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Asha31

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Tout ce qui a été posté par Asha31

  1. Seulement deux syllabes, très décevant et loin de nos standards , c'est un Fake
  2. Tu ne dis pas tout. Des trous du cul, probablement une courageuse milice d'extrême droite, les attendaient à 10 devant la maison à minuit quand la famille partait du logement, avec cagoules et lacrymos. À gerber toute cette histoire putain, du connard qui profite de la misère pour louer illégalement des biens à des étrangers en galère, aux sous -merde de nouveau proprios qui profitent aussi de la situation pour payer moins cher leur logement, puis mentent en toute connaissance de cause, et enfin donc le ramassis de salopards encagoulés à 10 contre une famille avec enfants qui viennent jouer les justiciers zemmouriens.
  3. Ma théorie sur les noms se confirme
  4. C'est moi où la dépêche a des infos avant les autres pour une fois ?
  5. Encore un drôle de recrutement si ça se fait, mais franchement après ces deux dernières années, je ne doute plus de grand chose Il a l'air d'avoir un excellent jeu au pied, indicateur il me semble de ce que l'on recherche, à savoir repartir de derrière au besoin. Concernant les critiques sur sa saison actuelle, comme dit plus haut, c'est cruel le rôle de gardien: t'as une bonne défense devant toi qui te facilite le boulot et te met en confiance, tu peux passer pour un demi-dieu alors que tu es un gardien moyen. Inversement, avec une défense/ un collectif en carton, tu peux complétement passer à côté d'une saison. Rien que l'exemple Costil aux Girondins depuis deux saisons fait réfléchir, international français sous Deschamps, et derrière ça il fait deux saisons en enfer chez les Bordelais. Enfin , t'as les mecs qui paraissent fabuleux parce qu'ils sont ultra sollicités, donc multiplie les arrêts, et au final ça cache chez eux de vrais faiblesses. CF Reynet qui n'a jamais passé un cap alors qu'on parlait d'un international en puissance...
  6. Chouette, je suis avec les gentils
  7. https://www.sofoot.com/gerard-lopez-inculpe-pour-faux-et-usage-dehttps://www.sofoot.com/gerard-lopez-inculpe-pour-faux-et-usage-de-faux-au-luxembourg-515453.html-faux-au-luxembourg-515453.html Quelle incroyable surprise
  8. Bordel mais dans le filtre data, il n'y a pas l'option "nom prononcable en Français"? On a mis une bonne saison à s'habituer à Déyagueureu et Chpiringze , qu'est ce que ça va être pour zedejeulard...
  9. Il va faire le tour des offres et clubs pour se décider, à la rigueur rien d'étonnant à cela ! Exact, sachant qu'en général un joueur part pour plus. Je table sur un chèque de 8 millions pour un départ (le Tef demande 10 puis accepte à 8), qui dit mieux ?
  10. J'avais déjà adoré ce que l'on avait vu de lui et de son impact sur son groupe dans le premier épisode, le second ne fait que confirmer la première impression... Son discours d'après match après le 2-2 d'Ajaccio est un modèle de justesse et de maîtrise : suffisamment de colère et de fermeté pour faire passer le message d'exigence afin d'atteindre l'objectif, suffisamment de clarté pour être compris et entendu... d'emblée tu sens qu'il a trouvé le bon ton avec ce groupe pour mobiliser tout le monde. Très malin avant Auxerre, d'utiliser les propos d'Autret pour chauffer son groupe, j'adore également ce petit mot après la défaite contre Caen , "j'ai fait une erreur", qu'il traduit en anglais pour que tout le monde entende : il s'inclut intelligemment dans la défaite et se montre juste et humble envers son groupe... Toutes ces images amènent je trouve une lumière nouvelle sur le rôle prépondérant qu'il a eu cette année pour la montée.
  11. On sait donc déjà plus ou moins les joueurs que l'on ne pensent pas au niveau et/ou à mettre en concurrence : Dupé, Nicolaisen,Genreau, Spierings, Sylla, Nathan et Healey et Onaiwu à priori.
  12. Vous avez loupé le fait que c'est l'académie de Toulouse qui a commencé ces "job dating" il y a quelques semaines ? Et au delà du procédé, en plus ils mentent ouvertement aux candidats sur les conditions d'embauche et de rémunération...
  13. Avec un peu de retard sur le sujet, pour ceux que ça intéresse, une interview du Monde d'un spécialiste sur la gestion de la finale de la LDC , et plus largement sur la gestion des foules en France par la police: Sebastian Roché est sociologue, spécialiste des questions de police et de sécurité, directeur de recherche au CNRS et professeur à Sciences Po Grenoble. Il est aussi l’auteur du livre De la police en démocratie (Grasset, 2016). Il explique en quoi le recours aux gaz lacrymogènes par les policiers, sans motif impérieux ni discernement, lors d’incidents aux abords du Stade de France, samedi soir, est emblématique de l’approche policière française vis-à-vis d’une foule. Que vous inspirent les incidents survenus au Stade de France, samedi, en matière de gestion des foules ? Ce qui est frappant dans cette situation, c’est que la foule était, dans son immense majorité, pacifique. Les supporteurs massés à l’entrée du stade ont fait preuve d’une grande abnégation, y compris quand le système de filtrage des policiers les a contraints à passer par un goulot d’étranglement – seuls quelques-uns ont tenté de sauter par-dessus la grille. Autre fait notable : des journalistes britanniques ont essayé, en vain, d’alerter les forces de l’ordre sur un certain nombre de dysfonctionnements. Les policiers français ne sont pas préparés à dialoguer avec le public. Ils ne sont pas entraînés à faire remonter une information à leur hiérarchie pour adapter un dispositif à la réalité du terrain. Ils ne communiquent pas non plus auprès du public pour expliquer ce qu’ils font ou ce qu’il se passe. Ce déficit de communication est chronique. Lire aussi : Incidents au Stade de France : la France est-elle en mesure d’assurer la sécurité des JO 2024 ? Se pose également la question du recours, disons « très généreux », aux gaz lacrymogènes sans motif légitime ni discernement. L’utilisation de ces équipements par les forces de l’ordre est réglementée par l’article L-211-9 du code de la sécurité intérieure et par l’article 431-3 du code pénal. De fait, ces règles laissent une latitude assez large aux policiers. S’agit-il d’un incident isolé ou d’une habitude ? On peut parler d’une habitude. Les incidents survenus samedi soir sont emblématiques de l’approche policière française vis-à-vis d’une foule. Il y avait là, c’est important de le répéter, une majorité de personnes qui attendaient avec patience et résignation, et une poignée de fauteurs de troubles. Pourtant, tous ont été traités de la même manière. Le problème, c’est que la police perçoit toute foule rassemblée comme un groupe homogène. D’où son incapacité à neutraliser uniquement les auteurs d’infractions. La France a la police la plus armée d’Europe, avec une panoplie d’armements extrêmement large – LBD [lanceur de balles de défense], grenades de désencerclement, bombes lacrymogènes, bâtons télescopiques, etc.. Les agents sont formés à les utiliser dans des contextes dits de « maintien de l’ordre ». Cette appellation est révélatrice : au Royaume-Uni, on parle de « gestion des foules », avec l’idée selon laquelle il il faut préserver la paix. En France, face à une altercation, les autorités ne cherchent pas la désescalade, elles envoient sur le terrain les policiers qui font un usage indiscriminé des moyens mis à leur disposition. A la décharge des agents, c’est ce qu’on leur enseigne en école de police : opposer une force supérieure à ce qu’ils perçoivent en face. Le problème, c’est donc la doctrine brutale enseignée aux forces de l’ordre… Le problème est systémique. Il est ancré dans un ensemble de règles, de pratiques et d’habitudes de travail. J’ajouterais que le niveau d’agressivité de la police est quelque chose qui est modulé par son commandement. Lire aussi la tribune : « Le chaos au Stade de France est l’aboutissement des politiques françaises de gestion des supporteurs » Quand le préfet de police de Paris, Didier Lallement, a été nommé, en 2019, il n’a pas caché son approche dure et autoritaire de la fonction. Il assume être là pour maintenir l’ordre quoi qu’il en coûte et peu importe le nombre de blessés dans les manifestations ou le mécontentement qu’il suscite. Un préfet est nommé à un poste territorial par décret signé du président de la République, en conseil des ministres, et sur la proposition du premier ministre. Si Didier Lallement est toujours en place, c’est que son style de commandement est validé politiquement par le pouvoir exécutif. De quand date cette doctrine du tout-répressif ? Le recours accru des policiers aux armes comme les LBD ou les grenades date d’une quinzaine d’années. Cela a commencé sous le mandat de Nicolas Sarkozy (2007-2012), mais on n’a pu en constater les effets que bien plus tard – notamment pendant les manifestations des « gilets jaunes » en 2018. Au fil du temps, le développement de certaines pratiques sur le terrain a contribué à créer une logique qui a instauré ce modèle du tout-répressif. Ce modèle est très mauvais – tant pour l’institution policière que pour l’institution politique – dans la mesure où il repose sur une approche confrontationnelle qui ne prend pas en compte des principes démocratiques simples (comme la redevabilité vis-à-vis des citoyens ou le respect des droits). Cette doctrine est en décalage avec les aspirations démocratiques des sociétés occidentales. La vraie question posée est : de quelle police a-t-on besoin ? Et surtout, à quel prix ? On a bien vu, ce week-end, l’effet corrosif que peut avoir une mauvaise police sur la réputation d’un pays. Comment sortir de ce modèle et dépasser cette doctrine ? C’est difficile, car cela suppose une vaste réflexion politique allant bien au-delà de l’utilisation des gaz lacrymogènes ou des LBD. Comment choisit-on d’appréhender une foule ? Quels sont les droits des citoyens ? Quels sont ceux des policiers ? Si la haute hiérarchie policière n’ont pas de réponses claires à apporter à ces questions, les choses ne changeront pas. Ce ne sont pas les policiers eux-mêmes qui vont s’imposer des limites ou chercher à réinventer le code de déontologie de leur profession. Lire aussi : Incidents au Stade de France : l’exécutif laisse un Gérald Darmanin insensible aux critiques en première ligne A ce titre, le Beauvau de la sécurité, lancé au début de l’année 2021, a donné lieu à un embryon de réflexion. Le grand débat annoncé a tourné court, mais pour la première fois, on a tenté de penser la police avec une grille de lecture politique, et pas uniquement sur un plan technique. De quels pays pourrait-on s’inspirer, ailleurs en Europe, afin de mieux gérer les foules ? Certains pays européens – comme le Royaume-Uni, la Belgique ou l’Allemagne – ont réussi à mettre sous contrôle les dérives des supporteurs grâce, notamment, à la mise en place de contacts réguliers entre les clubs et les autorités. En France, la Division nationale de lutte contre le hooliganisme s’est inspirée de cette méthode dans certaines villes. A Strasbourg et à Lille, par exemple, des membres de la direction départementale de la sécurité publique sont en lien avec les clubs et les associations de supporteurs pour mieux anticiper la gestion des foules lors des matchs. Cela fonctionne et montre l’importance d’une meilleure communication en amont. En situation aussi, force est de constater qu’une bonne communication permet la mise en place de mécanismes de désescalade. Au Royaume-Uni et en Allemagne, des équipes de police sont chargées de la communication sur le terrain et de la remontée d’informations afin d’ajuster le dispositif en cas de besoin.A
  14. Chouette nouvelle, un garçon persévérant et combatif, le travail paye! Je ne pense pas qu'il ira plus haut que la Ligue 2, même si je lui souhaite de me faire mentir. Mais il accède déjà au professionnalisme et c'est top , encore une réussite de notre centre !
  15. Si il y a bien quelque chose qui caractérise la présidence Macron, et donc le fonctionnement de son gouvernement, c'est cette tendance quasi maladive à tordre les faits et la réalité pour ne jamais reconnaître la moindre erreur. Après l'affaire Benala, la communication absolument lunaire lors des incidents des gilets jaunes, puis l'ahurissant naufrage collectif en terme de communication dans la gestion du covid, ils n'ont toujours rien appris, à une époque où le fact-checking et sa diffusion n'a jamais été si simple. On peut penser que la communication est un détail par rapport aux actes, mais je reste persuadé qu'avec un poil d'humilité, un paquet de situation difficile ne se seraient pas envenimées. La fameuse saillie présidentielle "Je ne dirais pas que c'est un échec ; ça n'a pas marché" restera pour moi la plus merveilleuse incarnation de ce constant déni de réalité qui est leur marque de fabrique. Dés qu'il y a une crise quelconque, c'est la farandole du mensonge et du déni.
  16. Alors qu'il se voyait certainement faire une carrière anonyme dans les bas-fond de la deuxième division néerlandaise, il se retrouve surexposé médiatiquement aprés une saison de rêve, normal qu'il mette le paquet tant que la lumière est sur lui, pour mieux négocier avec nous ou convaincre un grand club européen.
  17. Fin officielle de l'escroquerie.
  18. Qu'est ce qu'il leur met
  19. https://www.lemonde.fr/societe/article/2022/05/24/nicolas-hulot-entendu-a-paris-sur-des-accusations-de-viol-et-d-agressions-sexuelles_6127509_3224.html#xtor=AL-32280270-[default]-[android] Et voilà , encore de l'acharnement, le monde s'y met aussi , COMME PAR HASARD. PS: ( ) Juste au cas où. J'arrive pas à savoir si le gouvernement Macron est particulièrement du pif pour nommer des agresseurs sexuels/violeurs ministre , ou si c'est juste qu'on chope plus facilement les mecs de maintenant . Ou les deux.
  20. Ok , bon chacun a donné son point de vue on va en rester là pour ne pas polluer le forum. Merci d'avoir pris le temps d'échanger et sans rancune !
  21. Sur ce sujet on est d'accord, pas de discussion à avoir. D'ailleurs ça tombe bien, je n'en voulais pas au départ, je ne parlais même pas de viol, Abad aurait pu être accusé d'autre chose, mon propos de départ aurait été le même, à savoir le timing de publication de Mediapart.
  22. La culture du viol et ses mécanismes, je sais parfaitement ce que c'est et je l'ai étudiée, pas besoin de me l'expliquer, pour moi le problème n'est pas là ici : je suis fondamentalement en désaccord avec le fait de mettre mon propos de départ sur la même ligne que la série de phrases que tu viens toi même de proposer . Dans tes exemples, on parle explicitement des femmes et de leur supposée responsabilité, ce que je ne fais à aucun moment. Je réagis à un fait (Médiapart sort un article sur les accusations de viol dont Damien Abad fait l'objet le lendemain ou presque de sa nomination ) , en choisissant de parler d'un aspect de ce fait : le choix éditorial de Médiapart et ce qu'il peut signifier. Il n'y a strictement rien dans mon intervention , de manière indirecte ou pas, d'éléments qui discréditent la parole des victimes supposées dans cette histoire. A la rigueur, et comme je l'ai reconnu, j'aurai dû bien préciser la notion de "timing" , qui vise la publication par le journal et non la prise de parole des victimes. De là, je ne m'excuse pas, je reconnais que j'ai manqué de précision, et justement je mets les choses au clair. A partir de là et pour moi, et on peut ne pas être d'accord, il n'y a pas de manière directe ou indirecte, une quelconque invisibilisation de la parole de qui que ce soit : je choisis de parler d'un aspect du sujet, ça ne veut pas pour autant dire que je porte un autre propos d'une quelconque manière, là pour le coup c'est une lecture abusive pour moi de ta part et des autres qui lisent comme tel. Et plus généralement une manière à mon sens totalement biaisée de penser combattre la culture du viol, mais on ne sera probablement pas d'accord. Mais à la rigueur, qu'on me dise "attention, on peut le lire comme cela, ta manière de tourner ta phrase peut amener à le penser comme ça", et que derrière je le précise, on reste dans les limites d'un échange où l'on peut ne pas être d'accord, mais où on discute. D'autant que mon propos de départ ne porte aucune violence symbolique , directe ou indirecte. Par contre quand é_é , sans même essayer d'obtenir une précision, m'accuse de promouvoir la "culture du viol" pour mettre le feu aux poudres, là il y a une violence assumée, une volonté de critiquer ou ridiculiser l'interlocuteur (avec en plus le mépris de ne pas le citer directement). Et derrière quand elle prend le retour de flamme, elle se cache derrière la supposée moralité de son intervention. C'est quand même dingue, je devrai faire attention voire m'excuser d'une violence inexistante mais que l'on me prête car sous-entendue dans mes propos, par contre la véritable violence de départ , écrite et assumée, dans les propos de é_é , là on la minimise, on la justifie, on m'explique que je n'ai pas à le prendre mal. C'est typiquement ces mécanismes et ces fonctionnements qui polarisent totalement tout débat et rendent une cause ou un combat inaudible.
  23. J'ai parfaitement compris tout cela. Et j'entends que ça puisse être ambiguë pour ceux qui veulent immédiatement le lire comme tel, mais honnêtement il faut à mon sens le vouloir pour y voir un appel immédiat à la culture du viol. C'est précisément cette agression immédiate qui m'a fait réagir, c'est ça que j'appelle se payer quelqu'un , et qui rend immédiatement l'échange conflictuel. Ta réaction a été plus mesurée par exemple et invite au dialogue, même si dans le fond on ne sera peut être pas d'accord.
  24. Mais qu'est ce qui te dis que je ne l'ai pas pensé par ailleurs ? Et franchement, ça me paraît tellement évident que c'est dégueulasse et motif de dégager du gouvernement que je ne voyais même pas la nécessité de le préciser. Les "grands chevaux" tu les as sortis tout seul de l'écurie alors que ça n'était absolument pas nécessaire pour te "payer" en ligne quelqu'un que tu ne connais en sur-interpretant ses intentions. La personne qui fait déraper le sujet au départ c'est toi, ne viens pas te plaindre maintenant.
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