Aller au contenu

Gollum

Membres
  • Compteur de contenus

    18435
  • Inscription

  • Dernière visite

Tout ce qui a été posté par Gollum

  1. Willis est effectivement injouable depuis quelques matches. Je sais pas à quoi il tourne mais c'est infernal... Sur le quart, toutefois, il paie les deux ou trois pénalités que sa générosité coûte au Stade en première période. Mais Costes, qui est une graine de tout bon, bénéficie de sa passe "super rugby" entre deux joueurs qui amène je ne sais plus quel essai (au-delà d'un toutes les cinq minutes, je manque de discernement ).
  2. Coucou Ekelund Vous vous étiez fait rare ces temps derniers, n'est-il pas? Welcome back . Oui, terrible, d'autant que quand on le voit jouer avec son club, on comprend son statut d'international...
  3. C'est la première fois que je vois deux équipes être remplacées par deux autres à la MT d'un match . Assez improbable, ce quart... Les Anglais ont non seulement tout donné en première période mais un peu plus que tout... On va saliver !!!
  4. Non, je préfère le juger sur plusieurs matches que sur un seul . Ça me semble plus probant. Mais quoi qu'il en soit, je n'ai pas vu beaucoup de matches où Casseres a été moins bon qu'hier. Je n'ai cessé d'écrire, ici, que c'était notre meilleure recrue de la saison et notre meilleur milieu.
  5. Oui, c'est vrai : pas un match pour briller mais j'ai trouvé Dallinga plus efficace que d'habitude dans son soutien aux milieux. C'était vraiment une perf collective hier soir et on peut comprendre que cette cohésion ait un peu agacé les Rennais...
  6. Probablement mieux que tu n'as vu les précédents . Mon commentaire sur Casseres est général : hier, il a bien remonté et distribué les ballons, notamment parce que le milieu rennais était d'une agressivité douteuse. Mais sur l'ensemble de ses prestations, ce n'est pas sa qualité première (ses passes sont ordinaires et ses ballons ne sont pas toujours lâchés dans le bon timing) alors que les autres - récupération, soutien défensif, projection, frappe - c'est juste l'ordinaire de ce joueur (on pourrait évidemment souhaiter qu'il se projette encore plus mais à deux milieux et face à des adversaires plus compliqués que le milieu rennais hier, c'est plus difficile).
  7. à moins que ce ne soit l'inverse...
  8. Je ne suis pas dans le "on" . À la limite, la seule chose que je peux reprocher à Restes, c'est d'avoir cherché à casser le rythme alors que ce n'était pas nécessaire tant on ressortait bien les ballons. Mais faut aussi voir que les attaquants rennais lui ont gaillardement marché dessus - et de façon récurrente - sans que l'arbitre ait particulièrement cherché à le protéger...
  9. Curieux que certains semblent découvrir ce que vaut ce joueur. Notre meilleure recrue de la saison et notre meilleur milieu (même si certains lui préféreront Sierro). Le vrai problème de Casseres, c'est qu'il n'y en a qu'un alors qu'il faudrait le cloner. Il abat un travail énorme, il est le seul milieu capable d'accélérer balle au pied, il a une bonne frappe... Pour moi, c'est un box-to-box et un MD ; en fait, relayeur, comme je le lis, c'est sans doute ce qu'il fait de moins bien car ses passes sont assez ordinaires. Mais potentiellement, c'est un joueur XXL et une des grandes questions de la saison prochaine résidera en son utilisation et, bien sûr, sa préparation physique. Il peut devenir un atout maître.
  10. Une meilleure défense et les crocs. C'est pour ça que notre équipe est bizarre : un hybride d'éléphant et de loup - je vous sais friand de métaphore animalière - c'est pas facile à caractériser .
  11. Bah, ça marche aussi en sens inverse... On a parfois pris des points en se faisant bien secouer (il me revient le match à Lille ou la fin de rencontre à Reims). Au final, pas de regrets, on est à notre place même si on y est... bizarrement . Un commentateur Canal disait que le TFC avait le record de points pris après avoir été mené et le record de points perdus après avoir mené. Mon plus grand regret, c'est donc qu'on ait joué les coups d'envoi au lieu de laisser l'adversaire marquer tout de suite. On serait à la place de Brest, aujourd'hui, si on avait eu cette intelligence tactique .
  12. Ça peut surtout s'expliquer par le fait que Casseres est Casseres et que ceux qui passent à côté de l'apport de ce garçon ont un léger problème de perception (si même ils regardent les matches ). Moi aussi, je suis pour la prudence mais là quand même, je trouve que tu exagères . Oui, Restes en a trop fait : ceci dit, il s'est fait rentrer dans le râble une petite poignée de fois. J'ai trouvé l'attitude des offensifs rennais franchement limite, à son égard (sans doute les a-t-il énervés mais bon...)
  13. De la belle ouvrage. Probablement l'un des matches les plus "novelliens" de la saison, dans le bon sens du terme : certains entraîneurs meurent avec leurs idées (Enrique en LDC). Hier, Novell a gagné avec les siennes et a eu à peu près tout juste. On est décidément très loin d'il y a quelques mois. Alors bien sûr, c'était sans doute le bon moment pour prendre Rennes et dans une saison, la chance se joue sur ces aléas de calendrier : on n'a pas pris Lens ou Lyon quand il aurait fallu mais on s'est rattrapé avec quelques autres ; et de manière générale, les équipes en poursuite de l'Europe - le deuxième quart du classement - sont bonnes à prendre en cette fin de saison... Il reste que certains des adversaires du TFC m'ont paru moins dangereux que cette équipe rennaise, laquelle aurait sorti un match abominable à en croire les commentaires Canal et Stéphan lui-même. Mon impression est plutôt celle d'un très gros écart entre la qualité offensive de cette équipe - des attaquants pressants et percutants donc franchement pénibles - et sa qualité défensive (parmi ce que j'ai vu de plus faible, en L1). Je pense donc surtout que le TFC a sorti un vrai bon match. Un match qui m'a rappelé les promesses du tout début de saison, quand je pensais que l'équipe serait moins spectaculaire mais aussi plus difficile à jouer que celle de Montanier (et ma foi, c'est en train de se vérifier même si les dernières journées en décideront). Le problème majeur de cette équipe téféciste reste de marquer, surtout avec un Gboho qui rentre dans le rang (gros souci de finition et puis, je suis surpris par sa propension à glisser ou trébucher tout seul bref, à s'emmêler les pinceaux au sens propre). Et comme Aboukhlal n'est pour l'instant que l'ombre de lui-même - normal, revenir est une chose, retrouver le rythme une autre - il aura fallu deux buteurs (et deux actions) improbables pour planter deux buts, hier soir. On n'est évidemment pas malheureux sur ces buts là et on ne saurait garantir que ça se reproduira chaque weekend . Mais une fois le score pris, le savoir faire de l'équipe pour garder l'avantage a été remarquable. Ce savoir faire est une performance collective, naturellement car c'est bien un collectif qui a plongé Rennes dans la dépression, hier soir. Mais dans le milieu à deux axiaux de Novell, je n'ai jamais vu une association aussi souveraine que cette paire Spierings-Casseres. Et Spierings est décidément le symbole voire l'incarnation des performances de cette équipe toulousaine : il démarre son match de façon franchement exaspérante, en ayant la mobilité d'un paresseux en cure de sommeil et en jouant 100% de ses passes en retrait, transformant chaque ballon en patate chaude pour ses partenaires, face à des Rennais pressants. Et puis, assez vite, il se met dans le sens du match et est allé crescendo. Et là, c'est plus la même : harcèlement de l'adversaire, récupérations, interceptions et orientations délicieuses. Ce Spierings là est un métronome, un chef d'orchestre. Pour ses coéquipiers, tout devient plus facile. Et comme à côté, Casseres a fait montre de son activité habituelle - un peu au-dessus de ses standards, quand même : quel joueur, quel match - les Rennais ont fini par y perdre leur latin et péter les plombs en fin de rencontre. Autour de ces deux axiaux, les côtés ont laissé relativement peu d'espaces à l'adversaire ; Suazo a parfois été en difficulté dans le duel mais il a gardé un haut niveau d'intensité et de vigilance sur la rencontre. Mawissa a fait du Mawissa : bluffant au duel, capable de déborder, étalant toute la palette de ses immenses qualités et... se faisant manger en un contre un face à D. Doué, il est vrai pas le pire attaquant du championnat. Kamanzi l'a remarquablement suppléé alors que comme souvent, ce changement m'a laissé perplexe. Mais Novell avait le flair et le momentum, hier, il a donc eu raison. Si les côtés ont plutôt bien fonctionné défensivement, c'est aussi parce que les attaquants n'ont pas donné leur part au chien dans le repli. Ils ont systématiquement aidé leurs coéquipiers et Donnum, en particulier, a sorti l'une de ses meilleures entrées : on voit bien toutes ses difficultés dans la création offensive mais dans le repli et la conservation de balle, il a des qualités. Enfin, notre axe central ne s'est jamais désuni : nos DC sortent quand il faut sortir, pour aider les latéraux. Et sinon, il forment une herse de roseaux qui plient sans jamais (ou rarement) rompre. On ne peut pas dire que leur style défensif soit complètement ma tasse de thé mais... ça fonctionne et c'est tout ce qui compte : les trois de derrière sont hyper vigilants et mobiles. Ils reculent très souvent, ce qui permet aux puncheurs adverses de prendre de la vitesse (même si Casseres les a heureusement bien emmerdés, hier). Mais au final, y'a toujours un pied toulousain pour ruiner la finition adverse. Et last but not least, cette défense en recul frein a un autre avantage : les trois de derrière savent qu'en défendant bas, l'adversaire sera tenté par la frappe. Or il se trouve que l'équipe bénéficie d'un gardien plutôt à son aise sur sa ligne. Tout ça est donc cohérent. Le maître mot de cette victoire en terre rennaise est "concentration" : au sens mental du terme, d'abord parce que les joueurs ont été vigilants sur chaque ballon, 90 minutes durant. Et au sens physique ensuite parce que l'équipe a été compacte. Cette fois, le maintien semble acquis même si je partage la prudence de Vieira (puisque Strasbourg est exactement dans nos eaux). Metz étant revenu dans la course, 5 équipes se disputeront donc 2 vilaines places. 36 points pourraient carrément suffire et ce sera bien le diable si on ne prend pas un point de ci de là, dans le pire des cas .
  14. Votre argumentaire met dans le même panier deux aspects du métier de coach : entraîneur et sélectionneur. Entraîneur est un boulot à plein temps et ça correspond à ce que vous en dites. Sélectionneur est nettement plus simple et donc, à la portée du quidam (on est tous sélectionneurs). Quand je vois la sélection du PSG hier - les 11 titulaires et le dispositif tactique (deux milieux axiaux, comme Novell) - je me dis immédiatement qu'Enrique a pété un câble. Plus exactement, je pense qu'il est prêt à mourir avec ses idées. Mais si on considère que le but du PSG est de se qualifier pour les quarts de finale plutôt que de servir de paillasson à l'égo de son coach - qui, rappelons-le, ne sortira pas grandi de l'élimination qui se profile - alors on est un peu au-delà de "l'erreur" inhérente à ce jeu. Enrique ne peut rien au fait que Donnaruma ou Mbappé aient raté leur match, n'importe qui les aurait titularisés. Mais commettre autant de fautes de goût pour un match aussi important, ça interpelle quand même un peu...
  15. J'avoue avoir pensé à cette analogie en essayant hier de piger ce que Enrique avait tenté de faire . Bon, cette "interdiction" vient (pour partie au moins) de l'esprit aussi irénique que créatif de notre cher @LutherBlissett (qui est aussi notre chef, en tant que Lider Maximo des Nounouilles). Or, @LutherBlissett étant un être d'humilité et de sagesse, il connaît mieux que quiconque les limites de son principe de déférence à l'autorité professionnelle. Un drone l'aurait d'ailleurs aperçu hier soir, déambulant rue St Rome vêtu d'une simple tunique, s'autoflagellant au moyen d'un jonc acéré en marmonnant "les coaches espagnols sont décidément des pipes sauf Xavi". Il mérite toute notre compassion.
  16. QSG forever : compo d'équipe incompréhensible (grosse charnière centrale ), dispositif "novellien" à deux milieux axiaux que les Barcelonais ont transpercé facilement et comdab, un Donnaruma liquide dès qu'on atteint ce niveau. On pouvait penser que ce Barça était accessible mais ce que j'ai vu hier montre que non. Un peu comme le TFC contre Lyon, Paris a pu se mettre au niveau 20-30 mn avant de se faire dominer. Et quand Mbappé ne te renverse pas le match, il rappelle combien il est un fardeau pour son équipe...
  17. Sans doute un peu tardif mais j'ai moyennement assumé les demis Lucu-Jallibert, pendant le Tournoi des 6 Nations. Voilà, si ça peut aider .
  18. Pas tout à fait pareil : @pedrometo dit "très peu probable", ce qui est non seulement juste mais évident. Toi tu dis "impossible", ce qui me semble présomptueux .
  19. Lens, aussi, est une équipe qui correspond parfaitement à son classement.
  20. Disons que ce scénario revient à rappeler qu'avec 7 points de gras sur la 16ème place, on est nettement mieux que toutes les équipes qui sont derrière nous . Je confirme. Mais ayant vécu une remontada improbable en 2016, je n'écarte effectivement pas la possibilité d'une écroulada. En fait, c'est très simple : avec nos 7 points d'avance, on se fiche maintenant à peu près de ce que feront nos adversaires (tant mieux car Nantes aussi pourrait se refaire la cerise). L'important, c'est que nous prenions quelques points. On n'a même plus forcément l'obligation de gagner un match mais alors, il faudra n'en pas perdre à peu près la moitié. Mais attention, ne rien exclure, ce n'est pas "y croire" : pour moi, le barragiste sera Le Havre. C'est juste que notre équipe m'inspire une confiance très modérée. Même si son mental reste son meilleur atout.
  21. Oui, en gros, c'est aussi simple et bête que ça . Après, ce serait intéressant d'avoir une sorte d'indice de "prévisibilité" d'un championnat. Ce qui caractérise la L1, voire ce qui en fait l'intérêt, c'est précisément la fragilité des hiérarchies. En fait, le ventre mou concerne 15 équipes (la preuve, Brest est deuxième...) . Du coup, le moindre relâchement se paie cash et te remet la pression...
  22. C'est pourtant simple: Lorient nous bat chez eux puis termine par un nul à Marseille et une victoire contre Clermont pendant que nous perdons contre les deux premiers du championnat lors des deux dernières journées... Les 7 poins sont comblés. Cette L1 est suffisamment indécise pour qu'on reste méfiant (Lorient peut aller gagner à Nice par exemple...).
  23. Lorient peut battre à peu près n'importe qui. Nous on peut perdre contre n'importe qui. Je l'imagine mal aussi mais je suis certain qu'on serrera les fesses jusqu'au bout.
×
×
  • Créer...

Information importante

Nous avons placé des cookies sur votre appareil pour aider à améliorer ce site. Vous pouvez choisir d’ajuster vos paramètres de cookie, sinon nous supposerons que vous êtes d’accord pour continuer.