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[Topic Cyclisme]


Faurégol

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vous saviez que l'ancien coureur cycliste robert Millar est devenu une femme, il (elle) s'appelle désormais Philipa York, le dopage fait plus de ravages que je ne le pensais!!!

photos de lui avant et maintenant

C'est en faisant une recherche sur le cycliste ou le travlo que t'as eu cette info...? :ninja:

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C'est en faisant une recherche sur le cycliste ou le travlo que t'as eu cette info...? :ninja:

Euh....Bon j'ai fait du vélo moi aussi, je suis un peu de la partie :ninja: Enfin de la pédale...Oh et puis merde j'ai trouvé comme ça quoi, m'emmerdez pas! :unsure: Disons plus sérieusement que ça m'a surpris. Et puisqu'on parle de dopage voilà un article qui date un peu sur un ancien coureur cycliste peu connu mais qui avait d'énormes qualités, Fabien devooght, que j'ai eu l'occasion de voir sur pas mal de courses, (notamment au critérieum de Puy l'éveque dans le Lot qui il y a quelques années était à mon sens le meilleur critérium amateur du sud ouest) et avec qui j'avais discuté une fois, là on voit vraiment les ravages du dopage dans ce milieu, histoire malheureuse.

Fabien Devooght, 37 ans, dopé, drogué, mortIl était un espoir du cyclisme français des années 80. Débute alors une longue descente en enfer, achevée l'an dernier.

THOMAS Gérard

Lorsqu'il pousse la porte du petit appartement occupé par son fils à Villeneuve-Loubet, près de Nice, Jean Devooght est taraudé par l'angoisse. Toute la journée, ce 25 décembre 1997, la famille a attendu Fabien pour le repas de Noël. L'ancien champion cycliste a fait faux bond. Comme souvent. Mais cette fois, il n'a donné aucun signe de vie depuis plusieurs jours et ses parents sont inquiets. Dans le salon, Fabien est étendu à terre, foudroyé près du téléphone et d'un tabouret renversé. Il est mort la nuit précédente, de retour d'une soirée ratée chez sa compagne. Le coeur du coureur cycliste n'a pas supporté le terrible cocktail barbituriques-alcool qu'il s'est infligé. Accident ou suicide? Le rapport du légiste conclura à une forte absorption de produits pharmaceutiques. «Cette nuit-là, Fabien m'a téléphoné vers 23 h 30», affirme un de ses très rares amis qui réveillonnait du coté de Perpignan, à 400 kilomètres de distance. «Il m'a dit: "J'en peux plus, c'est fini, j'en ai marre. Et puis il a raccroché.» A 37 ans, le champion semble avoir préféré quitter une vie ratée, rythmée par les seules prises de drogue, d'alcool et de tranquillisants.

Les prédispositions. Il avait pourtant bien des atouts, ce bel athlète des années 80. Né à Lille d'un père ouvrier du bâtiment contraint de descendre vers le sud pour trouver du travail, et d'une mère au foyer, Fabien montre, dès sa petite adolescence, de sérieuses prédispositions pour le vélo. Son père l'encourage, sa mère laisse faire. Si un champion pouvait pousser dans la famille, ce serait aubaine, car l'argent ne coule pas à flots chez les Devooght. Fabien est taillé pour réussir. Très tôt, ce gars du Nord, entêté et dur au mal, impressionne son entourage. «Il était capable de rouler par tous les temps, qu'il pleuve ou qu'il gèle, qu'il vente ou qu'il neige. Sans jamais rechigner, sans jamais s'épancher», se souviennent avec une pointe d'admiration ses camarades de peloton. Une graine de champion comme il en germe parfois dans les bas quartiers; un gosse dont on fait les meilleurs boxeurs ou les meilleurs cyclistes, deux sports qui nécessitent un entraînement obstiné, à la limite du supportable. L'ascension. Dès l'âge de 15 ans, Fabien tâte de la compétition dans des épreuves locales du côté de Cagnes-sur-Mer, où ses parents se sont installés, et les entraîneurs le remarquent. Plus le temps d'étudier, il faut rouler, rouler, rouler. D'ailleurs, Fabien n'a jamais aimé l'école. Il abandonne le lycée en fin de première et se lance à corps perdu dans le vélo. Durant son service militaire, accompli au bataillon de Joinville, il est licencié au club d'Antony, en banlieue parisienne, et s'entraîne comme un damné. Les résultats pleuvent: en tout, 80 courses gagnées dont un championnat de France contre-la-montre et un tour de Franche-Comté en 1981 pour sa deuxième saison en amateur.

L'année suivante, à 22 ans, il passe professionnel chez Volber. Il y reste deux ans. Sous la houlette de l'ancien coureur Marcel Bohardy, il engrange les résultats. 62e de la Vuelta, vainqueur du grand prix de Plumelec, 8e du Tour de l'Avenir, bien classé au tour d'Espagne et au tour d'Italie" Devooght commence à faire parler de lui dans le milieu. On lui reproche juste un peu son renfermement et sa tendance à s'entraîner seul, loin de la collectivité des coureurs. Il n'a pas d'amis. Ce qui lui paraît normal, car sa mère lui a souvent répété: «Tu as cinq doigts dans la main, c'est cinq de trop pour compter tes amis.» Alors, Fabien ne compte que sur lui.

La chance lui sourit. En 1984, l'ex-homme d'affaires Bernard Tapie et le coureur Bernard Hinault montent l'équipe cycliste de la Vie claire-Terraillon. Tapie veut absolument gagner le Tour de France. Ils embauchent Fabien Devooght, alors âgé de 25 ans. Le Cht'i obstiné se retrouve chez les meilleurs, avec Hinault comme leader et aux côtés de Bruno Cornillet, Bernard Vallet, Charly Bérard ou Dominique Arnaud. Sans diplôme, sans grande formation scolaire et à la seule force de ses mollets, Fabien démarre à 15 000 F par mois plus les primes, qui doublent son salaire. Désormais, tous les espoirs sont permis pour ce cycliste de 1,84 m et de 80 kilos, véritable force de la nature, qui avale les kilomètres sans broncher. De quoi rêver.

La blessure. Pas longtemps. Quelques mois plus tard, il fait une mauvaise chute à l'entraînement et se retrouve immobilisé par une fracture de la malléole (saillie osseuse de la cheville). Dans la foulée, Hinault ne fait «que» deuxième dans la Grande Boucle. Tapie gronde, dégraisse les effectifs, embauche Greg LeMond et jette les coureurs qui n'ont pas obtenu de bons résultats. Le contrat de Devooght n'est pas reconduit. Il n'a pas pu donner la mesure de ses capacités: «Fabien marchait toujours bien en fin de saison, explique Charly Bérard, qui s'est entraîné plus de cinq ans à ses côtés. Or, sa blessure l'a empêché de courir. De toute façon, il avait des problèmes de communication avec le groupe. Si le mental avait suivi, il aurait pu faire une grande carrière, mais"» Après son exclusion de la Vie claire, le monde s'écroule pour Fabien. «C'est vraiment des salauds, confie-t-il à un proche. Ils m'ont viré alors que, pour rester au niveau, j'ai pris chez eux des choses que je n'avais jamais prises ailleurs. Comme tout le monde, d'ailleurs.» Pure vengeance ou dénonciation d'une pratique courante au sein de l'équipe? Pour la première fois en tout cas, Devooght parle de dopage. Dès lors, il va tout essayer pour revenir au niveau: anabolisants, corticoïdes, stimulants cardiaques, amphétamines" «On savait bien qu'il fallait passer par là pour être un grand champion», reconnaît aujourd'hui sa mère. Rien n'y fait. La belle mécanique est brisée, plus personne n'en veut. Devooght affirmera plus tard avoir été en contact avec l'équipe espagnole Once, puis avec la Redoute, mais il est contraint de redevenir amateur.

En 1985, seul un poste d'animateur offert par la mairie de Cannes l'aide à survivre. 5 000 F par mois et une licence cycliste à l'Etoile sportive de Cannes. Mais Fabien s'énerve. Il plante son travail et part écumer les clubs du sud de la France: Marignane, Toulon, Cagnes, Narbonne" «Il a fini par décourager tout le monde avec son attitude renfermée, son refus des autres et son instabilité pathologique, estiment ses anciens compagnons. Il voulait toujours être considéré comme l'espoir du cyclisme qu'il n'était plus. D'ailleurs, dans sa lente dégringolade, il n'a jamais tiré la sonnette d'un proche.» La même année, il va courir au Sénégal, au Burkina Faso, en Guinée, trois pays sans règles sportives où les médecins-dopeurs ont pignon sur rue et sont appelés les «faiseurs d'anges». En 1986, pressé par le besoin de gagner sa vie, Fabien Devooght met le doigt dans un terrible engrenage.

La triche organisée. En compagnie de plusieurs autres coureurs locaux de bon niveau, tous membres de clubs différents, il crée ce qu'on appelle une mafia dans le Sud-Est. Le but est simple: les équipes «concurrentes» sont toutes engagées dans les critériums départementaux ou régionaux dotés de prix en espèces. D'un commun et secret accord, leurs leaders laissent gagner le mieux placé d'entre eux, sans jouer le jeu de la compétition. L'argent ainsi remporté est partagé à l'arrivée ­ «derrière l'église ou la mairie» ­ entre les pactiseurs. L'estocade arrive en 1989. Fabien Devooght subit un contrôle antidopage lors du grand prix de Roanne. Il est déclaré positif. «Ils savent pourtant bien qu'on ne fait pas du vélo en suçant des glaçons», tempête-t-il à l'adresse de Philippe Bomer, un personnage incontournable dans le milieu du cyclisme sur la Côte d'Azur. L'homme est un mythomane qui se présente volontiers comme ancien médecin sportif, entraîneur cycliste ou responsable d'un club local. Il est en fait inconnu à l'ordre des médecins et ne posséderait pas de licence cycliste, selon le comité de Côte d'Azur. Il se prend néanmoins d'une affection sincère pour le champion déchu et tente de l'aider. Car tout comme Devooght, Bomer est un sinistré de la vie. Victime d'un très grave accident de la circulation qui lui vaut une opération au cerveau et la perte d'un oeil à 25 ans, il vit dans les souvenirs de ses études de médecine avortées. Mais «sans le vélo, Fabien était paumé, lance-t-il en essuyant une larme. Il ne pouvait malheureusement pas remonter la mauvaise pente». Selon Bomer, Devooght s'adonne alors aux drogues dures. La déchéance. La mairie de Nice lui propose un emploi de vigile dans la société d'HLM municipale. Fabien accepte mais déprime, se soûle tous les jours, dépérit. Durant l'été 1992, il effectue une première cure de désintoxication dans le service de psychiatrie de l'hôpital Pasteur, à Nice. Il sort, reprend l'alcool, est licencié de son poste de surveillant en 1995 et finit par être de nouveau hospitalisé. Début 1997, nouvel internement d'un mois en psychiatrie. Son état est critique. Perclus de crampes musculaires, il perd la mémoire et présente des troubles de la vision. A l'âge de 37 ans, il est atteint d'un début de Parkinson.

Quelques mois avant sa mort, Fabien Devooght était venu à Libération raconter comment il avait «cassé sa vie». Décharné, l'oeil dans le vague, il a tendu son palmarès comme une preuve de ses compétences. A Cagnes-sur-Mer, ses parents se sont débarrassés de ses vélos, de ses trophées, de leurs souvenirs. «On le voyait s'autodétruire sans rien pouvoir faire, déplore sa mère. Nous n'avions plus le contact avec lui. Le monde du vélo l'a tué.».

On notera au passage comment monsieur Tapis adulé par certains et qui fait semblant de vouloir aider les gens à travers son site web avec son fils, voit les rapports humains.

Modifié par pascalbergerac
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En ce dimanche après-midi, j'ai jugé bon d'aller me faire une petite ballade à vélo. :)

Grave erreur. :ninja:

36° à l'ombre, c'est chaud. Quand y'a pas d'ombre, c'est pire. Et sans crème solaire, c'est pas très intelligent.

Et la roue avant qui crève au bout d'une demie-heure c'est pas très sympa non plus. Ne prendre aucun outil, c'était pas forcément très intelligent non plus.

Et au bout de 40 minutes environ, sur le chemin du retour, du coup, j'ai une espèce de fringale. Arrivé chez moi, je dois monter 2 escaliers avec le vélo, j'ai eu l'impression que j'allais m'évanouir.

Tout ça pour une petite heure de vélo quoi.

La prochaine fois, je resterai à glander sur le forum, c'est moins fatigant.

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En ce dimanche après-midi, j'ai jugé bon d'aller me faire une petite ballade à vélo. :)

Grave erreur. :ninja:

36° à l'ombre, c'est chaud. Quand y'a pas d'ombre, c'est pire. Et sans crème solaire, c'est pas très intelligent.

Et la roue avant qui crève au bout d'une demie-heure c'est pas très sympa non plus. Ne prendre aucun outil, c'était pas forcément très intelligent non plus.

Et au bout de 40 minutes environ, sur le chemin du retour, du coup, j'ai une espèce de fringale. Arrivé chez moi, je dois monter 2 escaliers avec le vélo, j'ai eu l'impression que j'allais m'évanouir.

Tout ça pour une petite heure de vélo quoi.

La prochaine fois, je resterai à glander sur le forum, c'est moins fatigant.

Topic VDM please :ninja:

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  • 2 semaines plus tard...

Contador à la Saxobank !

Contador avec Bjarne Riis

Alberto Contador rejoindra l'équipe du Danois Bjarne Riis pour la prochaine saison. Le manager a annoncé mardi dans un communiqué que Saxo Bank continuerait à soutenir l'ex-équipe des frères Schleck avec un nouveau partenaire, SunGard. Il a indiqué que Contador avait signé pour deux ans. Interrogé la veille sur sa prochaine équipe, le triple vainqueur du Tour de France avait indiqué qu'il y avait «une grande possibilité» pour qu'il rejoigne Bjarne Riis à Saxo Bank.

(http://www.lequipe.fr/Cyclisme/breves2010/20100803_112923_contador-avec-bjarne-riis.html)

Et donc les frères Schleck s'en vont... Ils souhaitent courir pour une équipe luxembourgeoise...

(http://forum.lequipe.fr//viewtopic.php?f=23&t=1828)

Modifié par 31Mateo
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En ce dimanche après-midi, j'ai jugé bon d'aller me faire une petite ballade à vélo. :)

Grave erreur. :ninja:

36° à l'ombre, c'est chaud. Quand y'a pas d'ombre, c'est pire. Et sans crème solaire, c'est pas très intelligent.

Et la roue avant qui crève au bout d'une demie-heure c'est pas très sympa non plus. Ne prendre aucun outil, c'était pas forcément très intelligent non plus.

Et au bout de 40 minutes environ, sur le chemin du retour, du coup, j'ai une espèce de fringale. Arrivé chez moi, je dois monter 2 escaliers avec le vélo, j'ai eu l'impression que j'allais m'évanouir.

Tout ça pour une petite heure de vélo quoi.

La prochaine fois, je resterai à glander sur le forum, c'est moins fatigant.

J'ai fait la même il y a deux semaines environ... sauf que j'ai crevé au bout de 2kms seulement! Chanceux que je suis! B):ninja:

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http://fr.sports.yahoo.com/05082010/70/armstrong-l-etau-se-resserre.html

Armstrong, l'étau se resserre

Eurosport - jeu, 05 août 17:18:00 2010

Lance Armstrong se serait dopé et aurait "encouragé" ses co-équipiers de l'US Postal à en faire autant. C'est le New York Times qui publie le témoignage anonyme d'un des anciens coéquipiers de l'Américain, alors que George Hincapie pourrait témoigner dans les jours à venir.

..Cette fois, c'est au tour du New York Times d'alimenter un peu plus encore les soupçons de dopage qui entourent Lance Armstrong. Selon un témoignage anonyme d'un ancien équipier du Texan, Armstrong se serait dopé et aurait "encouragé" ses co-équipiers de l'US Postal à en faire autant. La justice américaine a étendu son enquête sur le septuple vainqueur de la Grande Boucle et décidé d'interroger ses anciens lieutenants.

Les témoignages sont accablants, toujours selon le New York Times : "Certains (ndlr : de ces anciens coéquipiers) ont expliqué de façon détaillée qu'Armstrong et ses anciens co-équipiers de United States Postal Service se sont dopés de façon systématique, selon un cycliste qui a été interrogé et deux autres personnes." Trois sources qui ont choisi de garder l'anonymat. Toujours selon le journal new yorkais, cet ancien coéquipier "a décrit à la justice la façon dont il se dopait lui-même et la tricherie à grande échelle à laquelle il a participé au sein d'US Postal Service. Lance Armstrong était au courant et a encouragé" cette pratique.

Hincapie interrogé la semaine prochaine ?

Des accusations qui s'ajoutent à celle de Floyd Landis. Le vainqueur déchu pour dopage du Tour 2006 avait affirmé à la chaîne ABC avoir été témoin de la prise de dopants par Lance Armstrong, y compris par transfusion sanguine. Des affirmations que L.A. a toujours rejetées en bloc. "Ils ne veulent qu'incriminer Lance Armstrong et cela m'inquiète", a déclaré de ses avocats, Bryan D. Daly, interrogé par le New York Times.

Mais l'enquête n'est pas terminée : "Selon des sources proches de l'enquête, d'autres cyclistes devraient témoigner devant la justice dès la semaine prochaine", indique le quotidien. George Hincapie pourrait se présenter devant la justice américaine. Le New York Times affirme en effet qu'il a été contacté par un agent de la Food and Drug Administration (FDA), l'Agence américaine des médicaments. Hincapie, l'ancien bras droit et fidèle ami de L.A.

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  • 1 mois plus tard...

Vuelta

A.Schleck et O'Grady virés !

L'équipe Saxo Bank avait annoncé que Andy Schleck et Stuart O'Grady n'avaient pas pris le départ de la 10e étape de la Vuelta mardi. En fait les deux coureurs ont été renvoyés par leur manager Bjärne Riis pour indiscipline. «Je sais que j'ai enfreint une règle de l'équipe en allant prendre un verre après avoir dîné et c'est pour cette raison que Bjarne a décidé de me renvoyer, tout comme Suart O'Grady, à la maison, a confié le Luxembourgeois. Je suis responsable de mes actes et, même si je pense que c'est une décision trop sévère, je respecte Bjarne en tant que patron et il doit faire ce qu'il pense être le mieux.»

Andy Schleck, qui avait déclaré venir sur les routes espagnoles avec comme unique objectif d'aider son frère Frank, était très loin au classement général, relégué à la 77e place, à 37'16" du leader, l'Espagnol Igor Anton. Frank, lui, est mieux placé, il pointe au 13e rang à 1'47" du maillot rouge. Les deux frères quitteront Saxo Bank à la fin de la saison, tout comme Stuart O'Grady. (Avec AFP)

lequipe.fr

Oh ça va ils sont juste allés faire un petit tour dans un petit bar sympa. Il y en a des petits bars sympas en Espagne :ninja:

Modifié par Mister Yellow
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Vuelta

A.Schleck et O'Grady virés !

L'équipe Saxo Bank avait annoncé que Andy Schleck et Stuart O'Grady n'avaient pas pris le départ de la 10e étape de la Vuelta mardi. En fait les deux coureurs ont été renvoyés par leur manager Bjärne Riis pour indiscipline. «Je sais que j'ai enfreint une règle de l'équipe en allant prendre un verre après avoir dîné et c'est pour cette raison que Bjarne a décidé de me renvoyer, tout comme Suart O'Grady, à la maison, a confié le Luxembourgeois. Je suis responsable de mes actes et, même si je pense que c'est une décision trop sévère, je respecte Bjarne en tant que patron et il doit faire ce qu'il pense être le mieux.»

Andy Schleck, qui avait déclaré venir sur les routes espagnoles avec comme unique objectif d'aider son frère Frank, était très loin au classement général, relégué à la 77e place, à 37'16" du leader, l'Espagnol Igor Anton. Frank, lui, est mieux placé, il pointe au 13e rang à 1'47" du maillot rouge. Les deux frères quitteront Saxo Bank à la fin de la saison, tout comme Stuart O'Grady. (Avec AFP)

lequipe.fr

Oh ça va ils sont juste allés faire un petit tour dans un petit bar sympa. Il y en a des petits bars sympas en Espagne :ninja:

Ca n'a rien avoir avec un reglement de compte du fait de leur départ :ninja:

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Vuelta

A.Schleck et O'Grady virés !

Bon visiblement ils se sont bien lâchés les 2 :grin:

Peu avant de prendre son vol de retour, Andy Schleck a lâché une première confession : « Je reconnais avoir dérogé à une règle interne de l’équipe en allant boire un verre après dîner et c’est pour cette raison que Bjarne a décidé de nous renvoyer. » Mais sa version est à peu près aussi édulcorée qu’un verre de Canada Dry, et ce n’est pas tout à fait à ce genre de boisson qu’il a consacré sa nuit.

C’est à 5 heures du matin que les deux joyeux lurons ont été surpris à leur retour à l’hôtel par Trey Greenwood, le directeur technique de Saxo Bank. Passablement éméchés, ils avaient encore deux verres de bière à la main. Le Luxembourgeois et l’Australien venaient tout simplement de passer la nuit dans une discothèque de Tarragone en compagnie d’un autre coureur d’une équipe étrangère présente dans la Vuelta.

Riis : « C’est inexcusable ! »

Prévenu par Greenwood, Bjarne Riis a rapidement décidé d’appliquer le règlement interne de l’équipe et d’exclure sur le champs ses deux coureurs. « La décision n’a pas été simple à prendre, mais je ne pouvais pas faire autrement, confiait le manager danois. Les règles sont les mêmes pour tout le monde. »

Andy Schleck et Stuart O’Grady n’ont pas été surpris par hasard. Greenwood avait été prévenu. Il faut dire que depuis le début de la Vuelta les deux coureurs de Saxo Bank ont accumulé les escapades nocturnes. Ils avaient déjà été vus en boîte de nuit à Séville, avant même le départ, puis à Malaga, à Murcie, déjà à Tarragone lors de la journée de repos et encore au même endroit la nuit dernière. « Je suis responsable de mes actes et, même si je pense que c’est une décision trop dure, je la respecte parce que Bjarne est le patron et il doit faire ce qu’il pense être le meilleur pour l’équipe », a admis le deuxième du dernier Tour de France.

Hier, à l’issue de l’étape et devant l’ampleur que prenait l’affaire, Bjarne Riis a été obligé de s’exprimer. « Ils n’ont pas respecté les règles de l’équipe, a d’abord dit le Danois. Qu’il s’agisse d’un verre en soirée ou de dix à 5 heures du matin, c’est inexcusable ! J’ai fait ce que j’avais à faire. Dans ce genre de situation, je dois prendre des décisions. Nous sommes des professionnels et devons nous comporter comme tels. Il faut qu’ils assument les conséquences. Après, ça reste entre nous. Néanmoins, la sanction n’ira pas au-delà du Tour d’Espagne. »

Depuis le départ de cette Vuelta, Andy Schleck, qui quittera avec son frère Fränk la formation Saxo Bank en fin de saison pour rejoindre la nouvelle équipe luxembourgeoise actuellement en création, a toujours été loin du niveau de forme qu’il tenait dans le Tour. Hier matin, avant son exclusion, il pointait à plus de trente-cinq minutes du leader Igor Anton. Tout en signalant qu’il ne se rendrait pas aux Championnats du monde en Australie (3 octobre) et qu’il terminerait sa saison par le Tour de Lombardie (16 octobre), il comptait tout de même rester à la Vuelta afin d’aider son frère, toujours en course pour le classement général. Avant de partir, il s’offrit un ultime pied de nez. « J’aurais aimé aider Fränk, dit-il. Je retrouvais la forme… »

l'équipe du jour merci la grève

Modifié par Mister Yellow
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  • 2 semaines plus tard...
  • 4 semaines plus tard...

La carte du Tour va être dévoilée officiellement aujourd'hui à 11h30, mais la voici en avant-première. :grin:

On sera gâté avec une arrivée à Carmaux, un départ de Blaye les Mines (Céoùça?),une arrivée à Lavaur, un départ de Cugnaux, un départ de Saint Gaudens et uen arrivée à Beille. :yaisse:

201010180974_zoom.jpg

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La carte du Tour va être dévoilée officiellement aujourd'hui à 11h30, mais la voici en avant-première. :grin:

On sera gâté avec une arrivée à Carmaux, un départ de Blaye les Mines (Céoùça?),une arrivée à Lavaur, un départ de Cugnaux, un départ de Saint Gaudens et uen arrivée à Beille. :yaisse:

201010180974_zoom.jpg

Je comprends pas trop l'étape 11 !? Elle ne fait qu'une centaine de km non ? :unsure:

Sinon, après la première semaine qui sert a rien, ça va enchainer pas mal de relief ! :)

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je pense que ça doit être un CLM, car habitant le tarn je peux te dire qu'entre Blaye et lavaur doit y avoir 50/60 kilomètres au grand maximum :P

Les CLM sont repérés dans la légende patate ! :grin:

Soit ils l'ont oubliés, soit ils prennent vraiment les petits chemins... ^_^

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Je comprends pas trop l'étape 11 !? Elle ne fait qu'une centaine de km non ? :unsure:

Sinon, après la première semaine qui sert a rien, ça va enchainer pas mal de relief ! :)

11 En ligne mercredi 13 juillet Blaye-les-Mines > Lavaur 168 km (Tarn-Tarn) Commentaires de CP : "Cette étape vallonnée conduira le peloton à travers plusieurs villages médiévaux, classés dans la liste des plus beaux villages de France. Il ne sagira pas pour autant de musarder en route car il faudra être présent dans les derniers kilomètres sans difficulté particulière si lon est sprinteur et si lon veut profiter de cette dernière occasion de monter sur le podium avant les Pyrénées".

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La carte du Tour va être dévoilée officiellement aujourd'hui à 11h30, mais la voici en avant-première. :grin:

On sera gâté avec une arrivée à Carmaux, un départ de Blaye les Mines (Céoùça?),une arrivée à Lavaur, un départ de Cugnaux, un départ de Saint Gaudens et uen arrivée à Beille. :yaisse:

201010180974_zoom.jpg

Je sais où je serai le prochain 16 juillet. :grin:

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