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Vistule

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Messages posté(e)s par Vistule

  1. il y a 2 minutes, Grominet a dit :

    Tactique expérimentale, liquéfaction à chaque incursion adverse, faiblesse technique qui empêche de relancer proprement... C'est le grand retour aux années Casa. Heureusement qu'entre temps on a gagné la CDF et qu'on peut donc mourir tranquille 😁

    Les tactiques de Casa n'avaient rien d'expérimentales. Elles étaient extrêmement fixes. Là, à l'inverse, c'est très modulable.

  2. il y a 4 minutes, Alexis a dit :

    J'imagine un 3 5 2, kamanzi piston droit Suazo à gauche, genreau en 10, et gelabert en 9 1/2 autour de dallinplugoal.

    C'est ce que je pense aussi. D'ailleurs, c'est ce qu'annonce Opta et L'Équipe

    à l’instant, Zestump2 a dit :

    Ca sent surtout le gros bus. Pas certain qu'on construise grand chose avec deux joueurs à profil offensif.

    Suazo et Kamanzi sont des latéraux offensifs. Attendons de voir avant de juger. Je pense qu'on va chercher à les prendre dans le dos des pistons.

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  3. il y a 45 minutes, Nuro a dit :

    Un coup de moins bien peut-être ? Il a fait une prestation curieuse jeudi soir, et peut-être qu’il faut préparer son absence également … 

    Possible que son absence soit anticipée. Les charnières composées de deux gauchers, comme Diarra et Nicolaisen, sont assez rare. Possible qu'il soit préservé. Aboukhlal s'est blessé parmi les internationaux. Possible aussi que Novell continue de vouloir surprendre les adversaires.

    Ça s'inscrit dans la gestion actuelle de l'effectif.

  4. Spierings rentré à Toulouse, les dessous d'un improbable aller-retour

    Hugues Sionis (avec Joël Domenighetti)
    5–6 minutes

    Il n'était pas question pour lui de manquer le rendez-vous. Pourtant, Stijn Spierings sera bien absent demain au stade Bollaert-Delelis. Recruté libre par Lens cet été, après trois saisons riches à Toulouse, le Néerlandais (27 ans) ne jouera pas ce week-end en vertu d'un accord passé entre les deux clubs, au moment du prêt sans option d'achat du joueur, conclu mi-septembre. À la surprise générale, après quatre matches seulement, le milieu défensif a quitté le RCL pour revenir au TFC. Un aller-retour inhabituel, qui intervient après plusieurs mois d'incertitudes et trouve sa source dans diverses raisons.

    Des négociations longues et tumultueuses avec Toulouse

    En fin de contrat au mois de juin, Spierings ne se dirigeait pas vers un départ de Toulouse. Mais l'ancien joueur du Levski Sofia a refusé au moins deux propositions de prolongation, trop éloignées de ses attentes financières, entre l'automne dernier et le début d'année civile. La première tournait autour de son salaire de l'époque, moins de 30 000 euros mensuels selon nos estimations, et n'a pas facilité les négociations avec le président toulousain, Damien Comolli. La deuxième, estimée à 60 000 euros mensuels, a été formulée après la trêve de la Coupe du monde. Insuffisante, à nouveau, pour convaincre le joueur, déçu du manque de reconnaissance affiché par le club, et dès lors tourné vers un départ, pour franchir un palier.

    Son projet était de rejoindre le PSV Eindhoven, qui le convoitait. Mais le remplacement de Ruud Van Nistelrooy, fin mai, par Peter Bosz comme entraîneur, a changé ses plans. À la recherche d'un milieu athlétique pour densifier son effectif, Lens a flairé le bon coup. Moins d'un mois après la fin du Championnat, les Sang et Or annonçaient l'arrivée du « métronome » pour une durée de quatre ans.

    Une intégration difficile à Lens

    Rien ne s'est passé comme prévu. Au total, il n'aura joué que 118 minutes avec les vice-champions de France. Problème d'intégration ? Profil incompatible avec le jeu artésien ? Franck Haise a son idée sur la question : « Il a eu du mal à digérer l'intensité demandée et voulue à l'entraînement. C'était différent de ce qu'il avait l'habitude de faire. On lui disait que c'était logique qu'il ait un temps d'adaptation. Le deuxième élément, qui est plus clair, c'est que Stijn est fait pour jouer dans un milieu à trois. »

    Stijn Spierings poursuit Takumi Minamino, en compagnie de Facundo Medina, lors de la défaite de Lens à Monaco le 2 septembre (3-0). (F. Porcu/L'Équipe)

    Stijn Spierings poursuit Takumi Minamino, en compagnie de Facundo Medina, lors de la défaite de Lens à Monaco le 2 septembre (3-0). (F. Porcu/L'Équipe)

    Face à ses difficultés sur le terrain, Spierings, encore peu à l'aise en français, s'est isolé du groupe par sa sortie maladroite à Monaco (0-3, le 2 septembre), sans un mot pour son coach ni ses partenaires. « Elle ne nous a pas plu, reconnaît Jonathan Gradit. Quand quelqu'un doit sortir, il doit mieux se comporter. » En revanche, aucun ne relève de problème d'attitude. « De mon point de vue, il ne s'est rien passé. C'est un faux problème », assure le défenseur. « On sentait son impatience, ajoute Adrien Thomasson, qui préfère le défendre. Je n'utiliserai pas le mot de flop. Il a peut-être eu besoin de plus de temps pour s'imprégner de notre collectif. » Face à ce constat, une décision radicale a été prise, en lui permettant de retrouver un environnement familier.

    Un retour surprise et triomphal au TFC

    Au lendemain du fiasco de Monaco, Comolli a appelé son ancien joueur pour prendre de ses nouvelles. Malgré une fin d'aventure confuse avec Toulouse, les deux hommes étaient restés en bons termes. Cette initiative du dirigeant a agréablement surpris le milieu de terrain. En l'espace de quelques jours, les contours d'une nouvelle collaboration étaient établis, Lens continuant de payer les deux tiers du nouveau salaire à six chiffres de Spierings. Ainsi, quand l'UEFA a officialisé la liste des joueurs artésiens inscrits pour participer à la Ligue des champions, l'exclu savait qu'il ne la jouerait pas et que son avenir se dessinait sur les bords de la Garonne, où il se sent comme chez lui. Mais le Néerlandais ne s'attendait pas à un accueil aussi spectaculaire.

    Avertis le 13 septembre de son arrivée imminente, par une fuite sur les réseaux sociaux, comme certains membres du TFC qui n'étaient pas au courant de l'avancée du dossier, une centaine d'ultras ont rejoint l'aéroport de Blagnac en urgence. « Ç'a été la course folle pour être à l'heure, raconte Alexandre Roux, le président des Indians Tolosa. Ce n'est pas dans notre mentalité d'aller accueillir un joueur, mais lui a déjà écrit l'histoire du club, à notre sens il le mérite. C'est un homme de l'ombre, un besogneux qui fait le sale boulot pour permettre aux autres de briller. » Inattendu, ce retour a le mérite de faire l'unanimité. « C'était mieux pour tout le monde », résume Haise.

    publié le 23 septembre 2023 à 00h15 mis à jour le 23 septembre 2023 à 00h15

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  5. il y a 37 minutes, GigiMontanier a dit :

    Disons que notre défense est plus solide que l’an dernier mais que les manquements défensifs (et il y en a eu) ont été sauvés par Restes. Le jour où il sera moins décisif ça sera plus flagrant (sachant qu’on a de la chance car nos adversaires ont dû toucher 4-5 fois les montants aussi).

    L'an dernier, aussi, Dupé a ramené de nombreux points. Dante et Todibo ont été bien sauvés par Bulka hier. Encore heureux qu'une défense peut compter sur son gardien. Ce n'est pas spécifique à Costa ou au TFC.

  6. il y a 44 minutes, GG a dit :

    D'après la plupart des observateurs et des supporters, quelle est la satisfaction de ce début de saison ? La défense. L'attaque est en berne, le milieu est à la peine, et même si le début de championnat est pas terrible, de manière générale c'est plutôt la défense qui donne satisfaction, et notamment la charnière Costa/Nicolaïsen.

    Alors voilà : trouve moi un tweet de ta part simplement positif par rapport à Costa ou à notre défense centrale, et je te présente mes excuses les plus plates.

    Tu perds ton temps

  7. Je n'ai pas été plus choqué que ça par les pénaltys. Ce ne sont pas des attentats, mais je vois un contact à chaque fois.
    https://www.butsoccers.com/video-monaco-nice-0-1-resume-complet-3/

    Monaco a dominé les débats, Nice a subi et joué en contre comme ils l'avaient fait contre Paris.

    L'intégration de Balogun est complètement raté. L'équipe tournait bien avec Ben Yedder devant. Ils ont réussi à se créer tous seul un problème en parachutant leur recrue dans le 11, plutôt qu'en prenant le temps de l'intégrer, entrée en jeu après entrée en jeu.

  8. il y a 23 minutes, nwardez a dit :

    Franchement c'était vraiment super. Très belle ambiance et aucune animosité avec les supporters belges. Très bon accueil de leur part..

    Je confirme. On est allé au Club House du RUSG, on a bu quelques Jup' là-bas, dont une en bord de pelouse du stade Marien, avec le type qui a joué dans la vidéo de présentation de l'Union. Très sympa.

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  9. il y a 37 minutes, jerome69 a dit :

    Match bien pourri a priori, avec un deuxieme but dans les arrets de jeu , contre une equipe dont la masse salariale doit etre equivalent a celle de David

    Et avec 13817 spectateurs pour de la Coupe d'Europe. Y'a des villes, elles méritent pas leur qualification bordel.

  10. https://www.lequipe.fr/Football/Article/L-union-saint-gilloise-et-toulouse-deux-clubs-boostes-a-la-data/1420890

    L'Union Saint-Gilloise et Toulouse, deux clubs boostés à la data

    Bernard Lions
    5–7 minutes

    Alessio Castro-Montes (26 ans) disputera bien le match entre la Royale Union Saint-Gilloise (USG) et le Toulouse Football Club (TFC). Mais ce sera avec le club belge, pas avec les Violets. Après que son nom est apparu en même temps sur le radar des deux clubs, le latéral droit de La Gantoise a finalement signé chez les Unionistes, le 2 septembre.

    Car en plus de s'être montrés très actifs sur le marché des transferts cet été (l'USG a enregistré quinze arrivées pour 13 M€ et quatorze départs pour 36 M€ ; le TFC, quatorze arrivées et quinze départs pour environ 13 M€ à chacun de ces deux postes) et avoir failli être empêchés de disputer cette Ligue Europa en raison de la règle interdisant la multipropriété des clubs (*), l'USG et le TFC partagent un autre point commun : les datas. « Les dirigeants de l'Union possèdent même un historique dans ce domaine, précise Luka Elsner (41 ans), premier entraîneur de l'ère moderne de l'USG déniché grâce aux datas, dans l'anonymat du Championnat slovène, en 2018. Il leur permet de se tromper très peu et de garder un temps d'avance. Y compris sur beaucoup d'autres clubs qui ont aussi pris cette orientation. »

    (*) Des changements dans l'organigramme et une scission au niveau des sociétés ont permis au TFC, dont le fonds américain RedBird Capital Partners détient également l'AC Milan, d'être autorisé par l'UEFA à disputer la C3. Pour l'USG, le propriétaire Tony Bloom a vendu des parts afin de ne plus être actionnaire majoritaire dans deux clubs.


    Cette méthodologie fondée sur la collecte et le traitement de données statistiques explique le spectaculaire renouveau du troisième club le plus titré de Belgique, derrière Anderlecht et le Club Bruges (onze titres de champion et deux Coupes entre 1904 et 1935). L'Union a soudain bondi de la D2 belge à un quart de finale de la Ligue Europa. À peu près dans le même laps de temps (2020-2023), le TFC a retrouvé la L1 et gagné la Coupe de France. « Les datas constituent une aide à la performance, poursuit l'actuel entraîneur du Havre, qu'il vient de ramener en Ligue 1. Alors que dans le football, on prend des décisions avec des données incomplètes, les datas permettent d'y voir un peu moins flou. »

    La politique du « Lézard »

    Cette approche rationnelle demeure le credo de Tony Bloom (53 ans), propriétaire de l'USG depuis 2018. Surnommé « The Lizard » (« le Lézard »), en raison des expressions qu'il utilisait en faisant fortune aux tables de poker, cet Anglais s'est également enrichi en travaillant pour le bookmaker britannique Victor Chandler. En l'ouvrant au marché asiatique, comme en le convainquant de miser sur la victoire de la France à la Coupe du monde 1998. Ses coups gagnants lui ont ensuite permis de créer sa propre entreprise, en 2006. Pourvu d'une armée d'analystes, de chercheurs et de statisticiens, Starlizard est devenu le leader mondial du conseil spécialisé dans les paris en ligne. Basé à Londres, Starlizard possède des antennes dans plusieurs pays.

    Tony Bloom, actionnaire de l'Union Saint-Gilloise, est à l'origine de l'utilisation de la data par le club belge. (LAURIE DIEFFEMBACQ/BELGA/PRESSE SPORTS)

    Tony Bloom, actionnaire de l'Union Saint-Gilloise, est à l'origine de l'utilisation de la data par le club belge. (LAURIE DIEFFEMBACQ/BELGA/PRESSE SPORTS)

    Cette entreprise, dont la méthode est fondée sur le big data et le Moneyball, l'approche analytique utilisée par l'équipe de baseball des Oakland Athletics, travaille aussi pour Brighton - Bloom a racheté le club de sa ville natale en 2009 - et l'Union Saint-Gilloise, donc. Les paramètres les plus importants pris en considération sont les indicateurs clés de performance. Cela va du pourcentage de passes réussies par match au nombre de mètres gagnés à chacune d'elles. Mais pas seulement. « On n'a pas trop envie d'être des robots et de rentrer une équation dans un ordinateur pour la détection et l'utilisation des joueurs, précise Elsner. L'humain joue aussi un rôle important. »

    Des joueurs au parcours accidenté ciblé

    Le profil psychologique d'un joueur, indépendamment de sa nationalité, est également passé au crible. Il n'est dès lors pas étonnant de constater que plusieurs recrues de l'USG ont connu un parcours accidenté. Garantie de leur soif de revanche et de réussite.

    Avant de percer enfin à l'USG, le défenseur marocain Ismaël Kandouss a été coach sportif dans une prison de Dunkerque. Le Franco-Maltais et néo-Rémois Teddy Teuma a été chauffeur-livreur dans la boucherie de son père, et le Nigérian Victor Boniface a sombré dans la dépression et l'alcoolisme après une seconde rupture du ligament croisé qui l'a tenu éloigné des terrains pendant un an et privé d'un transfert de Glimt (Norvège) au Club Bruges (Belgique), en 2020.

    Le départ de ces trois joueurs a permis à l'USG de réussir un mercato record, cet été (Boniface a été vendu pour 20,5 M€ au Bayer Leverkusen (ALL), Teuma pour 4,6 M€ à Reims et Kandouss pour 1,75 M€ à La Gantoise (BEL). Elsner observe : « Même quand ses meilleurs talents partent, le club a cette capacité à se régénérer immédiatement. Cela aussi, est impressionnant ». Elle permet également aux Unionistes de se poser en outsiders de cette Ligue Europa.

    publié le 20 septembre 2023 à 17h46 mis à jour le 20 septembre 2023 à 17h55

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