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connemara

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Désolé vins31 mais ça ne m'a pas fait rire non plus ... et puis c'était tard cette nuit  :argue:

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Moi je suis désolé, j'ai trouvé cette vanne excellente :confus:

Font chier ces mecs qu'ont pas d'humour. Vous êtes triiiiiiistes :)

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j'aime bien l'humour mais là, ça s'approche de l'humour noir...et c'est bof-bof...

mais je t'en veux pas caramel... :clapping:

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C'est de l'humour noir, et c'est le seul humour qui vaille la peine...

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  • 1 mois plus tard...
CLIMAT - La météo comme arme de guerre

Et si les cataclysmes météorologiques n'étaient pas le fait du déchaînement des éléments naturels, mais de l'action sournoise d'un ennemi maîtrisant une technologie redoutable ? Aux Etats-Unis comme en Russie, cette hypothèse a été récemment alimentée par les cyclones Katrina et Rita.

L'idée d'une "guerre météorologique" rencontre beaucoup de succès sur Internet, relève le Business Week. Mais, "pour la quasi-totalité des scientifiques et des météorologues, cette hypothèse est ridicule. Néanmoins, il ne fait aucun doute qu'une technologie capable de contrôler les conditions atmosphériques serait une puissante arme militaire et politique", poursuit l'hebdomadaire américain.

Les Etats-Unis avaient commencé à explorer ce domaine après la Seconde Guerre mondiale et ont financé des recherches en ce sens. A partir de 1967, pendant la guerre du Vietnam, un projet "baptisé Popeye Project eut pour objectif de prolonger la saison de la mousson afin d'enliser les mouvements des troupes et la logistique de l'ennemi dans la jungle boueuse". En 1977, le Pentagone consacrait 2,8 millions de dollars (2,34 millions d'euros) à des recherches sur la modification du climat. Mais les Nations unies s'en inquiétèrent et émirent une résolution interdisant l'usage hostile de ces techniques. "Un traité fut signé et les Etats-Unis le ratifièrent en 1978. Le Pentagone choisit de mettre fin à toutes ses recherches en 1979. Cependant, le Kremlin poursuivit les siennes", souligne Business Week.

Mais, en 1996, un groupe de sept officiers américains des armées de l'air et de terre tira la sonnette d'alarme auprès du ministère de la Défense pour qu'il poursuive ses efforts dans ce domaine, pour éviter d'être distancé par les Russes. "En l'espace de trente ans, estimaient-ils, les technologies informatiques et météorologiques pourraient se développer à tel point que le contrôle des conditions atmosphériques assurerait une domination inimaginable dans la bataille de l'espace. Le rapport élaboré par ce groupe d'officiers est intitulé 'La météo comme démultiplicateur de force : maîtriser les conditions atmosphériques en 2025'."

Récemment, "le météorologue américain Scott Stevens a affirmé que les spécialistes de l'armée russe étaient derrière les ravages causés par le cyclone Katrina, qui a dévasté La Nouvelle-Orléans. D'après lui, depuis la période soviétique, la Russie a construit un appareil secret ayant un impact néfaste sur le climat", note Pravda.ru. Le site d'informations russe indique que, après le cyclone Katrina, les Américains se sont souvenus des menaces, considérées jusque-là comme fantaisistes, du député ultranationaliste russe Vladimir Jirinovski. En 2003, ce dernier avait menacé les Etats-Unis d'inondations gigantesques déclenchées par les scientifiques russes

Mais les météorologues américains ne sont pas les seuls à croire que leurs voisins pourraient être à la source de leurs malheurs climatologiques. "En 2002, certains hommes politiques européens accusaient l'armée américaine de vouloir nuire à leur économie en provoquant des inondations. La même année, la Commission pour la défense de la Douma russe s'en prenait aussi aux Américains à propos d'un centre de recherche très particulier, sous régime militaire, situé à 400 kilomètres au nord d'Anchorage, en Alaska, et appelé High Frequency Active Auroral Research Program, ou HAARP."

"Les revues scientifiques affirment que le HAARP est capable de provoquer des aurores boréales artificielles, d'enrayer des stations radar de détection de missiles balistiques, de communiquer avec des sous-marins dans les océans et même de détecter les complexes secrets souterrains de l'ennemi. Les émissions de fréquence radio peuvent traverser le sol et découvrir les cachettes et les tunnels, griller les systèmes électroniques et mettre hors d'usage les satellites dans l'espace", explique Pravda.ru. "L'installation permet également d'influer sur l'atmosphère et donc de modifier le climat. Elle serait utilisable pour provoquer des catastrophes naturelles semblables aux cyclones Katrina et Rita."

En fait, confirme Pravda.ru, "les Etats-Unis et la Russie auraient développé des armes météorologiques secrètes". Il existe au monde trois sites de ce genre : le HAARP en Alaska, un autre en Norvège et le troisième en Russie.

De leur côté, les Novye Izvestia ont publié une enquête exclusive sur le centre de recherches russe, le Soura, situé en Russie centrale, à 150 kilomètres de Nijni-Novgorod, et géré par l'Institut de recherches radiophysiques (NIRFI). Un site dont nombre d'hommes politiques russes conspuant le HAARP américain ignoraient l'existence. Mais aujourd'hui le Soura tombe en désuétude faute de financement. "Les correspondants des Novye Izvestia ont été les premiers journalistes à se rendre sur ce site autrefois ultrasecret, se félicite le quotidien. Cependant, l'énigmatique base, qui fait fantasmer, n'a pas l'air très attrayante. Pour s'y rendre, il faut emprunter une vieille route en pierre, ancienne voie sibérienne. Contre la base, une ancienne loge de garde en brique porte une inscription amusante : 'Le poète Alexandre Sergueïevitch Pouchkine est passé ici.'"

Le quotidien moscovite précise que "la principale différence entre le Soura et le HAARP consiste dans le fait que le site russe se trouve sous des latitudes moyennes, et non pas près des pôles, où l'on observe des aurores boréales. C'est qu'au nord se rejoignent les champs magnétiques de la magnétosphère de la Terre. En agissant sur eux, on peut influencer la magnétosphère, et au minimum provoquer des aurores boréales artificielles et au maximum mettre hors d'usage les satellites et les appareils électroniques."

"Aujourd'hui, le Soura fonctionne environ 100 heures par an. L'institut n'a pas suffisamment d'argent pour l'alimenter en énergie. Une seule journée de travail intensive dilapide un mois de budget. Les Américains, eux, réalisent environ 2 000 heures d'expériences par an, soit 20 fois plus que les Russes", observent les Novye Izvestia. Un écart qui s'explique par les budgets alloués : 300 millions de dollars (250,98 millions d'euros) par an pour les Américains, contre 40 000 dollars (33 464 euros) pour les Russes, soit 7 500 fois moins.

"Agir sur le climat est possible, mais pas à une aussi grande échelle que les ouragans Katrina et Rita, affirme Iouri Tokarev, chercheur au NIRFI. Nous n'en sommes pas capables, et les Américains non plus." Mais il s'agit sans doute d'une question de temps et de moyens.

Philippe Randrianarimanana

Courrier international

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Attentats près de l'hôtel Palestine à Bagdad: au moins 17 morts

BAGDAD (AP) - Trois bombes ont explosé lundi près d'un poste de police situé à proximité de l'hôtel Palestine, où logent de nombreux journalistes étrangers à Bagdad. Dix-sept personnes ont été tuées, selon la police irakienne.

L'une des bombes, placée dans une bétonneuse, a fait un trou dans le mur en béton protégeant l'hôtel. Deux autres voitures piégées ont également explosé à proximité.

Des policiers irakiens et des civils ont été tués dans ces attentats, a précisé un collaborateur du ministre irakien de l'Intérieur, le général Hussein Kamal. Mais personne ne semblait avoir été tué à l'intérieur de l'hôtel.

Au moins 13 personnes ont été blessées, dont quatre dans l'hôtel et trois à un poste de l'armée américaine situé à l'angle nord-ouest de l'enceinte de l'hôtel.

Selon des responsables de la sécurité, les explosions se sont produites à deux minutes d'intervalle.

Un photographe de l'Associated Press a affirmé qu'au moins trois photographes d'autres médias avaient été blessés et emmenés en ambulances. Trois membres de l'équipe d'Associated Press Television News qui se trouvaient dans l'hôtel ont également été légèrement blessés.

Après les attentats, les forces irakiennes ont ouvert le feu avec des armes automatiques, tirant apparemment au hasard.

Les journalistes d'AP ont dû évacuer leur bureau de l'hôtel pour se réfugier dans un couloir.

Les dégâts étaient importants au niveau des fenêtres et des chambres situées sur la façade sud du bâtiment de 18 étages,

Des images télévisées montraient un énorme nuage de fumée s'élevant au-dessus de l'hôtel, et des débris tombant du bâtiment. AP

Ils ont montré les images aux infos sur canal+, c'est impressionant. :confus:

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Amiante: épidémie "inéluctable" de cancers, "responsabilité de l'Etat"

PARIS (AFP) - Le Sénat évoque une "épidémie à venir inéluctable et irréversible" de cancers provoqués par l'amiante, dans le rapport de sa mission d'information sur ce matériau, qui met en cause "la responsabilité de l'Etat" dans la "gestion défaillante" de ce dossier en France.

"Alors que 35.000 décès peuvent être imputés à l'amiante entre 1965 et 1995, 60.000 à 100.000 morts sont attendus dans les 20 à 25 ans à venir, en raison du temps de latence de 30 à 40 ans du mésothéliome (cancer de la plèvre généralement, ndlr), auxquels il convient d'ajouter environ 10% des 25.000 cancers du poumon déclarés chaque année", écrit la mission dans ce rapport publié mercredi et transmis à l'AFP.

"Compte tenu de l'issue fatale de ces pathologies malignes, les scientifiques jugent l'épidémie à venir inéluctable et irréversible, et son ampleur déterminée jusqu'en 2030", ajoute ce texte, consacré au "bilan et aux conséquences de la contamination par l'amiante".

La mission sénatoriale rappelle en effet que les "effectifs concernés sont considérables puisque l'Institut de veille sanitaire a récemment évalué à 27,6% le pourcentage actuel des retraités masculins exposés à l'amiante au cours de leur vie professionnelle".

Par ailleurs, la mission sénatoriale estime que les "dépenses au titre de la prise en charge des victimes de l'amiante risquent de représenter entre 27 et 37 milliards d'euros dans les vingt années à venir". Elle juge en outre que la "gestion du problème de l'amiante en France a été défaillante", et "met en cause la responsabilité de l'Etat".

La mission critique en particulier le comité permanent amiante (CPA). Composé d'industriels, de scientifiques, de partenaires sociaux et de représentants de ministères, ce comité "apparaît (...) comme un +modèle+ de lobbying, de communication et de manipulation".

Ce comité "a joué un rôle non négligeable dans le retard de l'interdiction de ce matériau en France", une interdiction qui n'est intervenue qu'en 1997, alors que son "caractère cancérigène était souligné par une résolution du Parlement européen de janvier 1978".

Enfin, la mission s'alarme du fait que "le risque d'exposition et de contamination ne soit pas derrière nous puisque les ouvriers +de second oeuvre+ dans le bâtiment (électriciens, plombiers, chauffagistes...), les personnels d'entretien et de maintenance, souvent à statut précaire, les salariés des entreprises de désamiantage, dont les trois-quarts ne respecteraient pas les obligations de sécurité (...), sont encore aujourd'hui exposés".

La mission, présidée par Jean-Marie Vanlerenberghe (UDF, Pas-de-Calais), formule 28 propositions allant de l'amélioration de l'information des salariés à celle des tribunaux, en passant par un renforcement des mesures financières pour l'indemnisation des victimes de l'amiante.

Mardi, les sénateurs communistes avaient annoncé qu'ils s'étaient abstenus de voter ce rapport parce qu'"il laisse dangereusement croire que d'autres acteurs de l'industrie, par exemple les syndicats et les salariés eux-mêmes, n'auraient pas eu une attitude irréprochable face aux risques".

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Le corps d'une suicidée par pendaison confondu avec une décoration d'Halloween

FREDERICA, Delaware (AP) - Le suicide apparent d'une femme pendue à un arbre n'a pas été signalé pendant des heures parce que les passants pensaient que le corps était une simple décoration pour Halloween.

Selon la police de l'Etat du Delaware (côte est des Etats-Unis), cette femme âgée de 42 ans a utilisé une corde pour se pendre face à quelques maisons d'une rue peu fréquentée de Frederica dans la nuit de mardi ou tôt mercredi.

Le corps, suspendu à 4,5m du sol, pouvait être facilement vu par les automobilistes.

Un porte-parole de la police et des voisins ont déclaré que des gens avaient remarqué le corps à l'heure du petit déjeuner mercredi mais pensaient qu'il s'agissait d'une plaisanterie. La police n'a été alertée que plus de trois heures plus tard. AP

ma/v014

:o

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