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Gollum

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Tout ce qui a été posté par Gollum

  1. Au même titre que ses coéquipiers, assurément . Et "en tant que 6", Spierings n'a pas le profil d'une sentinelle.
  2. Hélas oui. J'étais -et demeure excessivement- dominé par... moi-même. L'idée est effectivement de devenir dominant et c'est cette voie de la sagesse intérieure que je recommande à Healey . C'est pas nécessaire. Il suffit en l'espèce d'être supporter du TFC. D'où, en effet, le ressenti .
  3. #chubee. Disons que je pratique aujourd'hui un art martial et pour ausculter ce geste, c'est sans doute plus pratique que d'avoir joué au foot . Même si ma micro-expérience du "vrai" foot a un rapport intime avec l'action d'hier. Raison pour laquelle j'y suis sensible, j'imagine...
  4. Bon, je vais pas épiloguer. Je viens de re-regarder les 5 ralentis de Bein. C'est juste accablant, en particulier le dernier. C'est passé hier, après tout, tant mieux. Mais c'est comme un pilier de rugby qui effondre les mêlées, les arbitres vont l'avoir à l'oeil pour la fin de saison. Le club devrait programmer une petite semaine de yoga. Sur le geste, puisque mon petit exercice de fiction ne te convainc pas (inverser les positions et mettre un Guingampais à la place de Healey), deux suggestions (1) amuse-toi à te projeter légèrement en avant comme si tu étais poussé et balance un coup de coude à la Healey, juste pour éprouver toi-même le côté naturel du mouvement; (2) le coup du "repère visuel", franchement... T'es poussé par un mec dans le dos et le mec s'accroche. T'as besoin de le "voir" pour savoir que si tu mets un grand coup de coude derrière toi, tu vas le toucher ??? Je te suis plus sur l'arbitrage. Sans VAR, en effet, c'est très compliqué à voir et à juger. Et c'est pourquoi j'estime que les commentaires de Bein débloquent complètement, comme je le fais remarquer dans mon laïus.
  5. En même temps, tu serais Zemmour, Le Pen, Hidalgo ou Jadot, tu voterais aussi Mélenchon .
  6. Un Stade plutôt courageux en défense, un arbitrage barnesien (même si ce n'est pas le paramètre essentiel), trois points manqués par Ramos (étincelant par ailleurs : il faut que le Stade se penche sérieusement sur son cas contractuel car son niveau devient sidérant) et un Ntamack en mode coffre à ballons. Enfin, j'espère qu'une IRM du cerveau est prévue pour Mallia. Si on ne trouve rien, il faudra alors se tourner vers l'hypothèse vaudou ou alors le laser intergalactique d'un alien facétieux l'ayant frappé en pleine tempe .
  7. Équipe coupée en deux en fin de première période, des boulevards de dingue pour les Guingampais, je ne vois pas très bien ce qu'il aurait pu faire. Sachant en effet que son registre est plus dans le pressing et les petits espaces (il me rappelle parfois Aguilar dans sa manière de défendre). Pour moi, le problème est tout à fait collectif. Soit il fallait que l'équipe recule, soit il fallait presser haut mais pas ni l'un ni l'autre, comme ce qui s'est produit.
  8. J'ai pas suivi les réactions des Guingampais... En tout état de cause, à leur place, on l'aurait sacrément mauvaise mais personne n'oublierait de questionner notre défense et notre gardien... Ce qui m'embête, dans la nervosité de Rhys (que ceux qui, la nuit passée, soutiendront encore que son coup de coude est involontaire n'oublient pas de se passer le ralenti voire de mimer le geste, juste histoire de vérifier si leurs coudes ont une vie intérieure ), c'es précisément qu'il n'a nul besoin de "revenir en forme et frais". Car il est en forme et frais. Et il va le rester d'ici la fin de saison. Perso, je pense que son état de forme est déjà en train de causer des ennuis gastriques à ses futurs adversaires. Reste cette nervosité qui dégénère en agressivité, pour ainsi dire chaque weekend. Je crois qu'il faut que Montanier lui cause cinq minutes car ce serait dommage qu'il ne profite pas à fond de cette fin de saison et, accessoirement, qu'il pénalise l'équipe. Je dis "accessoirement" parce que je me demande, en réalité, ce qui pourrait vraiment pénaliser notre équipe, aujourd'hui... C'est ce que je viens de poster : je te conseille le ralenti, il se passe normalement d'épilogue. Alors oui, Healey est poussé, c'est évident. Mais rien -mais alors rien- ne justifie le coup de coude... Sinon que le bois dont est fait Healey ressemble plus à la peau de vache qu'au Rhys d'agneau...
  9. Parce qu'on est sur un forum de supporters du TFC. En l'espèce, je recommande toujours le même petit exercice d'autodiscipline mentale : qu'on imagine que c'est le Guingampais qui défonce la mâchoire de Healey et que l'arbitre ne bronche pas . Accessoirement, en dépit de sa forme, Healey multiplie les gestes ou attitudes assez "limites" depuis plusieurs matches. Je pense quand même que s'il ne se calme pas dès le we prochain et ne serait-ce que parce que son coup de coude ne va pas passer inaperçu, il va y avoir droit d'ici la fin de saison...
  10. Sinon que contre le PFC, il a effectivement "bloqué" son couloir notamment parce qu'il avait le soutien de Diarra. Pas aujourd'hui...
  11. Quel match, une fois de plus ! On aura décidément été gavés, cette saison . L'option tactique de Montanier explique largement cette orgie d'occases, de part et d'autre : quand, dans ton milieu, tu remplaces Diarra le MD par Brecht le MO, le reste s'ensuit, dans un sens comme dans l'autre. Bon, OK, c'est un peu court mais y'a de ça. Et puis, de l'autre côté, Guingamp est footballistiquement très au-dessus de la moyenne de la L2 (on avait découvert Pierrot et Mchangama, cette fois on aura vu Merghem). Je suis moins convaincu par leur défense et leur gardien... L'une des questions du match résidait en un éventuel relâchement toulousain. Or, le Tef dispute une première demi-heure de haut niveau : beaucoup d'appels et de mouvements en attaque, un gros travail de repli en défense. Et c'est justement après cette grosse demi-heure que Brecht commence à piquer du nez... Résultat : des boulevards au milieu, ce qui a permis de mettre au jour la fébrilité de nos défenseurs. C'est peu dire que Rouault n'aura pas disputé son meilleur match, aujourd'hui. Mais c'est encore les latéraux qui ont le plus souffert, notamment Diakité, étincelant contre Paris, très en difficulté aujourd'hui (témoin sa cagade sur le premier but adverse). Mais offensivement, l'équipe montre qu'elle peut tuer à tout moment. Outre Ratao, encore très bon, Healey semble être au pic de sa forme physique, ce qui n'aurait rien de surprenant compte tenu du timing de sa blessure. Sa détente verticale, sur le dernier but, donne une idée du peps du garçon. Et ses deux précédents buts portent la marque du talent au moins, du génie peut-être... En forme, c'est fort... Très bon match d'Onaiwu, aussi, dans un registre qui ne cesse de m'étonner. Des fois, je me dis que l'ARG qu'on cherche pour la saison prochaine, ce pourrait être lui . La deuxième période demeure enlevée mais les Toulousains se la gagnent, sinon sans forcer, du moins avec autorité. Je ne suis d'ailleurs pas loin de penser que l'égalisation toulousaine scelle le match. Certes, les Guingampais ont essayé, se sont créés des occases, auraient largement pu mettre un autre but (ne serait-ce qu'un péno oublié sur Nicolaisen). Mais tu sens -et eux sentent- que même s'ils marquent, Toulouse remettra le turbo et confirmera une hiérarchie que rien ne peut renverser... Alors, bien sûr, on le doit aussi à l'arbitrage. Dans les comparaisons l'an dernier/cette saison qu'on voit parfois fleurir sur le forum (sur le mode Garande vs Montanier), ce paramètre ne compte pas pour rien : la saison dernière, on s'est fait enfler plus d'un coup. Cette saison, on est globalement heureux avec l'arbitrage. C'est probablement la prime au premier, une sorte d'effet PSG dont on bénéficie. Mais c'est vrai qu'un péno oublié + la non expulsion de Healey, ça pèse très lourd. Ceci dit, je comprends pas bien le commentaire de Malm sur le coup de coude de Healey. Que cela vaille rouge, OK. Mais une fois que l'arbitre a laissé passer, pourquoi évoquer je ne sais quelle "assistance vidéo" ? Y'a un truc qui m'a échappé, la VAR subitement introduite en L2, l'assistance vidéo sans la VAR ? . Ou alors juste un commentateur qui ne sait plus ce qu'il raconte ? Bref. Ah, dernière chose : c'est compliqué, la Bretagne. Laurienté à Lorient, OK, je comprenais. Mais Quemper à Guingamp, franchement...
  12. J'ai crié à la dictature dès mars 2020 et pronostiqué ce que seraient les conséquences économiques (c'est en train de se vérifier). J'ai même tenté de démontrer que Macron n'avait plus de légitimité, après avoir magistralement argumenté (au moment des gilets jaunes) qu'il ne pouvait pas être réélu. On ne me prendra donc pas en défaut d'impartialité. Pour ce qui est de la lucidité, en revanche... Remarque, ayant maintenant acté sa réélection, en cas de surprise labinoclienne, je pourrai toujours dire que je l'avais prédit .
  13. C'est toujours rigolo cette allusion au "passé". J'avais eu la même en 2017. Or, des sondages qui se trompent, c'est l'exception qui confirme la règle. C'est arrivé avec Trump, par exemple. Et ça arrive avec des candidats estampillés méchants-pas beaux (Jean-Marie Le Pen, éventuellement Zemmour). Mais c'est tout. Donc oui, le passé me sert de leçon, justement : les résultats sont presque toujours conformes aux sondages . Par contre, bien sûr, c'est pas une raison pour s'y résigner et bien sûr aussi, il y a des marges d'erreur et des incertitudes liées à la versatilité du vote. Mais ça se jouera à 2 ou 3 points max. Or, les ordres de grandeur sont plus tranchés que ça. C'est comme un championnat, y'a des écarts insurmontables et y'a des matches pas joués : Zemmour-Pécresse en est un. Hidalgo/Lassalle/Roussel/Dupont-Aignan offre une lutte acharnée pour le maintien . Et en tête, la seule question qui se pose, pour moi, c'est l'écart entre les deux premiers. Mais n'ayant effectivement pas de boule de cristal (et il arrive que ça me joue des tours, dans le domaine sportif en particulier), tu seras fondé à me coiffer d'un bonnet d'âne mérité au cas où tes désirs deviennent réalité. Car j'imagine que, bien que ne croyant pas aux sondages, tu exclus toute autre hypothèse que Mélenchon finaliste, dimanche .
  14. Vaut quand même mieux être prévenant, des fois que des dizaines d'études de plein d'instituts sur quelques milliers de personnes soient plus fiables que la prévention d'un Mélenchonlâtre .
  15. Une dizaine de millions d'électeurs à convaincre en deux jours, j'ai connu des gens qui se fixaient des challenges moins ambitieux. Mais bonne chance !
  16. "Notre" ? Le TFC, le forum, le pays ou ton parti politique (à moins que tu n'envisages que l'on se mette en couple) ? Ayons quand même une pensée émue pour le prédécesseur d'Emmanuel 1er, ce bon François, qui a quasiment fait de l'anti-argent magique. Résultat : même pas habilité à se représenter . La vie est injuste...
  17. Parce que personne n'y croit une seconde... Les chaînes info essaient de survendre le truc pour créer un peu de suspense et, éventuellement, tenter de contenir un abstentionnisme qui s'annonce record pour une présidentielle. Mais pour le reste... Macron a arrosé la France d'argent magique. Il n'a même pas besoin de faire campagne, il gagnera l'élection grâce à ça (quitte à ce que ce soit moins plébiscitaire que prévu). Possible que Zemmour soit sous-estimé, comme le fut Jean-Marie avant lui, en effet. Auquel cas, va savoir, cela pourrait profiter à... Mélenchon. Car Zemmour boufferait 2 à 3 points à Le Pen. Mais ça n'ira pas au-delà.
  18. J'ai lu Proudhon, pour tout dire mais il y a longtemps. C'est un auteur compliqué à cataloguer, qui a fait l'objet de toutes les exégèses et dont la pensée est évolutive, comme d'ailleurs d'autres penseurs illibéraux. Il a même une page dédiée sur le Wikipédia des auteurs libéraux (https://www.wikiberal.org/wiki/Pierre-Joseph_Proudhon) Je me permets donc une double petite recommandation de lecture: (1) ne pas réduire des penseurs complexes à quelques mots d'ordre (ce qui n'implique pas de négliger les mots d'ordre en question) ; (2) ne pas confondre une théorie sociale (ayant des implications... théoriques c'est-à-dire scientifiques) et un point de vue d'auteur, la science et l'art, l'idéologie et l'utopie, le raisonnement et la poésie anarchistes. L'anarchisme n'est pas le libéralisme, je réitère. Mais leur commune détestation de l'État leur permet de dialoguer, voire de se combiner. En enrichissant les intuitions anarchistes d'un soupçon de rigueur intellectuelle libérale, on arrive à un résultat pas si dégueu (même si je préfère le libéralisme pur et dur). Mais que cela ne t'empêche pas de rire, bien sûr. Là est bien l'essentiel .
  19. Ah ? Un truc pour devenir président à vie, comme Poutine ou Trump ? Compte-tenu de ses affinités géopolitiques, ça se tiendrait. Mais dans notre pays, pour le meilleur voire le pire, nos hiérarques ne font pas toujours ce qu'ils veulent. C'est même éventuellement pour ça qu'ils ne font même pas ce qu'ils disent...
  20. 1. La droite de qui tu veux, d'où tu veux, dit ce qu'elle veut. Et si j'ai bien tout suivi, certains électeurs de gauche subodorent aussi le petit penchant de Mélenchon pour la dictature. Donc "vous pronostiquez", je sais pas bien à qui ça s'adresse. Je me borne à faire remarquer que ton argument visant à faire passer Mélenchon pour un "démocrate" est déficient. Pour le reste, "Mélenchon dictateur", je m'en fous un peu. Je ne pense pas que les conditions historiques soient réunies pour une dictature de droite ou de gauche, quand bien même Le Pen ou Mélenchon coifferaient Macron au poteau (d'exécution ). Et après un quinquennat qui n'a pas été si loin d'une forme (douce) de dictature sanitaire, je trouve en vérité le débat incongru. L'élection présidentielle demande que le peuple élise son roi. Mélenchon est un prétendant parmi d'autres au statut de monarque absolu, car la France est un pays de monarchie absolue. 2. Qu'est-ce-qui dans ton esprit saturé de préjugés gauchistes, te laisse penser qu'un libéral aurait besoin de se dire "anarchiste" ? Ce sont les gauchos qui ont un besoin maladif d'avoir l'air cool et sympa et c'est pourquoi il est toujours de bon ton de se dire "de gôche", y compris sur un forum comme celui-ci. Mais les libéraux, par définition, s'en foutent sinon, ils ne se diraient pas libéraux (bon, il doit bien y avoir quelques désespérés qui veulent être libéraux ET plébiscités par France Inter mais ça tombe sous le coup de la psychiatrie ). Moi, j'analyse les idées, je vois en quoi elles sont réconciliables ou antagoniques et je me borne à ça. Et combiner l'idéal anarchiste au libéralisme conduit à une conception extrême de ce dernier, non à sa négation ou son contraire.
  21. Je n'ai pas vu la première période mais je l'ai trouvé assez moyen en seconde. Il tient parfaitement sa place dans le 442 d'école d'Eymery (une véritable herse) mais il a manqué de vivacité à de nombreux moments. Jusqu'à cette action de fin de match où il réussit un pressing et enchaîne sur une ouverture de gauche qui aurait pu (dû ?) amener un but...
  22. Quand tu seras réveillé, tu m'expliqueras le rapport entre RPR/chars/toussa et ce que je disais sur Mélenchon... Je te remercie, ensuite, pour le cours d'idéologie politique . D'abord, comme de nombreux adorateurs, tu attaches plus d'importance à ce que tes auteurs favoris racontent (cf Mélenchon) qu'aux implications logiques de ce qu'ils racontent. Ensuite, tu réduis l'anarchisme à un auteur alors qu'il existe de nombreux courants anarchistes, des bases conceptuelles pas forcément compatibles les unes avec les autres (comme souvent, dans l'idéologie de gauche) et surtout, un préfixe "anarcho" qu'on a accommodé à à peu près toutes les sauces. Certains anarchistes ont pu dire que l'ordre naissait de la liberté, ce qui est le credo libéral de base ; d'ailleurs, entre les "libertaires" (gaucho) et les "libertariens" (droito), la ressemblance va parfois au-delà de la phonétique (mais les divergences sont réelles, bien sûr). Car le fondement de l'anarchie, c'est quand même l'absence de pouvoir politique. "Ton" anarcho-communisme" constitue une déclinaison idéologique de la notion, certes fréquente voire dominante mais pas exclusive d'autres hybridations. Et c'est une chimère politique, bien entendu (les couples ont déjà quelque peine à définir le "bien commun", alors les sociétés humaines...). J'aurais donc tendance à dire qu'au contraire de ce que tu crois, le libéralisme est le régime à peu près fonctionnel qui se rapproche le plus de l'idéal anarchiste. Même le libéralisme classique, d'ailleurs : "diviser les pouvoirs" (Montesquieu), ce n'est assurément pas les "supprimer". Mais c'est au moins les contenir.
  23. J'espère (pour eux) que les amateurs de foot du forum (je crois savoir qu'il y en a ) ne seront pas passés à côté de Villareal-Bayern. J'ai mis un oeil négligent sur la deuxième période et je suis resté, scotché, comme si j'avais vu la Vierge. Ce n'était pas du football. C'était le football. Je ne sais pas si Villareal peut tenir ce rythme là et leur défaut de finition est quand même emmerdant mais cette équipe peut aller au bout. Accessoirement, trois ex entraîneurs du PSG disputaient ces quarts de finale. Et re accessoirement, ce club magnifique a bien fait de se débarrasser d'un Lo Celso, par exemple. Il n'a assurément pas le niveau requis .
  24. Seule protection individuelle opposable à la prédation étatique, en effet. D'où le terme "libéral" dans "anarcho-libéral" .
  25. Tout ce qui est hors-sujet est évidemment dans le sujet, quand la remarque vient de quelqu'un que le sujet dérange . Quant à ta question, on va vite régler le problème. Je ne suis pas en train de faire une typologie des gentils et des méchants dictateurs. Je suis très à l'aise avec ça puisque de mon humble point de vue d'anarcho-libéral, tout chef d'état est un dictateur ou pas loin . On avait néanmoins discuté de tout ça il y a fort longtemps, ici (cela m'avait valu de nombreux témoignages d'affection ). J'avais alors fait remarquer qu'aucun système dictatorial n'avait été poussé aussi loin que ceux qui se sont inspirés de l'idéologie socialiste (y compris le nazisme, comme son nom l'indique). On les a même appelés "régimes totalitaires". Mais c'était le vingtième siècle, pourra-t-on toujours dire. Tout ce que je faisais remarquer, c'est qu'aucune com politique ne permet de discerner qui est un "dictateur" en puissance ou pas. Macron, en 2017, voulait associer les citoyens à la politique; quelques semaines après son élection, il était devenu Jupiter. Mitterrand avait bâti une partie de son image électorale sur une réputation d'anti-gaulliste; il s'est évidemment comporté de manière aussi autocratique que son anti-modèle. Concernant Mélenchon (mais il n'est pas le seul), le paradoxe vient de ce qu'il annonce tout un tas de changements révolutionnaires tandis qu'en même temps, il inventerait un système plus démocratique/participatif. Mais à partir du moment où c'est Mélenchon qui décide de son programme et compte d'ailleurs se faire élire en fonction de lui, à quoi sert le pseudo système en question ? C'est évidemment de l'enfumage. Et ce n'est pas un reproche. C'est juste ton argument que je trouvais naïf .
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