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L'Equipe.fr

Le milieu de terrain bordelais Johan Micoud (Photo L'Equipe), à l'origine du penalty ayant donné la victoire aux Girondins contre Nancy, samedi, a été convoqué jeudi prochain pour s'expliquer devant la commission de discipline de la Ligue. Le cas du Nancéien Chris Malonga, auteur de la prétendue faute, sera entendu le même jour. Eric Poulat, l'arbitre de la rencontre, a évoqué une «tricherie extrêmement grave et inadmissible» de la part du Bordelais dans son rapport remis à la Ligue.

«Si M. Micoud est jugé définitivement comme ayant commis une tricherie, la question que nous allons poser au Président (des Girondins Jean-Louis) Triaud est de savoir s'ils accepteront de rejouer cette rencontre puisque le résultat n'aura pas été changé par une erreur d'arbitrage mais par une tricherie», a déclaré Gérard Parentin, le manager général de Nancy. «Le président Triaud a répondu qu'il n'y avait pas de tricherie», a précisé M. Parentin, estimant qu'il s'agissait dès lors d'un «problème de morale, d'éthique». «Mais cette décision n'appartient qu'aux Bordelais, pas à nous. On ne peut s'en remettre qu'à la bonne volonté des dirigeants de Bordeaux, avec qui nous avons toujours eu d'excellentes relations».

Micoud «peut risquer un ou deux matches, il n'y a qu'un précédent, le cas Hilton», a expliqué Gérard Parentin, évoquant la suspension pour deux matches dont un avec sursis du défenseur de Lens pour une simulation qui avait permis à son équipe d'obtenir un penalty égalisateur contre Marseille (1-1), lors de la 9e journée de Ligue 1, le 15 octobre 2006. Micoud sera quoiqu'il en soit «préservé» pour Rennes-Bordeaux samedi, a d'ores et déjà annoncé son entraîneur Laurent Blanc, qui ne le juge «pas apte» à disputer ce match. Par ailleurs, le Lorrain Frédéric Biancalani a été suspendu un match (plus un avec sursis) et son coéquipier Jonathan Brison d'un match également. Ils avaient tous deux été exclus pour un second avertissement lors du même match. (Avec AFP)

:ninja: ; c'est nouveau ça, l'arbitre qui admet l'erreur et la tricherie

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Gnafron, je ne comprends pas ta réaction sur ce topic et le post.

Que le sujet te tienne à coeur, je conçois, mais que tu t'en prennes par la même occasion au Bistrot, où tu n'y vois que des conneries, je suis assez surpris. Le Bistrot, si tu l'apprivoise, tu apprends beaucoup de chose, maintenant, il est évident qu'il n'y a pas de Verlaine dedans...

Bof, le sujet ne me tient même pas particulièrement à cur, je trouvais juste que le post de baroque méritait une remise en contexte nécessaire.

Je n'ai pas dit qu'il n'y avait que des conneries dans le bistrot mais une 'longue cohorte de messages sans intérêt qui peuplent le forum' lequel est en outre 'un lieu de déconne' dont 'le bistrot (est) le fortin privilégié'.

Dans mon esprit, qualifier le bistrot de lieu de déconne n'est pas péjoratif et la cohorte de message sans intérêt s'adressait plus aux messages de baroque (que je ne lis même plus, l'ayant bloqué) qu'à l'ensemble des contributions des forumeurs.

Je pense avoir apprivoisé le Bistrot à une certaine époque, même si aujourd'hui c'est moins le cas.

Et Barney Stinson est plus qu'un Verlaine à mes yeux. :blush:

Le post de Gnafron est étayé par des faits, puisqu'au moment où la manif s'est déroulée, elle n'était plus en France. Cela étant, il faut se mettre à la place de jeunes gens amenés à quitter une main devant et une main derrière, la terre où ils étaient nés.

Tout à fait. Les pieds-noirs (puisque c'est d'eux dont on parle) ont été sacrifiés sur l'autel de la décolonisation et peuvent en concevoir un dépit légitime. Qui ne saurait qu'expliquer certaines réactions et non les excuser. L'autre camp étant dans le même type de cas pour des exactions similaires.

Fin de la parenthèse pour moi. :blush:

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Bof, le sujet ne me tient même pas particulièrement à cur, je trouvais juste que le post de baroque méritait une remise en contexte nécessaire.

Je n'ai pas dit qu'il n'y avait que des conneries dans le bistrot mais une 'longue cohorte de messages sans intérêt qui peuplent le forum' lequel est en outre 'un lieu de déconne' dont 'le bistrot (est) le fortin privilégié'.

Dans mon esprit, qualifier le bistrot de lieu de déconne n'est pas péjoratif et la cohorte de message sans intérêt s'adressait plus aux messages de baroque (que je ne lis même plus, l'ayant bloqué) qu'à l'ensemble des contributions des forumeurs.

Je pense avoir apprivoisé le Bistrot à une certaine époque, même si aujourd'hui c'est moins le cas.

Et Barney Stinson est plus qu'un Verlaine à mes yeux. :ninja:

Tout à fait. Les pieds-noirs (puisque c'est d'eux dont on parle) ont été sacrifiés sur l'autel de la décolonisation et peuvent en concevoir un dépit légitime. Qui ne saurait qu'expliquer certaines réactions et non les excuser. L'autre camp étant dans le même type de cas pour des exactions similaires.

Fin de la parenthèse pour moi. :blink:

Cela méritait une explication. :shock:

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il faut se mettre à la place de jeunes gens amenés à quitter une main devant et une main derrière, la terre où ils étaient nés.

effectivement le français moyen est très peu informé du sort de ces déracinés que de gaulle avait qualifiés de vacanciers et de ........ ; et d'autres ont eu un sort pire encore : les harkis, à ce sujet voir le très bon film avec smaïn dans le premier rôle

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Un transexuel américain, femme devenue homme après une opération, et qui assure attendre un enfant, défend dans les médias américains son droit de procréer.

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Légalement un homme depuis son opération de chirurgie reconstructive au niveau de la poitrine et un traitement à base de testostérone (hormone mâle), Thomas Beatie a néanmoins choisi de conserver ses organes reproducteurs féminins, a-t-il expliqué dans plusieurs magazines et dans l'émission très populaire de l'animatrice de télévision Oprah Winfrey.

«Je pense que le désir d'enfant n'est pas féminin ou masculin. C'est un désir humain. J'ai le droit d'avoir un enfant biologique», a lancé à la télévision M. Beatie, arborant barbe et carrure virile.

Cet habitant de l'Oregon (nord-ouest), où il vit avec la femme qu'il a épousée après son changement légal de sexe, avait révélé il y a quelques semaines à Advocate.com, un magazine homosexuel respecté, qu'il attendait un enfant pour le mois de juillet.

«Pour nos voisins, ma femme Nancy et moi-même ne sommes pas du tout extraordinaires», écrivait-il, expliquant que son épouse avait subi une hystérectomie (ablation de l'utérus) et ne pouvait porter un bébé. L'enfant a été conçu par insémination artificielle après que Thomas Beatie eut cessé les traitements qui renforçaient sa virilité.

«Notre situation est un plongeon dans l'inconnu que ce soit légalement, politiquement ou socialement», reconnaissait-il dans la revue, relevant avoir rencontré l'opposition de plusieurs médecins et l'incompréhension de proches.

Un médecin a ainsi refusé de s'occuper du couple après avoir consulté un comité d'éthique. En revanche, celui qui le suit a expliqué à la télévision que le foetus était «parfaitement sain» et qu'il s'agisssait «d'une grossesse normale».

«Qu'est-ce que cela fait d'être un homme enceint? C'est incroyable! En dépit du fait qu'une vie grandit à l'intérieur de mon gros ventre, je suis toujours l'homme que je suis», ajoutait-il dans «Advocate».

vidéo

DR / Capture vidéo de l'émission d'Oprah Winfrey ¦ Thomas Beatie, l'homme «enceint».

Source : 20 minutes

Je comprends le désir du père de vouloir un enfant, mais je pleins ce dernier, qui je pense n'aura pas une enfance facile.

N'empêche c'est l'église qui doit être bien emmerdé, parce que demander au père d'avorter c'est pêcher. :confus:

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Vu sur sport 24:

5/04 14h21 - Football, Transferts

Thuram vers lAutriche ?

Lilian Thuram serait sur les tablettes du club autrichien de Salzbourg à en croire la presse locale.

Lilian Thuram ira-t-il en Autriche après lEuro ? Le capitaine de léquipe de France serait sur les tablettes de Salzbourg selon la presse autrichienne. Le club entraîné par Giovanni Trapattoni est à sans doute les moyens de ses ambitions. La firme Red Bull en est le propriétaire. Lilian Thuram a peut-être dautres plans que de rejoindre lAutriche

:confus:

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Paris a "établi le contact" avec les pirates qui ont pris le contrôle vendredi, au large de la Somalie, d'un voilier de luxe français avec une trentaine de membres d'équipage à bord, a déclaré, dimanche 6 avril sur France Inter, le chef de la diplomatie Bernard Kouchner.

Le Ponant faisait toujours route vers une destination inconnue dimanche au large des côtes somaliennes. Il était toujours pisté à distance par un navire de guerre français, l'aviso Commandant Bouan, qui "nous permet d'avoir une parfaite observation et connaissance de la situation," selon le ministre de la défense Hervé Morin, qui a affirmé précédemment qu'aucune revendication ou demande de rançon n'avait été reçue.

"ILS VONT BIEN, ILS SONT SAINS ET SAUFS"

L'armateur du yacht, la CMA-CGM, a de son côté pour la première fois donné des nouvelles de l'équipage qui se compose de 22 Français et d'Ukrainiens, sans préciser comment ces nouvelles avaient été obtenues. "On sait juste qu'ils vont bien, qu'ils sont sains et saufs", a déclaré une porte-parole de l'armateur. "La compagnie nous a dit que l'équipage était bien traité, qu'ils étaient ensemble, qu'ils avaient pris un petit déjeuner et qu'ils venaient de prendre une douche. Ca fait un peu de bien, ça montre qu'ils vont bien", a assuré de son côté la mère d'un marin, Valérie Garrec.

Le premier ministre François Fillon a souligné samedi que la priorité était la sécurité de l'équipage. M. Morin a expliqué ne pas avoir de détails sur le déroulement de l'attaque. Il a toutefois relevé que les pirates attaquaient souvent "à partir de canots rapides", sans exclure la présence d'un bateau plus important à partir duquel les canots auraient mené l'assaut.

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Ben-Hur a arrêté son char :ninja:

Par News de Stars News de stars - Dimanche 6 avril, 13h22

Charlton Heston est mort hier soir à Beverly Hills. Il avait 84 ans et souffrait depuis 2002 de symptômes liés à la maladie d'Alzheimer.

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C'est une immense légende hollywoodienne qui s'est éteinte samedi soir à Beverly Hills. Charlton Heston est mort à l'âge de 84 ans à son domicile avec son épouse Lydia à ses côtés.

On ne compte plus les rôles de légende pour Charlton Heston. De Ben-Hur aux Dix Commandements en passant par la Planète des Singes, Charlton Heston a été l'une des premières superstars de blockbusters.

Malheureusement, pour toute une génération, son dernier grand film restera Bowling for Columbine. Apparaissant dans le documentaire de Michael Moore en tant que président de la NRA (National Rifle Association), le lobby pro-armes à feu américain, il n'était pas vraiment à son avantage. Malgré tout, il faut rappeler que Charlton Heston a aussi été un fervent défenseur des droits civiques et qu'il a soutenu une autre légende du cinéma, Orson Welles, quand ce-dernier était persona non grata à Hollywood.

"A ses amis, collègues et fans aimants, nous apprécions vos prières et votre soutien sincères. Charlton Heston apparaissait au monde plus grand que nature", a déclaré sa famille avant d'ajouter "personne ne pourrait désirer une vie plus remplie que la sienne. Aucun homme n'aurait pu donner davantage à sa famille, et à sa profession, et à son pays. Selon ses propres termes, 'J'ai vécu une vie tellement merveilleuse ! J'ai vécu assez pour deux'."

Malgré la controverse et un engagement dont il ne sortira pas grandi, Charlton Heston restera à tout jamais un monstre sacré du 7è art.

je trouve un peu pitoyable d'insister autant sur les dernières années de sa vie alors qu'il était surtout un des tous derniers géants du cinéma :grin:

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Après douze ans d'interdiction, la boisson énergisante Red Bull est enfin commercialisée en France. La marque du leader mondial des boissons énergisantes a organisé ces derniers jours un battage marketing, dont le clou devait être une soirée de lancement, lundi 7 avril, à Paris.

L'Autrichien Dietrich Mateschitz, fondateur de Red Bull, sera-t-il de la fête ? "C'est du 50/50", estime la chargée de communication du nouveau bureau parisien, habituée à l'humeur fantasque du milliardaire autrichien. Classé au 260e rang des plus grosses fortunes mondiales, l'entrepreneur au look d'aventurier jouit d'une réputation d'iconoclaste. La légende dit que ce spécialiste du marketing aurait trouvé le "Graal" en 1982 au bar d'un grand hôtel de Hongkong. Le Krating Daeng, boisson tonique dont la consommation est répandue parmi les travailleurs nocturnes, permet de se jouer de la fatigue ou du décalage horaire.

VENTES.

Quelque 3,5 milliards de canettes ont été vendues en 2007, dans plus de 140 pays. Le groupe détient 70 % du marché des boissons énergisantes. Le chiffre d'affaires a atteint 3 milliards d'euros, en hausse de 16,6 % par rapport à 2006.

EFFECTIFS.

Le groupe emploie 4 600 salariés dans le monde. Les centres de production sont situés en Autriche et en Suisse.

CAPITAL.

Dietrich Mateschitz détient 49 % et TC Pharmaceuticals 49 %.

MARKETING.

Le groupe consacre 15 % de son chiffre d'affaires au sport. Outre plusieurs clubs de football, dont le Red Bull Salzbourg, le principal vecteur d'image du groupe est constitué par ses deux écuries de Formule 1 : Red Bull et Toro Rosso, pour un investissement total de 300 millions d'euros.

Convaincu de son efficacité, M. Mateschitz pressent l'existence d'un marché en Occident. En 1983, il acquiert la licence auprès du fabriquant thaïlandais TC Pharmaceuticals avec lequel il fonde Red Bull sur les rives du lac Fuschl, dans la région de Salzbourg. A 40 ans, le cadre marketing se lance dans une nouvelle carrière d'entrepreneur et peut enfin donner libre cours à sa créativité.

Elle consiste d'abord à ignorer superbement les résultats des études de marché. Le goût irrite, la boisson rendue gazeuse n'étanche pas la soif. Malgré cela, et après une première bataille de trois années avec les autorités sanitaires, Red Bull, cocktail d'acide aminé - la taurine -, de caféine et de vitamines, est lancé en 1987 sur le marché autrichien.

A partir de là, le "taureau rouge" commence une carrière internationale "underground" portée par la rumeur. Dopante, aphrodisiaque, dangereuse. La boisson alimente des fantasmes que le producteur se garde bien de démentir. Jusqu'au début des années 1990, la plupart des pays européens en interdisent l'importation. Le taux élevé de caféine et les effets incertains de la taurine suscitent l'inquiétude. Résultat, la canette bleu et argent s'impose comme accessoire culte des noctambules internationaux, circulant sous le manteau ou commandée, plus tard, sur Internet.

A partir de 1992, les barrières réglementaires tombent : Hongrie, Grande-Bretagne, puis Allemagne en 1994. En 1997, Red Bull conquiert les Etats-Unis, la patrie de Coca-Cola où il écoule un tiers de sa production. Inventeur d'une stratégie marketing anticonformiste fondée sur la rumeur et la contre-culture au temps où il devait se contenter du marché noir, le milliardaire continue de snober les canaux traditionnels. Au lieu de campagnes télévisuelles ou d'affichage, il mise à fond sur le sponsoring des sports extrêmes. L'entreprise consacre au total plus de 15 % de son chiffre d'affaires au sport, dont les deux tiers à la Formule 1, passion du patron.

Restait à conquérir le marché français. Après un bras de fer de dix ans, Red Bull plie finalement devant l'inflexibilité de l'Agence française de sécurité sanitaire des aliments (Afssa) et pour la première fois modifie la recette de sa potion magique. La taurine est remplacée par un autre acide aminé, l'arginine.

Mais la polémique ne semble pas close pour autant. Cette fois, le contenu n'est pas en jeu, mais le procédé marketing. Le dossier déposé par Red Bull mi-2007 auprès de la direction générale de la concurrence et de la répression des fraudes (DGCCRF) proposait de vendre un produit sans taurine sous le nom de "Bullit", pas Red Bull. En outre, la canette est la même que pour le reste du monde, avec juste la mention : "à base d'arginine et caféine". L'Afssa s'offusque du procédé. "Une confusion peut s'installer dans l'esprit des consommateurs entre une boisson encore interdite en France et ce nouveau produit", estime Pascale Briand, la directrice générale.

Chez Red Bull France, on dit ne pas comprendre. "L'autorisation de commercialisation est obtenue pour la formule, pas pour le nom", explique le département communication, précisant en outre que ses concurrents procèdent de la même façon sur le marché français. Même si la recette est rentrée dans le rang, la boisson garde son côté sulfureux.

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