Gollum

OK, je compte les points .

Tout le monde a son destin entre les crampons... Perso, je suis (heureusement) requinqué par la victoire contre Troyes et puis, par ce que je vois du mercato. Le club se bat, montre qu'il est en vie, on jouera notre chance et ça suffit à mon bonheur de l'instant. Y'aura des matches couperets à remporter et puis, il faudra probablement espérer, sinon un "exploit", du moins une "perf". Pourquoi pas ? Et pour nous aider, je sais pas bien pourquoi, je mise assez spécifiquement sur Caen... ça t'ennuie si j'y ajoute les miennes plus quelques poils de couille, manière d'être sûr ? avant le mercato d'hiver, on tremblait, si . Et pas parce qu'il faisait froid .

Oh putain, si j'avais su que t'étais là !!

L'expérience a bon dos. Et Blin commence à en avoir, sans que les progrès ne soient évidents...

J'ai eu récemment l'occasion d'en discuter dans un bar Bastiais, dont les clients s'étonnaient qu'un type avec une drôle de tronche demande gentiment s'il était possible de voir le match de Toulouse sur Bein (ils ont dit "oui", ce qui prouve que les Corses sont gentils ou alors footballistiquement encore plus désespérés que nous ). On discutait de son statut de remplaçant et mes interlocuteurs m'ont avoué ne pas plus s'en étonner que ça. Je me rappelle l'un d'eux, disant avec son accent corse à couper au couteau : "Techniquement, il est propre. Tranquille avec le ballon. Mais physiquement, il est trop léger. Il se bat mais il se fait souvent secouer". Disons, un peu plus footballeur que ce que j'en lis ici et un peu moins "sentinelle". Cahuzac a bien plus de ballon que Blin. Beaucoup moins de déchet, beaucoup plus de justesse. J'ajoute que Cahuzac pointe son nez aux avants postes, deux ou trois fois par match quand Blin s'est fait violence pour le faire durant une poignée de matches... Mais Blin est plus costaud. Tiens, regarde, Blin a déjà joué en DC chez nous et il pourrait le refaire. Je ne vois pas Cahuzac suppléer en DC...

Toujours non. Tu as des exemples ?

Non L'agresser sporadiquement en contre est encore pire .

Moi, je ne serais pas contre le fait de voir les deux, puisqu'ils n'ont pas les mêmes qualités... La preuve d'ailleurs, c'est que Sanogo doit encore faire des tours de terrain. Alors que Delort gagnerait plutôt à s'allonger sur un divan .

Yago, plus précisément . Il a un problème de poste, depuis le début de saison. J'aimerais le voir répondre à la question suivante, en interview : "vous considérez-vous comme un avant-centre ?" . S'il se vit comme avant-centre, je comprends son mal être mais en revanche, je ne comprends pas son jeu. S'il se vit comme "buteur" sans être nécessairement avant-centre, alors, l'heure est moins grave (les meilleurs ont des passages à vide) et c'est ce dont il doit d'ailleurs se persuader. Qu'il analyse ses dernières prestations, en tire les bonnes conclusions et ça finira par revenir...

Vu ce qu'il foire (encore), ça peut se comprendre... Je n'y crois pas... Qui voudrait mettre quelques millions sur lui ? Parce qu'à moins, il est inconcevable que Sadran le laisse filer...

Y'a quand même un truc qu'on peut remarquer. Je suis loin d'être un inconditionnel d'Imbula mais comme par hasard, il est partie prenante des victoires contre nos rivaux au stadium (amiens caen, troyes). Et sur ces matches là, je ne crois pas que ce soit un hasard. Alors, bien sûr, il est aussi dans le coup de nos défaites à l'extérieur. Il faudrait juste l'utiliser avec discernement . Quand tu mènes au score, c'est une qualité pour le moins appréciable... C'est d'ailleurs pourquoi, cette saison, la qualité d'Imbula est rarement mise en valeur .

Tout ça est déprimant mais hélas, vraisemblablement exact. Ceci dit, c'est pas totalement incompatible avec ce que dit Doberman. Chez Sadran, y'a probablement une sorte d'idéal "coopératif" qui sommeille. On fait dans le développement local, dans les "valeurs", dans la promotion de mecs (incapables) du cru... Et il est possible que concernant son club de foot, l'idéal en question l'emporte sur celui de "performance". Et peut-être qu'il en est au point où il préfère mourir avec ses "idées" (et ses potes) plutôt que de survivre en appliquant les recettes classiques de la gestion de crise. Ou alors il se rend compte que la crise est tellement profonde que c'est même pas la peine de colmater (ce qui est une erreur car crise profonde il y a, certes mais la 17ème place -voire la 18ème- demeure jouable...). Peut-être aussi a t-il autre chose à foutre, ce qui n'est d'ailleurs pas incompatible... En tout état de cause, pour ceux (dont je suis) qui préfèrent un club "professionnel" à une sorte de Rotary pour happy few en mal de légitimité, ça ressemble à la fin d'une ère.

Sûrement puisque Debève n'a besoin de personne, en Harley Davidson .

Et comme il court pas vite...

T'inquiète, on est quelques-uns à l'avoir dit. Mais Sanogo n'est envisageable que pour occuper la surface, donc dans une équipe qui domine. Et qui domine outrageusement. Avec Delort qui tourne autour, oui. La question c'est : qui va t-on dominer ? L'autre blème, c'est que la qualité intrinsèque du garçon fait rêver . Passe encore qu'il n'ait ni vitesse, ni même vivacité. Les grands gabarits sont parfois affligés de ce problème. Mais là je suis où je suis un peu scié, c'est qu'il n'est pas bon de la tête non plus... Il fait des efforts mais c'est pas un tueur...

Ce qui est amusant, avec ces objections, c'est que tu les isoles les unes des autres. Et là, OK, ça peut marcher. Mais le blème, avec Debève c'est qu'il n'a... rien. Casa n'avait pas de charisme. Mais sa compétence technique, tu la remets en cause ? Les diplômes, il les avait pas ? Courbis, lui, les diplômes, il les a eus tardivement. Mais tu crois qu'il a suivi une formation pour s'imposer en leader ? Et donc, enfin, Dupraz n'aurait pas fait la moindre place au petit Mikaël, en dépit des idées hypothétiquement géniales de ce dernier ? Mais alors, c'est encore pire que prévu. Non parce que je lis de sa plume (ou de sa bouche) que Debève n'était "pas prédestiné" et qu'il est un "serviteur". Mais "coach", ça nécessite pas quelques qualités de direction, de leadership, une capacité certaine à faire prévaloir ses idées ? En plus, le portrait que je fais de Dupraz (puisque tu t'y réfères), c'est celui d'un type peu sûr de lui. Si Debève avait pu l'aider, je ne pense pas que le coach s'en serait privé. Au contraire, on peut supputer que l'anxiété de Dupraz a été aggravée par le fait d'avoir été peu ou mal secondé (simple spéculation, OK, mais elle se tient...). Donc en résumant, Debève c'est compétence technique non avérée, charisme nul, expérience désastreuse, consanguinité, caractère transparent. On va donc espérer qu'il ait beaucoup de chance .

Je me permets de redire que le "timing" est un problème accessoire. Ce club n'a plus de management. Pas de vision stratégique, pas d'organisation compétente. Or, manager, c'est "voir" et organiser. Que Dupraz ait manifestement eu des relations compliquées avec Arribagé, c'est peut-être ça le vrai souci... À partir de là, le timing sera toujours mauvais. Quel entraîneur confirmé prendra t-on, qui acceptera de se voir contrarié (dans ses demandes de recrues, par exemple) par les tanches en place ? C'est là où l'attitude de Sadran m'interroge... Impossible qu'il ne diagnostique pas le problème. Mais il n'agit pas. Il n'a pas agi en 2016 et il est pieds et poings liés, aujourd'hui, par un organigramme qu'il ne veut pas toucher. Raison pour laquelle, peut-être, il accepte aujourd'hui d'évoquer la L2 alors que je le trouvais beaucoup plus réservé sur ce point, il y a deux ans... En fait, que son club soit sabordé par ses potes, ça semble lui convenir. J'en viens même à penser que si Dupraz a été viré, c'est moins pour ses résultats que pour ses relations manifestement tendues avec les "historiques". Un peu comme Laporte a viré Novès, si la comparaison te parle...

Je l'avais dit dans un autre post : il peut être décisif lors de nos matches couperets... Je ne suis pas sûr que l'on aurait battu Caen ou Amiens sans Imbula (il n'y a pas été "décisif" mais constamment dangereux...) Pour moi, en gros, il est inutile à l'extérieur et contre les gros. Mais indispensable à domicile, contre les petits. Ce qui en fait un joueur "compliqué"... Et pourtant, après le match à Marseille, je voulais le renvoyer chez lui. Depuis, sans justifier son statut supposé, il est l'un des rares à avoir montré des progrès (il partait de loin, faut dire). Et ce que tu dis est juste. D'ailleurs, récemment, c'est but à Montpellier et quasi passe décisive (pour Gradel) contre Nantes.

Mais pourquoi "personnaliser" ? Je fais partie de ceux qui pensent qu'il n'est pas l'homme de la situation mais c'est la fonction qui m'intéresse, pas l'homme (un peu comme Blin, par exemple. Blin est certainement un joueur exemplaire mais ce n'est pas un titulaire en L1). Je lis ça et là qu'il faut lui laisser le temps. Mais le temps de quoi ? De perdre quelques matches de plus alors qu'il n'en reste que 16 ? J'espère que Sadran a autre chose en tête qu'une Arribagé bis. Parce que le trip cyclique "je vire mon entraîneur, je le remplace par le mec que j'ai sous la main, je vire ce dernier, je le remplace par un entraîneur que je vire pour le remplacer par le mec que j'ai sous la main", c'est de la démence ou de la résignation... Pour moi, Debève a quatre défauts rédhibitoires : d'abord, un charisme d'huître. Ensuite, pas de diplôme, ce qui jette quand même un léger doute sur ses compétences techniques (une sorte de Sablé toulousain, quoi). Tertio, il incarne la consanguinité de l'encadrement. Enfin, il était l'adjoint d'Arribagé avant d'être celui de Dupraz. Il est donc en première ligne dans l'échec sportif patent de ce club, depuis trois saisons. D'ailleurs, s'il avait eu des idées, peut-être que Dupraz en aurait écouté quelques unes ? Faut avoir une foi de moine cistercien pour penser que ce garçon est à la hauteur des travaux d'Hercule qui nous attendent...

alors que pour moi, c'est le seul match correctement abordé ces derniers temps... du coup, je te provoque en duel de nounouilles

Non mais le fait qu'elle te blesse "personnellement" n'implique pas qu'elle ne blesse que toi... Pour le reste, je suis pas forcément en désaccord sauf sur le point "basique" que si le timing est "mauvais" (en fait, avant aurait été mieux, c'est certain), attendre encore plus longtemps eut été suicidaire. Non parce que je rappelle que y'a deux ans, y'avait pas de débat : on était morts. Il suffit de retourner sur ce forum fin janvier 2016 et un peu plus tard pour voir dans quel état d'esprit on était. Ce que Dupraz a accompli -merci Reims, au passage, quand même...- n'est pas un "sauvetage" mais bien un "miracle", le terme étant idoine. Un truc historique, qui n'était jamais arrivé et qui n'arrivera plus. Aujourd'hui, l'idée, c'est bien un "sauvetage". Et le club peut se sauver, tout le monde en est d'accord. Mais à condition de faire quelque chose qui ressemble à une intervention proportionnée à la situation. Intervention qu'il vaut mieux pratiquer tant que l'espoir demeure...

Si, la dernière phrase est contestable. Que tu dises "le club se foire complètement depuis 4 ans", je suis. Que tu dises "sur le coup", non. Je trouve même plutôt bien que le club réagisse et envoie un message : "non, on n'est pas si différent des autres clubs pros, nous aussi, quand on est dans la merde, on en prend acte et on agit" . Sur ton premier paragraphe, pourquoi pas ? Peut-être as tu raison, on est dans la spéculation psychologique, de toute façon. Et je reconnais que le syndrome de l'incompris, c'est très duprazien. Mais ça peut justement masquer un manque de confiance qui, dans ce métier, n'est pas tolérable. Bien qu'en l'espèce, ça peut aussi dénoter une certaine lucidité. Il y a quand même une petite contradiction dans ton propos ou alors, quelque chose que je n'ai pas compris : tu es d'accord quant au fait que "l'institution TFC" débloque sévère, depuis quelque temps ? Si oui, peut-on reprocher à un type qui a sauvé le club de la relégation de vouloir manger sur la tête des tocards manifestes qui le dirigent ? Il fut un temps, Arribagé t'inspirait moins de compréhension... Si Dupraz a fini par "incarner l'institution", ce n'est pas "qu'on l'a laissé faire", c'est que la médiocrité transpirant de ce club a fini par faire sombrer ce dernier dans l'anonymat le plus complet. Et dès lors, oui, le personnage Dupraz n'a eu qu'a se baisser pour ramasser le cadavre à la petite cuillère et lui insuffler un peu de vie... On doit le lui reprocher, ça ? Mais là où je te rejoins le moins (sur le reste, on peut discuter...), c'est que tu analyses la décision du club... à l'aune de ses conséquences sur l'image ou la réputation de Dupraz . Mais c'est ça le problème ? Le problème, c'est pas qu'on soit menacé de relégation pour la quatrième saison consécutive et de manière autrement plus sévère que l'hiver dernier ? Perso, que la décision conforte Dupraz dans son personnage de "génial incompris", je m'en tape complet. Ce qui m'importe, c'est que sur les 16 matches qui restent, on puisse se sauver. Tu as été tellement blessé par la saillie de Dupraz sur les supporters -je crois qu'on peut parler de dépit amoureux, te concernant- que ça finit par obscurcir ton jugement sur "l'institution TFC" même. Or, c'est précisément parce que le TFC est plus important que Dupraz que la décision est bonne. On aurait pu la prendre plus tôt, oui. Mais mieux vaut un peu plus tard que jamais. Et d'ailleurs, je vais te rassurer : Dupraz laisse un club en 19ème position. Ses stats sont faméliques, ses défaites, outrageuses. On lui a laissé les rênes du club, pour des résultats objectivement désastreux. À part peut-être dans sa famille, on ne trouvera personne pour voir en lui un "génial incompris". Une figure historique, oui. Un grand coach, non. Personne. Sois rassuré sur ce point .

L'inverse pour moi même si ma voix est discordante (c'est inhabituel ). Comme beaucoup -plus de monde que ce que je pensais, d'ailleurs...- ce départ m'attriste. C'est aux réactions lues ici qu'on peut mesurer l'empreinte du bonhomme. On a quand même vibré comme rarement, en 2016. Et ce début de saison 2016-17 !!! Dupraz a irradié ce club, lui a insufflé un électrochoc de gnaque, de foi, de positive attitude. C'était bien. Je revoyais l'épisode "Bodiger contre Angers", hier. C'est l'hallu quand même. Ce type a été pénétré d'une intuition quasi mystique et ensuite, progressivement, il a foiré ses compos, foiré son coaching, a tout fait à l'envers; il n'a jamais "senti" un match ni été en mesure de le faire basculer. Comme s'il avait été porté par une flamme qui s'est lentement mais sûrement éteinte... Dupraz, c'était du 100% fraîcheur. Du bio. Goûteux mais hélas, soumis à une date de péremption trop rapide. Et quand tu t'amuses à dépasser de quelques jours ce qu'il y a sur l'emballage, t'as rapidement mal au bide... J'entends Dugarry dire qu'il a un "boulard improbable". Ce n'est pas du tout mon avis. Si j'essaie d'expliquer son parcours -parce qu'autant les faillites de Casa ou Arribagé s'expliquent aisément, autant celle de Dupraz appelle quelques questions- c'est dans la psychologie assez tourmentée du bonhomme que j'espère la trouver. Je pense que par rapport à d'autres coaches, Dupraz souffre précisément d'un déficit de confiance en soi (tout le contraire de ce qu'"on" pense généralement). Ce qui expliquerait d'ailleurs qu'il change de compo d'équipe comme de pull . Il est "porté" par l'inspiration, comme un artiste mais quand celle-ci se tarit, il se sent perdu. Or, un coach professionnel, ça doit être beaucoup plus sûr et beaucoup plus froid. Mais quand Dupraz dit "je suis un type simple et humble", je le crois sur parole . La contrepartie de ce manque de confiance en soi est assez simple : j'ai rarement vu un type aussi susceptible (à part sur ce forum). Aussi vulnérable à ce que les médias, les analystes et consorts disent de lui. Et ça, c'est une grande faiblesse. C'est même ça, entre tout, que j'ai jamais compris dans ses confs. OK, quand tu perds, tu deviens à fleur de peau et tu compenses comme tu peux. Mais il a perdu une énergie folle à tenter de se justifier de toutes sortes d'attaques qui sont simplement "normales" vu que le Tef étant un club de L1, très normalement, on commente ses performances et donc, ses insuffisances. Ce n'est pas que Dupraz a un ego "surdimensionné". C'est qu'il a un égo blessé. Pour tout ça, je pense qu'il n'était plus l'homme de la situation. Trop fragile... Et même trop usé, au point d'y laisser sa santé. Du coup, le timing me semble correct. Pas idéal mais correct. Il reste 16 matches et mathématiquement, c'est jouable. Sadran a pris la mesure de ça et n'a pas voulu attendre mars et 10 points de retard, comme en 2016, pour agir. C'est logique et même plutôt raisonnable. Parce qu'autant l'équipe de 2017 me paraissait donner quelques gages de solidité (les pénos ratés ont quand même fait mal), autant celle de janvier 2018 est en train de partir en sucette complet. La dernière chose dont a besoin un relégable, c'est de fébrilité, de fragilité, de vulnérabilité. Qu'un 19ème soit mauvais, OK. Qu'il soit plombé, non. Et les "progrès" dans le jeu se sont payés de quelque chose de bien pire que les faiblesses vues l'année dernière. Le nouveau coach devra rectifier le tir, revenir aux principes simples qui peuvent sauver cette équipe -rigueur et combat- et lui redonner la fraîcheur que Dupraz a depuis trop longtemps perdue. 100% en désaccord . Je suis rassuré . Les points 2, 3 voire 5 se défendent (encore que le "calme", pour un 19ème, je suis pas sûr que ce soit bon signe). Les deux autres points, en revanche pêchent par excès d'optimisme et de pessimisme, respectivement...

Bon, alors, Martina Hingis .

Je partage ce point de vue. Une plaie majeure de notre club, c'est le syndrome "stade toulousain" à savoir un excès de consanguinité (je ne sais pas si c'est une spécialité toulousaine mais ça me paraît tellement symptomatique de la culture locale...). On aura du mal à me convaincre que les Arribagé, Debève ou Soucasse ne sont pas parties prenantes de la déliquescence du TFC... Mais je pense que la solution Debève est purement transitoire. Sauf bien sûr s'il dirigeait deux matches pour deux victoires auquel cas, la direction du club verrait les choses d'un autre oeil. Mais les pistes sont activées... Roussey ?