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Tout ce qui a été posté par Gollum
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Et ça vaut pour tous les matches qu'on a mal finis... C'est-à-dire pour tous les matches .
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Sans doute bizarre de se rappeler son absence au lendemain d'une victoire toute en vaillance mais si tout le monde a remarqué que l'équipe avait commencé à plonger à partir de la blessure d'Aboukhlal, c'est tout aussi vrai de lui. J'espère que sa fin de saison sera à la hauteur de ce qu'il a montré au début. Ça devait nous faciliter le maintien.
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On connaît ses limites mais il sort une première période intelligente, hier, toute en déplacements (incessants), en disponibilité, en remise. Du coup, il n'a pas l'étoffe d'un titulaire mais il a quand même de quoi mettre la pression sur ceux qui voudront sa place, qu'il s'agisse de Gboho, Skytta voire Schmidt, selon le système privilégié par le coach. Il s'accroche, c'est bien.
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Spierings est toujours plus à l'aise contre les petites équipes mais quand je lis que c'est notre meilleur milieu, hier... Il a joué sur son habituel train de sénateur, il profite de l'impact de ses compères du milieu pour gratter quelques ballons - c'est habituel et utile mais faut quand même des mecs qui bossent autour de lui -et ses passes ont été ordinaires. Bref, toujours pas au niveau espéré, pour moi.
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Chez Robben aussi ça se voyait .
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Championnat FC Metz 0 - TFC 1 / 18è journée de L1
Gollum a répondu à un Modérateur de Gollum dans Espace supporters
Oui, Kamanzi, c'est compliqué (le moins bon téféciste hier, selon moi). Bien que je ne sois pas client de l'argument de la "confiance" pour expliquer les difficultés des joueurs, j'y serais enclin le concernant. Je pense qu'il vaut mieux que ça mais il serait quand même temps que ça se voie... -
Compliqué dans... l'impact ????? OK . Il est partout, au milieu, en défense, en attaque, il jugule une quantité industrielle de mouvements adverses et c'est lui qui donne le ballon décisif à Sierro sur un amour de talonnade. Mais à part ça, oui, il doit progresser .
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Championnat FC Metz 0 - TFC 1 / 18è journée de L1
Gollum a répondu à un Modérateur de Gollum dans Espace supporters
Inestimable. On peut discuter à loisir de la manière mais ce match à Metz ne livre qu'une vérité et elle est inestimable : le TFC a pris trois points chez un rival direct (de chez direct...). C'est l'indice qu'en dépit de toutes ses limites footballistiques, ce TFC continue de croire en son destin et de se battre. Or, ses limites foot ne le situent pas au-dessous d'un FC Metz. Et pas forcément au-dessous d'une grosse poignée - voire plus - d'autres équipes de L1. En revanche, il lui manquait jusqu'ici un savoir faire absolument fondamental : savoir gagner. Il suffit de se remémorer le nombre de points envolés en fin de rencontre pour prendre la mesure de cette incompétence là, potentiellement mortelle. Mais hier, le TFC a su gagner et c'est... inestimable. Savoir gagner, ça commence par un péno enfin converti : il suffisait sans doute de le donner à un Sierro plutôt qu'un Dallinga. Ensuite, cela suppose quand même de tenir tout un match ou presque sans se faire égaliser et au vu de notre ouverture précoce du score, autant l'avouer, je n'aurais pas parié un centime sur cette éventualité. Et pourtant, c'est arrivé : un arbitrage clément et la maladresse de l'adversaire, heureusement prévisible chez un promu, l'expliquent largement. Mais il aura fallu que même dans les moments compliqués du match, l'équipe continue de s'arracher pour "faciliter" cette maladresse messine. Parce qu'exécuter une frappe quand tu as un Suazo ou un Mawissa dans les pattes, c'est tout de suite moins facile... De surcroît, la première période est intéressante : elle témoigne d'une gestion intelligente de l'avantage précocement acquis. La facilité qu'ont eue nos joueurs à faire circuler le ballon, très souvent en une touche, a fini par considérablement énerver des Messins incapables de l'attraper. Sur cette première période, je dois d'ailleurs rehausser les actions de Gelabert, que j'ai suffisamment taillé ici pour ne pas reconnaître sa bonne première période d'hier (et pourtant j'ai lu des commentaires mitigés sur sa prestation, ce que je trouve sévère). Gelabert n'a cessé de bouger, de dézoner, de se proposer, offrant un relais en une touche ou deux à ses partenaires. Il a donc gommé deux défauts criants : un placement trop prévisible et surtout, une propension exaspérante à vouloir tripoter le ballon sans en avoir les moyens. Il faut y ajouter sa générosité défensive, au demeurant habituelle. Par instants, les combinaisons Suazo-Gelabert-Sierro ont parfois rappelé le fameux triangle latéral des années Montanier. Pas de quoi s'exciter non plus mais ce souci de faire vivre rapidement le ballon doit être signalé. La seconde période est évidemment plus difficile. Les Messins montent le curseur et on joue nettement plus péniblement, sous pression. C'est là que l'apport d'un Casseres - notre meilleur milieu sur l'ensemble de la saison, pour moi - s'est avéré précieux, à côté d'un Sierro rayonnant (je suis nettement plus mitigé sur Spierings, comdab...). Malgré quelques pertes de balle, le boulot abattu par Casseres, le secours qu'il apporte à ses défenseurs pèsent au final très lourd dans ces trois points. Offensivement en revanche, le match d'hier n'a rien montré de plus que le reste de la saison : dans l'ensemble, c'est compliqué. On s'est bien créé quelques grosses occases à 11 contre 10 mais les Messins ont plus de situations nettes que nous et c'est un peu miracle, avouons-le, si on se fait pas égaliser. Disons que la prestation d'hier, face à l'une des formations les plus faibles du championnat, valide les renforts que nous apporteront Gboho - virevoltant hier même si sa puissance fait question. - et Babicka. Last but not least, il n'y a pas de bonne saison téféciste sans révélation pitchounesque. Or, à un poste suscitant l'inquiétude à l'heure de la CAN, Mawissa a (presque) parfaitement tenu la baraque. Ses interventions sont tranchantes, ses jaillissements sont précieux - c'est un dragster - et ses relances ont été propres. Sous la mitraille messine de début de seconde période, il ne s'est jamais démonté. Pour moi, c'est comme une troisième recrue cet hiver. Il va nous faire du bien. -
Une demi-heure et Strasbourg était totalement inoffensif, même face à un mauvais TFC. Bien sûr, on peut se dire qu'en fin de match, on aurait pris notre but syndical. Ce n'est pas tout à fait une raison pour flinguer un match en faisant une passe décisive à l'adversaire alors qu'il ne se passait rien.
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J'y ajoute les deux passes suicidaires (interceptées et converties en but adverse) de Schmidt contre Strasbourg et Lens, qui ne coûtent qu'un point mais dans un championnat serré, ça fait beaucoup.
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Bangré a quand même un souci bien à lui, je trouve. OK pour Begraoui, qui est un peu son équivalent et qui devrait d'ailleurs partir. Mais même Gelabert, dont j'ai dit à quel point le le trouvais insuffisant, a montré plus de choses que Bangré lors de ses apparitions. À la base, je suis plutôt fan de Bangré et j'étais content qu'il ait sa carte à jouer en début de saison. Mais à l'épreuve du feu, il s'est toujours montré très mais alors très en deçà des attentes. On ne peut pas être aussi faible, techniquement, à ce niveau. Tout est approximatif voire raté chez lui, à commencer par ses prises de balle. Et je n'oublie pas son loupé "génial" à Marseille, qui résume à soi seul cette insuffisance abyssale. Il a juste un énorme problème de cap. C'est infiniment regrettable mais je me félicite que le club profite de l'hiver pour remplacer deux joueurs dont il n'y a rien à attendre (Bangré et j'espère Begraoui) par deux autres susceptibles d'apporter la plus-value dont on a besoin.
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Oui, c'est bien le petit nombre qui me surprend. Mais en effet, comme tu me le rappelles opportunément, les équipes de L2 partent de loin et l'historique que tu me donnes le confirme. Je pensais que la L2 était mieux représentée à ce stade de la compétition, dont acte .
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Ce massacre, en L2...
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Disons que tous les Toulousains sortent un match XXL. C'était une boucherie et le LOU peut franchement s'inquiéter, d'autant que les "petits" du championnat ne sont manifestement pas disposés à faire de la figuration. Bituniyata est une sorte de Meafou des lignes arrières. Un tout droit qui dépare franchement dans la culture stadiste mais tant qu'il gagne les duels, y'a pas plainte (d'ailleurs, à Castres, son équivalent de devant - Meafou, donc - avait croqué le même surnombre en fin de match). C'est pas mal d'avoir cette variété de profils, au final.
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Il en a sorti quelques-uns, comme ça. Pour moi, c'est LA recrue de l'été.
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Je te donne le point : elle est plus dangereuse que dans mon souvenir, c'est vrai (je pensais que Donnaruma l'avait captée plus facilement). C'est une vraie frappe .
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Une frappe cadrée que Donnaruma capte sans la moindre difficulté. "Superbe frappe" me semble un chouia survendu .
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Je suis hélas d'accord. Mais l'espoir fait vivre et c'est bien le seul dont nous disposons, à un poste qui n'a pas de substitut concevable dans le système novellien...
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Le repositionnement axial est en effet une évidence car l'option Novell, c'est un jeu intérieur. Mais pour ça, il faut une précision et/ou un punch dont on est à peu près totalement dépourvus. Et il suffira à n'importe quel coach de L1 de mettre un milieu sur les basques de Gelabert pour que celui-ci perde complètement pied. Or au foot, perdre pied, c'est emmerdant .
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Je sais que, sur ce forum, on aime ce genre de joueur (et peut-être sur tous les forums). Mais sa lenteur de jambes et de passe est juste rédhibitoire, à ce niveau. Il est lent et emprunté en tout. On pourrait alors en attendre de la justesse mais même pas, témoin cette passe foirée pour Dallinga en seconde période. Tu as raison, c'est abusé de supputer qu'il pourrait avoir le niveau L2. En National, peut-être pourrait-il exister...
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Sans lui, on ramassait nettement plus cher, ce soir... Une abnégation indispensable et une prestation défensive qui va nous faire regretter son départ à la CAN...
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Défaite aussi logique que prévisible, pour un match qui n'avait pour moi qu'un seul mérite : rappeler - voire célébrer - que le TFC avait remporté un titre hexagonal la saison dernière et surfer sur ce beau souvenir. Le reste, c'était une victoire programmée du PSG, a fortiori à domicile. La seule question résidait dans le visage qu'on montrerait. J'avais l'intuition qu'on pouvait embêter les Parisiens, en m'appuyant sur les quelques bonnes prestations que le TFC novellien avait pu sortir contre les gros, cette demi-saison. De ce point de vue, je reste quand même largement sur ma faim, la faute à une première période quasi ignoble - et tant de fois soufferte, cette saison... - que la seconde n'a pas franchement rattrapée. Bien sûr, on pourra toujours dire que les Parisiens ont dicté le tempo du match, imposé leur supériorité technique et logiquement plié le match en première MT. Ce n'est d'ailleurs pas faux car sur cette première MT, je peux quasiment tout reprocher aux Toulousains, sauf les buts encaissés, qui sont plutôt bien joués par l'adversaire. Mais pour le reste - et notamment avec le ballon - cette première période téféciste a exhumé le pire de l'ère Novell : un milieu de terrain pathétique, une équipe subissant absolument toutes les décisions adverses, un collectif attentiste, passif et pour tout dire, paumé au point de multiplier les passes en retrait aberrantes lorsqu'il avait le ballon, comme angoissé à la seule idée de jouer un peu au foot, si ce n'est en deux occasions d'ailleurs plutôt bien jouées par Suazo puis Dallinga. Le visage montré en première période est celui d'une équipe sans idée, sans ressource, privée du moindre argument physique et technique, face à des Parisiens il est vrai résolus à faire le job et pratiquant un pressing plus consistant que d'habitude. Seule est demeurée la solidarité du désespoir, dans un collectif gangrené par l'apathie du duo Spierings-Sierro et l'insignifiance de ce pauvre Gelabert, que chaque sortie éloigne toujours plus de quelque chose ressemblant au "niveau L1". Dans cette longue nuit de 45 minutes, deux éclairs toutefois : faut-il donc que le TFC soit aussi mauvais pour donner l'impression d'être presque réaliste quand il a des occases ? Parce que le ballon impossible que Suazo parvient à rabattre près du poteau de Donnaruma et le tir premier poteau de Dallinga que le portier parisien détourne in extremis, c'est franchement bien joué. Après une telle bouillie, la seconde période ne pouvait être que meilleure, face à des Parisiens en mode gestion (sauf Hakimi, qui met manifestement un point d'honneur à sortir ses meilleures prestations contre nous...). Et elle le fut, dans de vastes proportions. C'est même peu dire qu'avec nettement plus de punch, de vitesse, d'allant, de foi en leur football, les Toulousains ont carrément mis en difficulté leur adversaire, lequel s'en est remis à l'envergure de son gardien, la maladresse de nos joueurs - mon Dieu mais ce tir de Casseres seul face à Donnaruma... - et un brin de réussite pour ne pas avoir, soit à douter, soit à réappuyer sur l'accélérateur pour sécuriser son titre. Dommage de ne pas avoir mis un but, vraiment, mais n'est-ce pas, au fond, la fatalité toulousaine de cette demi-saison ? À part en coupe d'Europe, on a globalement droit, soit à un TFC consternant incapable de pratiquer un football digne de la L1, soit à un TFC nettement plus réjouissant mais souffrant d'un énorme souci d'efficacité dans les deux surfaces. Ce soir, ce n'est pas grave car nul ne se soucie de ce "trophée" fantoche (même si on l'avait gagné, franchement...). Mais ce match rappelle à quel point notre TFC est loin d'avoir le cul sorti des ronces : car si on continue à concéder des buts en jouant comme des pipes, sans en marquer quand on joue bien, l'issue de cette saison ne fait hélas aucun doute. Allo, Président ? De ce match, un enseignement intéressant, quand même : il est grand temps, pour Novell, d'acter qu'en dépit de son abnégation, Gelabert n'est pas invité au niveau où joue le TFC (je ne suis même pas certain que ce joueur ait le niveau L2). Schmidt, de son côté, semble out pour un moment. Or, en quelques minutes, Skytta a montré des choses intéressantes dans tout ce dont manque ce TFC novellien : du punch voire de la justesse. Certes, Skytta est une arlésienne téféciste, un espoir maintes fois annoncé et toujours déçu : et si 2024 constituait l'aboutissement heureux d'une si longue attente, le concernant ? Pour moi, en l'état de notre effectif (et de nos manques), il a clairement une carte à jouer, à un poste fondamental (où, si j'ai bien suivi, on ne prévoit pas de recruter). Il a, en tout cas, gagné le droit d'être revu.
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C'est peu dire... Les 20 minutes en question, je pense que ça n'a jamais existé sous Mola... Irréel. Mais la capacité de réaction de l'équipe est remarquable quand même, parce que renverser la vapeur après une grêle pareille, faut le faire. Notamment, le fait que Neti ait embrouillé le côté droit de la mêlée toulonnaise a permis de soulager ce pauvre Laulala de la misère qu'il était en train de ramasser face à Priso... Il faudra aussi que Mauvaka songe à une reconversion. C'est un top troisième ligne mais au talon, il faut réussir un lancer de temps en temps...
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Synthèse des 4 derniers posts : Ekelund = année de merde Allo = match de merde Dide = mi-temps pourrie Ekelund = match de merde C'est beau l'esprit de Noël .