Aller au contenu

Paroles De Chansons Tristes...


will_n°8

Messages recommandés

SI SEULEMENT JE POUVAIS LUI MANQUER CALOGERO

Il suffirait simplement, qu'il m'appelle, qu'il m'appelle

D'où vient ma vie, certainement pas du ciel

Lui rappeler mon enfance, son absence, tous les jours

Comment briser le silence , qui l'entoure

Aussi vrai que de loin je lui parle,

J'apprends tout seul à faire mes armes,

Aussi vrai qu'j'arrete pas d'y penser,

Si seulement je pouvais lui manquer

Est-ce qu'il va me faire un signe,

Manquer d'amour n'est pas un crime

J'ai qu'une prière à lui adresser

Si seulement je pouvais lui manquer

Je vous dirais simplement, qu'à part ça tout va bien,

A part d'un père, je ne manque de rien

Je vis dans un autre monde, je m'accroche tous les jours,

Je briserai le silence qui m'entoure

Aussi vrai que de loin je lui parle,

J'apprends tout seul à faire mes armes,

Aussi vrai qu'j'arrete pas d'y penser,

Si seulement je pouvais lui manquer

Est-ce qu'il va me faire un signe,

Manquer d'un père n'est pas un crime

J'ai qu'une prière à lui adresser

Si seulement je pouvais lui manquer

Est-ce qu'il va me faire un signe,

Manquer d'un père n'est pas un crime

J'ai qu'une prière à lui adresser

Si seulement je pouvais lui manquer

Lien vers le commentaire

Une de mes chansons préférées:

Jeff Buckley - Dream Brother

There is a child sleeping near his twin

The pictures go wild in a rush of wind

That dark angel he is shuffling in

Watching over them with his black feather wings unfurled

The love you lost with her skin so fair

Is free with the wind in her butterscotch hair

Her green eyes bloom goodbyes

With her head in her hands and your kiss on the lips another

Dream brother

With your tears scattered round the world.

Don't be like the one who made me so old

Don't belie the one who left behind his name

'Cause they're waiting for you like i waited for mine

And nobody ever came

I feel afraid and i call your name

I love your voice and your dance insane

I hear your words and i know your pain

Your head in your hands and her kiss on the lips of another

Your eyes to the ground

And the world spinning round forever

Asleep in the sand with the ocean washing over

La version qui se trouve sur l'album Mistery white boy est vraiment superbe :grin:

Lien vers le commentaire

une chanson de Barbara reprise par Bénabar en Live, j'avais déjà dû en parler au moment du passage du concert sur france 2 mais j'en reparle aujourd'hui pour la sortie du live :grin:

chanson tout bonnement prodigieuse :ninja:

Voilà combien de jours, voilà combien de nuits,

Voilà combien de temps que tu es reparti,

Tu m'as dit cette fois, c'est le dernier voyage,

Pour nos curs déchirés, c'est le dernier naufrage,

Au printemps, tu verras, je serai de retour,

Le printemps, c'est joli pour se parler d'amour,

Nous irons voir ensemble les jardins refleuris,

Et déambulerons dans les rues de Paris,

Dis, quand reviendras-tu,

Dis, au moins le sais-tu,

Que tout le temps qui passe,

Ne se rattrape guère,

Que tout le temps perdu,

Ne se rattrape plus,

Le printemps s'est enfui depuis longtemps déjà,

Craquent les feuilles mortes, brûlent les feux de bois,

A voir Paris si beau dans cette fin d'automne,

Soudain je m'alanguis, je rêve, je frissonne,

Je tangue, je chavire, et comme la rengaine,

Je vais, je viens, je vire, je me tourne, je me traîne,

Ton image me hante, je te parle tout bas,

Et j'ai le mal d'amour, et j'ai le mal de toi,

Dis, quand reviendras-tu,

Dis, au moins le sais-tu,

Que tout le temps qui passe,

Ne se rattrape guère,

Que tout le temps perdu,

Ne se rattrape plus,

J'ai beau t'aimer encore, j'ai beau t'aimer toujours,

J'ai beau n'aimer que toi, j'ai beau t'aimer d'amour,

Si tu ne comprends pas qu'il te faut revenir,

Je ferai de nous deux mes plus beaux souvenirs,

Je reprendrai la route, le monde m'émerveille,

J'irai me réchauffer à un autre soleil,

Je ne suis pas de celles qui meurent de chagrin,

Je n'ai pas la vertu des femmes de marins,

Dis, quand reviendras-tu,

Dis, au moins le sais-tu,

Que tout le temps qui passe,

Ne se rattrape guère,

Que tout le temps perdu,

Ne se rattrape plus...

Lien vers le commentaire
  • 4 semaines plus tard...
Comme un marin je partirai

Pour aller rire chez les filles

Et si jamais tu en pleurais

Moi j'en aurais l'âme ravie

Comme un novice je partirai

Pour aller prier le bon Dieu

Et si jamais tu en souffrais

Je n'en prierais que mieux

Tu n'as commis d'autre péché

Que de distiller chaque jour

L'ennui et la banalite

Quand d'autres distillent l'amour

Et mille jours pour une nuit

Voilà ce que tu m'as donné

Tu as peint notre amour en gris

Terminé notre éternité

Comme un ivrogne je partirai

Pour aller gueuler ma chanson

Et si jamais tu l'entendais

J'en remercierais le Démon

Comme un soldat je partirai

Mourir comme meurent les enfants

Et si jamais tu en mourais

J'en voudrais revenir vivant

Et toi tu pries et toi tu pleures

Au long des jours au long des ans

C'est comme si avec des fleurs

On ressoudait deux continents

L'amour est mort vive la haine

Et toi matériel déclassé

Va-t-en donc accrocher

Ta peine au musée

Des amours ratées

Comme un ivrogne je partirai

Pour aller gueuler ma chanson

Et si jamais tu l'entendais

J'en remercierais le Démon

Panp, :rageux: :ninja:

Lien vers le commentaire

Encore Renaud, mais bon normal c'est le meilleur....

Hexagone

Paroles et Musique: Renaud Séchan 1980 "Renaud à Bobino"

--------------------------------------------------------------------------------

Ils s'embrassent au mois de Janvier,

car une nouvelle année commence,

mais depuis des éternités

l'a pas tell'ment changé la France.

Passent les jours et les semaines,

y a qu'le décor qui évolue,

la mentalité est la même :

tous des Je t'aimes, tous des faux culs.

Ils sont pas lourds, en février,

à se souvenir de Charonne,

des matraqueurs assermentés

qui fignolèrent leur besogne,

la France est un pays de flics,

à tous les coins d'rue y'en a 100,

pour faire règner l'ordre public

ils assassinent impunément.

Quand on exécute au mois d'mars,

de l'autr' côté des Pyrénées,

un arnachiste du Pays basque,

pour lui apprendre à s'révolter,

ils crient, ils pleurent et ils s'indignent

de cette immonde mise à mort,

mais ils oublient qu'la guillotine

chez nous aussi fonctionne encore.

Etre né sous l'signe de l'hexagone,

c'est pas c'qu'on fait d'mieux en c'moment,

et le roi des cons, sur son trône,

j'parierai pas qu'il est all'mand.

On leur a dit, au mois d'avril,

à la télé, dans les journaux,

de pas se découvrir d'un fil,

que l'printemps c'était pour bientôt,

les vieux principes du seizième siècle,

et les vieilles traditions débiles,

ils les appliquent tous à la lettre,

y m'font pitié ces imbéciles.

Ils se souviennent, au mois de mai,

d'un sang qui coula rouge et noir,

d'une révolution manquée

qui faillit renverser l'Histoire,

j'me souviens surtout d'ces moutons,

effrayés par la Liberté,

s'en allant voter par millions

pour l'ordre et la sécurité.

Ils commémorent au mois de juin

un débarquement d'Normandie,

ils pensent au brave soldat ricain

qu'est v'nu se faire tuer loin d'chez lui,

ils oublient qu'à l'abri des bombes,

les Francais criaient "Vive Pétain",

qu'ils étaient bien planqués à Londres,

qu'y avait pas beaucoup d'Jean Moulin.

Etre né sous l'signe de l'hexagone,

c'est pas la gloire, en vérité,

et le roi des cons, sur son trône,

me dites pas qu'il est portugais.

Ils font la fête au mois d'juillet,

en souv'nir d'une révolution,

qui n'a jamais éliminé

la misère et l'exploitation,

ils s'abreuvent de bals populaires,

d'feux d'artifice et de flonflons,

ils pensent oublier dans la bière

qu'ils sont gourvernés comme des pions.

Au mois d'août c'est la liberté,

après une longue année d'usine,

ils crient : "Vive les congés payés",

ils oublient un peu la machine,

en Espagne, en Grèce ou en France,

ils vont polluer toutes les plages,

et par leur unique présence,

abîmer tous les paysages.

Lorsqu'en septembre on assassine,

un peuple et une liberté,

au cœur de l'Amérique latine,

ils sont pas nombreux à gueuler,

un ambassadeur se ramène,

bras ouverts il est accueilli,

le fascisme c'est la gangrène

à Santiago comme à Paris.

Etre né sous l'signe de l'hexagone,

c'est vraiment pas une sinécure,

et le roi des cons, sur son trône,

il est français, ça j'en suis sûr.

Finies les vendanges en octobre,

le raisin fermente en tonneaux,

ils sont très fiers de leurs vignobles,

leurs "Côtes-du-Rhône" et leurs "Bordeaux",

ils exportent le sang de la terre

un peu partout à l'étranger,

leur pinard et leur camenbert

c'est leur seule gloire à ces tarrés.

En Novembre, au salon d'l'auto,

ils vont admirer par milliers

l'dernier modèle de chez Peugeot,

qu'ils pourront jamais se payer,

la bagnole, la télé, l'tiercé,

c'est l'opium du peuple de France,

lui supprimer c'est le tuer,

c'est une drogue à accoutumance.

En décembre c'est l'apothéose,

la grande bouffe et les p'tits cadeaux,

ils sont toujours aussi moroses,

mais y a d'la joie dans les ghettos,

la Terre peut s'arrêter d'tourner,

ils rat'ront pas leur réveillon;

moi j'voudrais tous les voir crever,

étouffés de dinde aux marrons.

Etre né sous l'signe de l'hexagone,

on peut pas dire qu'ca soit bandant

si l'roi des cons perdait son trône,

y aurait 50 millions de prétendants.

Lien vers le commentaire
Encore Renaud, mais bon normal c'est le meilleur....

Hexagone

   

Paroles et Musique: Renaud Séchan 1980  "Renaud à Bobino"

--------------------------------------------------------------------------------

Ils s'embrassent au mois de Janvier,

car une nouvelle année commence,

mais depuis des éternités

l'a pas tell'ment changé la France.

Passent les jours et les semaines,

y a qu'le décor qui évolue,

la mentalité est la même :

tous des Je t'aimes, tous des faux culs.

Ils sont pas lourds, en février,

à se souvenir de Charonne,

des matraqueurs assermentés

qui fignolèrent leur besogne,

la France est un pays de flics,

à tous les coins d'rue y'en a 100,

pour faire règner l'ordre public

ils assassinent impunément.

Quand on exécute au mois d'mars,

de l'autr' côté des Pyrénées,

un arnachiste du Pays basque,

pour lui apprendre à s'révolter,

ils crient, ils pleurent et ils s'indignent

de cette immonde mise à mort,

mais ils oublient qu'la guillotine

chez nous aussi fonctionne encore.

Etre né sous l'signe de l'hexagone,

c'est pas c'qu'on fait d'mieux en c'moment,

et le roi des cons, sur son trône,

j'parierai pas qu'il est all'mand.

On leur a dit, au mois d'avril,

à la télé, dans les journaux,

de pas se découvrir d'un fil,

que l'printemps c'était pour bientôt,

les vieux principes du seizième siècle,

et les vieilles traditions débiles,

ils les appliquent tous à la lettre,

y m'font pitié ces imbéciles.

Ils se souviennent, au mois de mai,

d'un sang qui coula rouge et noir,

d'une révolution manquée

qui faillit renverser l'Histoire,

j'me souviens surtout d'ces moutons,

effrayés par la Liberté,

s'en allant voter par millions

pour l'ordre et la sécurité.

Ils commémorent au mois de juin

un débarquement d'Normandie,

ils pensent au brave soldat ricain

qu'est v'nu se faire tuer loin d'chez lui,

ils oublient qu'à l'abri des bombes,

les Francais criaient "Vive Pétain",

qu'ils étaient bien planqués à Londres,

qu'y avait pas beaucoup d'Jean Moulin.

Etre né sous l'signe de l'hexagone,

c'est pas la gloire, en vérité,

et le roi des cons, sur son trône,

me dites pas qu'il est portugais.

Ils font la fête au mois d'juillet,

en souv'nir d'une révolution,

qui n'a jamais éliminé

la misère et l'exploitation,

ils s'abreuvent de bals populaires,

d'feux d'artifice et de flonflons,

ils pensent oublier dans la bière

qu'ils sont gourvernés comme des pions.

Au mois d'août c'est la liberté,

après une longue année d'usine,

ils crient : "Vive les congés payés",

ils oublient un peu la machine,

en Espagne, en Grèce ou en France,

ils vont polluer toutes les plages,

et par leur unique présence,

abîmer tous les paysages.

Lorsqu'en septembre on assassine,

un peuple et une liberté,

au cur de l'Amérique latine,

ils sont pas nombreux à gueuler,

un ambassadeur se ramène,

bras ouverts il est accueilli,

le fascisme c'est la gangrène

à Santiago comme à Paris.

Etre né sous l'signe de l'hexagone,

c'est vraiment pas une sinécure,

et le roi des cons, sur son trône,

il est français, ça j'en suis sûr.

Finies les vendanges en octobre,

le raisin fermente en tonneaux,

ils sont très fiers de leurs vignobles,

leurs "Côtes-du-Rhône" et leurs "Bordeaux",

ils exportent le sang de la terre

un peu partout à l'étranger,

leur pinard et leur camenbert

c'est leur seule gloire à ces tarrés.

En Novembre, au salon d'l'auto,

ils vont admirer par milliers

l'dernier modèle de chez Peugeot,

qu'ils pourront jamais se payer,

la bagnole, la télé, l'tiercé,

c'est l'opium du peuple de France,

lui supprimer c'est le tuer,

c'est une drogue à accoutumance.

En décembre c'est l'apothéose,

la grande bouffe et les p'tits cadeaux,

ils sont toujours aussi moroses,

mais y a d'la joie dans les ghettos,

la Terre peut s'arrêter d'tourner,

ils rat'ront pas leur réveillon;

moi j'voudrais tous les voir crever,

étouffés de dinde aux marrons.

Etre né sous l'signe de l'hexagone,

on peut pas dire qu'ca soit bandant

si l'roi des cons perdait son trône,

y aurait 50 millions de prétendants.

<{POST_SNAPBACK}>

La reprise sur le dernier love des "Tetes raides" est Enorme !!!

Lien vers le commentaire
  • 1 mois plus tard...
Sometimes I feel so happy,

Sometimes I feel so sad.

Sometimes I feel so happy,

But mostly you just make me mad.

Baby, you just make me mad.

Linger on, your pale blue eyes.

Linger on, your pale blue eyes.

Thought of you as my mountain top,

Thought of you as my peak.

Thought of you as everything,

I've had but couldn't keep.

I've had but couldn't keep.

Linger on, your pale blue eyes.

Linger on, your pale blue eyes.

If I could make the world as pure and strange as what I see,

I'd put you in the mirror,

I put in front of me.

I put in front of me.

Linger on, your pale blue eyes.

Linger on, your pale blue eyes.

Skip a life completely.

Stuff it in a cup.

She said, Money is like us in time,

It lies, but can't stand up.

Down for you is up."

Linger on, your pale blue eyes.

Linger on, your pale blue eyes.

It was good what we did yesterday.

And I'd do it once again.

The fact that you are married,

Only proves, you're my best friend.

But it's truly, truly a sin.

Linger on, your pale blue eyes.

Linger on, your pale blue eyes.

Lien vers le commentaire

Silverchair

Suicidal Dream

I dream about how it's going to end,

Approaching me quickly.

Leaving a life of fear,

I only want my mind to be clear.

People making fun of me,

For no reason but jealousy.

I fantasise about my death,

I'll kill myself from holding my breath,

My suicidal dream,

Voices telling me what to do.

My suicidal dream,

I'm sure you will get your's too.

Help me, comfort me,

Stop me from feeling what I'm feeling now.

The rope is here, now I'll find a use.

I'll kill myself, I'll put my head in a noose.

[Chorus]

Dreamin' about my death, dream...

Lien vers le commentaire
Silverchair

Suicidal Dream

I dream about how it's going to end,

Approaching me quickly.

Leaving a life of fear,

I only want my mind to be clear.

People making fun of me,

For no reason but jealousy.

I fantasise about my death,

I'll kill myself from holding my breath,

My suicidal dream,

Voices telling me what to do.

My suicidal dream,

I'm sure you will get your's too.

Help me, comfort me,

Stop me from feeling what I'm feeling now.

The rope is here, now I'll find a use.

I'll kill myself, I'll put my head in a noose.

[Chorus]

Dreamin' about my death, dream...

<{POST_SNAPBACK}>

:ninja:

Lien vers le commentaire

Please die Ana

For as long as you're here we're not

You make the sound of laughter

And sharpened nails seem softer

And I need you now somehow

And I need you now somehow

Open fire on the needs designed

On my knees for you

Open fire on my knees desires

What I need from you

Imagine a pageant

In my head the flesh seems thicker

Sandpaper tears corrode the filth

And I need you now somehow

And I need you now somehow

Open fire on the needs designed

On my knees for you

Open fire on my knees desires

What I need from you

And you're my obsession

I love you to the bones

And Ana wrecks your life

Like an Anorexia life

Open fire on the needs designed

On my knees for you

Open fire on my knees desires

What I need from you

Open fire on my knees desires

On my knees for you

Ana's song Silverchair...

Lien vers le commentaire
:(:):thumb:

<{POST_SNAPBACK}>

Ah nan Pouille pô toi nan mais ho t'as pô le droit!!! :):(:(;):cry:;);)

NE ME QUITTE PAS

Ne me quitte pas

Il faut oublier

Tout peut s'oublier

Qui s'enfuit déjà

Oublier le temps

Des malentendus

Et le temps perdu

A savoir comment

Oublier ces heures

Qui tuaient parfois

A coups de pourquoi

Le cur du bonheur

Ne me quitte pas

Ne me quitte pas

Ne me quitte pas

Ne me quitte pas

Moi je t'offrirai

Des perles de pluie

Venues de pays

Où il ne pleut pas

Je creuserai la terre

Jusqu'après ma mort

Pour couvrir ton corps

D'or et de lumière

Je ferai un domaine

Où l'amour sera roi

Où l'amour sera loi

Où tu seras reine

Ne me quitte pas

Ne me quitte pas

Ne me quitte pas

Ne me quitte pas

Ne me quitte pas

Je t'inventerai

Des mots insensés

Que tu comprendras

Je te parlerai

De ces amants-là

Qui ont vu deux fois

Leurs curs s'embraser

Je te raconterai

L'histoire de ce roi

Mort de n'avoir pas

Pu te rencontrer

Ne me quitte pas

Ne me quitte pas

Ne me quitte pas

Ne me quitte pas

On a vu souvent

Rejaillir le feu

D'un ancien volcan

Qu'on croyait trop vieux

Il est paraît-il

Des terres brûlées

Donnant plus de blé

Qu'un meilleur avril

Et quand vient le soir

Pour qu'un ciel flamboie

Le rouge et le noir

Ne s'épousent-ils pas

Ne me quitte pas

Ne me quitte pas

Ne me quitte pas

Ne me quitte pas

Ne me quitte pas

Je ne vais plus pleurer

Je ne vais plus parler

Je me cacherai là

A te regarder

Danser et sourire

Et à t'écouter

Chanter et puis rire

Laisse-moi devenir

L'ombre de ton ombre

L'ombre de ta main

L'ombre de ton chien

Ne me quitte pas

Ne me quitte pas

Ne me quitte pas

Ne me quitte pas.

Lien vers le commentaire

Archivé

Ce sujet est désormais archivé et ne peut plus recevoir de nouvelles réponses.

×
×
  • Créer...

Information importante

Nous avons placé des cookies sur votre appareil pour aider à améliorer ce site. Vous pouvez choisir d’ajuster vos paramètres de cookie, sinon nous supposerons que vous êtes d’accord pour continuer.