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Vos Répliques De Films Cultes


trodlabal

Messages recommandés

  • 1 an plus tard...

"Ton style...... c'est ton cul", tiré du film pas encore terminé de la BFS.

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Pulp Fiction, dans la cave:

Butch : Ca ira ?

Marcelus : Ca ira pas Il va me falloir beaucoup de temps pour que ça aille

Butch : Et maintenant ?

Marcelus : Maintenant quoi ? Jmen vais te ldire moi quoi ! Jappelle deux experts completement défoncés au crack qui vont travailler nos deux copains avec une paire de pinces, un chalumeau et un fer à souder ! Est-ce que tu mas entendu, espèce de porc ? Je suis très loin den avoir fini avec toi, je vais tla jouer à la flamme bien moyenâgeuse !

Butch : Jvoulais dire maintenant entre toi et moi

Marcelus : () Ca regarde plus qutoi et moi et et monsieur lobsédé sexuel qui va en chier longtemps avant de terminer sa vie de pédale

Pulp Fiction, dans la voiture ensanglantée:

Jules : Argh quelle merde ! Jamais jte pardonnerai cette vacherie Vincent ! Ca mdégoute cest répugnant !

Vincent : Jules, tu connais le philosophe qui a dit quon était a moitié pardonné une fois quon avait reconnu ses fautes, cest un grand monsieur qui a dit ça tu devrais connaître !

Jules : Et en plus tu tfous dma gueule avec tes conneries ! Lempaffé qui a dit ça il a jamais eu à ramasser des ptits bouts dcervelle à cause dun débile dans ton genre !

Vincent : Arrêtes les insultes Jules arrêtes les insultes tu dépasses les bornes fais attention, je suis comme une voiture de course là, et jpasse dans le rouge jte préviens ! Et moi jte dis, moi jte dis, que ces voitures cest dangereux quand le compte-tour est dans lrouge, voilà, cest tout ! Elles explosent !

Jules : Oh cest toi quexplose ?

Vincent : Ouais cest moi quexplose !

Jules : Et moi jsuis une bombe atomique, et les retombées vont faire mal, Vince ! Chaque fois que mes doigts touchent un bout de crâne, cest cent milles tonnes de TNT, les supers canons dNavaron ! Au fait, mais quest-ce que jfous à larrière moi ? Cest toi enfoiré qui devrais ramasser tes saletés ! On va changer de place, cest moi qui lave les vitres et cest toi qui ramasses les os !

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Alice au pays des merveilles (ui je sais la transition est un peu violente):

Le chat: Oh... a propos... si vous tenez vraiment à le savoir... c'est là... qu'il est parti...!

Alice: Mais qui donc?

Le chat: Un certain petit lapin...

Alice: Vous en etes sur?

Le chat: Sur de quoi?

Alice: Qu'il est parti par là!

Le chat: Qui donc?

Alice: Eh bien le lapin!

Le chat: Quel lapin?

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au chantier "Prennez-le par les cahoutchoucs moi je n'y touche pas !

Le Sida, Rémi, les singes verts..."

au resto, poelvorde au serveur :"Tu ne te permets juste rien, tu vas me soigner

cette vilaine peau et après tu te permets..."

"L'amour laisse comme une traînée de souffre derrière lui, comme une odeur qui traîne et que malgré tout dès que tu rencontres quelqu'un, tu sens, un peu comme quand tu vas pisser et que tu sens tes doigts. Tu vois? Ca sent toujours, faut te laver les mains deux, trois fois avant que tu n'oublies que tu aies fait pipi"

.Benoît : "Regarde moi ça. Dans dix ans, cette petite garce sucera des bites comme sa mère. Oh, tu imagines comment la nature est bien faite? (rire) Incroyable, ça. Elle n'en sait rien encore. Si ça tombe, elle n'a pas vu la couleur d'un gland." (rire)

"Pigeon,

Oiseau à la grise robe,

Dans l'enfer des villes,

à mon regard tu te dérobes,

tu es vraiment le plus agile"

"

Tour à tour finaud,

Tour à tour polisson,

Tour à tour gangster,

Mais tour à tour généreux,

Quelque soit le montant que tu me demanderas Rémi,

toujours, je dis bien toujours,

Benoît y pourvoira."

"Mille feuilles se croisent dans un mouvement de vent brumeux

De beaux marrons et de belles châtaignes

Rebondissent au sol sans qu'aucune ne m'atteigne,

Le froid crache son droit au dernier soubresaut estival

Qui dans une ultime caresse d'abandon chauffe mon corps

engourdi par ce nouvel assaut

sans tambour ni trambon, c'est lui, le voilà

Le merveilleux automne"

Benoît: « Vous avez fait caca? »

Vieux: « Hein? »

Benoît: « vous avez fait caca? »

Vieux: « Hein? merci, t'es ben brave mais ça ira »

Benoit: « Ouais, vous avez fait caca »

Vieux: « Ca ira, ça ira, c'est bon comme ça, ça ira, ça ira »

Benoît: « J'vais appeler l'infirmière, hein? »

Vieux: « Oh, ben »

L'infirmière arrive

Vieux: « Ah ben, tu vas être servie »

L'infirmière: « on a fait un gros caca? »

Vieux: « Aaaaaaah, pour te faire plaisir, hein? Je chiais la nuit, je chiais le jour, je chiais partout, je chiais toujouuurs »

L'infirmière: « Si au moins, vous étiez gentil, hein?, GENTIL »

Vieux: « Si t'ai pas jolie, tache au moins d'être polie! »

L'infirmière: « Non mais répète un peu pour voir, parce que moi suis ici pour travailler gentillement hein? »

Vieux: « Aaaah, tu peux appeler ça travailler, c'est pour ton plaisir que tu fais ça, t'aimes ça la merde. Tu fais bien des chéries pour de la merde, va. T'en sers pendant qu'on rapait »

L'infirmière: « On va changer ça »

Vieux: « Ah »

L'infirmière: « Estime heureux que je le fasse! »

Vieux: « Ah tu peux laisser comme ça »

L'infirmière: « tu veux que je te laisse croupir dans ta merde? »

Vieux: « Tu fais ça pour ton plaisir, tu serais vexée s'il y en avait pas beaucoup.Mais n'ai pas peur, il y en aura. »

Benoit : "Bonjour madame, nous sommes une petite équipe de télévision et nous faisons un reportage sur les gens et la solitude dans le quartier. Est-ce que vous voulez bien répondre à quelques questions ?"

La grand mère : "Oh oui je veux bien."

Benoit : "Ne soyez pas intimidée par la camera."

La grand mère : "Ah, mais ca ne me dérange pas,parce que j'ai déjà été filmé, sur la place de mons, c'était de la musique militaire et ca m'a bien plu."

Benoit : "Je vois, nous avons déja quelqu'un qui est habitué à l'image. Alors, dites-moi madame,est-ce qu'il y'a dans votre entourage, ici parmi vous quelqu'un qui vous rend souvent visite ou quelquechose comme ca ?"

La grand mère dit "Oh ben j'ai quelques connaissances et puis on m'appelle mamie et..."

Benoit : "ET MAMIE TROMBLON ELLE S'EST DEJA FAIT TROMPER MAMIE TROMBLON HEIN!"

c'est arrivé pres de chez vous <_<

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Coup de feu.

Benoît : "Oh oh oh, les saligauds, un veilleur de nuit noir si c'est pas un coup dans le dos? C'est dégoûtant. Juste pour que l'on ne le voit pas. Tu te rends compte Rémy, jusqu'où ils vont? Mais ils se permettent tout! hein? Pauvre gosse, un enfant du soleil. Tu te rends compte? Ce gosse a été élevé sous les baobabs, si ça tombe et maintenant il est ici sur les chantiers. Quel horreur, ça me dégoûte. Ils se croient tout permis ces gens.

C'est comme ce ciment, tu peux être sur que c'est un ciment hongrois, la loi de l'éternelle provisoire, hein? Et tu peux être sur qu'ils mettent beaucoup plus de sable qu'ils ne mettent de ciment. Ca c'est certain. (rire) C'est des économies de bout de chandelle et après les murs se lézardent, ça c'est certain. Il y a des fissures et tout le bazar. Enfin, j'ai été coulé deux maghrébins ici dans la colonne nord, hein? attention, je les ai tourné vers la Mecque. Tu peux être sur que dans deux ans on verra leur trou du cul, ça c'est certain. Bon, lui, il est coulé là bas. Regarde moi ça, en plus il était beau garçon.

En tout cas je vous prévient que je ne touche pas à ça. Ca, le sida Rémy, le sida, les singes verts, je n'y touche pas. Prends le par les caoutchouc si tu le Prends, mais moi je n'y touche pas. Encore regarde moi ça. Pourquoi les habiller en jaune si on ne doit pas les voir? Enfin encore heureux qu'il n'y ait pas les chiens! Car en général, ils sont accompagnés de molosses. Et ça je n'aime pas. Tu sais que les noirs s'entendent très très bien avec les animaux, c'est très connu ça. Ils ont une façon de leur parler. Ca c'est ...

Dit, c'est le moment ou jamais."

Assistant : « Quoi? »

Benoît : "De savoir si c'est vrai cette légende! A propos de leur proportion. Rémy, enlève lui son pantalon et hôtes-lui son slip. Seigneur, Oh c'est quand même bien fait. Oh la la la la. allez remballe tout ça Rémy. C'est écoeurant à la fin. Tu te rends compte que ce gosse n'a même pas 18 ans et qu'il est déjà bâtit comme un mulet.

Oh. Tu sais que ces gosses en général travail dans les dancings la nuit, ils gagnent souvent leur argent avec ça. Lui, ça doit surement être un prude parce qu'il travaille dans les chantiers. Mais tant a qui vivent de ça, de leur membre, hein?, c'est terrible.

(rire)

Ca te fait rire toi! Oh oui, bien sur, c'est pas avec ça que tu vas gagner ta vie toi, hein."

c'est arrivé pres de chez vous scene complete

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Franck Dubosc :

"

Elle était devenue ma bouteille d'oxygene..

Toujours sur mon dos...

Un peu trop lourde..

mais indispensable à ma survie !

"

Cité de la peur :

"Pour des raisons de budget cette scene sera entierement bruitée à la bouche"

Leon :

" J'aime ces moments de calmes avant la tempete"

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"Ca va? Tout va bien? Vous n'avez besoin de rien?

- Non c'est bon, j'ai du papier!"

"Karamazof, aucun lien, j'suis fils unique"

"Odile Deray?

- Non j'suis le pape et j'attends ma soeur

- Zut!"

"Meurs, pourriture communiste!"

La cité de la peur

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Les tontons flingueurs (1963) de Georges Lautner avec des dialogues de M.Audiard

La scène de la cuisine, moment culte de ce film grandiose

Maître Folace

- Charmante soirée, n'est ce pas ? Vous savez combien ça va nous coûter ? 2 000 francs nouveaux.

Fernand Naudin

- Y'en a qui gaspillent, et y'en a d'autres qui collectent ... Hein ?

Jean

- Faudrait encore des sandwichs à la purée d'anchois, ils partent bien ceux-là.

Fernand Naudin

- Voilà vos encaissements en retard ... Les Volfoni ont essayé de me flinguer, oui Maître !

Maître Folace

- C'est pourtant pas leur genre !

Fernand Naudin

- Et ben ça prouve qu'ils ont changé de genre. Voilà !

Jean

- Quand ça change, ça change. Faut jamais se laisser démonter !

Maître Folace

- Vous croyez qu'ils oseraient venir ici ?

Fernand Naudin

- Les cons ça ose tout ! C'est même à ça qu'on les reconnaît.

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Les Volfoni sonnent à la porte... et entrent.

Paul Volfoni

- Sûr que tu t'es pas gouré de crèche ?

Raoul Volfoni

- J'me goure jamais !

Une jeune fille

- A drink, please ?

Raoul Volfoni

- J'veux rien ! Si c'est notre fric qu'y sont en train d'arroser, ça va saigner...

Raoul Volfoni

- Dis donc mon brave

Jean

- Monsieur ?

Raoul Volfoni

- Il est là vot' patron ?.

Jean

- Qui demandez-vous ?

Paul Volfoni

- Monsieur Fernand Naudin.

Raoul Volfoni

- Monsieur Fernand... Fernand l'emmerdeur ! Fernand le malhonnete ! c'est comme ça que j'l'appelle moi !

Jean

- Si ces messieurs veulent bien me suivre...

Raoul Volfoni

- Et comment ! Alors tu viens, dis !

Jean

- Si vous voulez bien vous donnez la peine d'entrer.

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Dans la cuisine...

Raoul Volfoni

- Bougez pas !... Les mains sur la table ! Je vous préviens qu'on a la puissance de feu d'un croiseur, et des flingues de concours.

Jean

- Si ces messieurs veulent bien me les confier...

Raoul Volfoni

- Quoi ?

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... (Patricia entre)

Jean

- Allons vite messieurs ! quelqu'un pourrait venir, on pourrait se méprendre et on jaserait... Nous venons déjà de frôler l'incident.

Fernand Naudin

- Tu sais ce que je devrais faire... rien que pour le principe

Raoul Volfoni

- Tu trouves pas qu'c'est un peu rapproché ?

Paul Volfoni

- J'te disais que cette démarche ne s'imposait pas. Aujourd'hui, les diplomates prendraient plûtot le pas sur les hommes d'action. L'époque serait aux tables rondes et à la détente. hein ? Qu'est-ce que t'en penses ?

Fernand Naudin

- J'dis pas non.

Raoul Volfoni

- Mais dis-donc, on est tout de même pas venu pour beurrer les sandwichs !

Paul Volfoni

- Pourquoi pas ! au contraire, les tâches ménagères ne sont pas sans noblesses ; surtout parcequ'elles constituent le pas vers des négociations fructueuses. hein ? ... merci.

Fernand Naudin

- Maître Folace, vous devriez planquer les motifs de fâcher !

Paul Volfoni

- Oh ! Monsieur Fernand...

Fernand Naudin

- Y connaît la vie Monsieur Paul. Mais pour en r'venir au travail manuel, là, c'que vous disiez est finement observé et puis, ça reste une base.

Raoul Volfoni

- Et bah c'est bien vrai. Si on rigolait plus souvent, on aurait moins la tête aux bétises.

... (Une jeune fille vient chercher du whisky et touche à l'argent)

Maître Folace

- Touche pas au grisby... salope ! ....

Paul Volfoni

- L'alcool à cet âge là... enfin !

Fernand Naudin

- Non mais c'est un scandale !

Raoul Volfoni

- Nous par contre on est des adultes,.. on pourrait peut être s'en faire un ptit !

Fernand Naudin

- Maître Folace ?

Maître Folace

- Seulement le tout venant a été piraté par les mômes. Qu'est ce qu'on se fait,... on se risque sur le bizarre ? ça va rajeunir personne !

Raoul Volfoni

- Ah nous v'là sauvés !

Maître Folace

- Sauvés... faut voir !

Jean

- Tiens, vous avez sorti le vitriol !

Paul Volfoni

- Pourquoi vous dites ça ? Il a l'air pourtant honnête !

Fernand Naudin

- Sans être franchement malhonnête, au premier abord, comme ça il a l'air assez curieux.

Maître Folace

- Y date du mexicain, du temps des grandes heures, seulement on a dû arrêter la fabrication : y a des clients qui devenaient aveugles, alors ça faisait des histoires...

Raoul Volfoni

- Faut reconnaître, c'est du brutal !

Paul Volfoni

- Vous avez raison il est curieux !

Fernand Naudin

- J'ai connu une polonaise qu'en prenais au p'tit déjeuner... Faut quand même admettre que c'est plutôt une boisson d'homme.

Raoul Volfoni

- Tu sais pas ce qu'il me rappelle, c't espèce de drôlerie qu'on buvait dans une p'tite taule de Biénoa pas très loin de Saigon... Les volets rouges ... et la taulière, une blonde comaque... Comment qu'elle s'appelait Nom de Dieu ?

Fernand Naudin

- Lulu la Nantaise !

Raoul Volfoni

- T'as connu !?

Paul Volfoni

- J'y trouve un goût de pomme

Maître Folace

- Y en a !

Raoul Volfoni

- Et c'est devant chez elle que Lucien le Cheval s'est fait déssouder.

Fernand Naudin

- Et par qui, hein ?

Raoul Volfoni

- Bah v'la que j'ai plus ma tête !

Fernand Naudin

- Par Teddy de Montréal, un fondu qui travaillait qu'à la dynamite.

Raoul Volfoni

- Toute une époque...

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Maître Folace

- D'accord, d'accord, je dis pas qu'à la fin de la guerre, Jo le Trembleur, il avait pas un peu baissé ; mais n'empêche que pendant les années terribles, sous l'occup, il butait à tout va ! Il a quand même décimé toute une division de panzer ! ah.

Raoul Volfoni

- Il était dans les chars ?

Fernand Naudin

- Non ! Dans la limonade ! soit à ce qu'on t'dit !

Raoul Volfoni

- Mais j'ai pu ma tête ! j'ai pu ma...

Maître Folace

- Il avait son secret le Jo...

Raoul Volfoni

- c'est où ?

Jean

- À droite, au fond du couloir.

--------------------------------------------------------------------------------

Maître Folace

- Hé, Hé, Hé ! 50 kilos de patates, un sac de sciure de bois, il te sortait 25 litres de 3 étoiles à l'alambic. Un vrai magicien ce Jo. Et c'est pour ça que je me permets d'intimer l'ordre à certains salisseurs de mémoires de bien vouloir fermer leur claque-merde ! ah.

Paul Volfoni

- Vous avez beau dire, y'a pas seulement que de la pomme, y'a aut'chose. Ça serait pas dès fois de la betterave, hein ?

Fernand Naudin

- Si, y'en a aussi.

Fernand Naudin

- Je mangerai bien quelque chose de consistant, moi.

Raoul Volfoni

- Dis donc, elle est maquée à un jaloux ta nièce ? Je faisais un brin de causette, le genre réservé, tu me connais : mousse et pampre, v'là tout à coup qu'un p'tit cave est venu me chercher ! Les gros mots et tout !

Fernand Naudin

- Quoi ! Monsieur Antoine ! Si j'peux lui faire franchir les portes, faut p't'être le faire passer au travers !

Jean

- J's'rai pas étonné qu'on ferme !

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100.000 dollars au soleil (1963)

Un film de Henri Verneuil avec

Bernard Blier,

Lino Ventura et

Jean-Paul Belmondo

- Dis-moi, Plouc... dis-moi la vérité. Est-ce que je suis une putain ?

- Bah... Enfin... Tu couches toujours avec tout le monde. Enfin, je veux dire avec les copains ?

- Oui.

- Et y'en a pas un dès fois qui t'aurais refilé de l'oseille ?

- Non.

- Et bah alors ! T'es not'petite Angèle, c'est tout.

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- Tiens, ça me rappelle ma finlandaise. Tu la connais mon histoire avec la finlandaise ?

- Oui.

- Bah toi qui la connaît pas tu vas te poiler ! Figure toi qu'un jour sur la piste d'Ibn Saoud, j'tombe sur un p'tit ingénieur des pétroles avec sa Land Rover en rideau. Il avait sa bonne femme avec lui, là, une grande blonde avec des yeux qu'avaient l'air de rêver et puis un sourire d'enfant : une salope quoi. Moi je repère ça tout de suite parce que les femmes c'est mon truc.

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- Et son mari n'a rien dit ?

- Non... tu sais, quand les types de 130K disent certaines choses, ceux de 60K les écoutent

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Le film, un Samedi soir sur la porte 31 :

La réplique est en gras....

Le jeune au méga : " ^_^ bougez-vous on est chez nous !!!"

Les dragons et les sharks :" :doh::crylol::crylol: :crylol: "

Le jeune au méga : " :grin::doh: AAAAAAAALLLLLLLEEEEEZZZZZ le TFC"

Les sharks et les dragons : " :doh: AAAAAAAALLLLLLLEEEEEZZZZZ le TFC :doh: "

Le jam et les dragsharks : " :doh: ALLEZ :doh: ALLEZ LE TéééééFC, :doh: ALLEZ LE TFC ........ :grin::doh::crylol: "

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