Aller au contenu

Gollum

Membres
  • Compteur de contenus

    18441
  • Inscription

  • Dernière visite

Tout ce qui a été posté par Gollum

  1. Jouissif ! Et tellement inattendu à la mi-temps... Une saison qui reprend, c'est toujours une curiosité infinie. Deux (voire trois) mois de sevrage, des équipes recomposées et côté TFC, une intersaison à la RedBird, c'est-à-dire à la fois déconcertante (un gardien et un milieu non reconduits, un coach éconduit...) et obéissant pourtant à une stratégie de consolidation. Donc, un mélange de perplexité et d'espérance. Il faudra quelques semaines avant de tirer des enseignements mais cette entrée en matière donne quelques impressions. Et trois points, accessoirement, là où il aurait été malvenu de n'en prendre aucun... Alors bien sûr, y'a deux mi-temps : la première est conforme aux inquiétudes de l'intersaison. Un milieu sans idée et sans rythme, qui m'a parfois rappelé le style casanovesque, auquel il faut ajouter une compo d'emblée bizarre, avec cette doublette Diarra-Suazo pas franchement convaincante sur le côté gauche (je n'ai pas trouvé l'entrée de Chaibi plus convaincante, d'ailleurs). Et puis une seconde période où on joue d'emblée plus haut, avance sur l'adversaire et inévitablement, lui fait mal. Plus de variété dans les appels, un savoir faire retrouvé dans la circulation rapide et hop, une égalisation qui vient d'Aboukhlal, auteur d'un match épouvantable jusque là (Aboukhlal, c'est un peu comme RedBird : on ne comprend pas vraiment comment ça fonctionne mais ça fonctionne ). Un Suazo plus impliqué dans la construction, un gros Desler (s'il reste chez nous, je ne pense pas que Kamanzi lui passera devant) et un collectif qui, globalement, termine physiquement mieux la rencontre (Casseres a eu un baptême du feu compliqué mais il galopait encore à la 95ème...). Mais Restes a quand même permis de sauvegarder cette précieuse victoire : le garçon a du jump, c'est évident. À revoir, notamment lorsque la pression se fera plus constante sur notre but. On doit espérer qu'il fasse oublier Dupé parce que l'option gardien qui se profilait en juin dernier n'était pas vraiment de nature à me rassurer. Mais la grande inconnue de ce TFC RedBird de l'an IV, c'est évidemment le milieu. Il aura moins de fulgurances, moins d'inspiration que son devancier, c'est quasiment acté. Mais on peut espérer plus d'impact, de densité, de percussion, avec une montée en gamme physique. Nous n'en sommes qu'à la première journée: mais qu'il s'avère convaincant ou décevant au fil des mois, ce TFC RedBird n'a rien perdu de son art du teasing...
  2. Je serais étonné qu'on n'en soit pas tous là... Voir un joueur majeur renforcer un "concurrent", c'est terriblement frustrant mais bon...
  3. Après, est-ce que parmi les bêtises qu'ont faites les Rochelais, y'a pas celle de ne pas avoir contesté les touches toulousaines ?? J'ai trouvé ça curieux...
  4. C'était relativement attendu... Je pense que les Rochelais sont plus forts, dans le sens que sur 10 matches, ils gagneront 7 fois. Sur la touche, bizarrement, c'est Toulouse qui remporte la mise (je pense que les Stadistes ont 100% sur leurs lancers et en prennent deux à la Rochelle) mais la perspective de se faire dominer par la mêlée rochelaise était réelle et s'est méchamment vérifiée. Mais c'est là qu'on voit que même en rugby, où la vérité du terrain est autrement plus rude qu'en foot, les choses ne se jouent pas sur les stats et la data (je ne vise personne ). Y'a de l'invisible, de l'indicible, la glorieuse incertitude du sport. On peut appeler ça "foi", "expérience des grands rendez-vous" voire "cohésion" tant les Stadistes se dépouillent corps et âme pour leurs copains (et je pense que ce sont de vrais copains). Et puis y'a 80 minutes et quand tu n'as pas tué ton adversaire au cours des 78 premières, tu peux pas franchement l'empêcher de te donner le coup de grâce à la fin. Je compatis aux boules légitimes des Rochelais mais ce qu'a réussi cette équipe toulousaine, ça reste magnifique .
  5. Je crois me rappeler que j'avais fait la blague au moment de son recrutement, en postant la photo (sur ce topic ou celui de la saison dernière car la date de son arrivée m'échappe)... Pas faux. Je pense que La Rochelle paie assez cher la sortie de trois joueurs majeurs (Bothia, Boudehent, Kerr Barlow). Le Stade a pu coacher de façon habituelle, voire rationnelle, sans toucher à ses joueurs fondamentaux (à Willis près). La Rochelle a sorti trois joueurs majeurs sur crampes ou épuisement. Avec Bothia, il est quasi certain que Ntamack se fait choper... Les Rochelais ont une finale de coupe d'Europe en plus et un jour de récup en moins que les Toulousains. À la marge, ça a pu jouer et le match s'est justement joué à la marge...
  6. Disons que l'objectif de toute défense, c'est d'empêcher l'adversaire de prendre de la vitesse. Ce que fait Seuteni est donc un quitte ou double, ce qui montre que les Rochelais ne sont pas sereins à cet instant du match. Car en ratant sa rush défense, il donne de la vitesse à Ntamack. Après, tu n'as pas tort, Ntamack est à un contre trois et Leyds rate complètement son placage. Il y a évidemment double erreur défensive sur l'action mais en matière de mètres gagnés, Ntamack n'en est pas à son coup d'essai. Pour un mec ni rapide, ni puissant, ni doté d'appuis, il doit quand même avoir un petit quelque chose de déconcertant . C'est déjà le cas en demie. Voire chaque fois qu'il joue. Ce type est énorme (et il harangue tout le monde comme s'il était capitaine...).
  7. Au rugby, un match pas mérité, c'est rare. Quand c'est aussi serré, ça peut s'admettre mais il faut un arbitrage vraiment partial (à la Barnes). Bien sûr que La Rochelle domine : en possession, en occupation, en mêlée, dans les duels aériens. C'est même tellement manifeste qu'en réalité, il est hallucinant que Toulouse n'ait jamais été distancé, dans ce match. Mais y'a d'autres vertus, au rugby. D'abord, le Stade a mis une sorte de pression mentale sur son adversaire. C'était un message du genre "OK, vous nous cassez le dos mais on est là, on tient, on lâche rien et la moindre pénalité, on vous met trois points". Comdab, La Rochelle n'a pas bien géré son match, mentalement : outre les buts ratés d'Hastoy, y'a quand même des décisions curieuses, telles que cette touche jouée rapidement pour Dulin, seul contre trois défenseurs. Je pense que côté rochelais, l'air de rien, ça use un peu. Et ensuite, y'a le match monstrueux des Toulousains en défense. En première MT, cette défense leur rapporte deux contres énormes que Roumat et Ntamack foirent respectivement (alors que le contre est censé être la spécialité stadiste). Je pense qu'il y a un dernier aspect : le banc toulousain n'a pas affaibli l'équipe (quand un Flament rentre, ça aide forcément) alors que La Rochelle fait sortir Bothia, Boudehent et Kerr-Barlow (trois des quatre meilleurs Rochelais, pour moi, avec Dulin). En fin de match, ça peut avoir son importance. Au final, ça reste irrationnel, c'est évident (y'a quelques décisions arbitrales discutables) mais je ne dirais pas "pas mérité". C'est aussi intéressant pour l'EDF : techniquement, quand tu vois le match de Ntamack (pendant 78 mn...) et celui de Ramos, tu te demandes comment ils sont titulaires en bleu. Mais mentalement, ces mecs sont encore vivants 5 mn après la fin du match . Hier, les Stadistes n'étaient peut-être plus tout à fait des top joueurs. Mais, plus que jamais, ils restent des champions d'une trempe exceptionnelle. Et cette foi aura son importance quand, cet automne, l'EDF devra disputer un rugby de très haute altitude. Balle en main, il a été désastreux pendant 78 mn. Et j'aurais même tendance à dire que c'est pas si inhabituel. Quand il se troue, il fait pas semblant. Mais ce que dit @Alfcatsur sa défense est juste. Or, c'est là-dessus que le Stade construit sa victoire. Y'a pas beaucoup d'ouvreurs qui peuvent défendre comme ça... Jusqu'à ce 50-22 qu'il sauve de manière magistrale, en seconde période. Sa défense ne peut pas occulter son déchet mais l'inverse est vrai et son match est donc compliqué à juger, sans même évoquer son exploit final...
  8. J'étais complètement indécis, pour ma part et quelque part, le match a correspondu à ce qu'on pouvait en attendre : La Rochelle était plus fort, on ne peut pas s'en étonner quand on sait (et ici, on le sait), que le Stade de cette saison n'est pas au top niveau jeu (et que La Rochelle s'est tapé le Leinster en Irlande, c'est-à-dire presque rien ). Mais y'avait aucun doute que les Stadistes feraient montre d'une détermination de tous les instants, d'un mental d'acier, auraient suprêmement envie d'aller chercher un titre, a fortiori contre l'adversaire devenu son grand rival national. Et des Stadistes au taquet, j'ai beau lire/entendre que leur victoire est un hold-up, un braquage et toussa, faut quand même se les faire... Hypothèse audacieuse : voyons ce qu'il en est. 1. Il n'y a qu'en 1957 que le cas aurait pu se produire. Et j'avoue ne pas savoir qui a gagné le Brennus cette année là. Ça reste donc jouable, à ce Stade (). 2. En 1957, le Stade de France n'avait pas été construit. Mince. Donc, probablement inédit, en effet .
  9. Je partage tout ça, au premier mot près, à savoir que je ne sais pas si c'est une "mauvaise décision" (je ne me mouille pas) et d'ailleurs, tu pointes un savoir-faire RedBird qui empêche justement d'être aussi catégorique. Mais bon, intimement, j'ai le même sentiment que toi. Y'a un argument supplémentaire en ce sens : Comolli insiste beaucoup sur l'attractivité du TFC, le beau jeu, la communion avec les supporters. Pas sûr que limoger des cadres à jamais associés à une saison historique soit très cohérent avec cette priorité là. Une chose me paraît certaine : Comolli mise tout sur l'efficacité de ses méthodes, de sa stratégie mais si ça ne va pas dans le bon sens, il perdra sur les deux tableaux : l'efficacité et l'affect.
  10. On n'en sait trop rien, justement : mais il y a deux saisons, l'éviction de Garande correspond à la non atteinte de l'objectif, alors que la saison est bonne et que la non montée se joue à rien, voire à une décision d'arbitrage en barrage. Certes, la comparaison avec la saison de Montanier est ténue mais si Comolli est persuadé de pouvoir faire mieux avec un autre coach, la décision peut avoir un fondement rationnel (une rationalité à l'américaine). L'éviction de Debève, par exemple, correspond à un moment compliqué de notre saison (et c'est dans la foulée que le TFC assure son maintien, sur deux mois exceptionnels). Comolli donne quand même l'impression d'être un data fanatique et ça peut parfaitement fonder son management. Mais on lit/entend tout et n'importe quoi : soucis relationnels, insatisfaction de Montanier, problèmes de vestiaire, gestion contestable de l'effectif, tout est possible, voire enchevêtré.
  11. Possible mais pas sûr : le fait de définir des objectifs stricts et de trancher en fonction, c'est bel et bien du management US. Ça peut tout à fait correspondre à la réalité. "Ça n'a pas de sens" pour nous, Français, aurais-je tendance à dire mais pour les décideurs, c'est autre chose. Nul ne peut cependant l'affirmer et donc, tu as peut-être raison : on peut par exemple supposer que le sort fait à certaines recrues data n'aura pas plu à Comolli ?
  12. Du management à l'américaine. On a quelque peine à s'y habituer. Entre le limogeage du coach (apparemment acté) et la non reconduction de nos joueurs clés (Dupé, je pige pas...), je suis comme tout le monde : scié. Et l'argument selon lequel la data aurait "dit" que 13ème, c'est une place décevante, comment dire . Quand tu vois où sont les autres promus... Les faiblesses de Montanier ont souvent été pointées, ici. Les limites de notre milieu de terrain belgo-batave aussi. Mais je ne suis pas sûr que le signal envoyé soit particulièrement efficace. Sadran retenait les joueurs contre leur gré, RedBird semble s'en débarrasser de la même manière. Mais ça marche. Depuis trois saisons, la méthode RedBird ne peut pas être critiquée. Le TFC progresse de saison en saison, après pas mal de décisions aussi peu compréhensibles que celles de ce mois de juin. En outre, on a souvent raillé le club pour son manque d'ambition : difficile de reprocher ça à RedBird (le nouveau coach a intérêt à gagner l'EL sans quoi,il ne passera pas l'été... ). J'espère juste que quand couac il y aura, la direction saura admettre que le foot n'étant pas une science exacte, data ou pas, certains modes opératoires gagneront à être remis en question...
  13. Massacre à la tronçonneuse...
  14. Je suis solidaire concernant Lebel (même si je vois pas bien qui on aurait mis à sa place compte tenu de l'infirmerie toulousaine, derrière...). Beaucoup de maladresses de part et d'autre (beaucoup de déchet de Dupont) mais le Racing est physiquement et mentalement détruit...
  15. On a bien fait de le tailler lors du dernier match .
  16. Je crois que c'est acté. Personne ne l'a relevé mais le match d'hier a consacré sa pleine réhabilitation : déjà, il a accepté de porter un numéro rose. Le message me paraît donc clair. Mais en plus, Aboukhlal porte le 6. Or, Montanier a fait rentrer notre 9 rose, et ce n'est pas arrivé souvent cette saison. Du coup, Aboukhlal et Rhys, le brun et le blond, ont formé un 69 rose sur le front de l'attaque. Y'a besoin d'une autre symbolique ? Décidément, ce club prévoit tout .
  17. Il est surtout libre, Max. En l'occurrence, c'est dommage 😪.
  18. Clap de fin, le rideau tombe sur une saison et une équipe qui auront marqué l'histoire du club. Et pour une dernière, nos Toulousains nous auront gratifié d'une magnifique sortie, ponctuée par l'événement dont tout le monde avait rêvé sans réellement oser l'espérer : le but victorieux de Rhys à l'ultime seconde . Il y a décidément quelque chose d'épique dans cette équipe toulousaine, qui a non seulement le sens du spectacle mais celui du scénario. Comolli n'a pas à s'inquiéter pour le budget des saisons futures : son TFC a quelque chose d'hollywoodien et il ne devrait donc pas tarder à toucher des droits d'auteur . Est-il fortuit, voire seulement rationnel qu'un Ratao aux fraises complet - non mais quelle entrée épouvantable...- soit le passeur décisif, sur le but de Rhys ? Oui, dans cette équipe téféciste, il y a quelque chose du rêve américain, à commencer par un instinct de survie qui nous assure ce maintien tranquille, quand nos deux compagnons de route de la saison dernière retournent de là où ils sont venus (la montée en L1 relèvera désormais des travaux d'Hercule, vu le pedigree des clubs qui se l'arracheront...). Depuis la finale de coupe, le TFC a sans doute perdu de son flambant offensif, la faute à des attaquants peu inspirés (ce dernier match ne nous aura pas fait oublier combien Ratao pouvait être fantomatique et Aboukhlal, maladroit). Mais ce que l'équipe y gagne en punch et en densité est incroyable. Nos dernières prestations ne paient peut-être pas de mine mais elles sont révélatrices d'une métamorphose, sans doute de ce qui annonce la saison prochaine : une nette élévation du curseur physique. Si l'on excepte la fin de match et l'entrée tonitruante du jeune Monégasque (qui aura fait très mal mais dont j'ai oublié le nom), les Toulousains ont mangé leur adversaire dans l'intensité, alors que nous n'avions que la 13ème place à assurer et que Monaco jouait l'Europe. Je me demande d'ailleurs si nos Toulousains n'ont pas la mémoire longue, et n'avaient pas envie de gentiment se venger du match aller : car comme ça, à brûle pourpoint, si je devais élire un match cauchemar de notre saison, celui au stadium contre Monaco arriverait en tête de liste (pire qu'à Marseille ou les sèches défaites contre Lens ou Paris). Ce TFC arrive donc au sommet de sa maturité collective, alors que la saison se termine. Il faut souhaiter que ce soit un acompte de la saison qui vient car dans ces dispositions, il ne pourra rien lui arriver. Mais d'ici là, l'équipe aura changé de visage et on a donc le temps de voir. Hier, the cherry on the cake aura été l'entrée et surtout le but de Rhys, particulièrement affûté (il est fit de chez fit...) et fêté par ses coéquipiers. On dit qu'il pourrait rester la saison prochaine. Après la légitime morosité qu'auront inspirée les départs de nos monstres sacrés, ce serait une sacrée nouvelle. Mais justement, je ne peux pas m'empêcher de terminer sur une note de mélancolie. Comme tout le monde, nos belgo-bataves vont me manquer. Mais en voyant l'énième prestation XXL de Dupé, hier soir, je me demande si ce n'est pas lui qui me manquera le plus. La mélancolie, paraît-il, c'est le bonheur d'être triste. C'est un peu ça, le TFC Red Bird. Le bonheur d'être triste de tourner la page d'un beau livre, le bonheur d'être triste d'avoir été fier et... heureux. Alors... à bientôt pour de nouvelles aventures !
  19. C'est quand même curieux que ça tombe sur Kremer, ça lui ressemble pas . Match faussé, donc mais beau visage donné par les Parisiens. D'ailleurs, avant le match, je pensais que le Racing était le plus compliqué des 4 barragistes (mais j'ai tendance à les surestimer, on a tous nos biais cognitifs ). Quand je vois la perf parisienne et notamment leur mêlée, je change un peu d'avis. Je pense que le Racing a un potentiel de champion mais que ce n'est pas forcément le pire adversaire pour une équipe comme Toulouse. Parce que si les Stadistes avaient dû affronter la mêlée parisienne, sachant notre extraordinaire efficacité en touche, m'est avis qu'on aurait pas forcément beaucoup vu le ballon...
  20. C'est peu dire que le "coup" semble "léger". Soit il s'est passé autre chose qu'on n'a pas vu (ça m'étonnerait), soit la scène se déroule alors que le joueur est déjà surexcité et ça peut déclencher le genre de réaction que tu dis, soit les médecins l'ont jouée risque zéro (si j'ai bien compris, y'avait un urgentiste et le médecin de Rodez. Ce dernier peut avoir intérêt à faire arrêter le match - on ne peut exclure un opportunisme des Ruthénois - mais pas le premier. Maintenant, quand je vois, en rugby, ce qui entraîne un protocole commotion, je me dis que le moindre soupçon de contact peut entraîner des précautions extrêmes et que c'est sans doute ce qui s'est passé).
  21. Ah mais le beurre, ça compte !!!!! C'est bien pour ça qu'il est difficile d'avoir le beurre et l'argent du beurre .
  22. C'est un peu comme dire que 70%-80% de réussite sur les pénos que tu obtiens, c'est bien. Le bon chiffre, c'est pas le pourcentage de réussite sur une phase de jeu que tu es censé maîtriser presque à tout coup (il est cependant possible que y'ait une baisse tendancielle sur les moissons en touche) mais ton score relatif. Je lis (Forrest) que le Stade serait 8ème, en top 14. Y'a donc comme un souci (mais il suffit de regarder les matches ). Ceci dit, être premier de la phase régulière avec un tel déficit, c'est méritoire. Et en contrepartie, les Stadistes ne sont pas forcément les plus mauvais au contre...
  23. J'aurais dit qu'il s'aggrave mais justement, ce n'est plus un mystère. Je me demande combien on est au classement des touches gagnées sur nos lancers, en top 14. 14ème ne m'étonnerait pas mais j'exagère sans doute . On a pourtant les deux lanceurs de l'EDF. De quoi émouvoir Galthié ?
×
×
  • Créer...

Information importante

Nous avons placé des cookies sur votre appareil pour aider à améliorer ce site. Vous pouvez choisir d’ajuster vos paramètres de cookie, sinon nous supposerons que vous êtes d’accord pour continuer.