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Le_saint

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Tout ce qui a été posté par Le_saint

  1. Attention à la fiabilité des sources, ce n'est pas parce qu'elles sont nombreuses qu'il faut obligatoirement y ajouter foi. Bloomberg pas de problème c'est du sérieux, on peut être à peu près sûrs que ce qu'ils avancent possède un fond de vérité. Or eux, ce qu'ils disent, c'est : "RedBird Capital Partners envisage une potentielle vente du club de foot français Toulouse FC, selon des personnes proches du dossier. La société d'investissement américaine en est aux premiers stades de l'étude de faisabilité d'une vente de l'équipe, selon ses personnes, qui ont souhaité garder l'anonymat s'agissant d'informations confidentielles". Ça c'est l'info de base qui reste quand même très hypothétique (envisage, potentielle vente, premiers stades, etc..). Ensuite on a le journal l'Équipe et quelques autres médias sérieux (RMC, 20 minutes, etc...) qui reprennent globalement l'information tirée de Bloomberg, à grand coup de conditionnel (une étude aurait été lancée, une réflexion serait en cours), en citant leur source et en précisant que le but n'est pas nécessairement d'aboutir à une vente. Vient ensuite la girouette Riolo, qui se moque bien d'une crédibilité qu'il a perdu depuis bien longtemps et qui affirme ("j'assume d'enlever le conditionnel") que le club est en vente depuis le mois d'avril, rien que ça. Dommage qu'il ne nous l'ai pas dit plus tôt, puisqu'il était au courant. Bref, venant d'un type dont le seul centre d'intérêt est de faire tourner la machine à buzz et de faire parler de lui, je m'étonne qu'il ne nous ai pas encore donné le nom de l'acquéreur et le montant de la transaction. Et puis il y a tous les autres... tous les merdias plus ou moins bien intentionnés d'internet, les influenceurs des réseaux sociaux et autres insiders qui, pour l'essentiel, reprennent leur maître à tous Riolo, en ne se privant pas parfois d'en rajouter comme l'autre blaireau, dont l'un d'entre-vous à posté le tweet plus haut, qui nous parle d'un mystérieux consortium qui serait sur le point de finaliser l'achat du Téfécé. Je rappelle que Bloomberg a parlé de potentielle vente et de premiers stades d'étude de faisabilité et lui nous annonce déjà un acquéreur sur le point de conclure l'affaire. C'est peut-être ce qui intéresse RedBird en lançant cette étude, estimer la valeur actuelle des 85% de parts du club qu'ils possèdent, car c'est quand même un paramètre important pour décider ou non de l'utilité d'une vente. Quand à savoir si Sadran ferait aussi une bonne affaire en vendant ses 15%, je dirais que c'était un peu le but de l'opération non ? Prendre immédiatement la valeur des 85% vendus à RedBird et garder 15% sous le coude au cas ou les nouveaux actionnaires majoritaires arriveraient à mener à bien leur opération de valorisation du club. Un coup de poker à environ 2 M€ (la valeur des 15% à l'époque de la vente) pour tenter d'en gagner peut-être 3, 4 ou 5 fois plus, sans rien faire, quelques années plus tard. Il aurai eu tort de s'en priver, d'autant qu'en faisant ça il passe pour le gardien du temple, le sage qui veille au conseil d'administration pour que les ricains ne fassent pas n'importe quoi, c'te blague. La source initiale est sérieuse mais ne lui faisons pas dire plus que ce qu'elle ne dit. Tous les autres reprennent cette information, parfois sérieusement en citant leur source (l'Équipe), parfois en rajoutant du croustillant (Riolo et quelques autres) sans se soucier de leur crédibilité, et sans avoir la moindre information autre que celle sortie par Bloomberg. Merci.
  2. C'est pas comme ça que ça marche. Au travers de leurs différentes sociétés (FootballCo B.V. et Toulouse Loisirs), le Téfécé appartient à 85% à RedBird Capital Partners et à 15% à Olivier Sadran, point final. Chacun est libre de faire ce qu'il veut de ses parts et personne n'a de compte à rendre ni à la mairie, ni à la métropole, et encore moins aux partenaires. Quand à l'éventuel poids d'Olivier Sadran en conseil d'administration, il ne compte qu'à hauteur des 15% qu'il possède comme actionnaire minoritaire. Les 85% détenus par RedBird en tant qu'actionnaire majoritaire emporteront toujours la décision en cas de désaccord. Sadran peut toujours émettre un avis, conseiller ou au contraire désapprouver telle ou telle chose, lorsque la résolution sera mise aux votes ça fera 85% pour, 15% contre, et la résolution passera.
  3. S'il y en avait 18 ça serait bien, on pourrait tous en gagner un.
  4. C'est une vision poétique à laquelle on ne peut qu'adhérer mais je t'assure que RedBird ne devra rien aux toulousains lorsqu'ils encaisseront le chèque, ne t'attends pas à recevoir ta part du deal. Lors de la vente (mais aussi après le titre en L2 et la victoire en Coupe de France) si on a vu le maire c'est surtout dans le but d'assurer sa propre propagande. Le Téfécé est populaire et les hommes politique aiment par dessus tout les trucs populaires.
  5. Je vois pas bien à quel titre ils auraient leur mot à dire. La métropole fournit le stade (contre indemnité de location) et intervient sans doute aussi à une certaine auteur comme partenaire du club, mais je doute qu'ils aient une influence quelconque sur une éventuelle vente ou le maintien ou non du président à la tête du club par le nouvel actionnaire.
  6. C'est RedBird qui est allé chercher Comolli. Lorsqu'ils se sont offert le Téfécé, les américains ont fait comme ils font d'habitude dans ce cas, ils ont cherché quel était le meilleur profil parmi ceux disponibles pour prendre les rennes de leur nouveau joujou. Damien Comolli, au travers de sa société de consulting sportif "DCO Conseils", leur est apparu comme la personne idoine (si j'ai bien interprété les infos sorties au compte-goutte dans la presse depuis lors). Le président Comolli n'est donc pas un salarié de RedBird, il intervient seulement en tant que prestataire de service pour leur compte et ne sera donc pas obligé de quitter lui aussi le navire en cas de départ de l'oiseau rouge. On peut tout-à-fait imaginer un scénario où le nouveau repreneur, satisfait de la manière dont a été géré le club jusque là et n'ayant personne d'autre à pousser à sa place, décide de poursuivre l'aventure avec Damien Comolli aux commandes.
  7. Je suis désolé, ce n'est pas Claude qui doit se mettre au niveau de Gerry Cardinale en prenant des cours d'anglais, mais plutôt Gerry qui doit se mettre au niveau de Claude en prenant des cours d'Occitan. Personne ne l'a obligé à acheter le club de la capitale de l'Occitanie que je sache, s'il ne voulait pas faire d'effort il n'avait qu'à racheter un club anglophone, ça manque pas. Nous sommes en OCCITANIE !!! Je ne sais pas si Gerry possède un compte formation, par contre.
  8. Désolé mais Deepl ne traduit pas en Occitan, et encore moins en Occitanb. Nous sommes en OCCITANIE !!!!! Tu as raison Claude ! Tiens, je te mets la traduction de l'article dans une langue que tu maîtrises forcément. On est en Occitanie !!! RedBird Capital Partners considèra una venda potenciala del club de fotbòl francés Tolosa FC, an declarat de personas avent coneissença del dossièr. La societat d'investiment americana n'es als primièrs estadis de l'estudi de la factibilitat d'una venda de l'equipa, segon aquelas personas, qu'an demandat a èsser pas identificadas a causa d'informacions confidencialas.
  9. Si j'en crois Homère et son Odyssée il s'agit d'une nymphe dont Glaucos - un fils de Poseïdon - était follement amoureux. Cet amour n'étant pas réciproque, Glaucos a demandé à la magicienne Circé un philtre d'amour, mais celle-ci, éperdument amoureuse de Glaucos et jalouse de Scylla, a profité de l'occasion pour changer la nymphe en un monstre terrifiant chargé de garder un écueil rocheux infranchissable qu'Ulysse devra passer au cours de son voyage. On l'associe souvent à Charybde qui était la fille de Poseïdon et de Gaïa (donc la demi-sœur de Glaucos pour ceux qui ont du mal à suivre). Elle était perpétuellement affamée. Lorsqu'elle dévora le bétail d'Héraclès, le fils de Zeus, celui-ci la punit en l'envoyant au fond d'un gouffre où elle était chargée d'attaquer les marins s'aventurant dans les parages, et donc le pauvre Ulysse dont le voyage n'était décidément pas de tout repos et qui, à cette occasion, est devenu le tout premier humain à tomber de Charybde en Scylla. De nos jours Scylla, comme chacun sait, évolue à Montpellier après avoir fait le bonheur du Téfécé. Je ne sais pas dans quelle équipe joue Charybde cette saison.
  10. Le fait qu'il soit déjà capable de faire un selfie en conduisant (le vilain, on le dénonce ? ) ne change rien au fait que ça soit quand même un petit peu plus qu'une simple arcade ouverte et qu'il en gardera une balafre sur le visage toute sa vie.
  11. Bien sûr, une arcade, restons factuel. Pourtant c'est bizarre, sur cette photo on voit qu'à l'hosto ils lui ont recousu une partie du front, l'arcade et aussi la paupière. C'est des marrants ces toubibs marseillais ils ont voulu pousser la déconne en le recousant plus que nécessaire, il a bien du se poiler le Fabio aux urgences.
  12. Celle-ci aurai pu me faire rire si je n'avais pas vu la photo de la balafre sur son œil. Le mec est défiguré et en gardera des stigmates pour le restant de ses jours, je ne sais pas si on peut aussi rire de ça.
  13. Et bien jouons avec le maillot home et un short et des chaussettes blanc, on l'a déjà fait.
  14. Inutile de me prendre pour une saucisse je connais le règlement, dans ce cas jouons avec le maillot away (ça tombe bien on est à l'extérieur) avec ses short et chaussette blanc, comme ça tout le monde sera content. Le règlement a bon dos, derrière tout ça, ce qui dicte la couleur utilisée c'est l'impératif commercial qui consiste à vendre un maximum de maillots. Pour vendre des third il faut que les third soient portés sur certains matchs, c'est tout. D'ailleurs le concept de maillot third lui même est uniquement commercial, et je vous annonce pour bientôt des maillots fourth et fifth chez certaines équipes tant l'imagination est sans limites quand il s'agit de faire rentrer du cash.
  15. Non... par contre ça me gonfle vraiment qu'on joue avec des maillots sans la moindre trace de violet. Ça leur coutait quoi de rajouter un petit liseré violet au niveau du col ou des manches ? C'est quoi nos couleurs bordel ! En plus on a déjà des shorts violets en stock. Pourquoi jouer avec des shorts tous blancs quand on a déjà un maillot entièrement blanc, on est pas le Real de Toulouse.
  16. Corredor ça m'allait aussi mais il nous a fait une Suazo.
  17. Pareil... après ils étaient bien obligés de se calmer car je ne suis pas certain qu'ils auraient fini à 11 en continuant à découper du Buades à chaque intervention comme ils l'ont fait en début de partie. Sinon, je rêve d'une égalisation ruthène en seconde, puis d'une victoire 3-2 arrachée dans les arrêts de jeu sur un but de Lucas Buades qui irait fêter son but face au kop bordelais.
  18. C'est ça le vrai scandale, on se fait ch... à aller au stade tout de violet vêtus pour porter haut et fiers nos couleurs, on chante à tue-tête allez les violets, allez les violets.... et les mecs jouent en blanc. Pas un poil de violet ni sur le maillot, ni sur le short, et même pas sur les chaussettes, un scandale !
  19. Mais non, puisqu'on te dit que tout est de la faute de ces tricheurs du RAF, tu fais exprès de pas comprendre ou quoi ?... Le pauvre gars a juste répondu à la provocation du joueur ruthénois qui fêtait son but, on va pas l'exclure pour si peu.
  20. Pour ceux que ça intéresse, je poste l'article dans son entier ci-dessous. Globalement ils sont toujours dans le déni avec un geste anodin, une simple "poussette", qui selon eux n'aurai pas du entraîner l'arrêt de la partie, et une immonde tricherie de la part du RAF qui tremblait de peur devant cette superbe équipe bordelaise et qui a sauté sur l'occasion pour accaparer vilement les trois points promis aux girondins (je rappelle qu'au moment de l'interruption Rodez menait 1-0). Bref, c'est le RAF qui devrait se sentir honteux du comportement de Buades, et pas eux du comportement de leur membre auquel ils trouvent même des excuses. Match Bordeaux-Rodez : les Ultramarines et leur leader Florian Brunet "très déterminés à faire ressentir le maximum de honte" au Raf samedi Mathis Fessard 9–11 minutes Samedi 28 octobre, à 15 heures, le Rodez Aveyron football se déplace à Bordeaux, près de cinq mois après l’agression de Lucas Buades sur la pelouse du Matmut Atlantique par un cadre des Ultramarines. Depuis, le club et le joueur sont violemment pris pour cible sur les réseaux sociaux. Mais est-ce un épiphénomène accentué par internet ou un véritable ressentiment de masse ? Pour tenter de le savoir, nous avons interrogé le leader du groupe de supporters local, Florian Brunet. Et ses propos sans filtre semblent aller en faveur de la seconde hypothèse… Entretien. Au regard de ce qu’il s’est passé le 2 juin, cette rencontre s’annonce forcément particulière et tendue. Comment l’abordez-vous, aux Ultramarines ? On est très déterminés à faire ressentir le maximum de honte vis-à-vis d’un club qui peut allègrement en ressentir. Vous restez donc sur votre position d’une prétendue triche de Rodez et du joueur concerné, Lucas Buades ? On a immédiatement condamné le geste de notre membre, que l’on n’a jamais cautionné. Par contre, on a eu affaire à l’un des plus grands scandales de l’histoire du football français. Et je suis bien content de ne pas être Ruthénois, pour ne pas devoir ma place en Ligue 2 à un tel scandale, qui dépasse l’entendement et toutes les valeurs sportives, et qui est une escroquerie honteuse. Sur quoi vous appuyez-vous pour dire cela ? Il est absolument impossible d’avoir une commotion cérébrale après avoir été légèrement poussé. Celui qui conteste la volonté de tricher est d’une très grande mauvaise foi. C’est évident. Ce qu’il s’est passé a été mis en œuvre par le club de Rodez. Buades a été à l’origine de la tricherie, mais c’est ensuite la direction du club qui a pris les commandes et qui a poussé son joueur à faire ce cinéma. La volonté était de se sauver d’une bien piètre manière, contre toute équité et tout esprit sportif. Pour nous, c’est incontestable. Ce qu'a mis en place le club de Rodez est proprement scandaleux. J'aurais honte d'être Ruthénois. Je le répète, ça ne dédouane pas notre membre, qui va d’ailleurs en répondre devant la justice (le 27 novembre, NDLR). Mais il avait l’excuse du cœur, de la passion. Son geste est quand même à mettre en perspective. On ne parle pas d’une agression. On ne parle pas d’un coup. On parle d’une poussette. Et derrière, on a eu une exagération incroyable. Ce match aurait dû reprendre deux minutes après. Ce qu’a mis en place le club de Rodez est proprement scandaleux. J’aurais honte d’être Ruthénois. Vous dites vouloir "faire ressentir le maximum de honte" à Rodez, samedi. Comment comptez-vous vous y prendre ? Nous, on aime bien les surprises à Bordeaux. Et ce sont plutôt de bonnes surprises. Après, évidemment, tout cela se fera dans le cadre de la loi. On a été très désabusés de lire la déclaration du représentant du Kop ruthénois (dans notre édition de lundi, le trésorier de l’association de supporters du Raf, Gilles Galopin, disait ne "pas vouloir mettre en péril la vie des supporters", et annonçait donc que le Kop n’organiserait pas de déplacement à Bordeaux, NDLR). Il n’y a aucune animosité envers les supporters de Rodez. Ce n’est pas après eux que l’on en a. Si ceux-ci avaient voulu se déplacer, il n’y aurait eu, en tout cas de notre part, aucun incident. Après, on va faire ressentir au club de Rodez la honte qui pèse sur ses épaules. Le sentiment que je donne depuis tout à l’heure est partagé par tous les supporters des Girondins. Si le Kop ne sera pas dans le parcage samedi, environ 80 supporters ruthénois devraient s’y rendre de manière individuelle. Pouvez-vous garantir qu’ils seront en sécurité au stade ? Je ne peux pas me porter garant des 20, 25 ou 30 000 supporters qui seront au stade. Par contre, je peux me porter garant de ce que fera mon groupe, ma tribune. Il n’y a absolument pas d’animosité envers les supporters. C’est envers le club et le joueur qu’il y en a. Mais les supporters de Rodez sont plutôt des victimes à devoir supporter les agissements de leur club. Et puis, vous savez, à Bordeaux, je ne dis pas qu’on est toujours des agneaux, mais disons que les incidents sont extrêmement rares. Sur les 30 dernières années, on a aucun blessé grave sur la conscience, ni aucun incident notable. Il faudrait que ce monsieur se renseigne un peu. On n’est pas au fin fond de l’Europe de l’Est ou dans certains endroits extrêmement chauds de la planète. On est très, très, très loin d’être des sauvages. On n’agresse pas les gens sans un antagonisme extrêmement fort. Après ce match de la dernière journée de la saison passée, Rodez et Lucas Buades ont été très largement harcelés sur les réseaux sociaux. Quelle a été la position de votre groupe par rapport à cela ? Attaquer la vie personnelle d’un individu sous couvert d’anonymat n’est jamais très glorieux. Maintenant, un footballeur professionnel est un personnage public et ne peut pas avoir que les bons côtés de sa profession, sans avoir les mauvais. À partir du moment où on est un personnage public, quand on triche et qu’on fait des choses qui sont condamnables moralement, on le paye. Aujourd’hui, au XXIe siècle, cela passe malheureusement, ou heureusement, je n’en sais rien, par les réseaux sociaux. Ce n’est certainement pas très intelligent, mais c’est la rançon de la gloire. On a énormément retravaillé la sécurité et la vigilance. Depuis les incidents, avez-vous fait évoluer certaines choses dans votre manière de fonctionner ? Notamment en termes de sécurité ? Vous savez, on a plus de 35 ans d’histoire, les Ultramarines. Et les incidents à déplorer ont été extrêmement rares. Il y a eu évidemment le cas de Rodez, qui nous a amenés à faire une introspection, mais il faut prendre en compte que ce stade est particulier. On a l’une des tribunes les plus proches du terrain. On a donc analysé avec le club que, ce jour-là, le virage avait été trop ouvert, par rapport aux autres tribunes. Il y avait trop de monde. C’était sans aucun doute la plus grosse ambiance qu’a connue Gallice (autre nom du Matmut Atlantique, inauguré en 2015). On contrôle maintenant un petit peu mieux l’accès au Virage sud. Et puis, évidemment, on s’est remis en cause avec les stadiers. Il n’est pas normal que l’un des nôtres puisse ainsi toucher un joueur. On a énormément retravaillé la sécurité et la vigilance. Il y a eu une confiance excessive entre nous, parce qu’on a justement traversé des décennies sans incident. Mais la confiance n’exclut pas le contrôle. Ça a été une piqûre de rappel, sur un incident qui a été mineur. On ne touche pas un joueur, ça, c’est une règle d’or, mais on ne parle pas d’une agression. Se remettre en cause par rapport à une poussette, c’est plutôt une bonne chose. Je préfère ça, que de le faire pour un véritable drame. Marc fait toujours partie des Ultramarines. On ne l'a absolument pas exclu. Marc, le membre cadre des Ultramarines auteur des faits, est-il toujours partie prenante de votre groupe ? Il fait toujours partie des Ultramarines. On ne l’a absolument pas exclu. Quand vous occupez votre fonction pendant 30 ans d’une bien belle manière, je ne crois pas qu’on balaye tout d’un revers de la main pour une erreur. Marc a eu un comportement exemplaire pendant plus de 30 ans, mais la passion l’a débordé. C’est un passionné comme il y en a peu, et c’est vrai qu’il a pris comme une provocation la célébration des joueurs de Rodez. Il a perdu le contrôle de lui-même. Il a eu une absence de 5/6 secondes, mais ça ne doit pas tout remettre en cause. C’est un des plus grands leaders du Virage sud Bordeaux. On a voulu le faire passer pour un criminel, mais c’est vraiment rabaisser les actes graves que de dire ça de lui. Quand on l’étudie de près, ce n’est pas un geste grave, mais une poussette ! Marc a payé très cher, d’autant qu’il vit à Annecy. Il va être interdit de stade pendant des années. Il l’est déjà depuis le lendemain de Rodez. Il n’a pas mis les pieds dans un stade depuis. Ça a été très dur à vivre, que ce soit pour lui ou ses enfants. On n’aurait pas été ses amis, et nous le sommes encore, si nous en avions rajouté, même si, évidemment, nous ne l’avons pas félicité. Si Buades a vécu des moments compliqués, et on peut le comprendre, car être harcelé sur les réseaux sociaux, c’est compliqué, Marc a subi la même cabale. Et lui n’est pas footballeur professionnel, ni un personnage public. Les Girondins sont actuellement 15es. N’avez-vous pas peur que cette situation délicate sur le plan sportif ne rajoute encore davantage de tension à ce match ? Non, non. Nous appelons les supporters bordelais à être dignes de notre histoire, c’est-à-dire à avoir un comportement honorable. Cela ne nous empêchera pas de faire régner une atmosphère hostile. Ce sera effectivement hostile pour Rodez, mais derrière, il y a un match à gagner, qui est très, très important pour nous.
  21. Avez-vous remarqué le swag du numéro 20 de l'équipe adverse, à partir de 3'12", une future pépite à n'en pas douter.
  22. Moi, dans mes rêves les plus secrets, on leur met la manita. Y'a une loi qui interdit de rêver à des trucs impossibles maintenant ?... J'ai loupé un truc ?
  23. Pour moi un joueur majeur c'est un joueur d'un certain niveau et dont l'absence est préjudiciable parce que nous n'avons pas d'équivalent sur le banc. Comme ça je dirais Restes (bien qu'on n'ait pas pu apprécier réellement le niveau de Dominguez je doute qu'il soit aussi bon), Nicolaisen, Costa (en cas d'absence de l'un d'entre-eux Diarra me semble être devenu une alternative solide mais je ne suis quand même pas serein lorsqu'il est aligné), Suazo, Schmidt (notre milieu de terrain est assez fourni en joueurs de qualité mais lui me semble au dessus du lot) et Aboukhlal (Dallinga et Magri sont d'excellents joueurs mais ils peuvent se suppléer l'un l'autre si bien que l'absence de l'un d'entre-eux n'est pas réellement préjudiciable). Quand ils auront joué une dizaine de matchs je rajouterai peut être Cissoko et Spierings à cette liste, mais pour l'instant je demande à voir.
  24. Je veux bien te faire cette petite concession concernant Spierings, mais je n'oublie pas que le bonhomme est connu pour être sur courant alternatif, capable du pire comme du meilleur et donnant parfois l'impression de choisir ses matchs. De plus il sera cette année orphelin de ses deux plus proches amis, partis sous d'autres cieux, ce qui peut avoir une influence tant sur la cohésion de notre milieu que sur son rendement personnel. Bref, Spierings était sans aucun doute un joueur majeur sous Montanier et dans le système employé par celui-ci, j'attendrais personnellement quelques matchs avant de le classer parmi les joueurs majeurs sous CMN et dans les systèmes avec lesquels nous jonglons cette année.
  25. Arrêtez les gars, avec vos conneries on va finir premier du groupe et ils voudront jamais nous reverser en Europa Conférence. Sinon, au petit jeu des pronostics sur le site de l'UEFA, tout le monde ou presque nous voit prendre entre 3 et 5 buts. Il y a bien 18% d'indécrottables optimistes qui nous voient marquer un but pour un résultat 3-1, mais pour tous les autres on n'échappera pas à une monumentale branlée.
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