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Asha31

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Tout ce qui a été posté par Asha31

  1. Déjà, c'est quand même curieux que tu te sente chaque fois visé alors que je ne trouve pas que tu sois parmi les moins nuancé dans tes critiques, mais passons. Tu ne peux pas prendre comme seul exemple le match de Benfica, alors que je parle de l'ensemble de la saison. Il faudrait être un beau taré pour venir chouiner après Novell alors que son équipe tenait le 1-1 contre Benfica au stade de la Luz à la 94e. Que de nombreux supporters soient satisfaits de cette tactique , encore heureux. Par contre quand je revois les réactions de certains avant même le début de match contre Monaco (n'importe quoi, ça va être une purge, c'est quoi cette compo...) , je doute de ton affirmation qui parle d'une "large majorité", mais admettons que c'est difficile à évaluer de toutes manières. Enfin, tu tords un peu mon propos : le problème n'est pas de se "tromper" en disant que telle performance est bonne ou pas, c'est de tout mettre sur le dos du coach, qui concrètement serait forcément fautif si son équipe est "à côté de la plaque" comme tu dis. Or, il ne maîtrise qu'une part des choses, dans la défaite comme dans la victoire d'ailleurs. Donc venir comme certains le flageller aprés chaque contre-performance, comme si tout ou presque ne dépendait que de lui et de ses choix, ça n'a définitivement pas de sens.
  2. Ce qui est marrant, c'est que l'on pourrait aussi avoir une lecture totalement différente du dernier match sans un premier fait de jeu : le duel remporté par Restes face à Balogun dés la deuxième minute. Sur cette action, notre défense à trois composée de joueurs assez lents , et placée trés haute sur le terrain, se fait prendre totalement de vitesse sur de la profondeur, profondeur qu'elle a laissé dans son dos à un attaquant très véloce... on est mené 1-0 au bout de deux minutes, ce n'est plus le même match, et qu'est ce qu'on aurait pas lu ici sur les choix du coach. Tout ça pour dire que je défendais déjà l'idée que , dans les défaites, c'était ridicule de ne cibler que les choix de l'entraîneur, que les performances des joueurs et les faits de jeu comptent énormément , ba c'est pareil dans les victoires. Contre Monaco, oui la tactique marche, mais il y a aussi une part non négligeable de réussite (le but de Costa , c'est un corner saucissonné par Sierro qui arrive miraculeusement sur Logan ), la même réussite qui fuyait nos joueurs lors d'un excellent match dans le contenu, pourtant perdu à Nice (avec une ouverture du score injustement refusée). Si ça pouvait faire réfléchir certains et les convaincre de ne pas se ruer sur ce topic au moindre résultat négatif ... Ce que l'on peut retenir, et qui est appréciable et un progrés évident depuis l'an dernier, c'est que l'on est plus dans un coaching figé à l'obsession comme sous Montanier, avec les même 11 bonhommes quasi-inamovibles d'un match à l'autre, , la même tactique figée et lisible qui se faisait éclater dés lors qu'il y avait une opposition un peu solide en face. On a un entraîneur qui n'hésite pas à prendre des risques et à surprendre l'adversaire (et les supporters), parfois ça paye, parfois moins. Et visiblement, il sait insuffler à ses joueurs la certitude qu'ils peuvent battre n'importe qui , ce qui n'est pas rien en terme de management.
  3. Je me suis mal exprimé: on attendait ces deux joueurs comme des titulaires importants, et pour diverses raisons ils ne peuvent pas assumer ce statut, d'où l'handicap pour l'équipe. Schmidt n'est pas sélectionnable un match sur deux et Gelabert ne tient pas l'exigence de la Ligue 1 physiquement. Pourtant, leurs qualités sont évidentes. Gboho , lui, formé en Ligue 1, puis titulaire dans des championnats exigeants en terme d'intensité physique, s'est immédiatement retrouvé à l'aise en championnat et en coupe. Pas un hasard.
  4. Je te suis totalement sur le double échec Gelabert- Schmidt, qui handicape terriblement l'équipe en terme de créativité. Ajoute à cela Spierings qui est l'ombre de lui même, et qui était fondamental pour mettre le 11 techniquement dans le bon sens l'an dernier, et on a quand même un des points noirs majeur de cette saison, ce milieu de terrain qui n'arrive jamais à trouver le bon tempo en Ligue 1, autrement qu'en transition.
  5. Alors pour moi c'est plus un problème de lenteur que de technique pour le coup.
  6. 6 points sur le 17e et 7 sur le 18e, deux clubs malades qui ont l'air condamnés à descendre... Je pense que l'on peut parler clairement d'une bataille pour le barrage plus que pour le maintien maintenant.
  7. Je comptais les matchs à l'extérieur.
  8. Tellement heureux pour lui ❤️
  9. À Marseille, à Reims , à Brest , à Nice ,à Benfica et donc à Monaco aujourd'hui. On pense ce que l'on veut de ce type, mais quand il s'agit de préparer son équipe à croire en elle pour taper des gros , il sait faire.
  10. J'ai rien vu, mais tellement fier de l'équipe, bravo les gars!!!!
  11. Merci pour cette jolie anecdote ! Je ne sais pas comment faire passer le mot aux Indians , mais j'espère que quelque chose sera prévu pour son dernier match au stadium, des chants , une banderole, il le mérite tellement.
  12. ▶️ Regarder ce reel https://www.facebook.com/share/r/oG4hre3iybXaz42P/ L'émotion sincère, il nous cherche immédiatement du regard, les baisers envoyés, cette envie de nous donner ce but. Qu'est ce que je le kiffe ce joueur, même si on fait venir un mec plus talentueux à sa place, il va tellement me manquer. Un gars simple, honnête, humble,qui se défonce pour son équipe et son maillot quelque soit l'adversité alors qu'il vient de l'autre bout de l'Europe. Et qui est au niveau dès qu'on lui met une grosse équipe en face. Dans les légendes du club pour toujours pour moi, on t'aime Mikkel , tu vas nous manquer putain ❤️
  13. Intéressant de mon côté, mon père ça a été 20 ans de sa vie la gestion des groupes et la sécurité, et il a vraiment un regard à la fois affûté et complaisant sur le maintien de l'ordre (autant dire qu'on a souvent des échanges assez frais sur le sujet ) Mais alors pour le coup il a halluciné à Lisbonne, il a trouvé les flics inutilement tendus, désorganisés , je pense que leur histoire de grève leur a fait organiser ça avec le cul, et dans le doute ils en ont fait beaucoup trop, au point de devenir abusifs et intimidants.
  14. Son bilan est pas fou sur ce match (avec toute l'indulgence qui va bien vu sa jeunesse). Il a essayé sur corner de s'imposer deux ou trois fois mais c'est toujours laborieux, et puis sa défense prend clairement l'initiative à chaque fois, ce qui fout le bordel. Je suis surtout emmerdé sur les ballons en profondeur adverses, souvent sur des passes trop longues il doit le lire et anticiper pour venir les chercher aux abords de sa surface, et il laisse ses défenseurs couvrir et du coup prendre la pression. J'ai l'impression que ses boulettes avec les espoirs sur ce type d'action l'ont rendu hésitant... Bref, il apprend, mais face à une telle opposition, un gardien plus autoritaire et expérimenté aurait fait du bien.
  15. Laisse moi deviner: t'as eu droit à des flics sympa et souriants ?
  16. Alors, par où commencer … ? Comment choisir , dans le tourbillon des souvenirs, des images , des rencontres faites sur ces trois jours à Lisbonne ? Comment rendre dignement compte des émotions, des chants, des moments partagés autour de cette même passion qui nous anime ? Nous sommes partis en groupe, un cousin, un ami et mon vieux, que j’ai péniblement convaincu après plusieurs jours de combat de nous accompagner, lui qui allait au stade depuis ses 7 ans, mais qui n’avais jamais vécu un déplacement. Mais pouvais-je réellement vivre ce moment autrement qu’avec la personne qui m’a transmis l’amour du maillot violet ? Aucun d’entre nous n’avait jamais vu Lisbonne, et ce fut une magnifique découverte. Je vous rassure , je ne vais pas jouer les agences de voyage, mais je conseille à tout ceux qui n’ont pas eu cette chance d’aller un jour visiter cette ville qui a son rythme bien à elle, une identité claire et indéfinissable, entre douceur et passion, une ville colorée, joyeuse, magnifique à visiter, où l’on découvre sans arrêt , sans pour autant ne jamais s’y sentir vraiment perdu… Mais parlons de ce qui nous intéresse, le Tef, point de départ de ce voyage , après une douce et folle nuit de victoire en coupe il y a bientôt un an… Déjà, dans l’avion, on se reconnaît entre supporters, les clins d’oeil et remarques fusent. Puis, une fois arrivée à destination, il suffira pendant le séjour de porter son regard dans les rues, les restaurants, prés des monuments, pour deviner des petites touches de violet, là une écharpe, ici un maillot, des sourires échangés, des regards entendus : rendez-vous jeudi soir … Je n’ai pas le temps ici de raconter les dizaines d’anecdotes vécu autour du TFC à Lisbonne, mais elles furent nombreuses et mémorables : pêle-mêle , ce serveur qui voit nos écharpes et nous offre l’apéritif , tout sourire, en montrant fièrement un dragon tatoué sur son bras : un fan de Porto, qui est ami de tous les adversaires de Benfica. Ces chauffeurs d’Uber, ces commerçants qui parlent immédiatement et spontanément du match à venir, pour gentiment chambrer et annoncer une victoire facile si ils sont du Benfica, ou bien avide d’informations afin de savoir si l’on peut gagner contre l’adversaire honni si ils sont fans du Sporting … Et bien sûr toutes les rencontres entre supporters, les chants qui partent dans les bars, les « se canto » dans les rues ….Plus généralement, une ville qui vibre passionnément pour le football , où n’importe quel habitant peut soudainement s’interrompre en voyant une écharpe , un maillot, pour venir parler de son amour pour son club, son stade, partager ses impressions, ses ressentis. La sensation de retrouver un vrai football passion, populaire,une chose que l’on a peut-être un peu oublié : le foot peut rassembler. Mais venons-en à ce qui nous intéresse, le jour du match. Déjà, en descendant la rue qui mène à la place principale de la ville où le rendez-vous était fixé, les frissons en entendant les premiers chants, en voyant une place presque entièrement violette, les bars alentours bondés de la joyeuse et enthousiaste communauté violette qui a bel et bien répondu présent. Partout , ça discute, ça rigole, ça échange les anecdotes et les bonnes adresses. Comme si une gigantesque famille se retrouvait à nouveau, après Paris, Liverpool ou Linz, sous le regard intrigué et amusé des Lisboètes, presque étonnés de voir que des milliers de fan puissent amener joie et bonne humeur dans leur ville. Je passerai sur le départ pour le stade, accompagnés par une police locale tendue, sur le qui-vive, et franchement désorganisée. Le métro de Lisbonne est viola, partout ça chante , la température monte . Arrivé au stade, on prend une claque : le stadium est une belle enceinte, mais le Stade de la Luz est un temple, un parc d’attraction à la gloire du grand Benfica. Si il fallait nous le rappeler, le petit club, c’est nous. Et on en vient au moment le plus désagréable du séjour : Nous voilà en bloc dense, entourés de CRS tendus et entièrement équipés, à passer au compte-goutte pour des fouilles abusives (je confirme malheureusement tout ce qui a été relaté ), ou comment créer les conditions d’un incident avec des supporters pourtant irréprochables … Bref, une fois enfin dans l’enceinte, les sourires reviennent au moment de grimper la cage d’escalier qui mène au parcage, on se sent forts et unis, les chants se lancent et raisonnent. Jusqu’au parcage donc, et la deuxième claque de la journée : rassemblée ainsi, on mesure la marée humaine qui a déferlée depuis la ville rose, dans un stade superbe, une pelouse sublime. Tandis qu’une énorme baffle crache une musique commercial à fond pour tenter de couvrir les chants toulousains, on applaudit nos joueurs à l’échauffement, on échange les pronostics : ne pas en prendre trop, rester en vie pour le retour, voilà le mot d’ordre. On admire le tour d’honneur de l’aigle du Benfica, tout en constatant que malgré les 50 000 supporters adverses présents, la ferveur et les chants sont clairement violets. Sur le terrain, on assiste comme attendu au meilleur du TFC Novelien : une équipe organisée, en place, dominée certes, mais qui ne semble jamais se complaire dans la posture de la victime annoncée : la défense est impériale, tout le monde est à sa tâche,les joueurs du Benfica tournent en rond sans vraiment trouver des solutions, Restes est au chômage technique et on peste sur les transitions toulousaines qui ne vont pas au bout, tant on sent que le piège peut se refermer . Il faudra une perte stupide de Donnum dans l’axe et une belle action de Joao Mario pour que l’on frissonne un peu. Mais au final, à la mi-temps, le nul est logique et on souffle un peu : ce TFC ne sera pas ridicule ce soir. Mieux, en seconde période , nos joueurs croient plus en leur chance, le pressing se fait plus intense, Dallinga en transition prend la mesure de la défense adverse, Gboho met le feu. Mais soudainement, la VAR fait son entrée en scène, et alors que le parcage gronde, l’arbitre met une éternité à se décider : penalty pour ce triste Benfica et un Di Maria pourtant bien peu inspiré, que c’est cruel. Mais les Toulousains ne se découragent pas, s’agace, ils le savent, ils en sont capable , de renverser des montagnes. Et au bout d’une longue séquence de pression dans le camp adverse, sur un second ballon bataillé en pleine surface, la gonfle finit miraculeusement sur… Desler. Desler, le joueur vaillant mais limité, qu’on est allé chercher au fin fond de la Norvège pour une somme dérisoire, et qui est pourtant aujourd’hui une des légendes de l’histoire moderne du TFC. Desler, qui ne triche jamais, ne s’arrête jamais de se battre, de courir, et pourtant que l’on oublie toujours de citer au milieu des Branco, des Spierings, des Healey. Desler, comme un symbole, qui vient claquer une reprise impeccable au stade de La Luz et vient faire chavirer le parcage, vers lequel il se tourne immédiatement pour exulter . Délire, extase , on se pousse , on hurle. Le TFC vient d’égaliser sur la pelouse du grand Benfica , et ce n’est que justice. Les chants repartent, redoublent de puissance et de ferveur, on entend plus que nous. Sur le terrain, la suite est irrespirable, jusqu’aux derniers instants et ce penalty et ce rouge si cruel encore … Pas grave, le contrat est rempli, on est en vie pour le match retour, on a fait clairement douter cette équipe qui nous prenait de haut et qui viendra dans un stadium en fusion , loin d’être sereine. Autour de nous , les supporters Lisboète font grise mine, quittent vite leurs sièges . Pour nous, le rêve continue, et c’est là le plus important. Le temps que l’on nous autorise à quitter le stade , nouvelle désagréable surprise , deux lignes de CRS qui nous dirigent vers le métro. Alors même que tout s’est bien passé, impossible de réellement échanger avec les supporters adverses, qui s’amassent pourtant avec curiosité derrière les lignes de policiers , autour de la station de Métro, pour regarder passer ces fans adverses qui ont animés leur stade pendant deux heures. Et, alors que l’on nous autorise enfin à descendre dans la station, on entend, puis deux, puis de nombreux applaudissements partir des fans de Benfica présents, qui rendent hommage et applaudissent les fans violets . On sourit, surpris et un peu ému, et on leur répond de la même manière. Un vrai joli moment. La nuit Lisboète et les rues de Barrio Alto seront bien sûr violettes, on se retrouvent de bar en bar pour débriefier , avec des regrets un peu, de la fierté surtout. Mon vieux , un mojito à la main, joue les vieux sages au milieu des plus jeunes, on parle de ces dernières années, de tout ce que l’on a déjà vécu, des supporters de Benfica viennent nous féliciter et nous offrent un verre, beaux joueurs , des supporters du Sporting nous acclament. Dans un petit restaurant, alors que l’on commande, le patron s’approche en voyant nos maillots et se lance dans un français approximatif mais enthousiaste : « Supporters de Toulouse, bravo, depuis tres jours, very very good, beaucoup de respect, toujours les sourires, bravo bravo, vous revenir en coupe d’europe ! ». Au bout de la nuit , on doit rentrer, l’avion du retour au matin, le sommeil sera court, on n'arrive plus à quitter les derniers supporters qui continuent à chanter dans les rues . Sur le retour, mon vieux, encore grisé, me serre fort les épaules, sa manière de vieil aveyronnais pour dire ses sentiments. « Merci pour tout , et ces moments ». Dans l’avion du retour quelques heures plus tard, tout le monde arrive à dormir sauf moi. La capitale du Portugal s’éloigne , je respire un grand coup , je repense à tout cela, une petit larme monte . On l’a fait, on l’a vécu tout ça. Et le meilleur est peut-être encore à venir , dans une petite semaine. Même dans une saison difficile, frustrante, on a encore de belles, de merveilleuses raisons d’être fier de cette équipe, de cette communauté que nous somme, de nos couleurs. Le rendez-vous est pris, pour peut-être le dernier chapitre d’une magnifique histoire, ou pour la suite , qui sait ? De toutes manières, le plus important quand on est supporter, ce n’est pas la destination, c’est le voyage. Forza Viola Bordel .
  17. Un petit message du kop où l'on attend de partir. Frustrés mais tellement fiers, on a éteint ce triste stade de la Luz,et les Lisboetes ont soufflés bien fort à la fin!
  18. Je ne sais pas si l'Europe sera viola ce soir , mais je peux vous assurer que la place principale de Lisbonne l'est. Et les bars autour aussi
  19. T'inquiète je pense à tout ceux qui n'ont pas ma chance, je vous prépare un CR de l'espace pour essayer de partager un peu de ce qu'on vit . Quelque soit le résultat de demain soir, on est des milliers à vivre ce moment magnifique, à distance ou pas, on profite à fond t'inquiète pas 😁
  20. À Lisbonne depuis hier, en tout cas je peux vous dire que les Toulousains sont là et en nombre... 😎
  21. Je ne sais pas trop qui a dit que l'on devait être en "admiration béate" pour être un "bon supporter". Tu me demande au départ si j'ai conscience qu'on joue le maintien et que l'on peut descendre. Je te réponds que oui en expliquant pourquoi j'ai une posture peut être plus optimiste et positive que certains à ce sujet. Maintenant bien sûr que chacun fait et ressent ce qu'il veut. Et je comprends tout à fait que l'on trouve cette saison un peu triste, objectivement sans la coupe d'Europe, elle l'est. Et en même temps, sans la coupe d'Europe, ce ne serait probablement pas la même saison en championnat.
  22. On a aussi fait des gros matchs dans le combat, l'intensité et les courses en Ligue 1. Brest, PSG, Reims... Je suis d'accord sur le fait que les joueurs que l'on a sont pour beaucoup handicapés sur ce point. Mais sur un match on en est capable. Et jouer chaque match, une fois par semaine, sur cette intensité, c'est ça se mettre en mode maintien.
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