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Vistule

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Messages posté(e)s par Vistule

  1. il y a 9 minutes, Luca31_TLSE a dit :

    Un lien s'il vous plaît

    https://www.monlive.info/8631-regarder-toulouse-lask-en-streaming-ligue-europa.html

    Pour accéder au site, il faut éventuellement changer son DNS (type 1.1.1.1 ou 8.8.8.8).

    Si vous savez pas faire, il suffit de taper "comment changer son DNS sous [INSÉRER VOTRE SYSTÈME D'EXPLOITATION]" sur n'importe quel moteur de recherche.

    Et si vous savez toujours pas faire, merci de m'envoyer une photocopie couleur recto/verso de votre carte bleue, je m'en occupe.

    • Haha 1
    • Bave 1
  2. Il y a 17 heures, Viz a dit :

    Je t’aime pas du tout toi ! D’ailleurs je sais meme pas qui tu es ! Si je devais te taguer tu serai pas tagué !

    Je suis pas assez souple :(

    Vil histrion, nous savons tous que tu es hyperlaxe !

  3. Il y a 1 heure, MCMXXXVII a dit :

    C'est clair. L'annoncer aussi tard c'est vraiment de l'amateurisme...

    Un responsable billeterie a recemment été embauché. 

    Espérons que cela permettre d'évoluer sur la billeterie, qui a souvent l'air d'être pensée du jour au lendemain. 

  4. il y a 37 minutes, Ekelund a dit :

    Sans surprise (même si perso j'aurai préféré Couilloud à la place de Lucu)

    Je préfère le style dynamiteur de Couilloud, aux côté de Jalibert ça ressemble plus à la paire Ntamack - Dupond, mais dans cette équipe de France qui joue énormément au pied, Lucu est plus conforme au plan de jeu voulu par Galtier. Tout pour le jeu au pied.

    D'ailleurs, L'Équipe a sorti un bon article sur le sujet :
    https://www.lequipe.fr/Rugby/Article/En-quoi-le-jeu-au-pied-long-est-l-arme-fatale-des-bleus-pendant-cette-coupe-du-monde/1423304

    Le jeu au pied long, l'arme fatale des Bleus à la Coupe du monde

    F. Be., L.C. et J.-F. P., à Lyon
    7–9 minutes

    Faut-il désormais investir dans une paire de jumelles télémétriques à visée infrarouge pour évaluer un match du quinze de France ? N'exagérons pas. Même à l'ère du tout-mesurable, il serait beaucoup trop simpliste de n'examiner la chose que par la lorgnette des mètres parcourus au pied par chacune des équipes. Mais il serait tout aussi sot de traiter par le mépris ou l'indifférence une donnée devenue de plus en plus significative pour le staff des Bleus.

    En France, le pays où le fait de se débarrasser du ballon par un coup de tatane a longtemps été regardé de haut ou de travers, le virage culturel n'était pas évident. Convaincu qu'au niveau international, il fallait absolument préserver ses réserves d'énergie, Fabien Galthié a fait du jeu au pied d'occupation un impératif tactique. Parmi toutes les batailles que contient un match de rugby, celle du gagne-terrain par le jeu au pied est désormais une spécialité de ce quinze de France, numéro 1 mondial incontesté dans ce domaine.

    Un facteur de performance

    Nous n'en sommes pas encore à mesurer en mètres la qualité d'un match de l'équipe de France. Et pourtant, en interne, quand la feuille de stats tombe, on observe cette notion avec le plus grand sérieux, ce qui est assez logique lorsqu'on prône une dépossession raisonnée. La dynamique tactique d'un match peut se lire dans le nombre de fois où chaque équipe a usé du jeu au pied mais aussi dans le différentiel de mètres gagnés par le pied. Prenons le match d'ouverture contre les All Blacks (27-13). Les Français ont tapé 44 fois, leur record depuis l'arrivée de Galthié, le record jusqu'ici dans cette Coupe du monde. Les Néo-Zélandais n'ont pas lésiné de leur côté (39). En distance, les Bleus ont gagné 1 747 mètres ce soir-là, les Blacks 1 312 mètres. L'écart, considérable, renvoie à cette seconde période pendant laquelle les Néo-Zélandais furent coincés dans leurs trente mètres.

    Deux jours plus tard, l'Angleterre, longtemps à quatorze contre l'Argentine (27-10), canardait gaiement (43 fois) pour un gain de 1 073 mètres. Contre la Namibie (96-0, le 21septembre), la France a de nouveau dépassé le kilomètre (1 028 mètres en 29 coups de pied). Depuis début 2021, elle y parvient environ une fois sur deux. Et quand elle y arrive, ses chances de victoires grimpent en flèche (93 %, source Opta). Dans cette période 2021-2023, sa seule défaite au-dessus du kilomètre date de février et du dernier voyage à Dublin pendant le Tournoi (32-19). Ce jour-là, les Irlandais avaient tapé plus souvent que les Bleus. Il serait étonnant que cela se reproduise vendredi à Lyon, l'Italie étant à ce jour l'équipe la moins consommatrice de jeu au pied de la Coupe du monde.

    Il n'y a que l'Angleterre de George Ford qui shoote plus que la France dans ce tournoi (36,7 en moyenne, contre 31,7 pour les Bleus) mais la transposition en distance penche en sa défaveur (2 923 mètres vs 3316 mètres en 3 matches). Preuve que cet indicateur ne donne pas une valeur absolue, l'Afrique du Sud n'a fait voler le ballon que 2010 mètres en 4 matches. Il est surtout parlant pour l'équipe de Galthié. Vous en voulez encore ? Sur les six défaites françaises depuis 2021, quatre ont été concédées alors que les Bleus avaient gagné moins de mètres au pied que l'adversaire (Angleterre et Écosse 2021, Irlande 2023, Écosse 2023).

    Comment les Bleus le travaillent

    Si le quinze de France affiche aujourd'hui de telles stats, il le doit d'abord aux compétences individuelles de ses joueurs. C'est plus facile de réaliser des « longs métrages » quand on dispose d'artilleurs à la portée phénoménale, comme Antoine Dupont (Maxime Lucu excelle aussi dans ce registre) ou Melvyn Jaminet (moins « longs », Thomas Ramos et Matthieu Jalibert ne sont pas mal non plus). « Des joueurs assez exceptionnels à ce niveau-là », pour reprendre les mots de Laurent Labit, l'entraîneur de l'attaque.

    Il s'agit ensuite d'en faire un principe tactique et de le travailler. « On répète beaucoup nos gammes lors des entraînements, que ce soit les coups d'envoi, les dégagements et tous les jeux au pied que l'on peut avoir », disait lundi Jalibert. Au sein de l'encadrement, un spécialiste est dédié à temps plein au jeu au pied. Il s'agit de Vlok Cilliers, un ancien numéro 10 qui ne compte qu'une seule sélection avec les Springoks (en 1996). Le technicien de 55 ans, peu connu du grand public, est une vieille connaissance de Fabien Galthié depuis son passage à la Western Province au milieu des années 1990. Cilliers accompagne les buteurs et, plus globalement, les botteurs français pour trouver le geste juste. « Il est très porté sur les statistiques, souligne l'arrière Thomas Ramos. On en parle beaucoup avec lui. Après chaque match, on a un retour sur le pourcentage d'efficacité du jeu au pied. S'il n'est pas pertinent ou pas bon, ce n'est pas intéressant. »

    Ça, c'est pour la partie visible. Dans l'obscurité de la salle vidéo, le staff décortique aussi en détail le jeu adverse pour mieux imposer le sien. « Avec notre cellule analyse, on aime passer du temps à regarder les profils des autres équipes, avoue Laurent Labit. Il est alors facile de déterminer combien de jeux au pied elles font par match, sur quelles zones du terrain elles aiment jouer, et nous, ça nous aide à programmer justement notre jeu au pied. Ça nous permet de savoir si c'est plus opportun de jouer longtemps long au pied ou davantage sur les côtés ou derrière leur ligne de défense, des ballons hauts ou pas. »

    Une stratégie très énergivore pour l'adversaire

    « Aujourd'hui, toutes les défenses sont très bien organisées et structurées, rappelle Labit. Souvent, la meilleure arme pour les contourner est le jeu au pied, à condition d'être efficace et de posséder plusieurs joueurs sur le terrain capables de le maîtriser. C'est notre cas. Aujourd'hui, on est la nation qui a le jeu au pied le plus long pendant quatre-vingts minutes. » L'avantage, c'est que la puissance et la précision des artilleurs tricolores obligent l'adversaire à reculer et à repartir de très loin. « On sait que des équipes seront plus en difficulté que nous si on les amène dans un jeu d'échanges de jeu au pied, explique Labit. À un moment, si elles entrent dans ce jeu, on sait qu'elles nous donneront des ballons de contre-attaques et de turnovers que l'on aime bien. Et si elles se décident à porter le ballon de très loin, il y a forcément un moment où elles se mettront à la faute. »

    Ce jeu-là est évidemment très énergivore et usant pour l'équipe d'en face, obligée de couvrir beaucoup de terrain sur l'ensemble de la rencontre. On pense à tous ces avants, notamment les piliers, contraints de multiplier les allers-retours au milieu du terrain lorsque s'installe une partie de ping-pong aérienne. Certains finissent par s'épuiser et commettre cette petite erreur dans le replacement qui permettra aux Bleus de franchir à un moment la ligne d'avantage.

    « Vendredi, j'espère qu'on aura des opportunités au pied pour faire reculer l'Italie et la laisser chez elle, sous pression, observait cette semaine Thomas Ramos. On essaiera alors de bien défendre dans son camp pour récupérer des pénalités et des ballons de turnover. » Une dernière chose : cette équipe de France est la preuve vivante qu'un nombre élevé de coups de pied n'est pas incompatible avec l'expression d'une attaque fulgurante. En mars dernier, à Twickenham, les Bleus avaient tapé 42 fois, dix de plus que les Anglais. Cela ne les avait pas empêchés de piétiner la Rose (10-53) dans son jardin en inscrivant sept essais.

    publié le 3 octobre 2023 à 20h05 mis à jour le 3 octobre 2023 à 20h12

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  5. Il y a 13 heures, Blob Marley a dit :

    Je le supporte plus ce type, surtout son rôle du méridional typique qui plait aux parigots avec son assent. Le mec si tu sais pas qu'il a été joueur pro (quelques mois) tu te demandes ce qu'il fout là.

    Il y a quinze-vingt ans, c'était plaisant d'avoir ce mec sur le terrain, proche des joueurs, qui leur posait des questions qui les mettait en difficulté, directement sur le banc. C'était sympa de donner la parole aux remplaçants. "En tout cas, on te le souhaite".

    C'est devenu gênant quand Canal lui a demandé d'aller poser des questions à Zlatan et Balotelli uniquement pour le voir se ridiculiser. On aurait dit Michael Scott propulsé dans le milieu du foot. Mais ce n'était pas le pire. Depuis, on lui a demandé d'arrêter de faire l'idiot. C'est devenu insipide.

    • Top ! 1
  6. il y a 14 minutes, sebztfc10 a dit :

    Je parlais de contenu, quand tu vois leurs matchs, tu comprends que tu as à faire à une equipe decomplexée, en pleine confiance mais pas specialement en reussite, c'est merité.

    Je sais pas si tu vois ce que je veux dire ? Ca joue bien, ca gagne (beau), rien à dire.

    Metz était par exemple tres en reussite jusqu'a notre match. 

    Less-Melou à un niveau jamais vu auparavant. Bizot enchaine les masterclass. Le Douaron,Mounie et Del Castillo affichent un niveau tres interessant. 

    Mais pour en revenir à ton message, evidemment que j'aurais pas parié un kopek la dessus avant le debut de la saison meme si je trouve la qualité intraseque du groupe plutot interessante sur le papier.

     

    Oui, bien sûr, je comprends ce que tu veux dire. Effectivement, sur les premiers matchs, ils sont cohérents. Mais je pense qu'ils ont démarré à fond et qu'ils ne resteront pas à ce niveau très longtemps, un peu comme nous en 2010 après les 4 premières victoires initiales. Attention, prédiction incertaine.

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