri postal de Kharkiv. Silence radio. Depuis le début, Vladimir Poutine parie que l’opinion publique occidentale finira par se lasser de la guerre en Ukraine. Il ne pouvait rêver mieux qu’un nouveau palier dans l’horreur franchi au Proche-Orient. Fracture Il y a d’autres raisons, moins immédiates, pour lesquelles cette crise profite au président russe. Il a envahi l’Ukraine au nom d’un dessein impérial : la conquête d’une nation dont il nie l’existence en tant qu’Etat. Les opérations, sur le terrain, ne se sont pas passées comme il l’avait prévu ; la « nation qui n’existait pas » a résisté, soutenue par les démocraties occidentales. Sur le front diplomatique en revanche, la Russie a rencontré moins de résistance : la guerre a mis en évidence une fracture entre ces démocraties, persuadées de défendre, avec l’Ukraine, le droit international, et une partie des Etats du reste du monde qui n’y voient qu’un conflit européen et une nouvelle preuve de l’hypocrisie occidentale, assise sur le « deux poids, deux mesures ». La solidarité spontanée des pays occidentaux avec Israël après les massacres du 7 octobre a aggravé cette fracture, surtout lorsque l’armée israélienne a mis en place le blocus de Gaza, ordonné l’évacuation de sa population du nord vers le sud et commencé à bombarder le territoire. Le 19 octobre, le président Joe Biden a lié, dans un discours à la nation, les crises de l’Ukraine et d’Israël pour demander au Congrès le déblocage de 100 milliards de dollars (environ 94 milliards d’euros) de fonds d’urgence pour aider ces deux pays. Etablir ce lien visait à obtenir l’accord global des républicains, réticents à aider l’Ukraine mais très mobilisés sur Israël. Mais ce lien est à double tranchant. Le lendemain, le président américain recevait à la Maison Blanche les dirigeants de l’Union européenne (UE). A la fin de l’entretien, Josep Borrell, qui dirige la diplomatie de l’UE, s’est longuement ouvert de son inquiétude sur la montée de la colère antioccidentale, constatée par les ambassades de l’UE dans les pays du Sud depuis le 7 octobre et précisément alimentée par l’accusation du « deux poids deux mesures » : comment, demandent ces critiques, prétendre rallier l’opinion mondiale face aux violations du droit international par la Russie en Ukraine, puis soutenir Israël qui bombarde Gaza ? Le rêve de Vladimir Poutine est que cette colère gagne le cœur même des sociétés européennes multiethniques. Renverser le « narratif colonial » On pourra toujours arguer que l’invasion de l’Ukraine n’a pas été déclenchée par le massacre de 1 400 civils ni assortie d’une prise d’otages. Joe Biden pourra toujours, pour mettre en garde les dirigeants israéliens, reconnaître les erreurs que l’esprit de vengeance a fait commettre à son pays après le 11-Septembre. Peine perdue, le ressentiment submerge les faits. Et lorsque, au Conseil de sécurité de l’ONU, les Etats-Unis mettent, seuls, leur veto à une résolution brésilienne en faveur d’un cessez-le-feu à Gaza, la confusion est totale : jusqu’ici, la technique du veto était une spécialité russe. « Tout cela va nous compliquer la tâche considérablement », se lamente un diplomate à Bruxelles, où l’on mène depuis des mois des efforts méritoires pour « ne pas perdre le Sud global ». Au Kremlin, Vladimir Poutine se frotte les mains. Il se les frotte d’autant plus que l’explosion de violence entre Israël et le Hamas permet de renverser le « narratif colonial » que l’Ukraine essaie de coller à la Russie, empire éclaté s’emparant d’une de ses anciennes possessions pour la recoloniser. Car lorsque des colons israéliens chassent manu militari les Bédouins palestiniens des collines de Cisjordanie, lorsque plus de 90 Palestiniens sont tués depuis le 7 octobre dans ces territoires, dans la bataille des récits, l’argument colonial bascule de l’autre côté. Tout ne se présente pas aussi bien pour Vladimir Poutine. En refusant de condamner le Hamas pour les massacres du 7 octobre – Hamas dont il a reçu deux fois les dirigeants à Moscou depuis le début de la guerre en Ukraine –, il a renoncé à sa posture d’équilibre avec Israël. De retour dans la région depuis son intervention en Syrie en 2015, la Russie a profité du repli américain. Mais si la nouvelle flambée des tensions au Proche-Orient conduit les Etats-Unis à s’y réinvestir, Moscou aura du mal à se maintenir sur ce front tout en faisant la guerre en Ukraine. Xi Jinping, le président chinois, est plus prudent. Il se tient militairement à distance de cette région explosive, en se félicitant qu’elle occupe les Américains. Sylvie Kauffmann (Editorialiste au « Monde »)
  18. Mets Schmidt à l'aile, il ralentira aussi les contres. Attendons peut-être de le voir repasser en 10 avant de le traiter d'"otarie" ?
  19. Belle ambiance chez les Pailladins avant la rencontre de dimanche. Sans compter le huit-clos à venir... Mamadou Sakho et son entraîneur Michel Der Zakarian se sont battus à Montpellier H.G. Mamadou Sakho et son entraîneur Michel Der Zakarian. (Sy. Thomas/L'Équipe) Mamadou Sakho et son entraîneur Michel Der Zakarian se sont battus à Montpellier INFO L'ÉQUIPE. Excédé par une remarque de son coach, le défenseur international français s'en est pris à lui, ce mardi soir dans le vestiaire du MHSC, après l'entraînement. Déjà mis sous pression à la veille de l'annonce des sanctions après le jet de pétard lors de MHSC-Clermont (4-2) qui pourrait leur coûter cher, il y a deux semaines, le club montpelliérain a vécu un épisode assez cocasse ce mardi à l'issue de l'entraînement, en fin d'après-midi. Le défenseur Mamadou Sakho et l'entraîneur Michel Der Zakarian en sont même venus aux mains. Lors de l'opposition pour clôturer la séance, Mamadou Sakho a été victime d'une faute, que Michel Der Zakarian n'a pas signalée. Le défenseur de 33 ans, agacé, a alors décidé de quitter le terrain pour rentrer aux vestiaires. Quelques instants plus tard, après que tous les autres joueurs ont rejoint l'ex-Parisien après l'entraînement, le coach héraultais serait venu adresser une remarque à Sakho, en lui lançant que la séance n'était « pas à la carte », une version corroborée par plusieurs personnes sur place. L'international français (29 sélections, 2 buts) aurait contre-argumenté en mettant en avant son comportement sans vague, ce à quoi le technicien de 60 ans aurait répondu une remarque plutôt désobligeante, en quittant le vestiaire. À ces mots, le joueur serait sorti de ses gonds et aurait attrapé son entraîneur par le col, avant de le faire tomber par terre, selon plusieurs témoins de la scène. Les deux hommes ont très rapidement été séparés par des joueurs et membres du staff. D'abord interloqué puis très énervé, Michel Der Zakarian a quitté la pièce en tapant sur les murs et les portes. Contacté tard hier soir, le technicien pailladin n'a pas souhaité répondre à nos sollicitations (« il n'y a rien eu, je n'ai rien à dire là-dessus »). Un licenciement pourrait être envisagé L'entourage du joueur, sollicité également, n'a pas fait de retour. Cet épisode pourrait mettre un terme au passage de Mamadou Sakho dans l'Hérault. Arrivé à l'été 2021 pour 3 ans, le défenseur n'entre plus dans les plans de Der Zakarian, qui lui a signifié cet été. Mais l'ex-Parisien n'a pas trouvé de porte de sortie et il est resté au MHSC, où il souhaitait respecter son contrat jusqu'à son terme, en juin 2024. La vive altercation de ce mardi pourrait en décider autrement. Si la direction du club s'empare de l'affaire, comme cela était la tendance hier soir, Sakho pourrait être assez lourdement sanctionné, voire licencié pour faute grave, si les faits, ainsi que sa responsabilité, peuvent être clairement établis.
  20. En même temps, c'est vraiment très con ce que dit Rothen. Et visiblement faux.
  21. L'indice UEFA français peut remercier Elye Wahi
  22. La moitié de l'équipe, tu y vas fort. Diego Jota, Gravenbarch et Elliott, ils sont titulaires sur certains matchs de PL. Alors que contre Linz, ils ont quand même mis le gardien remplaçant
  23. Je pense aussi, ils ont fait tourner contre LASK à l'exter, mais pas contre l'USG à domimcile. Ça va être dur d'exister.
  24. Stat très intéressante. Je l'ai déjà marqué ailleurs, mais côté défensif, on ressemble un peu au Burnley sous Sean Dyce (également proche de l'Atletico de Diego Simeone ou de l'Inter de Jose Mourinho). Il y a quelques différences notables dans le système, les latéraux et les milieux défensifs n'ont pas exactement le même rôle, mais l'approche défensive me paraît identique : ne pas appliquer de pressing haut ou médian intense, reculer en bloc pour former un bloc bas et forcer les adverses à tenter leur chance dans des positions plutôt infructueuses. Plein axe, avec 2 joueurs sur la course, il faut forcément tenter des angles de tir plus difficiles. Ça explique à la fois les nombreux poteaux, les tirs subis nombreux ainsi que l'inefficacité statistique des tirs adverses tentés. Je n'ai pas les stats sur les centres subis, mais je pense que le taux de conversion est également très faible, comme pour les tirs. L'absence de réussite de l'adversaire, ce n'est pas de la chance, mais un système travaillé pour rendre l'adversaire inoffensif lors de ses phases de domination. À côté de ça, offensivement, je pense qu'on a une bonne optique, avec une remontée du bloc équipe et un positionnement très haut sur le terrain. Une fois qu'on est installé dans le camp adverse, on arrive à se créer des vagues de situations intéressantes. Là où l'on pèche actuellement, c'est dans les transitions. Trop de déchet. On a du mal à trouver les bonnes passes et à avoir les bons déplacements pour coulisser parfaitement du bloc bas défensif au bloc haut défensif. Mais ça va venir. Et sans être injouable comme j'ai pu le dire en m'enflammant un peu, je pense que l'on aura un système très complet et très pénible à jouer, aussi bien derrière que devant.
  25. Magri a perdu quasiment tous ses duels... Moi je me rappelle surtout de ça. Mais vu que tout le monde est unanime, je vais reregarder la fin de match, histoire de me faire un second avis.
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