-
Compteur de contenus
18797 -
Inscription
-
Dernière visite
Tout ce qui a été posté par Gollum
-
Cette opinion n'engage que toi. Je doute que Benoît XVI soit de cet avis .
-
Je crois qu'on ne mange pas les même rillettes .
-
D'ordinaire, tu cites les virgules mais tu oublies les mots. Résultat, je n'ai pas compris ta citation .
-
Tu as un ouvrage de Hayek à me recommander ?
-
On devrait surtout lui expliquer qu'on ne signe pas son arrivée sur un forum de supporters téfécistes en commettant un pavé dénué de tout smilley. Tain, franchement, que font les modérateurs ?
-
C'en est un considérable lors d'une élection présidentielle. Car une élection, c'est du blabla. Donc, mieux tu blablates, mieux tu passes. C'est ainsi. Et ce n'est effectivement pas un hasard si Bayrou est largué. Vieille tradition française, au demeurant...
-
merci
-
Yavait un tract de Joly, dedans ? Sûrement pas, une candidate développement durable ne s'abaisserait pas à une telle gabegie . Et leurs tracts, ils font pas ça sur papier plus ou moins glacé ? Non, je dis ça parce que je pourrais éventuellement m'en servir comme ersatz de papier hygiénique mais je déteste avoir froid au cul .
-
je ne sais pas si c'est la forme ou le fond mais ça semble un peu ton machin. bon, en même temps, au point où on en est...
-
Je n'ai qu'un souvenir furtif de ses prestations mais dans mon esprit, c'est un joueur plutôt technique -disons même, au dessus de "notre" moyenne-, l'un de ceux qui n'hésitent pas à frapper au but (plutôt pas mal) mais en comparaison des standards toulousains, il manque de volume, d'abattage. cette saison, en tout cas, de mémoire, il n'a fait que de bons matches.
-
Pour Planifus : Tu comprends, maintenant, pourquoi je trouve ça la mathématisation de l'économie ?
-
Tu emploies le conditionnel. Moi aussi je voterais Cheminade si j'avais l'intention de voter pour lui. Tout ça pour dire que ton post n'a pas grand intérêt. Et le mien ?
-
Tu ne t'étonneras pas que j'apprécie ce jeu de mots à bien plus que sa juste valeur Je suis même en train de me tripoter. Heureusement que je suis moins émotif que quand j'avais l'âge de Planifus... C'est très bon, ça aussi . Mais au risque de me laisser aller à un accès de Miniboeris Chiantum, je ne suis pas certain que l'hypothétique fin de règne d'un Poutou ou d'un Mélenchon se déroule dans une franche bonne humeur .
-
C'est pas plutôt les chaussettes, Don Diego ? Tain, le pauvre. A changer de tshirt comme moi d'opinion, il doit avoir un aquarium d'insectes à la place des aisselles . Je t'ai dit qu'économie "littéraire" et "libéralisme" étaient hautement compatibles (c'est notamment ce qu'on appelle l'école autrichienne). Donc, on peut très bien argumenter avec des mots et avoir des avis opposés. D'ailleurs, l'antagonisme mots vs courbes n'épouse pas le débat socialisme vs libéralisme. Il y a de tout dans chaque camp (enfin, les plus extrémistes des libéraux et des socialistes sont "littéraires" ; les plus tièdes des deux camps sont plutôt "mathématiques"). Il est donc extrêmement probable que nous soyons en désaccord, que tu m'aies très bien compris (pour l'essentiel, du moins ). Et que tu aies abusivement déduit de nos désaccords que j'étais un mathématicien. Parfois, raisonner "simple" est le plus sûr moyen de tangenter l'exactitude . Je me rappelle m'être masturbé, évidemment. Mais n'ayant pas maîtrisé le jet, j'en ai foutu partout. Résultat, je n'ai pas pu décoller les pages suivantes et j'ai dû interrompre ma lecture. Tu me fais un diagnostic gratuit de ce que tu en déduis ?
-
ok, merci .
-
Oui, oui . Je suis con ou tu n'es pas clair, j'imagine que nous aurons des opinions (encore) divergentes sur ce point. Je ne vois vraiment pas ce que venait faire ta saillie sur les participations d'Etat dans le contexte plutôt cinglant de ton intervention. Cela n'avait probablement qu'un but didactique dans une discussion qui ne causait pas de ça . Bref... Certains, sur ce forum, sont des virtuoses de la mauvaise foi. Chez toi, disons que c'est une obsession. Il faudra que tu nous racontes, un jour, d'où tout cela vient. J'opte pour une lettre de motivation rejetée par une grande entreprise cosmopolite au motif d'une identité régionale trop voyante. De la discrimination, quoi. Mais tout cela peut aussi avoir commencé dans une cour d'école . C'est une après midi psy show, profitons en.
-
Et bien tu fais erreur (sur le premier passage en gras) : je suis justement anti économie mathématique et complètement pro-philosophie. J'estime qu'étudier l'économie indépendamment de l'histoire, du droit, de la société voire de la philosophie, en effet, est (en gros) une fumisterie. Les premiers économistes étaient d'ailleurs des sociologues. Cette option "épistémologique" est celle qu'ont toujours défendue les vrais libéraux, il n'y a donc nulle incompatibilité. Mais en effet, ce n'est pas ce qu'on enseigne à la fac. Je ne le sais que trop. Le deuxième passage en gras est un sermon typique des mauvais talk shows. J'espère que ce n'est pas non plus ce qu'on enseigne dans les facs d'économie. Disons qu'entre un fatras de courbes ésotériques et un tissu de mièvreries éculées, il doit y avoir la place pour quelque chose de "signifiant'. Enfin, la mauvaise foi -la tienne en l"occurrence- suffit à établir la différence entre un "argument" et un "point de vue" ; en fonction de ce dernier, d'ailleurs. Rien de très nouveau, donc. Mais ce n'est pas grave : toi aussi il t'arrive d'être drôle et je t'aime bien . OK, merci pour cette précision. Bon, donc, une boîte "classique". C'est qui le fonds de pension (ma curiosité est hélas insatiable...) ?
-
Disons que tu édulcores ce que disait ton post précédent ; à t'en croire, toutes les sociétés du CAC 40 étaient "sous contrôle" -implicitement tempérant- d'un Etat bienveillant. Quelques survivances historiques ne pèsent pas lourd dans une politique d'entreprise (ni une dépendance financière). En revanche, cela fait qq réserves financières à sa disposition quand il faudra liquider le patrimoine. Je trouve que ce dernier post manque d'agressivité. Je t'invite à te ressaisir . D'autant que bouffon du roi, c'est plutôt ... Tu m'autorises à t'opposer mon droit de consommateur libre ?
-
Et bien autant que je me souvienne, il m'a demandé si je m'appelais Franck ou Ronald. Cela m'a évidemment traumatisé : un père ne sachant même pas comment se prénomme son fils . J'ai dû en déduire que je devais très vite gagner mon indépendance. Tu penses que cela a influé sur ma destinée idéologique ? Je devrais plus souvent profiter des intuitions psychologiques (brillantes) qui parcourent ce formidable forum . d'Oedipe, donc, si je te suis bien .
-
C'est gentil. Mais je suis pas sûr . Très pertinent deuxième passage en gras ; je félicite mon jeune protégé (qui est aussi ma mère). Tu touches du doigt l'un des drames de la "science économique" ultra mathématisée mais c'est hors sujet. Sinon, c'est marrant, dans nos débats, j'ai remarqué que quand les uns et les autres étaient à court d'argument, ça finissait toujours par "miniboer ceci ; miniboer cela". Oui, je sais, c'est parce que mes posts n'ont aucun intérêt, sont trop longs, que vous avez la flemme de les lire, etc. Disons que ça aussi, je l'ai déjà lu... Bien entendu, cette petite pique ne s'adresse pas au coiffeure. Lui, c'est "MIniboer ceci ; Miniboer cela" d'emblée. C'est qu'en matière d'arguments, il est perpétuellement en rupture de stock (sauf en matière de foot basque ; en fait, il est sur une niche).
-
Tu es grand seigneur !! Toi, au moins, tu fais passer tes messages au grand jour !! Quand tu auras le temps et que tu auras repris tes esprits (pour peu que cela t'arrive), tu m'expliqueras l'impact de l'Etat actionnaire dans les sociétés du CAC 40 : notamment la part du capital détenue. Pour ceux qui pensaient que les sociétés du CAC 40 étaient non seulement privatisées mais internationalisées, heureusement, le coiffeure est là pour rétablir les vérités historiques... Bref... j'espère que tu le trouves didactique .
-
In fine, tout l'argent qui ne va pas dans la poche des fournisseurs, des salariés, des banquiers et de l'Etat revient aux actionnaires sous forme de bénéfice : soit de manière différée (c'est l'autofinancement de l'investissement dont tu parles), soit de manière immédiate (dividendes et rachats d'actions). L'investissement est (en partie) financé avec du bénéfice et a pour but d'en générer de plus importants plus tard. Tu reproches aux actionnaires de vider l'entreprise de "son" cash, qui est en fait le leur. Je comprends mieux ton argument, effectivement courant (puisque Aubry a proposé une taxation différenciée entre bénéfices réinvestis et bénéfices prélevés par les actionnaires). Mais j'y oppose deux objections : 1. D'abord, comme on le disait, les entreprises du CAC 40 sont détenues (pour moitié environ) par des actionnaires étrangers et notamment, des fonds de pension. Ces fonds de pension sont des actionnaires très "gourmands", en effet. Pourquoi ? Parce qu'ils ont tous les mois des retraites à payer et que les dividendes qu'ils prélèvent servent à ça. On peut en penser ce qu'on veut mais au moins, les fonds de pension sont "une" solution au problème épineux du financement des retraites (je rappelle que nous n'avons, nous Français, à peu près aucune solution qui vaille dans ce domaine...). Il ne faut pas oublier que les "méchants actionnaires américains" sont, pour beaucoup, d'aimables retraités qui ont besoin de ce pognon pour vivre. Parce qu'au lendemain de la deuxième guerre mondiale, "on" a promis de grasses retraites à à peu près tout le monde, dans tous les pays. Maintenant qu'il faut les payer, bien entendu, ça crée des tensions... 2. Le réinvestissement dans l'entreprise ne devrait jamais être considéré comme qq chose de nécessairement souhaitable. Il vaut bien mieux que les actionnaires investissent leur cash dans des PME prometteuses -ou même de grandes entreprises dynamiques (ou encore des ONG...)- que de laisser ce pognon à la disposition de firmes dont les marchés saturent (par exemple, je comprends que les actionnaires de General Motors prennent leur mise plutôt que de réinvestir dans General Motors...). Maintenant, comme en toute chose, les actionnaires prennent de mauvaises décisions. Certains dispositifs destinés à doper "la valeur pour l'actionnaire" sont hautement contestables (endettement excessif, notamment). Et certains managers abusent d'une situation "d'enracinement" (faible contrôle des actionnaires) qui engendre bien des désillusions. Mais ce sont les actionnaires qui, au premier chef, paient la note de ces erreurs. Quand un PDG est payé grassement mais qu'il augmente les bénéfices, tout le monde y gagne. Lorsque l'entreprise périclite et que le manager s'engraisse, ya effectivement maldonne. Mais les erreurs sont inhérentes aux "systèmes", quels qu'ils soient. L'essentiel est de les corriger et sur ce terrain là, les marchés financiers -notamment les marchés d'actions...- sont relativement performants. Sauf qu'un revenu du capital, c'est le revenu d'un travail antérieur qui a déjà été taxé (comme revenu du travail). Donc, c'est un revenu du travail taxé deux fois. Je ne trouve pas ça naturel du tout... ça, c'est évident mais tu fais bien de le rappeler. En revanche, un LBO, c'est une sorte de coopérative de salariés, non ? Et dès lors, le fonctionnement de l'entreprise qui en découle est assez particulier (enfin, tous les cas sont particuliers, remarque). Valides tu ma comparaison avec "coopérative de salariés" ? Cela m'intéresse . toutes les boîtes à actionnariat dispersé y sont soumises... ah, je me disais ! Un salarié qui préfère avoir un fonds de pension plutôt qu'un industriel comme patron, c'est plutôt baroque !! Intéressant tout ça quoique peut-être topiquement incongru, en effet (on bascule dans topic économie) ? ça montre surtout que la pression est forte quelle que soit le type d'actionnaire. Concurrence et prélèvements obligent...
-
Les grandes firmes "françaises" -celles du CAC 40- sont mondiales (leur actionnariat est "mondial" -50% de l'actionnariat des firmes du CAC 40 est étranger- et leurs activités aussi). Et leurs patrons sont généralement français quoique pas toujours et surtout, de moins en moins. Mais ça ne change rien au problème. Le phénomène que tu dis, celui des "noyaux durs", est juste : c'est pourquoi les conseils d'administration (qui sont censés représenter les actionnaires) donnent parfois lieu à des petits arrangements entre amis, au détriment des "petits actionnaires" (les minoritaires). Le représentant de la BNP au CA de l'Oréal (cet exemple est purement fictif, je ne sais même pas si la BNP est actionnaire de l'Oréal) va autoriser le PDG de l'Oréal a s'octroyer un parachute doré et comme ça, le représentant de l'Oréal au CA de la BNP -si les entreprises ont ce qu'on appelle des "participations croisées", via des filiales, notamment- lui rendra la monnaie de sa pièce. C'est très politique. Mais ce phénomène franco-français était encore plus prégnant avant l'ère de la mondialisation. Il est justement mis à mal par l'internationalisation de l'actionnariat, dont les exigences de rentabilité sont fortes. La deuxième partie de ton post est, à cet égard, plutôt floue. Tous les partenaires économiques de l'entreprise sont rémunérés par "contrat" : ils touchent donc leur pognon avant les actionnaires et quelle que soit la rémunération du patron. Les actionnaires ne touchent que ce qui reste (les bénéfices). C'est le risque qu'ils prennent -celui de ne rien percevoir- en échange de leur droit de propriété sur l'entreprise. Le salaire des PDG lèse donc bien les actionnaires. La question des "sorties de cash", si je te suis bien, c'est tout à fait autre chose pour le coup.
-
Oui, Hollande, c'est un peu comme les blindés de Leclerc. Une libération !! Marco est extrémiste quant au fond et modéré sur la forme. Ce n'est pas banal. J'aime assez, en fait. Tant que ses idées ne sont pas au pouvoir . Oui mais (1) ils sont peu nombreux (il n'y a que quelques centaines de très grandes firmes, en France ; et plus de trois millions d'entreprises...) et (2) les gestionnaires en question mènent des stratégies non triviales qui font gagner ou perdre de l'argent à leurs actionnaires (et leurs salariés). Le problème de la rémunération des grands patrons est donc surdimensionné, dans l'opinion. Résultat : en faire un "programme" est en soi suicidaire. Il n'y a pas un rond à gratter de ce côté là. Car (1) les grands managers opèrent sur un marché du travail mondial (à la mesure des entreprises qu'ils sont amenés à diriger) ; comme les stars de foot, leurs rémunérations ont donc grimpé en flèche, ces 30 dernières années et (2) ils dirigent des firmes à actionnariat dispersé dont les conseils d'administration ne contrôlent pas toujours les agissements. Mais au bout du compte, ceux que ces grosses rémunérations lèsent, ce sont les actionnaires .
-
Tu nous expliqueras ce qui est réellement important, quand tu auras le temps. Maintenant, je ne suis (encore) pas en désaccord foncier avec ça : le problème, c'est le pouvoir d'Etat. Que des mecs en abusent, ça coule pour ainsi dire de source. C'est un peu comme fonder la critique de Sarkozy sur le fouquet's ou je ne sais quel autre symbole à la con. C'est dérisoire. Et pourtant, ya fort à parier que la prochaine élection se jouera là dessus...