Aller au contenu

Sergio

Ultranets
  • Compteur de contenus

    12924
  • Inscription

  • Dernière visite

Tout ce qui a été posté par Sergio

  1. Justement. Le paternalisme est une façon de faire du passé.
  2. C'est clair, des émissions sans abdos en béton, ni blondes à grosses poitrines, et des programmes sans feuilletons US, ça peut pas marcher. 58 ans ? Je m'attendais à plus.
  3. Damnation ! On ne touche pas aux chefs d'oeuvre !
  4. Et tu m'as pas dit bonjour ! Il m'a semblé voir Bernard31, mais je ne suis pas sur que ça soit lui. Si c'est lui, nos yeux se sont croisés quelques instants. Enfin, que ça soit lui ou pas, nos yeux se sont croisés quand même.
  5. Je ne dis pas ça. C'est l'indignation sélective que je ne supporte pas. Puritanisme à géométrie variable, à vomir.
  6. C'est tout à fait ça. J'espère qu'on ne mettra pas le doigt dans cet engrenage. D'autant qu'on a connu ça dans le passé, oeuvres d'art interdites et tout... Je serais tenté de dire à ceux qui s'indignent : les publicités télévisées débiles qui empoisonnent le cerveau des enfants, qui comme chacun sait sont les cibles favorites, ça ne vous fait rien, par contre ? Et faire poser des gosses en photo avec Ronald, ce n'est pas le comble du mauvais goût ?
  7. Ca ne me fait pas plus chaud que des gens qui deviennent diabétiques en abusant des Big Mac. A tant qu'à interdire, pourquoi on ne commence pas par eux ?
  8. Sergio

    Musique

  9. Au temps pour moi. C'était pas un gros poisson.
  10. Un cinquième dopé a été détecté sur le tour. Toujours aucun nom de donné. Est-ce parce que c'est un gros poisson qu'on veut noyer dans le flot médiatique des JO ?
  11. C'est vrai qu'il faut se mettre à la place du chinois moyen, qui à juste titre peut s'enorgueillir de faire partie d'une grande civilisation. Autant, des réactions sobres et mesurées tout en étant déterminées, peuvent avoir chez lui un certain impact, autant des réactions hystériques et donneuses de leçon, que leurs médias se feront un plaisir de mettre en avant, peuvent avoir un effet négatif. Je crains qu'actuellement la limite soit franchie. Peut-être que demain matin j'aurais un autre avis en fait, mais bon.
  12. Voilà. Sans jeu de mots, les tendances "lourdes" reprennent le dessus. Dommage.
  13. Moi je n'avais jamais compris pourquoi on taxait les McDo à 5,5% et la restauration classique à 19,6%. Lobbying ? Marchandages divers ? Financements occultes à droite et à gauche ? Directive européenne ? Façon de faire du social, en détaxant des produits de mauvaise qualité (HLM de la bouffe), et en taxant des produits considérés comme du luxe ? Je pense que par rapport à l'existant, si cette mesure était prise, elle constituerait un progrès. Mais c'est pas gagné, loin de là.
  14. Ah la belle province. A Toulouse, dancings, boîtes, discothèques, j'en ai vu un paquet flamber depuis que je suis né. Si Simenon avait été toulousain, il aurait pu en écrire des bouquins là-dessus. Soyons sûr que si un jour une discothèque ouvre et s'appelle Les Bisounours, on se sera foutu de notre gueule.
  15. Ca serait possible aujourd'hui ?
  16. Il y a vraiment des élus qui n'ont rien d'autre à branler. Encore, s'ils laissaient le choix à tout un chacun, mais même pas. clic
  17. Ce qui m'exaspère, c'est les beaufs qui parlent de restaurants "gastro", gastro pour gastronomique, pour les différencier des restaurants normaux, ceux où on bouffe uniquement utile. Moi ça me fait penser à gastro-entérite, pas à eux apparemment.
  18. Juste après avoir été viré bourré comme tous les soirs de chez Tonton, je dis pas. Mais attention au lendemain matin, au réveil.
  19. C'est aussi mon avis. Il y avait le feu à la baraque et il a accepté après négociation de jouer le rôle de fusible.
  20. Ca je hais. Encore un truc importé d'Amérique.
  21. Alors là, tu m'escagasses.
  22. C'est ballot.
  23. Point-virgule : espace avant, espace après.
×
×
  • Créer...

Information importante

Nous avons placé des cookies sur votre appareil pour aider à améliorer ce site. Vous pouvez choisir d’ajuster vos paramètres de cookie, sinon nous supposerons que vous êtes d’accord pour continuer.