-
Compteur de contenus
12924 -
Inscription
-
Dernière visite
Tout ce qui a été posté par Sergio
-
Quand j'étais à l'école, on ne nous parlait pas de ça. On parlait juste de raz-de-marées et de tremblements de terre. Des trucs d'avant le changement climatique, quoi.
-
Moi je suis pour un crucifix, une étoile de David, et un croissant, au fronton de toutes les écoles. Et tant pis pour les hindouistes. Les athées n'en parlons pas. Ils n'ont qu'à apprendre les math ou l'anglais, tous seuls, chez eux. Je ne parle pas de l'Histoire, on la supprime, puisque chacun à la sienne. Non, mais. Pareil pour la littérature, qui par nature est tendancieuse. Baudelaire et Rimbaud, ces drogués ivrognes, dehors. Idem pour ce machiste de Molière. D'ailleurs çuilà, je n'ai pas encore compris pourquoi les chiennes de garde ne l'ont pas lapidé. Et le Vert Galant, un obsédé sexuel, ouais, à trucider d'un coup de couteau.
-
En ce moment, on peut aller voir le procès de Pierre Perret contre le Nouvel Obs. C'est un spectacle tordant et gratuit. Dommage que je n'habite pas Paris. Lien 1 2 Et plein d'autres.
-
Autant Tafer que Santander, ne pourront que progresser. Si par hasard on s'en séparait et qu'ils éclatent ailleurs, les reproches pleuvraient.
-
C'est vrai que je tends de plus en plus à ne poster qu'en réaction à certaines choses que je lis. Ou même le plus souvent à ne pas poster du tout. J'ai passé l'âge de me forcer.
-
J'avais posé une question. Je constate que tu n'as pas répondu.
-
Il y a eu une manif contre le nucléaire il y a deux jours à Toulouse. Que diraient ceux qui ont défilé, si des gens organisaient une manif pour la peine de mort au lendemain d'un crime odieux ? Pourquoi tu réponds ça ? Tu 'es senti visé quand j'ai parlé de ceux qui font leur beurre sur le catastrophisme ?
-
Les systèmes de pensée qui font leur beurre avec le catastrophisme se lèchent les babines, ça c'est sûr.
-
Ca sera dur. Voilà la citation : LA FRANCE ne peut accueillir toute la misère du monde, mais elle doit savoir en prendre fidèlement sa part. D'où mon post qualifié de complètement à l'ouest... Excusez mon gâtisme, mais je ne le croyais pas hors sujet.
-
Bon, vous reprenez la phrase de Rocard, qui se terminait par "la France doit prendre sa part de la misère du monde". Donc, la question est de savoir si la France prend ou ne prend pas sa part. Prenons-nous notre juste part ou pas ? Quel est le poids de la France ? Quel est son poids économique, son poids culturel ? Sa capacité à ce que chaque pays "riche" prenne sa part ? C'est la qu'est la question. Sommes-nous certains d'avoir plus de poids que le Vatican ? "le Vatican ? combien de divisions ?" comme disait Staline en rigolant dans sa moustache... La France est devenue une puissance moyenne. Ca a commencé dès la fin de la 1ere guerre mondiale, et ça c'est achevé à la fin de la 2eme. De Gaulle a entretenu une illusion en se posant adroitement entre les USA et l'URSS. Une opportunité s'était présentée, ça ne se présente pas tous les jours, et il l'avait saisie. Tout ça, c'est fini. C'est bizarre quand même. D'un côté on dénigre le patriotisme, et de l'autre on s'imagine que nous sommes en temps que pays, prédestinés à tenir un rôle important dans la marche du monde. On exagère un peu, je trouve. De Gaulle, c'est fini, hein. En plus, on l'a viré... Quel a été le poids de la France quand les USA ont décidé de s'attaquer à l'Irak de Saddam Hussein ? On a saisi une opportunité, on a été entendus certes, mais a-t-on été écouté ?
-
Thierry Adam mérirerait un forum à lui tout seul.
-
Ah merde. Je croyais qu'il aurait dit "Si Bush est élu, je me casse."
-
C'est comme le fils Noah, il a préféré se casser aux USA pour jouer en NBA, alors qu'il avait sa place à Villeurbanne. La Grande-Bretagne de Cameron, c'est pas mal. Libéral et tout. Je vous la conseille.
-
De nos jours, les régionalismes tendent à remplacer les nationalismes. On est fier d'être gascon, basque, breton ou catalan. On est même prêt à pleurer en écoutant Se Canta, tout en se gaussant de la Marseillaise. Les partisans d'une Europe fédérale gommant la notion de nation sont sur le bon chemin, quoi. Ils bossent bien, et en profondeur. Déjà, l'Euro (la monnaie)... Gagnera-t-on au change, ça c'est une autre Histoire et un autre débat. D'autres "avancées" sont possibles. On peut carrément dissoudre la notion d'appartenance géographique. Je sens que bientôt on fera comme aux Etats-Unis et dans plusieurs pays anglo-saxons. La ville d'origine des clubs sportifs ne figurera qu'en deuxième. On aura les Ours de Tarbes, les Guignols de Lyon, et les Saucisses de Toulouse. Je ne sais pas si c'est le but, mais je ne suis pas vraiment enchanté à l'idée que tout ça pourrait contribuer à remplacer la notion d'appartenance géographique par la notion d'appartenance communautaire.
-
On n'en saura rien avant les résultats du 1er tour. Il y a trop d'inconnues. Une de taille déjà, c'est de savoir si une intention MLP est plus ou moins avouable qu'une de son géniteur. On rectifiait d'habitude. Mais un 21 avril qu'il soit à l'endroit ou à l'envers, reste un éventualité dont on doit tenir compte.
-
Source On dira ce qu'on voudra, mais manifester pour pouvoir payer un billet de tram, quand on transporte avec soi un vélo qui va nettement plus vite, ça réclame une certaine dose de masochisme. A moins que ça soit une tentative désespérée pour donner un coup de peps à cette ligne de tram T1, qui tourne allègrement à 50% de d'utilisateurs en moins que ce qui était prévu. D'ailleurs, la ligne de bus 16, fait mieux en nombre de passagers transportés quotidiennement.
-
Le truc dont tout le monde se branle...
Sergio a répondu à un ClarkGaybeul de Sergio dans Le Bistrot
On crève de chaleur à la médiathèque Cabanis. C'est pour favoriser le roulement ou quoi. Bon, c'est vrai qu'il y en a qui s'inscrustent. -
Et pour les athées, pas de fêtes ? Bien fait pour leur gueule. Ben non, il suffit de bâtir un mur tout autour de l'hexagone et de fermer les frontières, comme ça, les riches ne pourront pas partir. Et comme ça, les pauvres ne paieront pas leurs impôts entre eux. Dommage ça aurait été sympa, car on aurait bien trouvé de nouveaux boucs émissaires par-ci par-là, la nature ayant horreur du vide. Aujourd'hui, grand jour. J'ai pris des transports en commun à l'heure de pointe. Je ne sais pas ce qui m'a pris, la gratuité peut-être ? Expérience que je ne renouvellerai pas de sitôt. C'est peut-être mon côté aristocrate fauché qui parle... Bruits divers et intempestifs, bavardages à haute voix et parfois stridents, poussettes qu'il faut enjamber, bousculades, junkies espatarés... On comprends que les décideurs, et même les élus qui nous fourguent tram-escargot, bus, etc. pour se donner une image sociale, les évitent soigneusement. A leur place je ferais pareil. Perso, ça me coûte un peu plus cher, mais quel régal de pouvoir écouter du Chopin dans sa voiture, plutôt que ce brouhaha insurmontable.
-
Changer insidieusement le sens des mots, couche après couche, ça a des conséquences.
-
Du temps où le TOEC rugby jouait en première division, ça ne nous rajeunit pas, ils avaient un soigneur dans ce genre. Il était plus applaudi que les joueurs quand il rentrait à fond la caisse sur le terrain, avec son éponge magique. On l'appelait Fauvette. Tu t'en souviens Gatsby ?
-
En parlant de social, je relève que Facebook et autres sont qualifiés de réseaux "sociaux". On appelle ça une dérive sémantique, non ? Le pire, c'est que tout le monde semble s'en foutre. C'est comme le poker en ligne. Ce symbole du libéralisme le plus sauvage, prospère dans l'indifférence quasi générale. Je croyais dans ma grande naïveté que des voix s'élèveraient ou que des manifs fleuriraient.
-
L'Allemagne et le Japon bénéficient d'un parapluie. Il a bien servi il n'y a pas si longtemps pour l'Allemagne, du temps où Mitterrand déclarait que les missiles sont à L'est et les pacifistes à l'ouest. Pour ce qui est du Japon, s'il n'avait pas lui non plus bénéficié d'un parapluie, le problème des iles Kouriles qui est presque anecdotique, serait peu à peu devenu un facteur de conflit pouvant se généraliser. On pourrait parler aussi de la Corée du Nord, qui se maintient à peu près sur ses bases, grâce au chantage exercé par sa force militaire. La défense, c'est un peu comme des serrures chez soi. On ne se rend compte qu'elles sont utiles que le jour où on est cambriolé. Après, c'est sûr que la guerre, entre autres, peut se situer au niveau économique, faute de pouvoir s'exprimer de façon classique. C'est en ce moment le cas. On peut toujours se demander ce qu'il est possible de faire pour la gagner où même l'éviter, entre parenthèse. Les idées géniales seront les bienvenues.
-
Pourquoi présenter les choses par le petit bout de la lorgnette, alors ?