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William Prunier


flers

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D'accord dans l'ensemble, même si je suis pas convaincue que c'est exactement ce qu'il a voulu dire, je pense que c'est plutot par maladresse qu'il nous a fait ressortir ce sentiment d'Orgueil...

rien du tout on peu avoir des maladresse sur ce que l'on dit mais pas comment on le dit! il aurait pu refaire sortir une fois de l'orgeuil sur une phrase de l'interview mais là c'est du début à la fin qu'il ramène la réussite du club à sa personne!

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  • 1 mois plus tard...
  • 2 semaines plus tard...
  • 6 mois plus tard...

Paille-Prunier, le bon coup de Cannes

Coup de projecteur sur le National vendredi dans France Football. A la recherche du temps perdu, l'AS Cannes s'est attaché cette saison les services d'un duo d'entraîneurs inédit : Stéphane Paille - William Prunier.

Ils n'avaient jamais travaillé ensemble. Se connaissaient à peine. A les voir côte à côte, on dirait pourtant des amis de trente ans. Réunis par Cannes en début de saison, les deux anciens joueurs de Ligue 1, forment aujourd'hui un duo d'entraîneur chic et choc. En exclusivité pour FF, les deux hommes reviennent sur leurs arrivées respectives sur le banc azuréen (« J'étais arrivé à un stade où je regardais absolument toutes les propositions »), leur premier contact (« Ça a été un vrai coup de foudre amical ») et leurs objectifs (« On peut monter en deux ans. Il y a un vrai potentiel ici »).

Complémentaire et inséparable, la doublette azuréenne a su apporter une nouvelle atmosphère et transformer un vestiaire pourtant rongé par des problèmes extra sportifs depuis plusieurs saisons. Une scène résume ce nouvel état d'esprit. Quelques minutes avant le coup d'envoi d'une rencontre face à Beauvais début novembre, Stéphane Paille se lance dans un bref discours. Quelques minutes après, tout le vestiaire est debout à applaudir et remercier son coach. L'ancien attaquant de Sochaux a les larmes aux yeux et son adjoint Prunier ce commentaire : « Je ne suis même pas étonné de voir les mecs réagir comme ça. Stéphane est tellement bon dans les relations et la communication. Il a su amener quelque chose de nouveau. »

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Je sais pas si c'est le bon plan de chialer ou faire du sentimentalisme juste avant un match :ninja:

C'est surtout qu'il faut se renouveler à chaque fois Par conséquent, ça ne marche qu'un temps. D'où l'usure des entraîneurs qui font dans l'affectif. Je suis convaincu que pour durer, il faut faire dans le mezzo voce.

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  • 2 ans plus tard...
  • 1 mois plus tard...

http://www.ladepeche.fr/article/2010/07/22/877577-L-ex-joueur-du-TFC-William-Prunier-entrainera-la-JS-Cugnaux.html

l'ex-joueur du TFC William Prunier entraînera la JS Cugnaux

Division Honneur. L'ancien capitaine du TFC prend en main l'entraînement de la JS Cugnaux.

Joueur emblématique du redressement du TFC il y a dix ans, William Prunier, 43 ans, revient à Toulouse entraîner la JS Cugnaux, pensionnaire de la DH. Un sacré défi.

On l'avait laissé à Cannes (National) à l'issue de la saison 2008-2009 où il était l'adjoint de Stéphane Paille avant de démissionner suite au limogeage de ce dernier. Depuis, William Prunier était retourné chez lui, à Auxerre. On le retrouve aujourd'hui à Cugnaux où il prend en main l'équipe qui évolue en division Honneur. Explications avec l'ancien capitaine du TFC.

William Prunier à Cugnaux, quelle surprise !

Oui, ça m'est un peu tombé du ciel. J'étais invité à une émission de Sud Radio avant le Mondial avec Pascal Despeyroux, ce dernier avait lancé à l'antenne que j'étais libre. Et voilà, les dirigeants de la JSC Cugnaux sont entrés en contact avec moi et on s'est mis d'accord en 48 heures. Le président Quagliato a su faire passer son message. Ce n'est surtout pas une question d'argent.

Cugnaux, la DH, c'est un sacré défi.

ça ne me pose aucun problème. Je suis ravi de retrouver les valeurs du football amateur. On apprend là aussi beaucoup de choses. C'est également pour moi l'occasion de revenir ici. D'ailleurs, une de mes filles fait ses études à Toulouse.

Que faisiez-vous jusqu'alors ?

Après Cannes, je suis rentré à Auxerre me ressourcer. J'ai profité de mon temps libre pour voir beaucoup de matchs, de jeunes, d'amateurs, de pros. Je passais également régulièrement au centre de formation de l'AJA.

Quel sera donc le projet à Cugnaux ?

Le club repart un peu de zéro suite à sa descente de CFA 2 en DH. Le but, c'est de repartir sur des bases saines, avec des jeunes. Il y a des choses en place, un club structuré avec des bénévoles. Je vais essayer d'apporter quelques petites nouveautés. J'aurai comme adjoint Donald Sié (N.D.L.R. : joueur emblématique de la JSC, ex-pro lui aussi). On s'occupe actuellement du recrutement avec Bruno de la Concha, le directeur sportif. J'avoue que ce projet est excitant, ça me plaît, c'est une nouvelle page pour moi. Le but, ce sera de prendre du plaisir, moi, comme les joueurs.

L'objectif, quel est-il ?

J'ai été formé à Auxerre donc je répondrai le maintien (rires). Il n'y a aucune pression des dirigeants. Je me suis engagé pour un an. On verra ensuite. Vous savez, lorsque j'étais au TFC, je signais aussi des contrats d'un an, puis encore un an et ainsi de suite. Lors de ma première saison au TFC (N.D.L.R. : 1999-2000), j'étais même payé au match !

Le TFC justement, vous suivez toujours son actualité ?

Bien sûr, je ne peux pas oublier ce club. Le TFC a peut-être grandi un peu trop vite cette dernière décennie. Il lui faut maintenant stabiliser tout ça, tout en gardant ses valeurs.

Le chiffre : 10

clubs > Comme joueur. Dans sa carrière professionnelle entre 1984 et 2004, William Prunier aura porté le maillot de dix clubs, à savoir : Auxerre, Marseille, Bordeaux, Manchester United, FC Copenhague, Montpellier, Naples, Courtrai, Toulouse et enfin Al Sailyia Doha (Qatar). Comme entraîneur, William Prunier (titulaire du Brevet fédéral 2e degré) a été adjoint à Cannes. La JS Cugnaux sera donc son premier poste d'entraîneur.

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  • 3 mois plus tard...

Des nouvelles de Prunier sur Football365.fr

foot365

William Prunier, que faites-vous actuellement ?

Je suis entraîneur dans un club de la banlieue toulousaine qui s'appelle Cugnaux et qui joue en Division d'Honneur. J'ai commencé depuis trois mois. On m'a fait la proposition de revenir entraîner en banlieue toulousaine, même si j'avais d'autres choix. Ça me permet de revenir dans la région. Parce que j'étais reparti sur Auxerre après voir entraîné Cannes avec Stéphane Paille. J'étais retourné sur Auxerre pour voir comment se déroulait la formation. J'ai aussi un pied-à-terre là-bas où je passe pas mal de temps.

Devenir entraîneur, est-ce une reconversion à laquelle vous pensiez lorsque vous étiez joueur ?

Non pas du tout. J'ai arrêté ma carrière en 2004. J'ai eu des opportunités, même à 37 ans, de jouer encore en National. Mais je me suis dit qu'il était temps d'arrêter. Après une carrière de vingt années pleines et à peu près 400 matchs en L1, j'ai dit stop. Comme j'étais un ancien joueur international, la Fédération m'a contacté par le biais du DTN et j'ai dit banco. J'ai commencé ma formation à Clairefontaine où j'ai eu mon premier puis mon deuxième degré du diplôme d'entraîneur. Ça m'a pris trois années. C'est une occupation qui m'a permis de rester dans le milieu du football et de voir pas mal de matchs.

Souhaitiez-vous restez dans le milieu du football ?

On dit toujours qu'il faut prévoir l'après-carrière mais on ne sait pas comment ça va se dérouler. En fin de compte, j'ai eu l'opportunité de rester. J'ai sauté sur l'occasion. Quand j'étais joueur, je me disais qu'il faudrait que je fasse autre chose. Même si je me suis occupé des affaires personnelles, j'ai toujours eu les deux pieds dans le football.

Vous reconnait-on sur les bords des terrains de DH ?

J'ai la chance d'avoir un physique assez particulier (rires). Beaucoup de gens me reconnaissent, surtout dans les villes où j'ai joué.

Cette reconversion vous a-t-elle permis de ne pas couper trop brutalement après vingt ans de carrière ?

J'ai des amis que j'ai côtoyés durant ma carrière qui ont de grosses difficultés en ce moment. Ils ont du mal à se retrouver en dehors du milieu du football. Ils ne sont pas bien dans leur peau. Il y a un moment difficile quand tout s'arrête. On tombe dans la vie normale, dans la vie de tous les jours. C'est vrai qu'on est assisté. On nous aide pour qu'on soit le mieux possible. Dès qu'on arrête, on a plus cet entourage. C'est là qu'il faut être costaud, il faut avoir une force mentale extraordinaire. C'est très compliqué. Heureusement qu'il y a l'appui de la famille. J'ai ressenti le blues mais j'ai été plus fort que ça. On a la reconnaissance de la presse, on est toujours sollicité. Il faut être plus fort que ça et passer à autre chose.

Votre passage à Toulouse restera-t-il comme le meilleur souvenir avec votre épopée de deux remontées ?

Sans hésiter, c'est le meilleur souvenir. J'ai vécu des moments fabuleux avec des jeunes joueurs mais aussi avec des anciens de ma génération. C'est quelque chose que je n'avais pas ressenti dans les clubs dans lesquels j'ai joué auparavant. Ça a été une aventure humaine, c'est ça qui a fait la différence. J'ai eu de bonnes aventures dans les clubs mais cette aventure a été spéciale parce qu'il a fallu s'accrocher et se battre. J'ai vécu des moments fabuleux. Le président (ndlr : Olivier Sadran) m'a demandé de rester. J'ai fait des efforts énormes sur le plan financier mais aussi sportivement parce que j'étais un joueur de Ligue 1 et je me retrouve en National avec des jeunes joueurs. On a connu deux remontées, on ne peut pas oublier un moment comme ça de sa carrière.

Êtes-vous toujours en contact avec le club ?

Oui parce que j'y suis resté cinq ans. Mais je ne l'ai pas quitté en très bons termes parce que ce club avait perdu les valeurs que nous avions lors de cette épopée. Je suis revenu dans la banlieue toulousaine dans un club de Division d'Honneur alors que j'avais des propositions de club de Ligue 2 pour être adjoint. Je veux retrouver des valeurs proches du monde amateur. Je viens me ressourcer.

Vous privilégiez l'aspect humain plus que celui professionnel

Exactement. J'ai quand même l'ambition de retourner dans le monde professionnel. Je pense qu'il y a des passages obligés. Quand j'étais joueur, je suis allé jouer en Belgique ou au Danemark pour me ressourcer et repartir avec une grande force mentale. J'ai choisi un club de DH pour retrouver les valeurs perdues dans le football professionnel. Je viens rechercher ces valeurs pour les montrer au milieu professionnel. On parle toujours d'argent. Je ne suis pas venu en DH pour l'argent. J'aurais gagné beaucoup plus en L2.

Que retenez-vous de votre carrière ?

Tout ce que j'ai voulu, je l'ai touché. J'ai connu des grands clubs français, étrangers et j'ai été international. Même si ça été sur des courtes durées. J'ai été formé à Auxerre, j'ai joué à Marseille, Bordeaux, Montpellier et Toulouse. A l'étranger, j'ai joué au Danemark, en Italie à Naples, à Manchester United pendant deux mois. Je suis allé cinq fois en équipe de France. J'ai joué un match contre un club anglais qui ne compte pas en sélection et ma seule sélection inscrite sur mon CV, c'est contre le Brésil quand même. J'ai touché à tout ce que je voulais. Je n'ai pas touché la lune mais j'ai touché les toiles.

Avez-vous des regrets ? Notamment en équipe de France avec une seule sélection ?

Oui, j'ai des regrets là-dessus. C'est par rapport à mon tempérament et à mon caractère. Je n'ai pas eu le coup de pouce par la presse. C'est ça qui m'a manqué. Je n'ai pas eu ce coup de pouce pour y rester. Pour être sélectionné avant, il fallait avoir au moins 100 matchs en Ligue 1. Maintenant, il y en a qui ont trente matchs en Ligue 1 et qui sont sélectionnés.

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  • 3 mois plus tard...
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  • 2 ans plus tard...
  • 1 mois plus tard...

Petit passage marrant (et sûrement vrai) dans SoFoot :

Interview de Pierre-Yves André sur le thème des pires :

 

Le pire adversaire ?
Le pire adversaire, à mon époque quand j’étais plus jeune, ça devait être William Prunier. Sur le terrain, il était fou, déjà il impressionnait beaucoup et c’était un vrai guerrier.
 
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  • 4 mois plus tard...

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