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« J'organise mon dernier voyage »

Maïa Simon est décédée mercredi à l'âge de 67 ans. Atteinte d'un cancer généralisé, l'actrice française a décidé de recourir à un « suicide médicalement assisté », en Suisse, pour « abréger ses souffrances ».

RTL a diffusé hier un entretien bouleversant dans lequel elle explique son choix et dénonce « l'hypocrisie en France et les tabous » sur l'euthanasie. L'actrice, qui a joué dans le film Nous irons tous au paradis, a expliqué la « dégradation » de son corps : « Il y a plein de petites choses qui se déglinguent et je sens que j'arrive à la limite, c'est-à-dire que j'étouffe (...). Je pense que c'est le bon moment pour le faire. » Elle confie également qu'elle ne souhaite plus être hospitalisée : « Au lieu d'attendre la mort de manière passive, j'organise mon dernier voyage avec ma famille et mes amis. Comme nous n'avons pas la possibilité d'accomplir cette chose en France, je suis obligée de partir à l'étranger. » Elle estime aussi que « c'est ridicule, tous ces médecins qui sont un peu "réacs" ou tous ces gens qui sont trop religieux et qui veulent imposer leur point de vue à tout le monde ». Jean-Luc Romero, président de l'Association pour le droit de mourir dans la dignité, a déclaré hier à l'AFP que Maïa Simon avait exprimé de façon « sereine et réitérée sa volonté de mourir car elle souffrait beaucoup ». Aujourd'hui, son corps sera incinéré. Ses amis disperseront ses cendres au Kenya, selon sa volonté.

20minutes d'aujourd hui

Modifié par neo
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La ville retrouve enfin son Bikini

Détruite par l'explosion d'AZF, la célèbre salle de concerts rouvre ses portes vendredi

Six ans après l'explosion, Hervé Sansonetto, patron du Bikini, est arrivé au bout de son combat

Six ans après, à Toulouse, personne n'a oublié l'explosion de l'usine chimique AZF le 21 septembre 2001, à 10 h 17. Alors que les commémorations du souvenir auront lieu un peu partout dans la ville, Hervé Sansonetto a choisi le jour et l'heure de l'explosion pour faire un pied de nez au destin en rouvrant le Bikini.

Le patron de la salle de concerts mythique, créée en juin 1983, a connu en 2001 les foudres du souffle de l'explosion. "Nous préparions la tenue d'un concert le soir même, quand la vitre face à laquelle je travaillais a volé en éclats. Mon fils voyait le plafond lui tomber dessus, ma femme a traversé la pièce, et mon frère, par chance, venait juste de descendre d'une échelle pour installer l'éclairage", se remémore-t-il.

Six ans après, à Ramonville, le découvreur de talents musicaux arrive au bout de son combat pour reconstruire le Bikini : "Dès le lendemain de l'explosion, je voulais réparer et repartir de nouveau, sans baisser les bras. Mais l'interdiction de reconstruire dans la zone à risque m'a été notifiée, et c'est devenu compliqué." Voulant préserver coûte que coûte sa programmation, Hervé Sansonetto a orienté ses artistes un peu partout dans les salles toulousaines et a cherché des solutions : "Remonter la salle sur un site proche de l'ancien Bikini, installer un chapiteau provisoire... Mais tous ces projets étaient trop onéreux."

En 2003, c'est le déclic. La ville de Ramonville, qui prêtait déjà sa salle des fêtes, propose un terrain proche du canal. L'endroit plaît à Hervé Sansonetto, qui commençait à perdre espoir. La première pierre est posée en juillet 2006, et le jour de l'ouverture est décidé : le 21 septembre 2007, à 10 h 17, six ans après.

Une célébration marathon

Pendant trois jours, le Bikini célébrera sa réouverture en organisant gratuitement des concerts.

Mille neuf cents places étaient disponibles pour l'événement. Elles sont parties en moins de deux heures.

Une institution

La salle du Bikini est née le 25 juin 1983 à Toulouse.

De 1983 et 2001, plus de 5 000 groupes y ont joué.

Aujourd'hui, au parc technologique du Canal, rue Hermès, à Ramonville, le nouveau Bikini abrite une salle modulable d'une capacité de 400 à 1 500 personnes sur deux niveaux, une scène de 20 mètres d'ouverture, des équipements son, lumière et vidéo parmi les plus modernes, une grande terrasse extérieure et une piscine.

Rita Mitsouko, Noir Désir, Bérurier Noir, Mano Negra, Muse, Coldplay, Placebo, Zebda, entres autres, ont fait leurs débuts dans cette salle.

Frédéric Khalkhal

Metrofrance.com, à Toulouse

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malheureusement les choses bougent pas a ce sujet, je trouve la législation a ce sujet pas assez sévère ...

On pourra créer toutes les lois qu'on veut, tant que des parents seront suffisamment inconscients pour laisser des enfants au milieu de chiens, il arrivera malheureusement beaucoup d'autres tragedies....

Un chien peut toujours être dangereux pour un enfant, donc ne pas les laisser trop s'approcher...personne ne peut prévoir la réaction d'un chien...mais y'en aura toujours pour dire:" le mien il est pas comme ça!!"

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On pourra créer toutes les lois qu'on veut, tant que des parents seront suffisamment inconscients pour laisser des enfants au milieu de chiens, il arrivera malheureusement beaucoup d'autres tragedies....

Un chien peut toujours être dangereux pour un enfant, donc ne pas les laisser trop s'approcher...personne ne peut prévoir la réaction d'un chien...mais y'en aura toujours pour dire:" le mien il est pas comme ça!!"

dans le meme genre, le drame provoqué par la negligence de parents qui ont laissé leur gamin traverser lors d'un rallye duquel ils étaient spectateur...

je sais pas moi mais quand t'as un petit gosse et que t'assistes a un rallye, tu laisses pas bouger ton gamin d'un centimètre, mais je dois mal comprendre certains trucs... :ninja:

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Mais pour le croco ?

:ninja:

Sur les bords du Nil, ils sont partis, n'en parlons plus. ©

Personne pour parler de l'offre de location de vélos à la demande qui sera mise en service à Toulouse début novembre?

Decaux, salaud, le peuple aura ta peau.

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Un gang de 350 babouins terrorise la populasse sud-africaine, avec des infractions dans les maisons ou les voitures et une organisation astucieuse. Gibraltar a je crois le meme problème. Enfin des adversaires de choix pour les hooligans du PSG et de l'OL :ninja: .

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Vu dans la dépêche hier:

AGRESSION. UNE MILITANTE D'UN SYNDICAT ÉTUDIANT D'EXTRÊME GAUCHE ATTAQUÉE PAR DEUX INCONNUS EN PLEIN CENTRE VILLE.

Une étudiante toulousaine âgée d'une vingtaine d'années a été victime d'une agression révoltante vendredi soir, en plein centre ville, une agression qui révèle au grand jour la résurgence dans la Ville rose d'une mouvance d'extrême droite violente. Militante au sein du syndicat étudiant AGET (Association générale des étudiants de Toulouse), un syndicat classé à l'extrême gauche et bien implanté à l'université du Mirail, cette jeune femme a été assaillie par deux inconnus qui lui ont gravé au cutter une croix gammée sur une épaule. L'agression s'est produite en soirée, rue du Languedoc, alors que la jeune femme marchait dans la rue. La victime a porté plainte le lendemain auprès des services de police.

GUERRE DES EXTRÊMES

S'agit-il d'une rencontre fortuite ou d'une attaque programmée et organisée ? Les deux individus savaient en tout cas à qui ils s'en prenaient. L'AGET est fortement engagée dans les diverses luttes étudiantes sur la base de valeurs affirmées. La militante agressée a-t-elle été repérée lors d'une action ou d'une manifestation ? Même si elle s'avère un jour improvisé, cette agression n'est pas le fruit du hasard car elle n'est malheureusement pas un fait isolé. Depuis environ deux ans, la Ville rose connaît une succession d'incidents dont la gravité n'a fait qu'aller crescendo. Porte-parole de l'AGET, Basile l'a bien constaté : « Ça s'était d'abord calmé pendant quelques années, mais depuis quelque temps il y a une recrudescence. »

Le responsable étudiant évoque même un précédent, identique à l'agression de vendredi, survenu, selon lui, « il y a un an ou un an et demi », un fait resté inconnu de la police.

Très récemment, un événement passé relativement inaperçu a fait cependant le tour des milieux d'extrême gauche. Il y a une quinzaine de jours, à l'occasion d'un concert donné dans le quartier Arnaud-Bernard, une dizaine d'individus ont fait une descente dans le bar musical l'Autan, sur les boulevards, où anars et sympathisants d'extrême gauche se réunissaient. Une opération commando révélatrice d'une volonté d'en découdre mais aussi de relancer une guerre des extrêmes, comme d'autres en ont déjà connu en des temps plus politisés.

Autre exemple d'un sérieux accrochage qui remonte au printemps, à la nuit de la fête de la musique exactement : deux « red skins », dont un membre de l'AGET déjà, avaient été sérieusement passés à tabac par des éléments d'extrême droite.

Et lors des grandes manifestations anti-CPE de l'an dernier, les leaders étudiants avaient aussi constaté quelques agressions de militants. « Difficile de distinguer le côté politique du côté bagarre. Mais là, à chaque fois, ce sont des militants qui sont visés », observe Basile, inquiet pour l'avenir.

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Toulouse. Le périphérique limité à 90km/h toute l'année

Certains attendaient le 4 octobre avec impatience. En effet, avec la fin de l'expérimentation estivale de la limitation de vitesse à 90km/h, le classique 110km/h allait de nouveau entrer en vigueur. Sauf que le préfet de Haute-Garonne en a décidé autrement en pérennisant la mesure tout au long de l'année. Les voitures devront donc rouler à 90 km/h au maximum ; 80km/h pour les camions.

Fait chier.... :ninja:

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Toulouse. Le périphérique limité à 90km/h toute l'année

Certains attendaient le 4 octobre avec impatience. En effet, avec la fin de l'expérimentation estivale de la limitation de vitesse à 90km/h, le classique 110km/h allait de nouveau entrer en vigueur. Sauf que le préfet de Haute-Garonne en a décidé autrement en pérennisant la mesure tout au long de l'année. Les voitures devront donc rouler à 90 km/h au maximum ; 80km/h pour les camions.

Fait chier.... :ninja:

'culés :ninja:B)

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Toulouse. Le périphérique limité à 90km/h toute l'année

Certains attendaient le 4 octobre avec impatience. En effet, avec la fin de l'expérimentation estivale de la limitation de vitesse à 90km/h, le classique 110km/h allait de nouveau entrer en vigueur. Sauf que le préfet de Haute-Garonne en a décidé autrement en pérennisant la mesure tout au long de l'année. Les voitures devront donc rouler à 90 km/h au maximum ; 80km/h pour les camions.

Fait chier.... :ninja:

C'étais sur mais ca soule..

On se traine à 90km/h ... :ninja:

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